SACRE-COEUR de JESUS, j’ai CONFIANCE en Toi. Ses apparitions en vue de la PAIX.

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Saint Jean-Paul II: « Nous venons ici à la rencontre du Coeur transpercé pour nous, d’où jaillissent l’eau et le sang. C’est l’amour rédempteur, qui est à l’origine du Salut, de notre salut, qui est à l’origine de l’Eglise. Nous venons ici contempler l’amour du Seigneur Jésus : sa bonté compatissante pour tous durant sa vie terrestre ; son amour de prédilection pour les petits, les malades, les affligés. Contemplons son Coeur brûlant d’amour pour son Père, dans la plénitude du Saint-Esprit. Contemplons son amour infini, celui du Fils éternel qui nous conduit jusqu’au mystère même de Dieu. »

Du Cœur transpercé de Jésus, nous recevons consolation et compassion.

Pourquoi la présence de la Communauté de l’Emmanuel à Paray le Monial ?

Depuis 1985, l’évêque d’Autun(Monseigneur Armand Le Bourgeois) a confié à la Communauté de l’Emmanuel la charge d’animer la vie des Sanctuaires.

  • Naissance de la Communauté de l’Emmanuel : La Communauté de l’Emmanuel, fondée par Pierre Goursat (1914-1992), est une Association privée internationale de Fidèles, de droit pontifical, dont les statuts canoniques ont été approuvés le 8 décembre 1992, confirmant ainsi sa vocation de « participer à l’accomplissement de la mission de l’Eglise dans le monde actuel. »

Cette communauté s’adresse à des hommes et des femmes insérés dans la vie ordinaire, professionnelle et sociale, de milieux, âges et nationalités différents, dans le respect de la vocation propre à chacun. Ainsi elle rassemble aussi bien des personnes mariées, que des célibataires, des jeunes, des prêtres, des consacrés dans le célibat…

  • La Communauté de L’Emmanuel à Paray le Monial : Dès les débuts de la Communauté, Pierre Goursat eut l’inspiration d’organiser une rencontre des différentes communautés du Renouveau charismatique à Paray le Monial en 1975. Depuis cette première session, Paray le Monial vit un nouveau printemps dans la vie spirituelle de son sanctuaire. Au contact du message de Jésus à sainte Marguerite, l’Emmanuel a pu découvrir un lien fort entre celui-ci et la grâce de la communauté telle qu’elle se déploie dans sa dimension d’incarnation, dans l’eucharistie, dans l’adoration, la compassion, l’évangélisation, dans l’ouverture à l’Esprit Saint ou dans la vocation à être témoin de la Miséricorde.

Pour en savoir plus sur la communauté de l’Emmanuel : son site internet

Session de la Communauté de l’Emmanuel à Beauraing.

https://www.facebook.com/SessionEmmanuel

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Pourquoi célébrer les 350 ans des apparitions du Sacré Cœur de #Jésus ?

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Au XVIIe siècle, le Christ a montré son Cœur à sœur Marguerite-Marie, religieuse de l’ordre de la Visitation à Sanctuaires de Paray-le-Monial. Les 3 apparitions principales ont eu lieu le 27 décembre 1673, le 1er vendredi d’un mois de 1674 et en juin 1675.

Le message de Jésus au cours de ces trois apparitions comporte trois dimensions :

1. Jésus montre son Cœur qui a tant aimé le monde, un Coeur passionné d’amour pour tous les hommes ;

2. Il se plaint de ne recevoir en retour qu’ingratitude et indifférence ;

3. Il demande de réparer ces manques d’amour, notamment par l’institution d’une fête pour honorer son divin Cœur.

Il s’agit donc de rendre amour pour amour, c’est-à-dire aimer en retour ce Seigneur qui nous a tant aimés. Comment cela se fait-il ? En accueillant, tout d’abord, l’amour personnel de Jésus pour chacun de nous. Le Seigneur Jésus désire nous rencontrer, entrer en relation avec chacun.

Ensuite, le Seigneur nous invite à réparer les manques d’amour dont il souffre… aimer pour ceux qui n’aiment pas, vivre dans un esprit de gratitude, de louange et d’action de grâce.

Enfin, le Seigneur Jésus nous appelle à entrer dans la compassion de son Cœur pour ceux qui ont tant besoin de consolation. Le monde est en souffrance, tant de gens ne connaissent pas le Christ et son amour unique pour chacun. Jésus nous invite à ouvrir notre propre cœur, à nous laisser toucher par la misère de l’autre et à recevoir cet appel à la mission : “Va, fais des disciples, afin qu’ils connaissent l’amour de mon Coeur !”

C’est donc pour chacun de nous l’occasion de vivre, tout au cours de cette année jubilaire, ces premiers vendredis du mois pleinement, par l’heure sainte (la veille) et par la célébration de la messe votive du Sacré Coeur (dans la journée)

 – le carnet de chants ‘Il est vivant’ nous offre des chants bien adaptés à cet effet. Bref, deux moments de prière privilégiés qui nous permettent de ‘rendre amour pour amour’ (accueil, réparation, compassion), afin de devenir des disciples missionnaires de son Cœur !

Sacré-Cœur de Jésus Sacré-Cœur Corcoran’s Sacré-Cœur Communauté de l’Emmanuel – Belgique Francophone Emmanuel Community – International

https://www.facebook.com/reel/9973449736074242

https://emmanuel.info/sessions-emmanuel-region/

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

https://www.aelf.org/2025-06-27/romain/messe

Jésus s’est aussi révélé à sainte Faustine, en Pologne. Il y délivre le même message.

Cantiques.

La communauté de l’Emmanuel, c’est aussi FIDESCO.


🎬 Tourné à Paray-le-Monial, point de départ géographique et spirituel de la mission de Fidesco, ce clip illustre 45 années de service, de fraternité et d’engagement. Il met à l’honneur l’élan missionnaire, la lumière semée par nos volontaires, partis en famille, en couple ou seuls, aux quatre coins du monde.🌍

“Par le don et l’engagement, vivre la compassion, se découvrir frères et sœurs, faire changer les cœurs pour changer le monde, prendre soin les uns des autres et bâtir la paix” 🕊️ À l’aube de cette année jubilaire, aux quatre coins du monde, les volontaires soufflent ensemble les 45 bougies de Fidesco, témoins d’une mission qui unit, unifie et transforme les cœurs ! ❤️‍🔥 Reprise de “Unis comme des frères” de @Hopen

Dieu, le miséricordieux, se révèle.

https://resurgences.be/dieu-le-misericordieux/

Une semaine après Pâques, l’Eglise catholique célèbre le dimanche de la divine miséricorde. Quel est le sens de cette fête? La miséricorde est-elle possible pour tous? Une question lancinante…

A l’origine de la fête de la miséricorde divine, une religieuse polonaise, Sœur Faustine Kowalska (1905-1938). Entrée dans la congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la miséricorde à Varsovie, en 1925, Sœur Faustine, qui remplit des tâches toutes simples au sein du couvent, est en fait une authentique mystique. Depuis l’âge de 19 ans, le Christ lui apparaît et lui transmet des messages, qu’elle met par écrit.

Ces messages du Christ parlent de la miséricorde de Dieu, et contiennent des instructions précises, que la religieuse est chargée de transmettre à l’Eglise. L’une de ces demandes concerne l’institution de la fête de la miséricorde, le deuxième dimanche de Pâques:

« Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces« .

Cet appel sera entendu bien après la mort de Sœur Faustine en 1938. A partir de 1985, l’archevêque de Cracovie, le cardinal Franciszek Macharski, institue cette solennité dans son diocèse, suivi, dans les années suivantes, par d’autres diocèses polonais. En 1995, le saint pape Jean-Paul II l’étend à toute la Pologne, à la demande des évêques de ce pays. Et au cours du Jubilé de l’an 2000, en canonisant Sœur Faustine, le deuxième dimanche de Pâque, Jean-Paul II institue cette fête pour toute l’Eglise.

Pourquoi cette fête?

Cette fête de la miséricorde divine s’inscrit, par bien des aspects, dans la droite ligne de la dévotion au Cœur de Jésus (aussi appelé, plus anciennement, le Sacré-Cœur). Remontant au Moyen-Âge, cette dévotion va véritablement prendre son envol dans l’Eglise catholique à partir du 17è siècle, et les apparitions du Christ à sainte Marguerite-Marie Alacoque, à Paray-le-Monial en Bourgogne. « Regarde ce Cœur qui a tant aimé les hommes, et qui n’a reçu qu’indifférence« , disait Jésus à Marguerite-Marie.

Le sens du message de Paray-le-Monial, et de la dévotion au Cœur de Jésus, c’est l’amour infini de Dieu pour chaque homme, l’amour du Cœur de Dieu qui s’est incarné dans un cœur humain – le cœur signifiant ici, de façon finalement très biblique, l’être profond, le siège de l’intelligence, de la volonté et des sentiments d’une personne. En ce sens, Dieu, Lui aussi, a un Cœur…

S’il faut bien sûr se garder ici d’un anthropomorphisme de mauvais aloi, qui peut s’apparenter à de l’idôlatrie, les révélations privées de Paray, comme celles reçues par sainte Faustine, mettent l’accent sur un aspect essentiel de la révélation chrétienne, de l’Evangile. C’est le cas, ou ce doit être le cas, de toute dévotion bien comprise.

Avec le message de la miséricorde, il s’agit de mettre en avant cet amour infini de Dieu pour chaque personne, et plus spécialement la dimension de compassion et de pardon propre à cet amour: Dieu, qui nous aime… de tout son Cœur, partage toutes nos peines, et est toujours prêt à nous réconcilier avec Lui, pour peu que l’on accepte son amour et son pardon. Avec une forme de lucidité sur nous-même qui, en « régime » chrétien, s’appelle humilité. L’humilité bien comprise, ce n’est pas le fait de devoir être humilié, mais d’assumer notre condition humaine, avec ses beautés et ses limites, et d’en faire le canal de l’amour de Dieu, qui veut nous rejoindre dans notre humanité concrète, celle de tous les jours, celle de nos souffrances et de nos joies.

Comme toutes les fêtes chrétiennes, la fête de la miséricorde veut nous donner la possibilité de vivre, d’intégrer une dimension essentielle, irremplaçable de la richesse infinie de l’Evangile, à savoir, en l’occurrence, de son amour plein de compassion et de pardon.

La miséricorde: vraiment pour tous?

En tant que chrétiens, il nous faut, sur cette question comme sur toutes les autres, tenir ensemble des aspects différents, des « vérités » différentes, parfois opposées en apparence mais, en fait, complémentaires. Dieu est amour. Il ne connaît ni la haine, ni la vengeance, et il continue d’aimer chacune de ses créatures, quoiqu’elle ait pu faire. Le pardon est toujours possible, quoiqu’on ait fait, quoiqu’on ait commis, mais pas n’importe comment, pas automatiquement. Relevons ces paroles du Christ à sainte Faustine, déjà citées plus haut:

« Je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde » …

Si on ne se tourne pas vers le Dieu de la miséricorde, si on n’est pas disposé à recevoir son pardon – ce qui suppose de reconnaître le mal que l’on a fait, d’accepter que ce que l’on a fait est mal –, si on n’est pas disposé à réparer le mal qu’on a commis, dans les limites du possible, on ne peut, presque logiquement, pas recevoir la miséricorde de Dieu pour nous.

Toute femme, tout homme est-il capable d’accomplir cette démarche? Concrètement, sans doute pas, mais en principe, oui. Et cette perspective fait partie intégrante de notre foi. Ç’en est même l’un des aspects les plus marquants, comme nous le montre le mystère de la victoire du Christ sur le mal, le péché, la mort, qui est une victoire par « en bas », sur la croix. Mais le cas échéant, le pardon implique un chemin de repentir, de réparation et de réconciliation qui peut prendre beaucoup de temps.

Par Christophe Herinckx, pour Cathobel.

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Apparitions de JESUS à Paray le Monial, à sainte Marguerite-Marie Alacoque.

Entre 1673 et 1675, à Paray-le-Monial, petit village de Bourgogne, cette religieuse visitandine reçoit des apparitions et des révélations privées de Jésus, qui lui dit notamment: « Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour. Et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes.« 

https://www.cathobel.be/2021/06/le-coeur-de-jesus-ou-le-tendresse-de-dieu/

https://www.jesuites.com/les-jesuites-bien-presents-au-jubile-de-paray-le-monial/

Cantique.