Je ne comprends pas pourquoi on fait tant d’affaires pour que la femme puisse, comme l’homme, avoir la possibilité de devenir prêtre.
François d’Assise aurait pu, lui, devenir prêtre. Il n’a pas demandé à l’être. Il voulait rester simple prêcheur de l’Evangile. Si, au lieu de discuter sans fin, toutes les chrétiennes avaient autant d’ardeur que lui, l’Eglise serait vraiment lumineuse!
Quant à Marie, elle n’était pas apôtre mais elle était tellement unie à son Fils et si proche des amis qu’il s’était choisis! Grande orante, soutien des pauvres pécheurs que nous sommes, elle est modèle pour nous!

Déjà avant Jésus-Christ, la Bible fait l’éloge de nombreuses femmes : de la veuve de Sarepta, de la Reine de Saba, Judith, Esther …

https://dieuetmoilenul.blogspot.com/2018/02/du-docteur-en-droit-canon-jeff-mirus.html
3C …. Esther est ce fleuve, elle que le roi a épousée, et qu’il a faite reine ….
https://www.aelf.org/bible/Est/10
Depuis Jésus-Christ, les chrétiennes charismatiques sont de plus en plus nombreuses!
Il pourrait y en avoir davantage car bien des dons, des charismes sont inexploités ! Vraiment, prions pour que les femmes qui souhaitent servir davantage l’Eglise découvrent, grâce à l’Esprit Saint, grâce à la lecture de la Bible, à quelle mission nouvelle Dieu les appelle.

17 Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Églises. Au vainqueur je donnerai de la manne cachée, je lui donnerai un caillou blanc, et, inscrit sur ce caillou, un nom nouveau que nul ne sait, sauf celui qui le reçoit. *
https://www.aelf.org/bible/Ap/2
(*A propos de ce verset, une priante me dit l’avoir reçu en pain de vie le jour où notre nouveau pape, Léon XIV, a été élu.)
L’Eglise rayonne : Que de saintes femmes qui l’honorent !

https://vitrail.ndoduc.com/vitraux/htm7101/tombeauSteF_5.php
Les reliques de Bernadette Soubirous voyagent à travers le monde.
… pour se rapprocher de ceux qui ne peuvent pas vivre l’expérience d’un pèlerinage à Lourdes.
2025: Nous fêtons le 100è anniversaire de la canonisation de Thérèse de Lisieux.

Le 17 mai 1925, Rome célébra la canonisation de Thérèse de l’Enfant Jésus. Le pape Pie XI était entouré de 23 cardinaux et de 250 évêques. Parmi les 50 000 fidèles venus du monde entier, seuls 5 000 purent entrer dans la basilique Saint-Pierre pour assister à la cérémonie.
Elle vécut cette “voie de l’enfance spirituelle”, l’enseigna à ses novices, et la transmit au monde à travers ses écrits, que nul ne lisait sans être touché.
Dans le jardin fermé du Carmel, elle ajouta à son nom celui de l’Enfant Jésus, qu’elle refléta en elle d’une manière si vivante que vénérer Thérèse, c’était aussi vénérer son divin Modèle.
Nous faisons nôtre cette prière qui conclut son autobiographie :
« Ô Jésus, nous vous supplions d’abaisser votre regard sur un grand nombre de petites âmes, et de vous choisir en ce monde une légion de petites victimes dignes de votre Amour ! »
https://carmes-paris.org/centenaire-de-la-canonisation-de-ste-therese/
« Dans le cœur de l’Eglise, ma mère, je serai l’amour.» (Thérèse)
Nous fêtons, cette année encore, les 125 ans de la canonisation de sainte Rita.
Née en 1381 à Roccaporena près de Cascia, elle fut mariée contre son gré à un homme colérique, dont elle supporta les violences dans la prière et le pardon. Veuve, puis mère endeuillée, elle demanda à entrer au couvent des Augustines de Cascia. Après bien des refus, elle y fut admise de façon miraculeuse. Marquée au front par une blessure provoquée par une épine de la couronne du Christ, sainte Rita devint une âme mystique profondément unie à la Passion de Jésus. Elle consacra sa vie à la charité, à la pénitence et à l’intercession pour les causes désespérées. Morte le 22 mai 1457, elle fut canonisée près de cinq siècles plus tard. Son corps repose encore aujourd’hui, incorrompu, dans la basilique de Cascia.
Parmi les nombreux symboles liés à « la sainte de l’impossible », la rose tient une place particulière. Peu avant sa mort, alitée en plein hiver, elle demanda une rose de son jardin. Une parente alla voir… et trouva effectivement une rose en fleur. Ce miracle, discret et tendre, est resté dans la mémoire des fidèles : la rose est devenue le signe de son intercession et de l’espérance contre toute attente. C’est pourquoi, encore aujourd’hui, les pèlerins déposent des roses à ses pieds et repartent souvent avec une rose bénie.

Pauline Jaricot : un génie du christianisme.
Tout en renonçant au mariage, sa vocation l’appelle pourtant à « rester dans le monde ». À cette place, Pauline décide de venir en aide aux Missions étrangères en fondant l’oeuvre de la Propagation de la Foi. Particulièrement touchée par le sort de la classe ouvrière elle crée le Rosaire Vivant, véritable armée de priants, cette oeuvre comptera 2 250 000 membres à sa mort en 1862. Dans son désir d’évangéliser la classe ouvrière elle souhaite créer une entreprise exemplaire en rachetant des bâtiments d’usine. Elle rencontre de nombreuses résistances, ses adversaires la poussent à la ruine. Quand le pape Jean XXIII signe en 1963 le décret la proclamant vénérable il s’écrie, la voix brisée par l’émotion : « Pourquoi lui ont-ils fait tant de mal ? » En effet, comment en est-on arrivé là ? Pauline Jaricot a été béatifiée le 22 mai 2022.
Le jour des rameaux 1816, elle se rend à la célébration avec sa sœur en l’église Saint-Nizier. Le sermon de l’abbé Wurtz sur « les illusions de la vanité, l’être et le paraître » la fait réfléchir et demande immédiatement conseil qui lui dit :
« Offrez-vous sincèrement à Notre Seigneur pour qu’il puisse accomplir ses desseins sur vous ». Ce jour reste dans la mémoire de Pauline comme celui de sa conversion.
Sa vie change, elle s’habille plus simplement. Elle rend visite aux pauvres, aux détenus, à soigne les malades, recueille les enfants des rues. Le 25 décembre 1816 à Fourvière, elle fait vœu de chasteté tout en restant laïque dans le monde.
L’œuvre de la propagation de la foi
Pauline rêve de devenir missionnaire en Chine, rêve partagé par son frère Philéas. Ne pouvant aller en Asie, elle cherche sous quelle autre forme aider les missions. Dans sa correspondance avec son frère entré au Séminaire Saint-Sulpice à Paris, naît l’idée de la « Propagation de la foi ».
Entre 1819 et 1820, avec quelques amies, elle imagine une collecte faite de la main à la main, « le sou de Pauline » pour recueillir des fonds pour des missions. Elle met en pratique un plan basé sur le système décimal : des groupes de 10 personnes, chaque personne formant à son tour un autre groupe de 10 et ainsi de suite. Ce système s’étendra rapidement dans le monde et deviendra l’Association de la propagation de la foi, créée le 3 mai 1822.
Le rosaire vivant
En 1826, pour répondre aux besoins spirituels de son temps, Pauline Jaricot crée le Rosaire vivant. Elle le pense de la même manière que l’Œuvre de la Propagation de la foi : 15 personnes, 15 mystères (aujourd’hui 20 mystères depuis que le pape Jean-Paul II a ajouté les Mystères lumineux). Chacune des 15 personnes récite une dizaine de chapelet en méditant un des mystères. Le mystère est tiré au sort par une responsable du groupe. À sa mort, en France plus de deux millions de personnes participent au « Rosaire vivant ».
Un engagement auprès du monde ouvrier
En cette première moitié du XIXe siècle, l’industrialisation naissante fait surgir en France une nouvelle classe sociale, pauvre, misérable même, corvéable à merci.
Lors de la révolte des canuts dans les années 1830, Pauline Jaricot prend fait et cause pour les ouvriers et ouvrières en soierie. Elle approuve leur lutte, elle partage leurs convictions. Elle dénonce la misère dans laquelle ils sont maintenus.
Pour tenter d’améliorer leur sort, Pauline crée d’abord une banque avec des prêts sans intérêts, et rachète sur ses fonds une entreprise industrielle dans le Vaucluse. L’entreprise fait faillite à cause de la malversation des gestionnaires à qui elle avait confié l’entreprise.
Elle s’éteint en 1862, après avoir perdu tout son patrimoine.
Pauline Jaricot a été déclarée vénérable par le pape Jean XXIII le 25 février 1963. Un enfant, guéri par son intercession en 2012, a permis d’ouvrir le dossier pour sa béatification par le diocèse de Lyon en 2018. Il a été transmis à la Congrégation pour la cause des saints en novembre 2018. Elle devrait être béatifiée le 22 mai 2022.
Méditons le message du pape : appel à choisir la dernière place.
33 Ils répondent : « Seigneur, que nos yeux s’ouvrent ! »
https://www.aelf.org/bible/Mt/20
Atteinte d’un cancer incurable à 30 ans : l’hymne à la vie de Clémence Pasquier
En 2016, alors que Clémence vient de s’installer à Lyon pour y démarrer une nouvelle vie, elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Ce cancer va progressivement se généraliser et quelques années plus tard, on lui annonce qu’elle n’en guérira jamais. Elle entre alors en soins palliatifs et comprend qu’elle devra envisager sa vie autrement.
Femmes, prenons soin les unes des autres !
C’est une mission !
Jésus place la barre très haut en invitant à la fidélité conjugale mais la séparation est parfois une question de survie. Il faut que nous nous entraidions!


Femmes, exprimons notre foi de toutes les manières possibles, selon l’appel reçu!
Marilyn Hickey a un fameux charisme d’évangélisation.
Pour ma part, mon mode d’évangélisation est modeste. Avec quelques priants, je participe à de petites activités comme celles-ci : accueil de la Vierge pélerine de Medjugorje, projection de films chrétiens, … Ce 22 mai, répondant à l’appel de mon frère, j’ai participé à la mise sur pied d’un temps de prière dans une chapelle du village dédiée à sainte Rita. Des frères et sœurs de l’Eglise ont prêté main-forte sans quoi ce beau moment n’aurait pas pu avoir lieu. L’Eglise est une famille où chacun a une place à occuper.
Ce sont de petites choses mais qui nourrissent les racines de l’arbre « Eglise ».

Je tiens aussi des blogs, des comptes facebook. Je prie et j’écris. Beaucoup de documentations me sont données par mes proches. Sans eux à mes côtés, surtout pour l’informatique, je ne ferais pas cette activité. Quelle patience ils ont avec moi pour l’informatique! Tout cela est si compliqué! mais « Dieu donne ce qu’Il ordonne ».

https://www.facebook.com/jaime.leglise
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Chacune est unique. Dieu nous appelle à des missions différentes. Invoquons l’Esprit Saint pour y voir clair.
Femmes, Marie est notre modèle.
Elle est notre Reine, notre sœur, notre mère, notre avocate … Confions-lui toutes les femmes de la terre ! Confions-lui les prêtres : qu’ils soient toujours davantage à l’écoute de l’Esprit Saint !
https://www.facebook.com/reel/528468633419434
https://www.youtube.com/watch?v=lpAhXghmtlo
