À Noël, nombreux sont ceux qui ressentent la chaleur d’être proches des membres de leur famille et de leurs amis. Malheureusement, tout le monde ne connaît pas ce bonheur. Les personnes âgées qui n’ont pas de relations, les jeunes qui grandissent dans la pauvreté, les personnes qui vivent dans la rue, ressentent d’autant plus le froid des difficultés et de la solitude.
Sant’Egidio s’occupe des plus vulnérables tout au long de l’année. En particulier à Noël, nous n’oublions pas nos amis. Chacun reçoit une invitation personnelle à l’une des nombreuses fêtes de Noël et ne la quitte pas sans un cadeau. Des fêtes de Noël sont organisées, avec les amis de la rue à Kamiano Bruxelles et Liège, des fêtes avec les personnes âgées à Bruxelles et Liège, mais aussi avec des réfugiés et des personnes vulnérables de toutes sortes.
Sant’Egidio voit de plus en plus de personnes dans le besoin. Les prix des supermarchés et du marché immobilier ont explosé ces dernières années et le nombre de conflits armés dans le monde a également augmenté. En conséquence, de plus en plus de personnes sont en proie à des difficultés psychologiques et financières et se retrouvent dans la pauvreté, dans l’isolement.
Sant’Egidio peut compter chaque année sur des bénévoles fantastiques, parce que l’union fait la force! Vous aussi, vous pouvez aider, en vous proposant comme bénévole ici, car celui qui aide, est aussi aidé. Ceux qui ressentent que des gens d’ici et d’ailleurs, avec des croyances différentes, peuvent vivre ensemble contribuent à la paix et l’harmonie dans la société. Le plus beau cadeau est l’attention que nous pouvons nous porter les uns aux autres.
Il est aussi possible de soutenir financièrement l’organisation de ces fêtes en faisant un don (déductible fiscalement) en ligne ou par virement bancaire:
– BE06 3630 6195 2122 (Solidarités au Pluriel asbl, Liège) – BE03 7320 1530 9984 (Sant’Egidio BXL Europe asbl, Bruxelles)
Attention, pour pouvoir bénéficier de la déduction, une nouvelle législation exige que le numéro national soit transmis. Il peut être indiqué en communication du versement.
Le mardi 12 novembre 2024, le livre « Prière, pauvres, paix. L’abécédaire de Sant’Egidio » (Le Cerf, 2024) a été présenté à un public varié de personnes intéressées. La rencontre s’est déroulée dans les locaux de la Commission des épiscopats d’Europe (Comece), qui avait généreusement mis ses locaux à disposition pour l’événement.
L’historien français Jean-Dominique Durand est l’auteur de ce livre dans lequel il présente la spiritualité, l’histoire, la vie de la Communauté de Sant’Egidio à travers plus de 100 termes classés par ordre alphabétique.
Quatre invités ont partagé leur expérience de lecture avec le public. Laura Rizzerio, professeur de philosophie à l’Université de Namur, a déclaré que le livre illustre bien comment une expérience de foi peut se traduire dans les actions les plus diverses et ainsi devenir une culture et servir le « bien commun ». Le journaliste de la RTBF Eddy Caekelbergs, vice-président du Centre d’Action laïque et franc-maçon, a suggéré quelques pistes de coopération entre humanistes religieux et laïques évoqués dans le livre. Le prêtre Eric De Beukelaer, vicaire général du diocèse de Liège, a rappelé quelques souvenirs personnels de ses rencontres avec Sant’Egidio et a présenté le repas de Noël avec les pauvres comme une image emblématique de la spiritualité de la communauté.
Le diplomate belge Patrick Renault, jusqu’à récemment ambassadeur auprès du Saint-Siège, a souligné, à partir de son expérience à Rome, comment, selon lui, Sant’Egidio pratique l’art de la médiation, dans un monde violent où le rétablissement de la paix est la tâche la plus importante. Enfin, l’auteur Jean-Dominique Durand a expliqué pourquoi et comment il a écrit ce livre et pourquoi il considère Sant’Egidio comme un acteur unique dans l’Eglise et dans le monde.
Le livre « Prière, pauvres, paix. L’abécédaire de Sant’Egidio » est disponible auprès de Sant’Egidio ou sur Amazon.fr.
Chaque année, Sant’Egidio propose une méditation « La Parole de Dieu chaque jour », préparée par Mgr Vincenzo Paglia.
A partir du début de l’Avent, les méditations journalières seront en ligne sur le site: www.santegidio.org.
C’est aussi une manière de découvrir ou mieux connaître la spiritualité de Sant’Egidio, qui se concrétise aussi par la mémoire de saints ou de personnes qui ont une signification particulière dans la vie de la Communauté.
The Chosen, c’est une histoire romancée de la vie de Jésus.
Grâce aux prophéties, le peuple hébreu attendait la venue d’un « Roi-Messie » qui serait « fils de David ».
Ainsi Jésus accomplit parfaitement la promesse puisque « Celui qui doit régner » (Mi 4,14) devait être « Fils de David » (2 Sa 7,5-19), « issu de Jacob » (Nb 24,17), de la tribu de Juda (Gn 49,8), de la souche de Jessé (Is 11,1). Même le Talmud reconnait que Jésus était de la descendance de David (Sanhedrin fol.43 recto) (DHES 2 page 208). Or l’Histoire n’a retenu aucun autre Messie davidique qui soit venu et depuis la fin du premier siècle, il n’y a aujourd’hui plus aucune tradition ou aucune archive du Temple qui pourrait assurer la généalogie d’un autre « Fils de David » …
Marie connaissait les prophéties car elle avait grandi dans le Temple. Oui Marie savait …
Message éclairant sur ce temps de Noël de Mgr André Dupuy – 24 décembre 2023
A Jérusalem, les chrétiens palestiniens et juifs prient ensemble pour la PAIX.
« En cette période de guerre, nous voulions nous unir en tant que disciples juifs et arabes de Jésus…. notre passion est d’orienter les gens vers le récit du salut et de trouver l’unité dans l’adoration de notre Roi Messie. »
Des artisans de paix « One for Israël » s’unissent pour faire connaitre et aimer le Prince de la Paix, la Lumière du monde : Jésus-Christ, car Lui seul peut arrêter les conflits en nous conviant à adopter les commandements qu’il nous donne : « Aimez-vous les uns les autres… Aimez vos ennemis, priez pour eux. » (Israël et Palestine, quel espoir pour la paix ? voir annexe)
01 En ces jours-là, parut un édit de l’empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre – 02 ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. – 03 Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville d’origine….
« Un trop grand nombre d’âmes ne sont pas établies dans la foi, tout simplement parce qu’elles ne savent pas, ne me connaissent pas. Avoir un pauvre souvenir d’un Dieu Homme mort sur une croix, ce n’est pas me connaître… Les églises sont-elles vides ou à moitié vides ? Qu’on entre dans les maisons ! » (2 juin 1946 – Les Cahiers)
Arrivés à Bethléem, Joseph et Marie cherchent un endroit où Jésus pourra naître. Maria Valtorta décrit ce qu’elle voit, dessin à l’appui.
Joël Kotek utilise l’expression « un territoire pour deux rêves », une vision qu’Elena Aoun désapprouve, soulignant « l’afflux de juifs européens qui sont venus supplanter une population locale. On ne peut pas parler de deux rêve équivalents puisque le rêve d’un grand Israël se fait par l’éviction d’une population qui, elle, est ancrée dans le territoire. Les Palestiniens sont en train d’être dépossédés petit à petit de leur terre ». https://www.cathobel.be/2023/12/israel-et-palestine-quel-espoir-pour-la-paix-audio/
30.11 – J’ajoute quelque chose d’autre, pour toi seule : remarque à qui se montre d’abord l’ange et qui mérite d’éprouver les sentiments affectueux de Marie. Au jeune garçon, Lévi. À qui a une âme d’enfant, Dieu se montre et montre ses mystères, il lui permet d’entendre les paroles divines et celles de Marie. Et qui a une âme d’enfant a aussi la sainte hardiesse de Lévi et dit : « Fais-moi baiser le vêtement de Jésus ». Il le dit à Marie, parce que Marie est toujours celle qui vous donne Jésus. Elle, la porteuse de l’Eucharistie, Elle le Ciboire Vivant.
Qui va à Marie me trouve. Qui me demande à Elle me reçoit par Elle. Le sourire de ma Mère, quand une créature Lui dit : « Donne-moi ton Jésus, que je l’aime » fait briller les Cieux d’une plus vive et joyeuse splendeur, tant elle en a de la joie.
Née le 14 mars 1897 à Caserte (Campanie), près de Naples, en Italie du Sud, Maria Valtorta est une mystique laïque catholique. Fille unique issue d’une famille cultivée mais modeste, elle suit des études secondaires classiques pour une fille de son époque, mais ne poursuit pas au-delà sur injonction de sa mère. Il n’en est pas de même de sa spiritualité qui se développe à la lecture de Thérèse de Lisieux et lui fait entrevoir son chemin d’abandon confiant à l’Amour miséricordieux.
En 1943, elle croit sa mort proche et l’accueille avec sérénité. Son confesseur, frappé de sa grandeur d’âme, lui demande d’écrire sa biographie, ce qu’elle fait en deux mois. C’est alors qu’elle reçoit sa première vision de la vie de Jésus en Palestine, il y a 2000 ans. Ses visions durent jusqu’en 1947, constituant un panorama précis des 1 218 jours de la vie publique de Jésus dont elle décrit un jour sur trois. C’est un descriptif minutieux et vivant complété par des scènes de l’Évangile de l’enfance, de la jeunesse de Marie et des premiers temps de l’Église. Dans le même temps, son intimité avec le Christ la rend dépositaire de leçons pour notre temps. Elle écrit 15 000 pages sur 122 cahiers d’une traite et sans rature, puis les visions qu’elle nous rapporte cessent brutalement, mais l’intimité avec Jésus demeure. Son œuvre complète, tous titres confondus, est diffusée à ce jour à plus de quatre millions de volumes dans le monde entier, dans 27 langues.
Son œuvre : « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé » est recommandé par des papes et des saints, des mystiques.
Quand on demandait à Saint Padre Pio ce qu’il en pensait, il répondait simplement… « Lisez le ! »
Mère Teresa l’emmenait dans ses déplacements avec sa Bible et son bréviaire.
Entre eux, les mystiques se comprennent. Faisons silence devant Dieu, écoutons-le.
La lumière vient dans le monde 1/4
Peut-on redécouvrir l’Évangile à l’occasion d’une révélation privée ?
Oui, c’est même fait pour cela dit l’Église dans son Catéchisme : « Le rôle des révélations privées, même reconnues, n’est pas « d’améliorer » ou de « compléter » la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire » (CEC, § 67). Même si elles n’appartiennent pas au dépôt de la Foi, elles ne doivent en aucun cas être dépréciées (le cardinal Ratzinger au sujet de Fatima) ni méprisées, dit saint Paul qui enjoint de les examiner pour les discerner et en garder le meilleur.
L’invitation à lire.
Jésus révèle à un mystique, Don Michelini [22], que l’œuvre de Maria Valtorta est appelée à un grand avenir dans « l’Église renouvelée ». L’exemple des saints qui s’en nourrirent, démontre qu’on ne peut prendre cette prophétie à la légère. Il n’y a pas d’obligation à ouvrir la première page de cette œuvre, seulement une invitation, celle d’un Pape qui refermait la vie de Jésus de Maria Valtorta en concluant : « Qui lira, comprendra. »
Prions avec la Vierge Marie pour mieux entrer dans les mystères de Dieu.
ANNEXES.
Aujourd’hui, Jésus vient encore à nous à travers la sainte Eucharistie : l’Hostie est même devenue la seule nourriture de certains mystiques. Ainsi Marthe Robin.
La paralysie progressive de ses voies digestives empêche Marthe Robin de manger et de boire. Pourtant, elle ne meurt pas. Chaque semaine, seule l’hostie qu’elle reçoit peut être avalée. La Communion devient son unique nourriture. Elle puise sa force dans l’Eucharistie.
Prières Chantées:
Tu fais ta demeure en nous, Seigneur.
VIENS SEIGNEUR JESUS
Jésus est venu dans la chair, il y a 2000 ans ; il vit aujourd’hui en nous à travers sa Parole et le Pain de Vie: son Corps; Il reviendra dans la gloire. Nous le prions avec insistance : « Viens Seigneur Jésus, ne tarde pas. »
Isaïe voit à l’avance que la violence aura une fin, grâce à la venue d’un messie persécuté, mis à mort …
Isaïe naît à Jérusalem vers 760 avant Jésus-Christ. Prophète de Dieu, il témoigne de ce qu’il a entendu. Ses propos sont confirmés par d’autres prophètes, ce qui garantit la vérité de ce qu’il a dit. Il n’a pas « imaginé » les propos qui ont été mis par écrit. (Voir annexe)
Mais où est-il donc, le Prince de la Paix ?
Les uns l’attendent encore. D’autres pensent qu’il est venu sous les traits d’un prophète violent. D’autres encore s’évadent dans des théories nouvel-âge. Enfin, depuis 2000 ans, les chrétiens témoignent que Jésus est venu en la Personne de Jésus-Christ, que son Règne est déjà au milieu de nous et qu’il n’aura pas de fin.
Sans bonnes lunettes spirituelles, on ne voit pas le Sauveur, car le monde le cache avec ses lumières aveuglantes. Depuis la naissance du Fils de Dieu, au temps d’Hérode, ses followers sont persécutés.
En fait, le Messie est présent dans la vie de ceux qui l’ont accueilli.
Il agit puissamment dans son Royaume de Paix, d’Amour. Si beaucoup de personnes l’accueillaient comme l’a fait la famille d’Elie MAALOUF, les miracles se multiplieraient et la paix viendrait rapidement. Dieu promet qu’en temps voulu il agira rapidement. Par notre foi mise en action, nourrie dans une prière assidue, nous avançons ce jour béni.
22 Le plus petit deviendra un millier, le plus chétif, une nation puissante. Moi, le Seigneur, je hâterai cela au temps voulu.
Tandis que le monde compte ses pertes financières dans la guerre en Ukraine, prions pour tous les soldats, les familles, les réfugiés qui souffrent à cause de cette guerre et toutes les guerres. Il n’y a pas de bonne guerre. On est devant un choix. Qui veut-on servir : Dieu ou l’argent.
Dans un contexte hautement troublé de guerre entre Israël et l’Assyrie, il annonce la venue d’un enfant, Emmanuel, qui saura rejeter le mal et choisir le bien…
Un réfugié me dit: -Jésus était français. Très surprise, je réponds: – Où as-tu puisé une telle information ? Il répond: – On me l’a dit !
– Hé ! Il faut t’informer ailleurs qu’auprès des copains ! lui dis-je. Tu as raison de m’en parler. Qui peut mieux parler de Jésus qu’un chrétien qui le connait parfois très intimement?
Non, Jésus n’était pas français. Il était juif ! Ses parents étaient juifs, ses amis aussi. Ils vivaient tous en Galilée. Jésus est descendant de David, de la tribu de Juda. Il est né à Bethléem, il a vécu à Nazareth et il est mort et ressuscité à Jérusalem. La Palestine est le berceau du peuple juif et donc forcément aussi du peuple chrétien.
Quant au berceau de l’islam, c’est l’Arabie Saoudite: La Mecque, Médine. Cependant, Mahomet a été en contact avec des juifs et des chrétiens lors des voyages commerciaux qu’il a faits avec son oncle jusqu’en Syrie. C’est ainsi qu’il a pu entendre parler du Dieu unique dès avant la révélation du Coran.C’est en 610 que les Arabes musulmans ont conquis Jérusalem. C’est en 1453 que les Turcs ottomans, de religion musulmane, ont conquis Constantinople, capitale d’un empire chrétien, (appelé empire byzantin ou empire romain d’Orient) qu’ils ont rebaptisée Istanbul.
Jésus l’enquête. Film réalisé à partir d’une histoire vraie.
Comme au temps d’ Abraham, Moïse, Mahomet …, les déplacements de population continuent.
Les métissages sont donc « normaux » et enrichissent l’humanité. Dès lors, il conviendrait d’apprendre à VIVRE ENSEMBLE.
D’ailleurs, dans le plan de Dieu, ne sommes-nous pas tous frères et sœurs, fils et filles du Très-Haut, appelés à nous AIMER! https://www.aelf.org/bible/mt/23Verset 08.
Fiers de leurs origines, ils acceptent un test ADN
Jésus SAUVEUR donne de la SAVEUR à la vie. Allons à la rencontre de quelques témoins.
✥ MYRIAM, petite réfugiée irakienne, chante pour Jésus. ✥
Merveilleux conte de Noël. « M’entendront-ils? »
« En s’incarnant, Dieu fait de nous ses enfants. » Pape François
Et à travers cette naissance, «Dieu vient au monde comme fils pour
nous rendre fils de Dieu». «Dieu dit à chacun de nous : “Tu es une
merveille” . Sœur, frère, ne perd pas courage. As-tu la tentation de te
sentir fautif ? Dieu te dit : « Non tu es mon fils! » As-tu
la sensation de ne pas y arriver, la crainte d’être inadapté, la peur de ne pas
sortir du tunnel de l’épreuve ? Dieu te dit : “Courage, je suis
avec toi”. Il ne te le dit pas en paroles, mais en se faisant fils comme toi et
pour toi, pour te rappeler le point de départ de toute renaissance: te
reconnaître fils de Dieu, fille de Dieu. »
Nuit de Noël 2020 – Message du pape François lors de la Sainte Messe. https://www.youtube.com/watch?v=bqVNIY7S9fc&t=73s&ab_channel=ballantbernadette
Philippe Guillard, illuminé la nuit de Noël.
Philippe Guillard était athée. Il raconte sa conversion foudroyante un soir de Noël dans l’émission : « Un coeur qui écoute » à l’instar de son livre « Et le ciel s’est ouvert » (ed. des Béatitudes).
Il a reçu l’éblouissante révélation de l’Enfant-Jésus déposé en son coeur par Marie. Il dit aussi la réalité éblouissante de l’amour de Dieu et à quel point l’Evangile dit tout de nous-mêmes et de notre Père. Sa vie en a été profondément bouleversée et son sourire est le signe de cette joie qui est désormais sienne.
Une fillette dit à sa maman: -Je voudrais te parler mais je n’ose pas.
Après hésitation la fillette raconte : -Je trouve que papa travaille trop, il n’est jamais avec nous.
Sa maman répond: -Tu as raison de le dire, mais, pour Noël, tu vas le voir beaucoup, ton papa. On reste chez nous. On ne part pas. On va pouvoir se parler et faire une grande fête entre nous. Nous ferons un bon repas et on fera des jeux de société. Et je vous lirai la belle histoire de Noël, la vraie histoire.
Toute heureuse la petite dit : –On ne fait pas Noël cette année, mais on sera tous ensemble !
–Si ! On fait Noël ! Mais on le fait autrement que les années précédentes. On fête Noël chez nous !
Saïd Oujibou.
Saïd Oujibou, né au Maroc, arrivé enfant en
France avec sa famille, était un musulman très pratiquant. Vivant dans un
quartier violent, subissant aussi le racisme, il devient de plus en plus
rigoriste et rêve de donner sa vie à Allah au cours d’un djihad, peut-être en
Afghanistan contre les Soviétiques. Or, sa sœur devient chrétienne, et lui-même
prend conscience que sa pratique religieuse ne lui permet pas de connaître
intimement Dieu qu’il aime pourtant de tout son cœur. Dieu, Jésus-Christ, va se
révéler dans sa vie…
Message de Noël de Mgr de Romanet, évêque aux armées françaises.
Jésus est venu dans un pays opprimé par une armée
étrangère.
Jésus s’identifie toujours au plus petit, au plus pauvre, à la personne persécutée, mise de côté. Il nous invite à le reconnaitre en chaque personne et à prendre soin les uns des autres.
35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli https://www.aelf.org/bible/Mt/25
Arrivée de réfugiés par un couloir humanitaire. Ça c’est humain ! Et rassurant! Tout le monde n’obtient pas le permis de quitter son pays. Les personnes « compliquées » restent chez elles. Merci Sant’Egidio.
IRAK : témoignage de Maryam. Aide à l’Eglise en Détresse AED
Aujourd’hui, Maryam habite à Erbil
dans l’un des villages en préfabriqués que l’AED a contribué à construire pour
loger des milliers de réfugiés. Elle va aussi dans l’une des écoles construites
par l’AED. Dans cette vidéo inédite, elle nous explique son quotidien, et à
quel point elle est heureuse d’aller à l’école. Pour faire un don :
www.aed-france.org
Les origines du peuple hébreu ( = le peuple d’Israël) et donc du peuple juif remontent à Abraham qui quitte son pays (Ur, en Chaldée = la Mésopotamie = l’Irak) vers le pays que le Seigneur lui indiquera, le pays de Canaan. Après Abraham, suivent Isaac, Jacob, les douze fils de Jacob… et c’est l’esclavage en Egypte. Puis l’Exode, la traversée de la Mer Rouge, du désert et le retour au pays de Canaan.
Le peuple d’Israël, constitué des Douze Tribus, après la période des Juges, obtient du Seigneur que la Royauté soit conférée à Saül puis à David. Peu après, le Royaume d’Israël se divise en deux: le Royaume de Juda (avec Jérusalem pour capitale et seulement deux tribus) et le Royaume d’Israël au Nord (avec Samarie, pour capitale et les dix autres tribus).
A la faveur de cette division, Nabuchodnosor, roi de Babylone
s’empare de Jérusalem et l’élite du peuple d’Israël est déportée à Babylone. Le
petit peuple reste sur place.
Pour ce qui est des juifs, le mot apparaît à la fin du VIe siècle BC,
précisément, lors de l’exil à Babylone. Auparavant, on parlait du peuple
d’Israël ou peuple hébreux.
Cyrus, le roi des Perses, (un païen, comme Balaam*) met fin au Royaume de Babylone. Il permet au « peuple juif » de rentrer à Jérusalem. Ensuite, c’est Alexandre (mort en 313), roi macédonien (il parle grec et impose le grec comme langue dans son immense empire qui va de la Grèce aux frontières de l’Inde) qui s’empare de l’empire perse (et donc de Jérusalem). Ensuite, les Romains prennent la place des Grecs: on parle alors de la province de Palestine (Hérode est un roi fantoche, soumis aux Romains). En 70, les Juifs se révoltent contre l’occupant romain. Le temple de Jérusalem est détruit. Beaucoup de juifs sont vendus comme esclaves ou/et se dispersent. Dans cette partie de l’empire romain, la langue administrative et de culture reste le grec (les évangiles seront écrits en grec).
Au VII ou VIIIe siècle, les Arabes conquièrent tout l’Est de la
Méditerranée, occupé par les Byzantins, c’est-à-dire les Romains d’Orient qui continuaient
d’occuper la moitié orientale de la Méditerranée avec pour capitale
Constantinople (aujourd’hui – et depuis 1453 – Istanbul) et non plus Rome qui
était tombée aux mains des « Barbares » en 476.
Le Moyen Age connaît déjà l’antisémitisme. Un exemple : les juifs sont
accusés d’être les responsables de la Grande Peste et s’enfuient dans l’Est de
l’Europe. Au XIXe s. , la Russie tsariste est elle aussi fortement antisémite.
Fin XIX s. , les juifs forment alors le projet de retrouver la « Terre
Promise ». C’est le Sionisme. Au début du XXe siècle, les Anglais
promettent aux juifs leur appui mais renient leur parole. Après la Shoah, les
juifs émigrent en masse vers la Palestine et obtiennent la reconnaissance de
l’Etat d’Israël (1948). Depuis lors, ceux qu’on appelle aujourd’hui les
Palestiniens, c’est-à-dire des Arabes de religion musulmane, et les Israéliens
de culture juive (certains ne se reconnaissent pas dans la religion juive) se
disputent la même terre.
Voilà, j’espère que ce petit résumé que j’ai écrit d’un trait et de mémoire
(sans faire aucune recherche, ce qui aurait pris un temps considérable) est
suffisamment simple, clair et complet et qu’il répond en partie à tes
interrogations.
*Au sujet de BALAAM
Le peuple d’Israël conduit par Moïse doit traverser une terre qui est occupée par un autre peuple et dont le roi se nomme Balaq. Balaq refuse à Moïse l’autorisation de traverser son pays car il redoute d’être envahi par ce peuple fort nombreux. Il est très inquiet. Alors, Balaq fait appel à un magicien, Balaam pour qu’il l’aide à les chasser en jetant sur eux une malédiction. De magicien, Balaam devient prophète du Très-Haut. Dieu ne manque pas d’audace !
Balaam est saisi par l’Esprit de Dieu et se
met à bénir Israël et non à le maudire. Il prophétise même la venue du Messie.
De nos jours, on assiste dans l’Église à
une prise de conscience de plus en plus marquée des origines juives du
christianisme. Comme une sorte de retour aux « sources ». L’apôtre Paul
n’affirmait-il pas déjà clairement à la première génération de croyants
d’origine païenne : « c’est la racine qui vous porte » (Romains 11.18) ? Le
Christ lui-même n’a-t-il pas affirmé qu’il n’était pas venu non « abolir mais
accomplir » la Loi (Matthieu 5,17). Les deux traditions de foi ,juive et
chrétienne ,ont pour fondement le Dieu unique, le Dieu de l’Alliance qui se
révèle aux hommes à travers sa Parole. Dans la recherche d’un comportement
juste envers Dieu, , les juifs se tournent vers l’enseignement de la Torah. les
chrétiens vers le Christ comme source de vie nouvelle» . Ce documentaire
s’intéressera tout particulièrement à cet enracinement de la tradition chrétienne
dans la religion juive visible dans la liturgie de la messe. Les Racines juives
de la liturgie – Une production SUNSET PRESS 2020 – Réalisée par Alexandre
Dolgorouky