Le pape François détruit-il l’Eglise ? Pourquoi soutenir l’Eglise ?

 « Rarement un souverain pontife a autant déconcerté. Le Pape François est aussi un homme attachant qui tend la main à tous, pleure avec les éprouvés, chérit la sincérité, vit sa foi sans concession en communion intime avec le Christ. Il est vrai qu’il peut aussi faire douter certains sur l’avenir de l’Église catholique. »! (Frère Paul-Adrien, dominicain)

La sainteté de l’Eglise que souhaite Jésus est celle à laquelle travaille le pape François.

« Participation, mission et communion sont les caractéristiques d’une Église humble qui se met à l’écoute de l’Esprit et place son centre en dehors d’elle-même. Henri de Lubac disait : « Aux yeux du monde, l’Église, comme son Seigneur, a toujours l’aspect d’une esclave. Elle existe ici-bas sous la forme d’une servante. […] Elle n’est ni une académie de scientifiques, ni un cénacle de spirituels raffinés, ni une assemblée de surhommes. Elle est exactement le contraire. Les infirmes, les difformes, les misérables de toute sorte s’y assemblent, les médiocres s’y bousculent […] ; il est difficile, ou plutôt impossible, pour l’homme naturel, tant qu’une transformation radicale ne s’est pas opérée en lui, de reconnaître dans ce fait l’accomplissement de la kénose salvifique, la trace adorable de l’humilité de Dieu » (Méditations sur l’Église, p. 352).

https://www.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2021/december/documents/20211223-curiaromana.html

Pape François met à jour les fragilités de la barque Eglise : les finances, la pédocriminalité…

L’Eglise, aussi critiquée soit-elle, annonce la victoire du Christ, la VIE en abondance pour chaque croyant. Soutenons-la !

Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. 11 Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. https://www.aelf.org/bible/Jn/10

Tandis que les sectes pullulent et que l’islamisme cerne l’Europe, l’Eglise a mission de conduire à bon port les frères et soeurs de Jésus.

Malheur aux mauvais bergers qui déshonorent l’Eglise.

A écouter absolument : « C’est l’histoire d’un musulman iranien qui pratiquait la charia et à qui Jésus va apparaitre… Il le verra de ses yeux… Afshin a 21 ans, il connait le Coran sur le bout des doigts et il est prêt a tout pour plaire à Allah jusqu’à persécuter les infidèles. Mais un jour, Jésus lui apparaît dans une lumière éblouissante, Il pose sa main sur son épaule et lui parle… Face à cette révélation surnaturelle, Afshin est totalement bouleversé… Il décide de suivre Jésus mais les persécutions vont commencer : il échappera miraculeusement à plusieurs tentatives… Aujourd’hui, Afshin a une fatwa contre lui mais continue de témoigner au péril de sa vie… C’est le témoignage incroyable mais vrai d’Afshin Javid. »

Ouvrons les yeux : Boualem SANSAL : « L’ Europe est cernée par l’islamisme »

Boualem Sansam évoque le 13 novembre. Pour rappel : https://www.radiofrance.fr/franceinter/attentats-du-13-novembre-2015-le-recit-d-une-nuit-d-horreur-par-ceux-qui-l-ont-vecue-2606892

Les raisons de bien parler de l’Eglise et du pape sont nombreuses. Evitons de les salir.

« Le pape François a rendu visite aux Petites Sœurs des Pauvres au Home Saint-Joseph, à Bruxelles. Cette rencontre a permis de féliciter les religieuses pour leur soutien indéfectible aux personnes âgées. »


J’aime beaucoup chez pape François le fait qu’il marche à la suite de François d’Assise. Comme lui, il a épousé « Dame Pauvreté », il est humble.  

https://www.youtube.com/clip/Ugkx099_trXOZRiOCjweIWBflY0VNUqpAmAE

Contrairement à d’autres chrétiens, j’apprécie que Benoit XVI ait démissionné.

L’Eglise allait très mal au moment où Benoit XVI a quitté la gouvernance de l’Eglise. J’admire le geste de ce pape.

De son côté, âgé de 76 ans, Georges Bergoglio allait lui aussi prendre sa retraite. Il a renoncé à cette opportunité en acceptant la lourde charge de devenir pape.

Dès son élection, pape François montre qui il est : un homme simple, soucieux des pauvres, loyal, cohérent, très courageux. Sa formation jésuite lui est d’un grand atout. 

« Le pape a mission de rompre dans la manière de gouverner l’Eglise. Par contre, au niveau de la foi, nous dit Frédéric Lenoir, il va être en continuité totale avec tous les papes qui l’ont précédé. »

L’Eglise est en souffrance. Rallions-nous autour de notre pape, de nos évêques, de nos prêtres dans la mesure où ils nous conduisent vers Jésus.

L’Eglise, c’est aussi des personnes comme cardinal Sarah qui tempère les propos de François concernant l’accueil des migrants. Tous deux ont une part de vérité.

  https://www.youtube.com/shorts/kttIK8bMHb0

Nous perdons notre temps à critiquer.

Mieux vaut TEMOIGNER et il y a urgence !

https://www.facebook.com/reel/1544364506163176

Mieux vaut nous engager comme ce prêtre à Gaza.

Mieux vaut témoigner comme frère Paul-Adrien, Dominicain.

... et comme frère Jack, Franciscain de Bruxelles.

et comme ce laïc au sein de la Communauté de l’Emmanuel à Paray-le-Monial.

A ceux qui critiquent aussi le pape Jean-Paul II,  sachez que l’on reconnait l’arbre à ses fruits:

…comme Père Pedro de la Société de Saint Vincent de Paul.

D’autres « barques » ont le même objectif : étendre le Règne de Dieu sur terre

Le pasteur Martin Luther King qui a sacrifié sa vie par amour de son peuple, tout comme Said Oujibou font partie de la barque des chrétiens protestants. Leurs témoignages et leurs prières sont tellement précieux!

BREF, cessons de critiquer l’Eglise et témoignons de notre belle foi, oeuvrons UNIS les uns aux autres.

09 Nous sommes des collaborateurs de Dieu, et vous êtes un champ que Dieu cultive, une maison que Dieu construit. 10 Selon la grâce que Dieu m’a donnée, moi, comme un bon architecte, j’ai posé la pierre de fondation. Un autre construit dessus. Mais que chacun prenne garde à la façon dont il contribue à la construction. 11 La pierre de fondation, personne ne peut en poser d’autre que celle qui s’y trouve : Jésus Christ. https://www.aelf.org/bible/1Co/3

Méditons la Parole de Dieu, prions, louons…

Louons Dieu avec les Franciscains de Bruxelles. https://www.youtube.com/watch?v=krHI8wKGz9k

Prions, méditons avec NDML

https://www.open-bible.fr/lecture/2024-10-14

Pourquoi aller à la messe? Glorious

https://www.facebook.com/reel/740286624895595

Suppléments

Vatican, histoires secrètes – Qui sont les ennemis invisibles du pape François?

Pape Jean XXIII

Le 11 avril 1963, il promulgue une encyclique qui est perçue comme étant son testament spirituel : « Pacem in Terris ». Au-delà du monde catholique elle est adressée à tous les hommes de bonne volonté, affirmant que la guerre ne peut être un instrument de justice et préconise que ce soit désormais la « loi morale » qui régisse la relation entre les états, prônant la solidarité, la justice et la liberté. Le 11 mai 1963, il reçoit le prix Balzan pour son engagement en faveur de la paix : c’est là sa dernière apparition publique.

Jean XXIII (Angelo Giuseppe Roncalli) a été béatifié le 3 septembre 2000 par saint Jean-Paul II.

Le 27 avril 2014 le pape François a proclamé saints ses prédécesseurs Jean XXIII et Jean-Paul II. Dans son homélie, il dit : « C’est l’image de l’Église que le Concile Vatican II a eu devant lui. Jean XXIII et Jean Paul II ont collaboré avec le Saint Esprit pour restaurer et actualiser l’Église selon sa physionomie d’origine, la physionomie que lui ont donnée les saints au cours des siècles. N’oublions pas que ce sont, justement, les saints qui vont de l’avant et font grandir l’Église. Dans la convocation du Concile, saint Jean XXIII a montré une délicate docilité à l’Esprit Saint, il s’est laissé conduire et a été pour l’Église un pasteur, un guide-guidé, guidé par l’Esprit. Cela a été le grand service qu’il a rendu à l’Église. C’est pourquoi j’aime penser à lui comme le Pape de la docilité à l’Esprit Saint. (…) Que ces deux nouveaux saints Pasteurs du Peuple de Dieu intercèdent pour l’Église (…) Qu’ils nous apprennent à ne pas nous scandaliser des plaies du Christ, et à entrer dans le mystère de la miséricorde divine qui toujours espère, toujours pardonne, parce qu’elle aime toujours. »

#11octobre2024 #saintdujour #JeanXXIII #NotreDamedesinternautes

La volonté de Dieu pour les musulmans aujourd’hui accueillis en France et en Occident,

est qu’ils profitent de ce qu’ils ne sont pas soumis au pouvoir de la charia pour s’échapper de l’islam. La volonté de Dieu n’est pas que les musulmans cherchent à islamiser l’Occident car on ne peut pas raisonnablement penser que les problèmes de notre société vont être résolus du jour où on se mettra à couper la main des voleurs (Coran 5 : 38), d’autant qu’un voleur qui meurt de faim ne vole pas, aux yeux de Dieu ; ou qu’on se mettra à lapider les femmes adultères (Coran 4:15) ou que l’on réduira les juifs et les chrétiens au statut social infamant de la dhimmitude, ou que l’on mettra à mort tous ceux qui ne veulent pas se convertir à l’islam (Coran 5:33). Guy Pagès

La relation de l’esprit au corps. (Résurgences)

https://www.aelf.org/2024-07-28/romain/messe

Je vous propose de refaire l’exercice auquel nous nous sommes adonnés, il y a quelques semaines, à savoir examiner différents niveaux de lecture que l’on peut donner à ce miracle important qu’est la multiplication des pains.

Le premier niveau est toujours la lecture littérale du texte. Jésus a effectivement, à partir de cinq pains et deux poissons, miraculeusement fait apparaître de la nourriture pour une foule considérable. Il faut sans doute avoir la foi du charbonnier pour le croire, mais ça reste un niveau de lecture intéressant qui questionne notre aptitude à recevoir l’inouï de Dieu : croyons-nous que Dieu puisse littéralement faire des choses incroyables ? Et dans quelle mesure ? La lecture littérale nous rappelle toujours que notre esprit, quand il médite ces textes, doit pleinement s’ouvrir à l’inattendu, l’inouï, l’inespéré, l’incroyable, au coté profondément miraculeux de la sollicitude de Jésus à notre égard.

Une autre lecture serait de penser que le geste du jeune garçon qui offre spontanément à Jésus les vivres qu’il possède a provoqué un élan de générosité, que d’autres à sa suite se sont mis à partager le pain qu’ils avaient gardé par-devers eux, à la foule affamée. L’inouï du miracle serait ici la rupture des égoïsmes, du chacun pour soi, dans un prodigieux élan collectif de générosité. C’est déjà une lecture christologique.

Une troisième lecture, à laquelle les textes d’aujourd’hui certainement nous invitent, serait simplement de constater que l’évangéliste veut faire un rapprochement entre Jésus et le prophète Élisée. Comme lui, Jésus a des disciples auxquels il enseigne, comme lui il multiplie les pains, comme lui, il guérit les lépreux – on se souvient notamment de Naaman. Cependant la comparaison des deux trouve des limites : Élisée fait beaucoup de politique, ce que Jésus ne fait jamais. La finale de l’Évangile d’aujourd’hui est d’ailleurs explicite à ce sujet.

Autre niveau de lecture, qu’on pourrait qualifier d’ecclésial ou de sacramentel : le miracle de la multiplication des pains que nous rapporte l’Évangile symbolise l’Eucharistie qui, partant du dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, s’est multipliée de proche en proche, de communauté en communauté, jusqu’à nourrir des foules innombrables au fil du temps. Le miracle de la multiplications des pains par Jésus serait alors l’anticipation de la diffusion miraculeuse du christianisme constatée à l’époque où les Évangiles sont rédigés, à savoir quelques cinquante à septante ans après les événements qu’ils relatent. En temps de persécution, il s’agirait d’une manière discrète de dire que les eucharisties – et donc les communautés – se multiplient. Dans ce contexte, l’image des douze paniers qui débordent symbolise les apôtres.

Il y a sans doute quantité d’autres lectures à donner, notamment en s’interrogeant sur la symbolique des nombres : pourquoi cinq pains et deux poissons ?

Mais la lecture la plus profonde est la lecture spirituelle voire mystique qui fait de la parole de Dieu une nourriture, au sens littéral. Je crois profondément qu’autant il y a des paroles qui nous blessent et, petit à petit, nous tuent, autant il y a des paroles qui nous nourrissent, nous retissent, qui littéralement nous reconstituent le corps. Je crois d’ailleurs que c’est le sens premier de toute parole de réconfort : certes, agir sur l’état d’esprit, mais aussi agir sur le corps.

D’ailleurs, Dieu ne demande-t-il pas au prophète Ézéchiel (2,8 – 3,4) de littéralement manger un rouleau de l’Écriture. Je crois fondamentalement que la parole de Dieu a un impact tant sur notre esprit que sur notre corps. De même que l’Eucharistie parle aussi à notre esprit, de même la Parole de Dieu est aussi nourriture.

Derrière cette interprétation se trouve toute la question de la relation entre le corps et l’esprit ; ce qu’on appelle en philosophie le problème corps-esprit (Mind-Body Problem). Notre époque tend à radicalement dissocier les deux alors que, pour notre religion, corps et esprit sont intiment dépendants, intimement liés, au point de ne plus faire qu’un à la Résurrection, en Corps spirituel (I Corinthiens 15, 37-49).

Ce sont des questions philosophiques importantes qui nous aident à comprendre beaucoup de concepts de notre religion : l’incarnation, la présence réelle de Dieu dans l’Eucharistie, l’action concrète de Dieu sur notre esprit et notre corps, la relation entre nos états d’âme et l’état de notre corps, …

Enfin, si on fait la somme de toutes ces interprétations – car ce qui est intéressant, c’est de les croiser entre elles pour mesurer toute l’épaisseur du texte – on conclut que l’Évangile, aujourd’hui, nous invite à considérer le caractère proprement inouï, l’aspect profondément miraculeux de l’action de la parole de Dieu sur notre corps.

Les philosophes savent que le problème Mind-Body est une source de questionnements sans fin, que la relation du corps et de l’esprit restera toujours quelque part un mystère. Le propos de l’Écriture est ici de dire qu’au cœur de la relation entre notre corps et notre esprit, il y a l’action nourrissante de la parole de Dieu.

— Fr. Laurent Mathelot OP

https://www.facebook.com/photo?fbid=838351925097275&set=a.517326113866526

Frère Paul-Adrien est dominicain lui aussi, comme Laurent Mathelot.

https://www.facebook.com/reel/1559850064947097

Le Royaume de Dieu n’est pas mis à disposition sur un plateau d’argent.

« Le Royaume de Dieu exige un dynamisme. Il s’agit de chercher, de marcher, de se donner de la peine. »

Pape François.

NB : L’Eglise est un bourgeon du Royaume de Dieu. Des non-chrétiens travaillent sérieusement à sa construction.

« Il faut s’acharner! »

Frère Paul-Adrien se donne de la peine à juste titre.

https://www.youtube.com/watch?v=CMlln3PI39I

Grandir dans la foi, pratiquer les charismes, c’est être dynamique.  

Le saint curé d’Ars, Jean-Marie Vianney,  hyper-charismatique.

https://www.youtube.com/watch?v=xSNCuc7Yuec

https://hozana.org/miracles-et-apparitions/miracles/cure-d-ars

Persévérance dans la prière.

https://www.facebook.com/reel/804768618518900

Prions avec ferveur pour notre pape qui fait vraiment beaucoup de bien mais qui fait aussi du mal. Prions pour ses détracteurs. Que l’Esprit Saint nous éclaire tous afin que nous n’affaiblissions pas l’Eglise par notre langue. « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix » (François d’Assise)

Mettez-moi à l’épreuve, – dit le Seigneur de l’univers –, et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses du ciel, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance !

https://www.aelf.org/bible/Ml/3

En 1914, pendant la guerre, les habitants de Vielsalm n’étaient pas résignés. Ils ont prié et obtenu la libération des otages.

« Juste après le début de la guerre 14-18, les Allemands sont entrés en Belgique, pensant atteindre la France sans aucune difficulté. Ils ne s’attendaient pas à une résistance des Belges : et pourtant !

Très vite les Allemands ont craint les Belges car ils étaient persuadés que de nombreux francs-tireurs se cachaient dans la population.

A Vielsalm, durant l’occupation, un coup de feu s’est fait entendre pendant la nuit. Les Allemands, persuadés qu’il s’agissait d’un franc-tireur, ont pris de nombreuses personnes en otage : des gens importants dans la commune (par exemple, le Bourgmestre Jules-Joseph Talbot). Ils ont demandé aux Salmiens une rançon de 20 000 francs, faute de quoi ils fusillaient les otages.

Durant toute la durée de la prise d’otages, le doyen Hallet s’est dévoués pour le bien -être des captifs. IL a vivement protesté contre cette prise d’otages.

Les Salmiens se sont organisés et ont pu récolter la somme demandée. Les otages n’ont donc pas été fusillés, mais bien déportés.

Le doyen Hallet a rassemblé ses fidèles et leur a annoncé qu’il avait confiance en la Vierge Marie : elle veillerait sur les prisonniers salmiens. Il promit à ses fidèles de rendre hommage à la Vierge si les déportés revenaient sains et saufs.

Ce fut le cas : Tous les déportés revinrent assez vite, à l’exception de l’un d’eux , décédé en Allemagne (la raison de sa mort est inconnue).

Le doyen Hallet décide donc de construire à Vielsalm une grotte dédiée à la Vierge, qui est en fait la reproduction fidèle de la grotte de Lourdes (rue de la Grotte, à la sortie de Vielsalm vers Grand-Halleux)« 

Le père Patrick Peyton avait un pacte à honorer.

 
En 1941, le père Patrick Peyton avait un pacte à honorer. Treize ans plus tôt, il avait quitté son Irlande natale pour l’Amérique. Il avait d’abord travaillé comme employé d’entretien à la cathédrale de Scranton, en Pennsylvanie, tout en finissant ses études secondaires, puis il était entré au noviciat des Pères de Sainte-Croix en 1932. Tout allait bien jusqu’à ce que le jeune Patrick se mette à cracher du sang. Le diagnostic tombe en 1939 : tuberculose avancée.  

Le pronostic était sombre. Peyton conclut cependant un marché avec la Sainte Mère : si elle le guérissait, il consacrerait sa vie à la promotion de la paix par le biais du Rosaire. La Vierge accepta le marché. Tous les signes de la tuberculose disparurent et, le 15 juin 1941, Patrick était ordonné prêtre.  

Pour respecter son engagement, le père Peyton s’est tourné vers les médias, qu’il a utilisés pour aider les personnes dévastées par la guerre à comprendre que la paix dans le monde commence par la paix dans les cœurs et les foyers. Comme il l’a expliqué dans le slogan qu’il a popularisé, « La famille qui prie ensemble reste ensemble. Un monde en prière est un monde en paix« .  

Pour aider les gens à mettre ce slogan en pratique, Peyton a lancé le Family Theater et la Family Rosary Crusade (Croisade du Rosaire en Famille).   Au cours de sept décennies, le Family Theater a produit un programme radiophonique à succès et de longue durée, ainsi que des émissions spéciales à la télévision et des films qui, dans les premières décennies, mettaient en scène des stars hollywoodiennes de premier plan, telles que Bing Crosby, Grace Kelly et Loretta Young, promouvant la foi, la prière et les valeurs familiales.  

Pour sa part, la Family Rosary Crusade a cherché à populariser l’idée d’un chapelet familial du soir et continue à parrainer des rassemblements autour du chapelet dans le monde entier. Du vivant du père Peyton, le mouvement s’est étendu à l’Europe, à l’Asie et à l’Amérique latine.   Avant sa mort, ces efforts ont valu au père Peyton le surnom de « prêtre du Rosaire« . Après sa mort, le 3 juin 1992, ils lui ont également valu le titre de « Serviteur de Dieu« . Le pape François l’a déclaré « vénérable » le 18 décembre 2017. Elizabeth Kidney, 29 avril 2024 https://catholicvote.org/the-rosary-priest/

Reçu par mail de « Une minute avec Marie ».

Le Royaume de Dieu a été inauguré dans la souffrance de Jésus.

Dieu s’est donné à nous sous la forme d’un homme, Jésus. Fils de Dieu, il a donné sa vie pour nous et aujourd’hui il se donne sous la forme du PAIN CONSACRE en sa mémoire.

https://www.aelf.org/2024-08-04/romain/messe

https://www.facebook.com/reel/7567555473363553

Jésus nous invite à le suivre, fusse jusqu’au martyre.

https://www.facebook.com/photo?fbid=835223995410068&set=a.517326113866526

Il est plus urgent que jamais d’être un apôtre, plus urgent que jamais d’être un chrétien authentique…

https://www.facebook.com/fr.pauladrien

https://www.youtube.com/shorts/HRGENtjbu4I

Urgent de tenir ferme à la LIBERTE, qui que nous soyons!

https://www.youtube.com/watch?v=6kU8u5SHQ7o

Sans cesse critiqué, le pape François continue à nous exhorter à partir du message de Jésus.

Le discours de Jésus sous forme de paraboles, se conclut par les trois similitudes : le « trésor caché » (v. 44), la « perle précieuse » (v. 45-46) et le « filet de pêche » (v. 47-48).

Dans le premier cas, il s’agit d’un paysan qui tombe par hasard sur un trésor caché dans le champ où il travaille. Le champ ne lui appartenant pas, il doit l’acheter s’il veut entrer en possession du trésor : il décide donc de risquer tous ses biens pour ne pas perdre cette occasion vraiment exceptionnelle.

Dans le deuxième cas, nous trouvons un marchand de perles précieuses ; en connaisseur expert, il a repéré une perle de grande valeur. Il décide lui aussi de tout miser sur cette perle, au point de vendre toutes les autres.

Ces similitudes mettent en évidence deux caractéristiques concernant la possession du Royaume de Dieu : la recherche et le sacrifice.

Il est vrai que le Royaume de Dieu est offert « à tous », c’est un Don, c’est un cadeau, c’est une grâce, mais il n’est pas mis à disposition sur un plateau d’argent, il exige un dynamisme : il s’agit de « chercher », de « marcher », de « se donner » de la peine.

L’attitude de la recherche est la condition essentielle pour trouver ; il faut que le cœur brûle du désir de rejoindre le Bien précieux, c’est-à-dire le Royaume de Dieu qui se fait présent dans la personne de Jésus. C’est Lui le trésor caché, c’est Lui la perle de grande valeur. Il est la découverte fondamentale, qui peut donner un tournant décisif à notre vie, en la remplissant de sens.

Face à la découverte inattendue, aussi bien le paysan que le marchand se rendent compte qu’ils sont en face d’une occasion unique à ne pas laisser échapper, c’est pourquoi ils vendent tout ce qu’ils possèdent. L’évaluation de la valeur inestimable du Trésor conduit à une décision qui implique aussi sacrifice, détachements et renoncements.

Quand le trésor et la perle ont été découverts, c’est-à-dire quand nous avons trouvé le Seigneur, il ne faut pas laisser cette découverte stérile, mais lui sacrifier toutes les autres choses. Il ne s’agit pas de mépriser le reste, mais de le subordonner à Jésus, en Le mettant, Lui, à la première place. La grâce à la première place. Le disciple du Christ n’est pas quelqu’un qui s’est privé de quelque chose d’essentiel ; c’est quelqu’un qui a trouvé beaucoup plus : il a trouvé la joie pleine que seul le Seigneur peut donner. C’est la joie évangélique des malades guéris, des pécheurs pardonnés, du larron pour lequel s’ouvre la porte du paradis.

La joie de l’Evangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus. Ceux qui se laissent sauver par Lui sont libérés du péché, de la tristesse, du vide intérieur, de l’isolement.

Avec Jésus Christ, la joie naît et renaît toujours (cf. Evangelii gaudium, n. 1).

Aujourd’hui, nous sommes exhortés à contempler la joie du paysan et du marchand des paraboles. C’est la joie de chacun de nous quand nous découvrons la proximité et la présence consolante de Jésus dans notre vie. Une Présence qui transforme le cœur et nous ouvre aux besoins et à l’accueil des frères, spécialement des plus faibles.

Prions, par l’intercession de la Vierge Marie, afin que chacun de nous sache témoigner, à travers les paroles et les gestes quotidiens, de la joie d’avoir trouvé le trésor du Royaume de Dieu, c’est-à-dire l’Amour que le Père nous a donné à travers Jésus. » Pape François (Angelus du 30 juillet 2017)

https://www.facebook.com/photo?fbid=833354075597060&set=a.517326113866526

Dénoncer l’action du diable, lutter contre le mal, est mission de toute personne, plus particulièrement du chrétien.

Oui, le diable existe, oui l’enfer existe, même si la Bible nous en parle avec des images. Ce  ne sont pas des histoires inventées. Cfr EMI.

VIGILANCE ! La société est malade, sous l’emprise du diable.  Sauvons les âmes par nos prières et par la recherche de la justice.

https://www.youtube.com/watch?v=kNL-eTTNLmc

(La police est dénigrée d’où la multiplication des zones de non-droit. )

« Fils d’homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d’Israël.

18 Si je dis au méchant : “Tu vas mourir”, et que tu ne l’avertis pas, si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise afin qu’il vive, lui, le méchant, mourra de son péché, mais à toi, je demanderai compte de son sang.19 Au contraire, si tu avertis le méchant, et qu’il ne se détourne pas de sa méchanceté et de sa conduite mauvaise, lui mourra de son péché, mais toi, tu auras sauvé ta vie. https://www.aelf.org/bible/Ez/3

Résistons aux manœuvres du diable avec la Vierge Marie et saint Michel.

01 Un grand signe apparut dans le ciel : une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles. 02 Elle est enceinte, elle crie, dans les douleurs et la torture d’un enfantement. 03 Un autre signe apparut dans le ciel : un grand dragon, rouge feu, avec sept têtes et dix cornes, et, sur chacune des sept têtes, un diadème.

07 Il y eut alors un combat dans le ciel : Michel, avec ses anges, dut combattre le Dragon. Le Dragon, lui aussi, combattait avec ses anges, 08 mais il ne fut pas le plus fort ; pour eux désormais, nulle place dans le ciel. https://www.aelf.org/bible/Ap/12

On se demande pourquoi Dieu permet le mal.

08 Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur. 09 Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.

https://www.aelf.org/bible/Is/55

https://www.facebook.com/reel/1551990619057542

Prions le rosaire, arme redoutable contre Satan.

Inutile de discuter les plans de Dieu, de remettre en question son choix de passer par Marie … Donner sa vie à Dieu, se consacrer à Lui, prier avec le cœur, c’est notre seul recours contre la violence, la guerre, le mal sous toutes ses formes.

Cantiques.

https://www.youtube.com/watch?v=zPti8eLQUfs

https://www.youtube.com/watch?v=q3wcsCK31C4

Prions chaque jour, avec persévérance.

Où est la joie?

Site Résurgence.

3ème dimanche de l’Avent — 17 décembre 2023

NB: Cliquez sur le titre en bleu que voici pour découvrir la Parole d’Evangile:

Évangile selon saint Jean 1, 6-8.19-28

Nous nous préparons à fêter Noël, c’est aujourd’hui le dimanche de Gaudete, le dimanche de l’Avent où spirituellement nous basculons de l’attente dans la joie. Et pourtant, partout dans le monde, ce ne sont que guerres qui éclatent et angoisses qui se répandent. C’est bientôt Noël, où trouver la joie ?

La conférence sur le climat à Dubaï, la COP28 qui se termine mardi, promet d’être encore un échec, démontrant par là qu’il n’y a toujours pas de volonté politique mondiale pour affronter sérieusement l’urgence climatique. Le pétrole est tellement stratégique à notre mode de vie que nous en sommes réduits à des négociations de boutiquiers, alors que les enjeux sont colossaux, tant des changements colossaux s’annoncent, avec leurs flots de souffrances, de malheurs et de réfugiés. Où trouver la joie quand nous gagne l’impression que nous allons droit dans le mur ?

Quant au regard des siècles, l’histoire de notre Humanité n’apparaît-elle pas comme un chapelet de pestes, de famines et de guerres, dont les dernières décennies présentent un condensé terrifiant ? Des guerres, des pandémies et des catastrophes climatiques. Deux mille ans que nous chantons « Il est né le divin enfant ! ». Et, à bien regarder l’état actuel du monde, avons-nous eu raison tout ce temps d’espérer la joie ? L’État de l’Église, désormais si vide, dont l’espérance ne parle plus à beaucoup de nos concitoyens, n’est-il pas un démenti à la joie que nous revendiquons ?

Où est la joie ? Quelle sera, cette année, la joie à Noël ? Celle d’un généreux repas de famille où l’on aura fait taire un court instant les médias qui nous inondent de catastrophes, de guerres et de souffrance ? Où trouver aujourd’hui la joie ?

Notez qu’à l’époque de Jean le Baptiste, ce n’est pas non plus la joie. L’occupation romaine est militairement violente et économiquement rude. Les élites juives auxquelles Jean appartient sont corrompues. Il renonce à une carrière toute tracée de prêtre au Temple de Jérusalem et va au Jourdain, pour crier que le peuple est actuellement au désert, qu’Israël a perdu son statut de Terre promise, de pays où Dieu règne – un peu comme le monde d’aujourd’hui. L’angoisse à l’époque est telle que les gens espèrent partout l’arrivée d’un libérateur, d’un Messie. C’est le propos de l’Évangile que nous venons de lire.

J’ai eu l’occasion, dans l’homélie pour le premier dimanche de l’Avent, de rappeler que le cycle de la Nativité que nous célébrons ne s’arrêtait pas à Noël, mais à l’Épiphanie qui célèbre la manifestation de Dieu au monde. Noël célèbre l’intime de la naissance du Christ ; l’Épiphanie sa reconnaissance par les hommes.

J’ai pu rappeler aussi, dimanche passé que, par le baptême, Jean proclame que la nouvelle Terre promise, le nouveau Temple où Dieu veut vivre, c’est désormais notre corps. Et que chaque traversée du désert, dans la mesure où nous la percevons comme un chemin vers cette présence intérieure de Dieu, est une route qui s’aplanit de joie. Dans les déserts arides de nos vies, notre âme parfois ténébreuse et encombrée peut toujours être une petite mangeoire où le Christ vient au monde. La véritable célébration de Noël ne peut se faire qu’en nous. C’est dans notre âme, au fond de notre cœur que se trouve la véritable joie de Noël, celle de la rencontre intime de Dieu avec l’Humanité. Et c’est de notre âme, à travers les élans de notre cœur que Dieu peut se manifester au monde aujourd’hui. Il ne s’agit pas tant de célébrer Noël que notre Noël ; l’Épiphanie que notre Épiphanie – Dieu qui naît et se rend visible aujourd’hui à travers nous.

Il n’y que la rencontre intime avec Dieu, qui procure la véritable joie, celle qui se maintient malgré les épreuves. Et il n’y a que la puissance de l’Esprit d’amour de Dieu qui nous permet d’affronter tous les défis du monde et même la mort. Relisez la première lecture, du Livre d’Isaïe, qui résume si bien cette joie, cette épiphanie de nos vies qui survient de la rencontre intime avec le Christ : « L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé. » « Je tressaille de joie dans le Seigneur, mon âme exulte en mon Dieu. » Ils sont pourtant au désert, loin de tout réconfort, comme le Christ qui naît seul dans la nuit.

De même Marie, dont nous venons de rechanter le Magnificat, qui crie sa joie alors qu’elle se trouve enceinte d’une grossesse inexpliquée qui pourrait lui valoir la lapidation. C’est cette joie plus profonde que toute crainte que nous cherchons. Et Noël c’est quand elle surgit en nous. Et c’est l’Épiphanie quand elle surgit à travers nous.

Enfin, dans la Première lettre à Timothée, Paul nous donne de précieux conseils pour maintenir en nous cette joie. Je vais ressortir celui qui me semble essentiel : « N’éteignez pas l’Esprit ! » Si l’Église recommande tant de se prémunir du péché, c’est parce qu’il étouffe en nous la voix de l’Esprit Saint, et donc la voix de l’amour divin qui s’incarne, et donc la voix de l’espérance et donc la joie. Il y a aujourd’hui face aux maux du monde des chrétiens désespérés, ce sont ceux qui ont laissé les maux du monde étouffer en eux l’Esprit d’amour divin qui veut naître, l’Esprit de Noël, l’Esprit de toute Épiphanie.

Si nous croyons vraiment que le Christ a triomphé de la mort et si nous croyons tout autant que l’Esprit de Dieu veut vivre en nous, alors, quels que soient les aléas de la vie, les vicissitudes du monde ou les cataclysmes qui se présentent à nous, nous savons qu’en notre âme, si nous la déblayons de tout ce qui l’assombrit et l’encombre, se trouve l’Esprit d’un petit enfant qui rayonne de la pure joie d’aimer et qui a la prétention de sauver le monde à mesure qu’il s’incarne en nous. C’est le corps à corps de nos vies avec le Christ naissant qui procure au cœur la vraie joie.

Seigneur fais de nos vies, un Noël et une Épiphanie concrets, où ton Esprit s’incarne et rayonne sur le monde. Car il a tant besoin de ta joie …

— Fr. Laurent Mathelot OP

Possibilité de s’abonner.

https://resurgences.be/

Qui écoutes-tu: LE Bon Berger ou UN berger mercenaire.

Nous ne sommes pas des numéros. Chacun a du prix aux yeux de Dieu. Le Bon Berger nous appelle par notre nom. Il souhaite nous délivrer et nous donner la VRAIE VIE, en nous serrant contre son Cœur. Une belle expérience à faire.

Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. https://www.aelf.org/bible/Is/43

Le pape François ordonne et console des bergers : les nouveaux prêtres.


https://fr.zenit.org/2021/04/25/le-sacerdoce-ministeriel-est-un-service-du-peuple-de-dieu-traduction-complete/

Le diable entre « par les poches ». Pensez à ça. Soyez pauvres, comme est pauvre le peuple de Dieu saint et fidèle. Des pauvres qui aiment les pauvres. Ne soyez pas des arrivistes. La « carrière ecclésiastique »… Alors tu deviens un fonctionnaire, et quand un prêtre commence à faire l’entrepreneur, que ce soit de la paroisse ou du collège…, où que ce soit, il perd cette proximité avec le peuple, il perd cette pauvreté qui le rend semblable au Christ pauvre et crucifié, et il devient l’entrepreneur, le prêtre entrepreneur et non le serviteur. (Pape François)

A quel berger, à quel guide se fier? Discernons.

Vigilance: Des brebis galeuses, il y en a partout. Prenons garde.

Vigilance: « L’Arabie Saoudite a déjà débloqué 4O milliards d’euros pour exporter sa pensée religieuse. » Hicham Abdel Gawad

Jésus-Christ a prouvé son amour. C’est par son sang versé qu’il nous a arrachés au pouvoir des ténèbres et c’est aussi par le don d’eux-mêmes que les chrétiens continuent à le suivre et à croître.

Jean 10 : 11-12 Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur.  https://www.aelf.org/bible/Jn/10

Ecouter Jean 10 10 :  Bible audio. https://emcitv.com/bible/audio/jean.html

En pensant à l’actualité. A Rambouillet, un terroriste assassine une fonctionnaire de police.

Prions pour que la voix du Bon Berger se fasse entendre là où il y a de la haine. Qui suit Jésus ne commet pas de crime. Qui suit Jésus préfère donner sa vie plutôt qu’enlever celle de l’autre.

Chant oriental chrétien magnifique.

C’est grâce aux Jésuites que le Bon Berger a fait son entrée en Corée.


C’est par les ouvrages des jésuites publiés en Chine que le christianisme est introduit en Corée, sans aucune aide des missionnaires étrangers. Répandre la Parole de Dieu a suffi. le Bon Berger nous envoie partout dans le monde tels de petits bergers à la recherche de la brebis souffrante. https://fr.wikipedia.org/wiki/Christianisme_en_Cor%C3%A9e_du_Sud

En Corée du Sud, le nombre de catholiques a triplé en trente ans.

29 Ma parole n’est-elle pas comme un feu – oracle du Seigneur –, comme un marteau qui fracasse le roc ?

https://www.aelf.org/bible/Jr/23

Merci à Dieu pour Hicham Abdel Gawad, un guide pour la jeunesse en recherche.

Ce Français issu d’une banlieue parisienne fut tenté par le terrorisme islamique. Devenu professeur, il met en garde la jeunesse musulmane.

https://dominicains.tv/fr/348-hicham-1

Cathobel Journal Dimanche 25 avril 2021

« On n’a pas de pétrole mais on a des idées. »

Pour transmettre le message du Bon Berger, nous avons mieux que l’argent du pétrole. Nous avons l’Esprit Saint qui jaillit des cœurs ouverts! Il nous est donné à profusion si nous le lui demandons avec persévérance. L’Esprit Saint est une force universelle, tel le vent, capable de déplacer des montagnes. « Tout est possible à celui qui croit » (et qui croît).

Chrétiens, faisons connaitre le bon Berger dont le message est universel! C’est URGENT !

Jésus nous relève, quelque soit notre origine. Tous les moyens sont bons du moment où l’on respecte l’autre. La joie, la joie est un ingrédient indispensable à l’évangélisation. Ne jamais forcer! AIMER! Soigner les malades, enseigner, … faire le bien, quoi!

You Raise Me Up Martin Hurkens in China’s city of Liuzhou (中国柳州市)

https://www.youtube.com/watch?v=GaVEFw8waZ8&ab_channel=333shouichi

https://www.cathobel.be/2021/03/opinion-le-cri-dun-pretre-pasteur-dames/

Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, … (R.Devillers, dominicain)

Le siècle dernier a vu paraître les plus ignobles spécimens de ces hommes qui prétendaient être « le guide », « le petit père des peuples », « le grand timonier », « le Führer » et qui fascinaient les masses crédules par leur éloquence enflammée, leurs promesses mensongères. Staline, Hitler, Mao, Pol Pot promettaient bonheur et vie et ils ont causé la mort, dit-on, de plus de 75 millions de leurs compatriotes.

Et que dire du système actuel du capitalisme sans limites, avec l’exploitation des misérables, la destruction des ressources, l’élimination d’espèces animales ? De combien de victimes se paient l’enrichissement et le confort de certains pays ? Les paradis fiscaux des uns jettent des masses silencieuses dans les enfers des tropiques.

En contradiction totale avec cette idolâtrie mortelle, Jésus affirme qu’il défend les siens jusqu’à accepter de mourir pour eux. Et il le prouve.

L’Evangile ne supprime pas les différences.

L’Évangile est par essence universel, œcuménique. Il ne supprime pas les différences, il laisse chaque « enclos » exprimer et chanter sa foi à sa manière, selon sa culture. Qu’ils soient juifs, chinois, congolais, mexicains, canadiens, tous ceux qui écoutent la Voix de Jésus et le suivent sont frères et sœurs. Toute rivalité entre eux est interdite, toute scission arrête la course de l’Évangile.

Nous sommes tristes de voir tant de jeunes appelés par les slogans menteurs, séduits par les maîtres du mensonge et des tyrans qui les entraînent à la drogue, au désastre, à la guerre, à la mort.

Sollicitons l’aide du Bon Berger pour nous relever.

En prenant chair en Marie, Dieu a partagé notre condition humaine. Il reste à jamais à nos côtés. Le Renouveau Charismatique est un puissant levier entre les mains du Bon Berger.

SAINT-NICOLAS DES CHAMPS

Nombreuses guérisons miraculeuses à Paris – Église St Nicolas des Champs

Sollicitons l’aide du Bon Berger pour un grand CoronaReset.

Ce Jésus est la pierre méprisée de vous, les bâtisseurs,
mais devenue la pierre d’angle.
En nul autre que lui, il n’y a de salut,
car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes,
qui puisse nous sauver. https://www.aelf.org/2021-04-25/romain/messe

20 apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde.  https://www.aelf.org/bible/Mt/28

« Il s’agit d’une demande a-partisane, et a-dogmatique. Une réflexion simple et basée sur le bon sens, car pour résister, nous avons aussi besoin d’espérer. Et cet espoir ne réside pas en un retour vers l’état préexistant de nos sociétés, mais dans celui d’un saut de paradigme que tellement de philosophes, économistes, écologues, sociologues, appellent de leurs vœux depuis des années. La crise sanitaire sera difficile à gérer, mais elle devra l’être au même titre que les crises sociales et environnementales. »

https://www.cathobel.be/2020/04/corona-reset-redemarrer-autrement/

« Baptisez plus vite » Pape François.

Passage biblique :

https://www.aelf.org/2021-04-22/romain/messe

Prions . Cantiques/prières.

Clin Dieu

Bénis le Seigneur, ô mon Âme

Chanson tunisienne chrétienne « Sid el Masih »

Il est l’Agneau et le Pasteur

Glorious – Mon berger (Alléluia)

EXO – Digne es tu [avec paroles]

Jésus, Agneau de Dieu

Here I Am Lord w/ Lyrics

Vivre l’Alliance avec Dieu, c’est possible pour tous.  Dieu te dit :« Me voici !» Vas-tu lui répondre : « Me voici. »

SUPPLEMENTS :

Jésus-Christ appelle chacun par son nom, comme en témoigne l’abbé Pierre Trevet.

Paraboles d’un curé de campagne : Jésus.

Deux dangers de l’image du berger. (R. Devillers)

Le premier est la mièvrerie. Des images pieuses donnent encore une représentation en tons de pastel du « Doux Jésus » caressant un agneau mignon. Insupportable ! Le métier de berger, en ce temps-là et en ces pays, était rude, pénible, dangereux même. Rareté des herbages, manque de précipitations, sources taries, chaleur, soin des animaux blessés, recherche des bêtes égarées… Sans compter la menace des voleurs et le péril des prédateurs. La vie chrétienne n’est pas « un long fleuve tranquille ».

Le second est celui de l’aliénation. En nous faisant chanter « Le Seigneur est mon berger » et en parlant de sa « pastorale », l’Eglise peut hérisser certains. Serions-nous des moutons de panurge, embrigadés dans un système de croyances et de rites et tenus de suivre à la lettre tous les règlements ?

Au contraire personne n’est plus libre que le croyant. Jésus dit qu’il « « appelle chacun par son nom ». La foi est réponse libre, vocation personnelle. Les moutons de panurge sont plutôt les gogos matraqués par les slogans publicitaires, hypnotisés par les spectacles, esclaves des modes. (Raphaël Devillers, dominicain)

Nous sommes des pierres vivantes.

Les pierres sont taillées de manière à s’autobloquer l’une l’autre. … Si vous n’avez que mépris pour les autres vous êtes en train de devenir un pierre morte.

https://www.ktotv.com/video/00340783/pierres-vivantes-quesaco

« Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups » : Multiplions les neuvaines de prière pour les personnes les plus exposées à la persécution.

Yalla ! En avant avec les immigrés !

 ch23 Berger https://aveclesimmigres.wordpress.com/2012/12/31/33/

Charles de Foucauld.

Charles de Foucauld : « Il voulait en définitive être le frère universel. Mais c’est seulement en s’identifiant avec les derniers qu’il est parvenu à devenir le frère de tous. Que Dieu inspire ce rêve à chacun d’entre nous. Amen ! » (page 62) https://www.diocese49.org/201201charles-de-foucauld-et-les-musulmans

https://fr.aleteia.org/2015/12/01/charles-de-foucauld-frere-universel/

Togo: Le combat de sœur Marie Stella. A soutenir financièrement !

A la tête de l’ONG Vivre dans l’Espérance, sœur Marie Stella lutte depuis plus de deux décennies aux côtés de plus faibles contre la pandémie du Sida dans la région du Nord-Togo. Cette infirmière formée en Belgique a affronté de nombreux obstacles et doit actuellement faire face aux conséquences sanitaires et économiques de la crise globale liée au Covid-19 (p. 10-11)

https://www.cathobel.be/2021/04/sommaire-du-journal-dimanche-n17-du-25-avril-2021/

Jésus touche un lépreux et le guérit.

39 Et il prêchait dans leurs synagogues par toute la Galilée et chassait les démons. 40 Un lépreux vint à lui et, se jetant à genoux, lui dit en suppliant : « Si tu le veux, tu peux me rendre pur. » 41 Rempli de compassion, Jésus tendit la main, le toucha et dit : « Je le veux, sois pur. » 42 Aussitôt la lèpre le quitta et il fut purifié. (Marc 1 :39-45)

152. Guérison d’un lépreux (Lc 5, 12-16) Michel-Marie Zanotti-Sorkine 

Jésus purifie un lépreux

Fr. Raphaël Devillers, dominicain.

Jésus a refusé le projet de Simon-Pierre de s’installer dans sa maison de Capharnaüm car les habitants ne venaient à lui que pour obtenir les guérisons de leurs malades. Et surtout parce qu’il avait mission de porter l’Évangile partout. Il s’est donc remis en route afin de proclamer la Parole dans toute la Galilée. De cette tournée, Marc ne rapporte qu’un unique épisode.

La purification du lépreux

Un lépreux vient vers lui, il le supplie et tombe à genoux en lui disant : « Si tu veux, tu peux me purifier ». Bouleversé de compassion, il étendit la main, le toucha et lui dit : « Je veux : sois purifié ». Aussitôt la lèpre sortit de lui et il fut purifié.

Le terrible fléau de la lèpre provoquait partout une peur panique pour les dégâts qu’il causait, la quasi impossibilité de le guérir et sa redoutable contagiosité. Dès qu’un malade était signalé, il était impitoyablement rejeté de sa famille et de la société et il devait, seulement avec des compagnons d’infortune, se tenir strictement à l’écart de tout contact. En chemin, il devait se tenir à distance, signaler son état et porter un voile sur le visage. Il y avait bien des sorciers qui proposaient des potions magiques et exécutaient des rites bizarres pour chasser les démons. Avec peu d’effet sauf de vider les portefeuilles.

Un de ces misérables a probablement entendu parler de ce nouveau guérisseur de Capharnaüm et, de loin, genoux à terre, il lance un appel où il exprime sa foi en la puissance de Jésus : « Tu peux ! ». Le mot « pitié » rend trop faiblement la réaction de celui-ci : le verbe – qui vient d’un mot hébreu qui désigne la matrice – exprime un bouleversement de tout l’être et est toujours, dans les évangiles, réservé à Dieu ou Jésus. Devant la désintégration de l’image de Dieu, les ravages du mal et le malheur insondable de l’homme exclu de la communauté, Jésus est empoigné de souffrance.

Et, geste tout à fait inouï, c’est lui qui s’approche de l’homme agenouillé et le touche ! « Je veux : sois purifié ». A l’instant la puissance maléfique qui le rongeait à mort est chassée. Quel que soit l’abîme du mal dans lequel l’homme est tombé, s’il supplie, s’il croit, le contact et la parole de Jésus peuvent l’en délivrer.

De façon très virulente Jésus le renvoya aussitôt et lui dit : « Veille à ne rien dire à personne mais va te montrer au prêtre et offre pour ta purification ce que Moïse a prescrit. Ce sera un témoignage pour eux. »

On imagine la stupeur, la joie folle qui envahit l’homme ! Aussi Jésus, pressentant qu’il va dare-dare s’encourir partout pour clamer la nouvelle de son incroyable guérison, l’apostrophe avec sévérité : Ne dis à personne que c’est moi qui t’ai guéri car on va à nouveau me confondre avec un guérisseur, un faiseur de miracles et on claironnera que je suis le Messie. L’urgence, c’est que tu te rendes au Temple de Jérusalem et que tu observes tout ce que la Loi prescrit afin que ta purification soit homologuée et que tu puisses réintégrer la vie sociale. ( cf. Lévitique 14)

« Ce sera un témoignage pour eux ». Le prêtre de service va effectivement pouvoir constater la purification de l’homme mais celui-ci va « témoigner » de son auteur et de la façon dont il a agi : ce Jésus de Nazareth qui, dit-on, circule à travers la Galilée en opérant des guérisons et qui a osé « s’approcher d’un lépreux et le toucher » ! Ce que la Loi interdit absolument.

Mais, une fois parti, il se mit à proclamer beaucoup et à répandre la parole si bien que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville et il était dehors dans des endroits déserts. Et on venait à lui de partout.

Marc ne raconte pas ce passage nécessaire de l’ancien lépreux au Temple : au contraire il le montre presque comme un nouveau disciple qui, comme Jésus, « proclame et répand la Parole ». Cela laisse sous-entendre que désormais le témoignage rendu à Jésus compte davantage que l’observance des rites légaux.

Mais évidemment ce que les foules retiennent de la prédication de l’homme, c’est son bonheur éclatant d’avoir été purifié de sa lèpre. A nouveau, comme depuis les débuts à Capharnaüm, la renommée de Jésus est celle d’un thérapeute extraordinaire qui agit d’un mot, sans potions ni gesticulations ni sans demander de rétribution !…La rumeur se confirme : ne serait-il pas le Messie pour agir de la sorte ?…A nouveau Jésus est enfermé dans une fausse réputation. Pour s’en libérer il décide de ne plus entrer dans les villages où les foules l’assaillent de demandes de guérison, et il en est réduit à demeurer dans les campagnes. Mais où qu’il aille, on revient le harceler.

Les menaces contre Jésus

Nous arrêtons aujourd’hui la lecture de l’évangile de Marc puisque mercredi prochain, avec les Cendres, nous entrerons en carême et la liturgie nous fera entendre les lectures habituelles pour nous conduire à la Croix et à la Résurrection pascale.

Cependant, là où nous sommes arrivés, Marc nous montrait déjà comment les guérisons vont très vite attirer les pires menaces sur Jésus de la part des autorités religieuses. Dans une synagogue, un jour de sabbat, Jésus guérit un homme qui avait une main paralysée :

« A la sortie, Pharisiens et Hérodiens tiennent conseil contre Jésus en vue de le faire périr » (3, 6).

Quant aux prêtres du temple qui ont reçu le témoignage du lépreux purifié, ils ont immédiatement envoyé une petite délégation de scribes spécialistes afin d’enquêter sur cet inconnu qui opère des guérisons de façon très louche et suscite une effervescence messianique dangereuse.

« Et les scribes qui étaient descendus de Jérusalem disaient : « Il a Béelzéboul en lui ; c’est par le chef des démons qu’il chasse les démons » (3, 22)

Ainsi ce sont les multiples bienfaits de Jésus qui vont attiser la méfiance et exciter la haine.

Réflexions

Évident : il est impératif d’observer les gestes barrières afin d’endiguer la pandémie.


Aumôniers d’hôpitaux : le soin des âmes

Mais une immense solitude est en train de ravager des milliers et des milliers de vies, notamment celles des jeunes et de personnes âgées enfermées. Où sont, dans notre société moderne, les nouveaux « lépreux », les personnes « parquées », privées de contact ? Quelles possibilités avons-nous malgré tout d’entretenir quelques relations ?…

Les émigrés secoués sur les flots de la Méditerranée et interdits d’accostage sur la vieille Europe (de civilisation chrétienne, dit-on) sont-ils nos lépreux d’aujourd’hui ?

Association Lazare

L’Église ne bute-t-elle pas sur le même malentendu que Jésus ? On admire ses grandes figures (abbé Pierre, Joseph Wresinsky, mère Térésa, Sr Emmanuel…..) qui « font des miracles » de dévouement pour nourrir, couvrir, soigner les pauvres…Mais on refuse de l’écouter quand elle annonce l’Évangile des Béatitudes, quand elle appelle à la conversion des mœurs, quand elle dénonce les perversions, les trafics financiers et autres turpitudes.

Quelle est le rapport entre « guérir » et « sauver » ?….Entre la philanthropie et l’Évangile ?

Comment se sont comportés les handicapés et les malades guéris par Jésus ? Devenus sains , ont-ils essayé d’être saints ? Un bon cœur pour le cardiologue est-il un bon cœur pour Jésus ?

Mais d’autre part comment se conduisent à l’égard des malades et des pauvres tous ceux qui se disent chrétiens ? Pourquoi les spécialistes religieux (scribes, pharisiens, prêtres) ne se sont-ils pas réjouis devant les hommes guéris par Jésus ?

Décidément nous n’aurons jamais fini de nous laisser interpeler par l’Évangile. Joie d’être titillés par la Parole qui nous bouscule afin de nous faire vivre davantage.

Fr. Raphaël Devillers, dominicain.

« Une immense solitude est en train de ravager des milliers et des milliers de vies »

Nos dirigeants  oublient-ils que l’être humain, ce n’est pas seulement un corps, mais aussi un esprit et une âme dont il faut prendre soin au risque qu’il bascule dans le désespoir et la folie?

Gestion de la crise du coronavirus : Communication et psychologie

« Est-ce que l’on peut convoquer autre chose que la mort, le désespoir ou la peur ? » Jean Van Hemelrijk, professeur de psychologie à l’ULB interroge le Premier ministre sur la communication employée durant la crise et ses conséquences.

CLIQUER SUR LE LIEN: https://www.facebook.com/rtbf/videos/767526653866185

Aumôniers d’hôpitaux : le soin des âmes

https://www.ktotv.com/video/00332188/hors-les-murs-du-12-fevrier-2021

Voir en fin de vidéo comment le confinement nuit à la santé psychique. Le nombre des malades a augmenté: « C’est une épidémie au sein de l’épidémie. »

La Parole guérit et sauve ! Parents, éducateurs, prenons nos responsabilités.

« La parole de Dieu est vivante et source d’énergie. »  Aidons les (petits-) enfants à se familiariser avec elle. Des sites nous y aident vraiment.

https://www.youtube.com/user/BibleTube

https://www.facebook.com/Bourlers/videos/247493916941839

https://www.facebook.com/Bourlers/videos/247493916941839

https://topbible.topchretien.com/marc/S21/

Nos énergies et grâces reçues se partagent et forment un réseau.

« Nous sommes un peuple en marche. La dimension communautaire est importante ». Mgr Derville

« Chaque fois que je trouve un homme enchaîné, c’est notre image qui est bafouée. »https://allez-yalla.com/index.php/2020/07/


CANTIQUES

Glorious La guérison

Ouvre mes yeux Seigneur ! Un chant de l’ Emmanuel

Je te cherche Dieu.

Voici ton Sauveur qui vient. Frère Raphaël Devillers

Voici ton Sauveur qui vient.

photo google
(Isaïe 62)

La sinistre pandémie n’a pu être endiguée à temps pour nous permettre de déployer tous les fastes de ce que l’on appelle maintenant « la magie de Noël ». Lourdes peines pour les aînés privés de visites, tristesse pour les familles empêchées de se réjouir à la même table, gros soucis financiers pour les commerçants obligés à la fermeture, désarroi des artistes dans des salles vides. Toute crise bouscule, cause des dégâts mais donne aussi l’occasion de réfléchir. Il ne faut pas se tromper de fête.

Puisque « Noël » dérive du mot latin « natalis – dies », jour de la naissance, de qui donc nos villes en pleine effervescence fêtaient-elles l’arrivée dans le monde ? La réponse est flagrante : au fil des dernières années, on a vu peu à peu se vider les églises et disparaître les crèches représentant la scène de Bethléem pour voir surgir l’omniprésent, le rubicond, le jovial, le cocacolagène « père Noël ». C’est lui le bien-venu.

Le gros malin a réussi à s’attribuer le nom de la fête. L’Évangile nous racontait la naissance d’un fils : le monde préfère un père, et même un brave vieux grand-père. Que Dieu vienne dans l’être le plus fragile, le plus vulnérable, le monde repousse ce qu’il appelle un « mythe » et il accueille un vieux richard, au nez rouge, qui surgit et distribue les cadeaux les plus mirifiques. A condition d’avoir des fonds !

L’Évangile nous faisait le plus merveilleux cadeau : un Dieu qui se fait la faiblesse incarnée pour que nous devenions adultes et empoignions nos responsabilités pour le laisser grandir et le sauver de l’oubli. Les hommes ont préféré rester des enfants aux yeux écarquillés par les étalages, éblouis devant un sapin illuminé, manipulés par la pub’, enchantés de recevoir de nouveaux jouets.

L’Évangile nous montrait un jeune couple fraîchement marié, un artisan de village et une jeune femme enceinte. Au lieu d’attendre l’heureux événement au milieu de leurs parents, un édit impérial les avait obligés à prendre la route, à descendre en Judée, à plus de 100 km. Et le moment venu, par manque d’argent, Marie avait dû accoucher dans une étable, comme d’ailleurs beaucoup de misérables.

Des migrants, des pauvres sans ressources qu’il va falloir accueillir et aider : la scène est poétique quand elle se joue avec des santons peinturlurés mais dans le réel ? Le monde ne supporte pas que des émigrés, des affamés lui gâchent sa fête de Noël : les braiments du bourricot pourraient gâcher la mélodie sirupeuse de « White Christmas ».

Garder et méditer les événements

Marie, épuisée, contemple son enfant enveloppé d’un linge, endormi sur la paille d’une mangeoire. Et elle a la surprise d’avoir la visite de quelques gamins pouilleux, des gardiens de moutons. L’étable devient le lieu des veilleurs, des vigilants, de ceux qui sont au centre de l’histoire tandis que tout autour, aveuglés par la cupidité, l’ambition, la violence, la folie des divertissements et des voyages, les hommes continuent à jouer la comédie humaine. Il n’y a rien de magique dans le véritable Noêl.

Tout s’est passé tellement vite. Marie se rappelle : le mariage, l’annonce de l’ange, la visite chez Élisabeth, le dur voyage. « Tu auras un fils, il aura le trône de David, il sera roi pour toujours, on l’appellera fils de Dieu ». Cette promesse semble tellement démentie par la situation : le déracinement, une étable, la paille…Mais mon enfant est né dans le village de David ; à Bethléem, qui signifie « la maison du pain » ; et il dort dans une « mangeoire ». Que signifie tout cela ? « Je suis la servante du Seigneur. Que tout m’arrive selon ta parole ».

L’évangéliste Luc spécifie l’activité capitale de Marie : « Elle retenait tous ces événements et les méditait dans son cœur ». Celui qui s’engage à servir Dieu n’exige pas de programme : au jour le jour il sert, il se donne tout entier à la réalisation de la volonté de Dieu. Il peut être surpris, anxieux, désarçonné : qu’il cherche à interpréter les événements qui se succèdent. Qu’il sache que Jésus est né dans. son cœur, qu’il ne doit pas l’abandonner, que sa mission est d’apporter le Sauveur à un monde terrifié par les guerres, le réchauffement climatique, l’expansion du covid.

La foi chrétienne n’est pas une impression volatile, une piété avide de merveilleux, un souci du ciel qui entraîne à la résignation en ce monde. Elle est marche inlassable sur un sentier ardu, barque dans la tempête. Mais elle comble de la joie d’être un homme libre, un enfant né du vrai Père.

Frère Raphaël Devillers, dominicain


CANTIQUES

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JOYEUX NOËL!