Des personnes fragiles, âgées, déprimées, dépendantes, malades mentales, porteuses d’un handicap moteur, sans-papiers ou sans-domicile-fixe ont un besoin VITAL d’être acceptées telles qu’elles sont et d’être épaulées. Elles sont porteuses d’un message pour le monde. Certaines ont beaucoup de tendresse à donner! Quel accueil leur fait-on ?
Pensons-y bien : « Ce qu’il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi. »
Frères, vous qui avez été appelés par Dieu, regardez bien : parmi vous, il n’y a pas beaucoup de sages aux yeux des hommes, ni de gens puissants ou de haute naissance. Au contraire, ce qu’il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion les sages ; ce qu’il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion ce qui est fort ; ce qui est d’origine modeste, méprisé dans le monde, ce qui n’est pas, voilà ce que Dieu a choisi, pour réduire à rien ce qui est ; ainsi aucun être de chair ne pourra s’enorgueillir devant Dieu. https://www.aelf.org/2024-08-31/romain/messe
L’AMOUR VAINCRA la dépendance à la drogue.
En réponse au mal-être des jeunes, le Cenacolo propose un vie communautaire basée sur la fraternité, le travail et la prière.
L’AMOUR vaincra le rejet des personnes différentes, les avortements qui sont des crimes.
NB: Heureusement qu’il y a des institutions pour aider les familles qui se trouvent désemparées devant des difficultés, des problèmes insolubles pour elles. Cfr aussi SOS Emmanuel Adoption.
Matthieu avait mauvaise réputation. Etait-il autiste? Qu’importe ! Jésus lui a dit « Suis-moi. »
L’AMOUR VAINCRA toute forme de violence.
On abuse facilement des personnes fragiles. Il leur semble n’avoir plus rien à perdre. Cette histoire pourrait avoir existé. Elle n’a rien d’exceptionnel.Des malades mentaux en arrivent à donner tout ce qu’ils ont, espérant ainsi rendre le monde plus humain …
NB: La déception, le manque d’amour, d’attention peut aussi se traduire en violente colère:« Aime-moi ou je mords »
On sait aussi que des immigrés non régularisés sont vraiment « esclaves » des patrons qui les engagent sans aucun respect. Ces sans-papiers donnent le meilleur d’eux-mêmes et envoient dans leur pays l’argent récolté bien péniblement. Qui sait leur souffrance, leur envie de crier cette injustice?
« L’AMOUR EST MA PAROISSE » Père André-Marie.
Le Père André-Marie est un moine bénédictin. Nommé par ses supérieurs « Père des pauvres d’ici et du tiers-monde », il séjourne à « La Demeure » à Croixrault où il accueille des personnes démunies. Son domicile sert aussi d’atelier d’art et de rencontre.
Sainte Bernadette Soubirous, « la bonne à rien », est à l’origine de tout ce que nous connaissons du sanctuaire de Lourdes.
Elle désire entrer au couvent. Des congrégation religieuses la courtisent. Elle choisira les Soeurs de Nevers :«Je veux rentrer chez vous parce que vous vous occupez des pauvres et que j’aime les pauvres, que je m’y sens bien, et que vous ne m’y avez jamais forcée ».
Les moines Guerric et Guilluy font passer un message et des abbayes s’ouvrent à l’accueil des personnes fragiles.
J’ai lu quelques notes au sujet du bienheureux Guerric. Je retiens spécialement ceci :
« Sa mauvaise santé l’empêchait souvent de suivre la vie commune, ce dont il se plaignait auprès de ses frères. Cela n’empêcha pas l’abbaye de prospérer sous son gouvernement … »
«Voilà 34 ans que j’ai entendu l’appel de Jésus. J’ai cherché à connaître Jésus en lisant la Bible et l’Evangile, raconte petite sœur Véronique. Je suis née avec un handicap qui s’appelle la trisomie 21. Je suis heureuse, j’aime la Vie. Je prie mais je suis triste pour les enfants trisomiques qui n’auront pas la joie de vivre.»
Pour celle qui se sentait appelée à vivre, comme sainte Thérèse, une vocation à l’amour, le chemin a été long mais sa patience et sa foi a payé. «Jésus m’a fait grandir dans son Amour. Après avoir été refusée dans des communautés, ma joie c’est que j’ai fait mes vœux perpétuels dans l’Institut des petites sœurs disciples de l’Agneau le 20 Juin 2009. C’est ma plus grande joie d’être l’épouse de Jésus ».
Jésus, qui est le chemin, la vérité et la vie, nous parle pour nous dire qu’il est le pain de vie. Et le pain, comme nous le savons bien, est fait pour être mangé. Mais afin de le manger, nous devons avoir faim. Comment pouvons nous comprendre le sens d’être chrétien si nous avons perdu la faim de Dieu? Faim de le connaître, faim de le traiter en ami, faim de le faire connaître à ceux qui ne le connaissent pas encore, faim de le partager, comme on partage le pain a table. Quelle belle image de voir un père de famille a la tête de la table coupant un bon pain, obtenu par son travail et de le donner à ses enfants! Dans l’Eucharistie, c’est Jésus lui-meme qui se donne comme pain de vie, qui se donne en partage et avec une générosité telle que nous sommes saisis d’émoi.
Pain de vie… mais, de quelle vie? Il est clair que ce pain là, ne va pas prolonger notre existence sur terre, mais il est clair également qu’il changera la qualité et la profondeur de chaque instant de notre vie. Posons-nous cette question: -Et moi, quelle est la vie que je souhaite vivre? Et comparons notre réponse à la vie que nous menons aujourd’hui. Est-ce que c’est ce que nous aurions souhaité? Ne croyons-nous pas que nous pourrions élargir encore plus nos horizons? La vie du Christ dans l’Eucharistie est encore plus vaste de ce que toi et moi pouvons imaginer, elle est plus remplie, plus belle, et elle attend que nous la mangions, elle attend à la porte de notre cœur, patiente et ardente comme seul celui qui sait aimer peut le faire. Et après cette nourriture: la vie éternelle! «Si quelqu’un mange de ce pain il vivra éternellement» (Jn 6,58). -Que pouvons nous souhaiter de plus?
Chrétiens de longue date ou nouveaux convertis, avançons au large, malgré les vents contraires.
Jean-Marc Potdevin, entrepreneur de Dieu.
Tout commence par un œdème pulmonaire pendant l’ascension du Kilimandjaro. Jean-Marc Potdevin, vice-président de Yahoo Europe, comprend qu’il n’a pas trouvé le sens de sa vie. Il démissionne en 2006. (…)
Il part donc sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, en 2008. Après dix jours de marche, il fait une rencontre mystique dans une petite chapelle, qui le bouleverse.
« J’ai compris que la plénitude de la vie était ce que Dieu me montrait à ce moment-là. Spirituellement, mon activisme m’avait un peu desséché. Je m’étais éloigné de l’Église mais je ne réalisais pas combien cela me manquait. »
Suite à cette expérience, il décide d’écrire : Les mots ne peuvent dire ce que j’ai vu. L’expérience mystique d’un business angel sort en 2012 (Ed. de l’Emmanuel).
Pourquoi chercher les guérisons de Jésus, ses miracles qui rassasient nos besoins corporels et refuser Jésus lui-même ?
26 Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés. 27 Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. »https://www.aelf.org/bible/Jn/6
Le christianisme est en danger chez nous. La preuve : Des chrétiens persécutés issus de l’islam ne sont pas reçus en France.
Je me demande comment un tel couple aurait été accueilli en Angleterre ? En effet, au Royaume-Uni, les tribunaux islamiques remplacent la justice de la nation pour les Musulmans.
Si Dieu est comme le soleil, si les saints sont comme des étoiles, on peut dire que Marie est comme la lune. En effet, la lune brille la nuit, quand le soleil n’est plus là pour nous éclairer.
De même, au sein de nos épreuves, quand Dieu semble absent, Marie est là, près de nous, elle nous porte et apaise nos coeurs tourmentés. Il nous suffit d’égrener notre chapelet.
Marie n’est pas n’importe qui. Elle a porté en elle le Fils de Dieu!
Le Juif GAD ELMALEH a eu la chance de trouver Marie sur sa route.
La lune est le symbole de l’islam.
Généralement, les Musulmans aiment Marie. Elle serait même la seule femme nommée dans le Coran. Parce que Marie les aime vraiment, elle souhaite qu’ils se tournent résolument vers son Fils Jésus qu’ils ne connaissent pas bien.
Mosbah a 18 ans quand Jésus se manifeste à lui la première fois.
La foi ne s’impose pas.
Comme Marie, prier dans le secret de son cœur est parfois préférable aux grandes prières de rue visant à faire des adeptes plus qu’à aimer Dieu.
Cantique.
Marie est pleine de grâce, c’est-à-dire remplie de l’Esprit Saint!
Dès sa visite chez sa cousine Elisabeth, celle-ci reconnut la sainteté de Marie et elle s’écria d’une voix forte:
« Dieu visite. Quand nous lisons ce passage de l’Évangile, nous pouvons admirer les paroles de sainte Élisabeth à la Vierge Marie, paroles d’exaltation et de joie de découvrir la Mère de son sauveur : « Comment ai-je ce bonheur que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? » Mais n’oublions pas de mentionner que c’est Dieu lui-même, en première personne, qui souhaite rendre visite à Élisabeth. C’est lui qui nous visite, pour nous féconder dans la prière. Et c’est à ce moment-là que nous pouvons nous nommer « bienheureux », « bienheureux » car « visités » par Notre Seigneur.
Dieu qui est « en » la Vierge Marie au moment de rencontrer Élisabeth se fait encore plus présent grâce à l’intercession de Marie. Dès ce moment-là, il annonce au monde entier le rôle de Marie comme Mère, mais aussi comme « porteuse » du Christ. Chaque fois que nous voudrons rencontrer Jésus, Marie sera à nos côtés et chaque fois que nous aurons recours à Marie, Jésus sera là, présent pour nous. » https://www.facebook.com/photo/?fbid=4214511898795923&set=a.1861319930781810
Marie aide à trouver Jésus mais c’est par révélation qu’on découvre qui il est.
Cantique:
Qui sont les voyants choisis par Marie? Que leur dit-elle?
Marie et Joseph ont eu mission de former un homme libre, JESUS.
Jésus n’est pas resté agrippé aux jupes de sa maman. Il a osé affirmer qu’il est Dieu, Lumière du monde, Pain de Vie, … Il a même dit de lui-même qu’il est le Chemin, la Vérité et la Vie!
Marie prend à son école de nombreux saints, tels les stigmatisés, tel Maximilien Kolbe, qui sont autant d’autres Christ.
19 Par la Loi, je suis mort à la Loi afin de vivre pour Dieu ; avec le Christ, je suis crucifié.20 Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis aujourd’hui dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi. https://www.aelf.org/bible/Ga/2
Marie est forte comme une armée en bataille mais ses armes sont spirituelles : la bénédiction, la prière avec le cœur, l’abandon à la sainte volonté de Dieu.
De nos jours, beaucoup de pèlerins racontent ce qu’ils ont vu à Medjugorje.
Pourquoi ces signes grandioses si ce n’est pour amener des âmes à la conversion à JESUS, Prince de la PAIX ?
A Medjugorje, où elle apparait depuis 1981, Marie accorde sa bénédiction maternelle spéciale et elle nous invite à la partager autour de nous.
En visite dans une famille, père Philippe Rémels, s.j. accorde cette bénédiction et, avec un cœur d’enfant, il raconte de bien belles choses …
Que cette bénédiction se propage sur toute la terre ! C’est une mission à notre portée à tous.Racontons, nous aussi, les merveilles de Dieu dans notre vie. Le monde a besoin de voir du BEAU!
Marie préfigurée comme la fiancée du Cantique des Cantiques.
Ne crains pas d’invoquer Marie. Si tu l’avais oubliée, tu peux, toi aussi, aller la rechercher !
Marie met en lumière d’autres saints. A Beauraing figurent des photos de grands personnages.
Ainsi les Belges l’abbé Edouard Poppe, amoureux de l’Eucharistie et le Père Damien De Veuster qui a donné sa vie pour les lépreux, précurseur de « l’Opération Damien ».
La Vierge au Cœur d’Or de Beauraing amène des cœurs vers l’Eglise catholique.
Richard Borgman.
Les pèlerinages font vivre la foi populaire.
Quand l’Eglise cesse d’avancer, elle disparait dans certaines régions. Des retraites sont organisées sur les lieux d’apparitions mariales et ravivent la foi.
A l’heure où des personnes ne savent plus que faire de leur argent, où l’argent est mal utilisé par beaucoup, voici deux saints dont la vie est inspirante. Tous deux renoncèrent aux richesses familiales et aux honneurs liés à leur rang dans la sociétéet ils emboitèrent le pas à Jésus, doux et humble de coeur.
A l’heure où la peur gagne les cœurs vu la violence croissante de nos cités et la guerre qui risque de se mondialiser, ces saints ouvrent un chemin lumineux qui conduit à la paix.
A l’heure où la foi en JESUS qui pourrait nous sauver semble disparaitre, ces saints sont la preuve qu’un renouveau est toujours possible. » Les saints ne meurent pas. » Ils intercèdent pour nous, ils restent à nos côtés. A Assise, la douce et sainte présence de François et Claire, unie à celle de JESUS est tangible. C’est un havre de PAIX.
A l’heure où la nature souffre beaucoup,François a inspiré bien des artistes. C’est à juste titre qu’il est le patron de l’écologie.
Comme François et Claire, conservons la Parole de Dieu dans notre cœur.
07 Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche. 08 Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement. 09 Ne vous procurez ni or ni argent, ni monnaie de cuivre à mettre dans vos ceintures, 10 ni sac pour la route, ni tunique de rechange, ni sandales, ni bâton. L’ouvrier, en effet, mérite sa nourriture. https://www.aelf.org/bible/Mt/10
Quelle est la grande œuvre de Saint François d’Assise ?
Saint François d’Assise vécu au XIIIe siècle en Italie. Sa grande œuvre est la fondation de l’ordre des franciscains vivant la pauvreté évangélique . Il est connu pour son amour de la création et des animaux. Homme de prière, ayant reçu les stigmates, il intercède pour nous aujourd’hui.
Sainte Claire d’Assise fonde avec François l’Ordre des Pauvres dames, appelé par la suite les Clarisses.
La grande œuvrede sainte Claire d’Assise est la fondation del’ordre les Clarisses. A la suite de saint François, Claire a souhaité comme vertu principale pour ses sœurs et filles, la pauvreté. Elle n’eut de cesse d’insister sur cette qualité principale du Christ et de la Vierge Marie. Elle disait à ses filles : « Par amour de l’Enfant très saint et bien-aimé, enveloppé de pauvres petits langes, couchés dans une crèche, et de sa Très Sainte Mère, j’avertis, je supplie et j’exhorte mes Sœurs à toujours se vêtir de vêtements vils ». Les Clarisses sont la famille religieuse contemplative la plus nombreuse, elles ont traversé huit siècles d’existence, on compte aujourd’hui 18000 sœurs clarisses dans le monde.
Détruire les racines de l’Europe, « Ce n’est pas de la laïcité, c’est de la stupidité. »
Changer de vie pour réaliser la belle mission qui est nôtre.
Edith et Rosa Stein portent l’étoile de David et donnent leur vie par amour de Dieu et des hommes.
Edith et Rose eurent l’occasion d’émigrer pour éviter la déportation à Auschwitch.
Edith eut l’occasion de se marier avec l’homme qu’elle aimait profondément … Mais l’amour pour Jésus a été le plus fort et elle a répondu à son appel. Elle est devenue carmélite et elle a lutté activement contre l’antisémitisme chrétien. Notez bien qu’avant d’être chrétienne, elle fut athée.
Les deux sœurs entendirent l’appel de Jésus à le suivre jusqu’à la mort … Edith deviendra carmélite sous le nom de sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix.
« Le 9 novembre 1938, la haine des nazis envers les juifs fut révélée au monde entier. Les synagogues brûlèrent. La terreur se répandit parmi les juifs. La Mère Prieure des Carmélites de Cologne fait tout son possible pour conduire soeur Thérèse-Bénédicte de la Croix à l’étranger. Dans la nuit du 1er janvier 1938, elle traversa la frontière des Pays-Bas et fut emmenée dans le monastère des Carmélites de Echt, en Hollande. C’est dans ce lieu qu’elle écrivit son testament, le 9 juin 1939: « Déjà maintenant j’accepte avec joie, en totale soumission et selon sa très sainte volonté, la mort que Dieu m’a destinée. Je prie le Seigneur qu’Il accepte ma vie et ma mort […] en sorte que le Seigneur en vienne à être reconnu par les siens et que son règne se manifeste dans toute sa grandeur pour le salut de l’Allemagne et la paix dans le monde ».
Quand donc le Messie, le Prince de la PAIX, sera-t-il accueilli par tout le peuple ? La paix ne peut subvenir que si l’on m et en pratique son enseignement !
Où puiser notre force, si ce n’est dans le PAIN DE VIE qu’est Jésus-Christ ?
C’est principalement à la messe que nous nous en nourrissons. Or …
« Beaucoup de jeunes et de moins jeunes y sont les grands absents. Ils ne croient pas que le Christ a livré son Corps et versé son Sang « pour nous et pour la multitude ».
Heureusement il y a le jeune Carlo Acutis qui sera bientôt canonisé et qui disait que l’Eucharistie était son « autoroute vers le ciel ». Il est mort en 2006 d’une leucémie à l’âge de 15 ans. Au témoignage de sa mère, Carlo manifeste une piété précoce, récitant quotidiennement le chapelet dès l’âge de quatre ans et demi, et demandant à entrer dans toutes les églises pour, disait-il, « saluer le Christ ». Il a une dévotion particulière pour l’Eucharistie et pour la Vierge Marie, qu’il définit comme « l’unique femme de sa vie ».
D’apparence ordinaire, il a des amis, aime le football et les animaux. Il est très intéressé par le monde de l’informatique. Il fait des montages de films, crée des sites Internet (notamment pour sa paroisse et son lycée) et se met au service des enfants, des personnes âgées et des plus pauvres, auxquels ce monde de l’informatique était moins accessible. Il est remarqué par ses professeurs pour ses bons résultats, et apprécié par ses camarades pour sa bonne humeur, sa générosité et sa gentillesse envers tous. Dans l’aumônerie du lycée, Carlo exerce une certaine influence par son exemple. Il transmet notamment l’importance qu’a pour lui l’Eucharistie : « C’est l’autoroute qui mène au ciel ». Le pape François le donne en exemple lors de son exhortation apostolique Christus vivit, pour avoir été « capable d’utiliser les nouvelles techniques de communication pour transmettre l’Évangile et communiquer ses valeurs et sa beauté ». Carlo sera canonisé en 2025 pendant l’année jubilaire. » (Père Jacques Pineault)
Je prie afin que ce «printemps eucharistique» se répande toujours davantage dans toutes les paroisses, en particulier en Belgique, la patrie de sainte Julienne.
En nous souvenant de sainte Julienne de Cornillon renouvelons nous aussi la foi dans la Présence réelle du Christ dans l’Eucharistie. Comme nous l’enseigne le Compendium du catéchisme de l’Eglise catholique, «Jésus Christ est Présent dans l’Eucharistie d’une façon unique et incomparable. Il est Présent en effet de manière vraie, réelle, substantielle : avec son Corps et son Sang, avec son Âme et sa divinité. Dans l’Eucharistie, est donc Présent de manière sacramentelle, c’est-à-dire sous les espèces du pain et du vin, le Christ tout entier, Dieu et homme» (n. 282).
Chers amis, la fidélité à la rencontre avec le Christ eucharistique dans la Messe dominicale est essentielle pour le chemin de foi, mais essayons aussi d’aller fréquemment rendre visite au Seigneur présent dans le Tabernacle! En regardant en adoration l’Hostie consacrée, nous rencontrons le don de l’Amour de Dieu, nous rencontrons la Passion et la Croix de Jésus, ainsi que sa Résurrection. C’est précisément à travers notre regard d’adoration que le Seigneur nous attire à Lui dans son mystère, pour nous transformer comme Il transforme le pain et le vin.
Les saints ont toujours trouvé force, consolation et joie dans la Rencontre eucharistique. Avec les paroles de l’hymne eucharistique, Adoro te devote nous répétons devant le Seigneur, présent dans le Très Saint-Sacrement : «Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, je place mon espérance, je T’aime ! »
(Benoît XVI – Audience Générale du 17 novembre 2010)
A Fatima Marie a insisté sur la nécessité de cette prière.
« Je suis du Ciel… récitez le chapelet tous les jours pour obtenir la paix pour le monde. » Cette parole de la Sainte Vierge à sœur Lucie de Fatima, le 13 mai 1917, nous met face aux vrais enjeux de notre temps : le chapelet quotidien et les sacrifices de trois enfants ont pu stopper en quelques mois la Première Guerre Mondiale ! Des enfants qui prient et qui offrent tout avec ferveur sont plus puissants que de redoutables armées. Retrouvons-nous ce jeudi 8 août pour prier en live le Chapelet avec les mystères lumineux de la Vierge Marie à 19H30 (Heure de Paris) avec la Fraternité NDML depuis le liban#rosaire#chapelet
«Ces terroristes pensent qu’en brûlant nos églises et nos structures, ils détruiront le christianisme. Mais cela n’arrivera jamais», affirme Mgr Dashe. «Cela prendra peut-être quelques mois et même quelques années. Mais à la fin, nous dirons: Boko Haram a disparu». Il en est même convaincu, «C’est la prière, et surtout celle du rosaire, qui va nous libérer des griffes de ce démon, le démon du terrorisme».
Plonger dans la prière pour recevoir l’Esprit Saint, par le biais du rosaire, est-ce trop simple ?
🙏 La prière du chapelet :
-Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal. Amen
-Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen
-Ave Maria, gratia(e) plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui Iesus. Sancta Maria, mater Dei, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis nostrae. Amen.
Saint Joseph, nous nous tournons vers toi avec confiance, prends soin de nos familles, ainsi que de nos besoins matériels et spirituels. Nous savons que tu nous entends et nous te remercions d’avance. Amen
Saint Michel, Sois notre soutien dans le combat et défends-nous contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu réprime son audace, nous le demandons humblement. Et toi, Prince de l’armée céleste, refoule en enfer par la puissance divine, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour perdre les âmes. Amen
Réunissons-nous pour prier. Dans beaucoup de pays, il est impossible de pratiquer paisiblement la foi chrétienne.
C’est urgent : Répandons la pratique du Rosaire dans nos communautés familiales et religieuses.
Dans notre petit groupe de prière qui se réunit une fois par semaine, nous méditons la Parole de Dieu de différentes façons et notamment avec le chapelet NDML enregistré sur cassette.
Demandons la grâce de la prière pour devenir une armée de priants.
Je vous propose de refaire l’exercice auquel nous nous sommes adonnés, il y a quelques semaines, à savoir examiner différents niveaux de lecture que l’on peut donner à ce miracle important qu’est la multiplication des pains.
Le premier niveau est toujours la lecture littérale du texte. Jésus a effectivement, à partir de cinq pains et deux poissons, miraculeusement fait apparaître de la nourriture pour une foule considérable. Il faut sans doute avoir la foi du charbonnier pour le croire, mais ça reste un niveau de lecture intéressant qui questionne notre aptitude à recevoir l’inouï de Dieu : croyons-nous que Dieu puisse littéralement faire des choses incroyables ? Et dans quelle mesure ? La lecture littérale nous rappelle toujours que notre esprit, quand il médite ces textes, doit pleinement s’ouvrir à l’inattendu, l’inouï, l’inespéré, l’incroyable, au coté profondément miraculeux de la sollicitude de Jésus à notre égard.
Une autre lecture serait de penser que le geste du jeune garçon qui offre spontanément à Jésus les vivres qu’il possède a provoqué un élan de générosité, que d’autres à sa suite se sont mis à partager le pain qu’ils avaient gardé par-devers eux, à la foule affamée. L’inouï du miracle serait ici la rupture des égoïsmes, du chacun pour soi, dans un prodigieux élan collectif de générosité. C’est déjà une lecture christologique.
Une troisième lecture, à laquelle les textes d’aujourd’hui certainement nous invitent, serait simplement de constater que l’évangéliste veut faire un rapprochement entre Jésus et le prophète Élisée. Comme lui, Jésus a des disciples auxquels il enseigne, comme lui il multiplie les pains, comme lui, il guérit les lépreux – on se souvient notamment de Naaman. Cependant la comparaison des deux trouve des limites : Élisée fait beaucoup de politique, ce que Jésus ne fait jamais. La finale de l’Évangile d’aujourd’hui est d’ailleurs explicite à ce sujet.
Autre niveau de lecture, qu’on pourrait qualifier d’ecclésial ou de sacramentel : le miracle de la multiplication des pains que nous rapporte l’Évangile symbolise l’Eucharistie qui, partant du dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, s’est multipliée de proche en proche, de communauté en communauté, jusqu’à nourrir des foules innombrables au fil du temps. Le miracle de la multiplications des pains par Jésus serait alors l’anticipation de la diffusion miraculeuse du christianisme constatée à l’époque où les Évangiles sont rédigés, à savoir quelques cinquante à septante ans après les événements qu’ils relatent. En temps de persécution, il s’agirait d’une manière discrète de dire que les eucharisties – et donc les communautés – se multiplient. Dans ce contexte, l’image des douze paniers qui débordent symbolise les apôtres.
Il y a sans doute quantité d’autres lectures à donner, notamment en s’interrogeant sur la symbolique des nombres : pourquoi cinq pains et deux poissons ?
Mais la lecture la plus profonde est la lecture spirituelle voire mystique qui fait de la parole de Dieu une nourriture, au sens littéral. Je crois profondément qu’autant il y a des paroles qui nous blessent et, petit à petit, nous tuent, autant il y a des paroles qui nous nourrissent, nous retissent, qui littéralement nous reconstituent le corps. Je crois d’ailleurs que c’est le sens premier de toute parole de réconfort : certes, agir sur l’état d’esprit, mais aussi agir sur le corps.
D’ailleurs, Dieu ne demande-t-il pas au prophète Ézéchiel (2,8 – 3,4) de littéralement manger un rouleau de l’Écriture. Je crois fondamentalement que la parole de Dieu a un impact tant sur notre esprit que sur notre corps. De même que l’Eucharistie parle aussi à notre esprit, de même la Parole de Dieu est aussi nourriture.
Derrière cette interprétation se trouve toute la question de la relation entre le corps et l’esprit ; ce qu’on appelle en philosophie le problème corps-esprit (Mind-Body Problem). Notre époque tend à radicalement dissocier les deux alors que, pour notre religion, corps et esprit sont intiment dépendants, intimement liés, au point de ne plus faire qu’un à la Résurrection, en Corps spirituel (I Corinthiens 15, 37-49).
Ce sont des questions philosophiques importantes qui nous aident à comprendre beaucoup de concepts de notre religion : l’incarnation, la présence réelle de Dieu dans l’Eucharistie, l’action concrète de Dieu sur notre esprit et notre corps, la relation entre nos états d’âme et l’état de notre corps, …
Enfin, si on fait la somme de toutes ces interprétations – car ce qui est intéressant, c’est de les croiser entre elles pour mesurer toute l’épaisseur du texte – on conclut que l’Évangile, aujourd’hui, nous invite à considérer le caractère proprement inouï, l’aspect profondément miraculeux de l’action de la parole de Dieu sur notre corps.
Les philosophes savent que le problème Mind-Body est une source de questionnements sans fin, que la relation du corps et de l’esprit restera toujours quelque part un mystère. Le propos de l’Écriture est ici de dire qu’au cœur de la relation entre notre corps et notre esprit, il y a l’action nourrissante de la parole de Dieu.
Prions avec ferveur pour notre pape qui fait vraiment beaucoup de bien mais qui fait aussi du mal. Prions pour ses détracteurs. Que l’Esprit Saint nous éclaire tous afin que nous n’affaiblissions pas l’Eglise par notre langue. « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix » (François d’Assise)
Mettez-moi à l’épreuve, – dit le Seigneur de l’univers –, et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses du ciel, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance !
En 1914, pendant la guerre, les habitants de Vielsalm n’étaient pas résignés. Ils ont prié et obtenu la libération des otages.
« Juste après le début de la guerre 14-18, les Allemands sont entrés en Belgique, pensant atteindre la France sans aucune difficulté. Ils ne s’attendaient pas à une résistance des Belges : et pourtant !
Très vite les Allemands ont craint les Belges car ils étaient persuadés que de nombreux francs-tireurs se cachaient dans la population.
A Vielsalm, durant l’occupation, un coup de feu s’est fait entendre pendant la nuit. Les Allemands, persuadés qu’il s’agissait d’un franc-tireur, ont pris de nombreuses personnes en otage : des gens importants dans la commune (par exemple, le Bourgmestre Jules-Joseph Talbot). Ils ont demandé aux Salmiens une rançon de 20 000 francs, faute de quoi ils fusillaient les otages.
Durant toute la durée de la prise d’otages, le doyen Hallet s’est dévoués pour le bien -être des captifs. IL a vivement protesté contre cette prise d’otages.
Les Salmiens se sont organisés et ont pu récolter la somme demandée. Les otages n’ont donc pas été fusillés, mais bien déportés.
Le doyen Hallet a rassemblé ses fidèles et leur a annoncé qu’il avait confiance en la Vierge Marie : elle veillerait sur les prisonniers salmiens. Il promit à ses fidèles de rendre hommage à la Vierge si les déportés revenaient sains et saufs.
Ce fut le cas : Tous les déportés revinrent assez vite, à l’exception de l’un d’eux , décédé en Allemagne (la raison de sa mort est inconnue).
Le doyen Hallet décide donc de construire à Vielsalm une grotte dédiée à la Vierge, qui est en fait la reproduction fidèle de la grotte de Lourdes (rue de la Grotte, à la sortie de Vielsalm vers Grand-Halleux)«
Le père Patrick Peyton avait un pacte à honorer.
En 1941, le père Patrick Peyton avait un pacte à honorer. Treize ans plus tôt, il avait quitté son Irlande natale pour l’Amérique. Il avait d’abord travaillé comme employé d’entretien à la cathédrale de Scranton, en Pennsylvanie, tout en finissant ses études secondaires, puis il était entré au noviciat des Pères de Sainte-Croix en 1932. Tout allait bien jusqu’à ce que le jeune Patrick se mette à cracher du sang. Le diagnostic tombe en 1939 : tuberculose avancée.
Le pronostic était sombre. Peyton conclut cependant un marché avec la Sainte Mère : si elle le guérissait, il consacrerait sa vie à la promotion de la paix par le biais du Rosaire. La Vierge accepta le marché. Tous les signes de la tuberculose disparurent et, le 15 juin 1941, Patrick était ordonné prêtre.
Pour respecter son engagement, le père Peyton s’est tourné vers les médias, qu’il a utilisés pour aider les personnes dévastées par la guerre à comprendre que la paix dans le monde commence par la paix dans les cœurs et les foyers. Comme il l’a expliqué dans le slogan qu’il a popularisé, « La famille qui prie ensemble reste ensemble. Un monde en prière est un monde en paix« .
Pour aider les gens à mettre ce slogan en pratique, Peyton a lancé le Family Theater et la Family Rosary Crusade (Croisade du Rosaire en Famille). Au cours de sept décennies, le Family Theater a produit un programme radiophonique à succès et de longue durée, ainsi que des émissions spéciales à la télévision et des films qui, dans les premières décennies, mettaient en scène des stars hollywoodiennes de premier plan, telles que Bing Crosby, Grace Kelly et Loretta Young, promouvant la foi, la prière et les valeurs familiales.
Pour sa part, la Family Rosary Crusade a cherché à populariser l’idée d’un chapelet familial du soir et continue à parrainer des rassemblements autour du chapelet dans le monde entier. Du vivant du père Peyton, le mouvement s’est étendu à l’Europe, à l’Asie et à l’Amérique latine. Avant sa mort, ces efforts ont valu au père Peyton le surnom de « prêtre du Rosaire« . Après sa mort, le 3 juin 1992, ils lui ont également valu le titre de « Serviteur de Dieu« . Le pape François l’a déclaré « vénérable » le 18 décembre 2017. Elizabeth Kidney, 29 avril 2024 https://catholicvote.org/the-rosary-priest/
Reçu par mail de « Une minute avec Marie ».
Le Royaume de Dieu a été inauguré dans la souffrance de Jésus.
Dieu s’est donné à nous sous la forme d’un homme, Jésus. Fils de Dieu, il a donné sa vie pour nous et aujourd’hui il se donne sous la forme du PAIN CONSACRE en sa mémoire.
Sans cesse critiqué, le pape François continue à nous exhorter à partir du message de Jésus.
Le discours de Jésus sous forme de paraboles, se conclut par les trois similitudes : le « trésor caché » (v. 44), la « perle précieuse » (v. 45-46) et le « filet de pêche » (v. 47-48).
Dans le premier cas, il s’agit d’un paysan qui tombe par hasard sur un trésor caché dans le champ où il travaille. Le champ ne lui appartenant pas, il doit l’acheter s’il veut entrer en possession du trésor : il décide donc de risquer tous ses biens pour ne pas perdre cette occasion vraiment exceptionnelle.
Dans le deuxième cas, nous trouvons un marchand de perles précieuses ; en connaisseur expert, il a repéré une perle de grande valeur. Il décide lui aussi de tout miser sur cette perle, au point de vendre toutes les autres.
Ces similitudes mettent en évidence deux caractéristiques concernant la possession du Royaume de Dieu : la recherche et le sacrifice.
Il est vrai que le Royaume de Dieu est offert « à tous », c’est un Don, c’est un cadeau, c’est une grâce, mais il n’est pas mis à disposition sur un plateau d’argent, il exige un dynamisme : il s’agit de « chercher », de « marcher », de « se donner » de la peine.
L’attitude de la recherche est la condition essentielle pour trouver ; il faut que le cœur brûle du désir de rejoindre le Bien précieux, c’est-à-dire le Royaume de Dieu qui se fait présent dans la personne de Jésus. C’est Lui le trésor caché, c’est Lui la perle de grande valeur. Il est la découverte fondamentale, qui peut donner un tournant décisif à notre vie, en la remplissant de sens.
Face à la découverte inattendue, aussi bien le paysan que le marchand se rendent compte qu’ils sont en face d’une occasion unique à ne pas laisser échapper, c’est pourquoi ils vendent tout ce qu’ils possèdent. L’évaluation de la valeur inestimable du Trésor conduit à une décision qui implique aussi sacrifice, détachements et renoncements.
Quand le trésor et la perle ont été découverts, c’est-à-dire quand nous avons trouvé le Seigneur, il ne faut pas laisser cette découverte stérile, mais lui sacrifier toutes les autres choses. Il ne s’agit pas de mépriser le reste, mais de le subordonner à Jésus, en Le mettant, Lui, à la première place. La grâce à la première place. Le disciple du Christ n’est pas quelqu’un qui s’est privé de quelque chose d’essentiel ; c’est quelqu’un qui a trouvé beaucoup plus : il a trouvé la joie pleine que seul le Seigneur peut donner. C’est la joie évangélique des malades guéris, des pécheurs pardonnés, du larron pour lequel s’ouvre la porte du paradis.
La joie de l’Evangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus. Ceux qui se laissent sauver par Lui sont libérés du péché, de la tristesse, du vide intérieur, de l’isolement.
Avec Jésus Christ, la joie naît et renaît toujours (cf. Evangelii gaudium, n. 1).
Aujourd’hui, nous sommes exhortés à contempler la joie du paysan et du marchand des paraboles. C’est la joie de chacun de nous quand nous découvrons la proximité et la présence consolante de Jésus dans notre vie. Une Présence qui transforme le cœur et nous ouvre aux besoins et à l’accueil des frères, spécialement des plus faibles.
Prions, par l’intercession de la Vierge Marie, afin que chacun de nous sache témoigner, à travers les paroles et les gestes quotidiens, de la joie d’avoir trouvé le trésor du Royaume de Dieu, c’est-à-dire l’Amour que le Père nous a donné à travers Jésus. » Pape François (Angelus du 30 juillet 2017)
(La police est dénigrée d’où la multiplication des zones de non-droit. )
18 Si je dis au méchant : “Tu vas mourir”, et que tu ne l’avertis pas, si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise afin qu’il vive, lui, le méchant, mourra de son péché, mais à toi, je demanderai compte de son sang.19 Au contraire, si tu avertis le méchant, et qu’il ne se détourne pas de sa méchanceté et de sa conduite mauvaise, lui mourra de son péché, mais toi, tu auras sauvé ta vie. https://www.aelf.org/bible/Ez/3
Résistons aux manœuvres du diable avec la Vierge Marie et saint Michel.
01 Un grand signe apparut dans le ciel : une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles. 02 Elle est enceinte, elle crie, dans les douleurs et la torture d’un enfantement. 03 Un autre signe apparut dans le ciel : un grand dragon, rouge feu, avec sept têtes et dix cornes, et, sur chacune des sept têtes, un diadème.
07 Il y eut alors un combat dans le ciel : Michel, avec ses anges, dut combattre le Dragon. Le Dragon, lui aussi, combattait avec ses anges, 08 mais il ne fut pas le plus fort ; pour eux désormais, nulle place dans le ciel. https://www.aelf.org/bible/Ap/12
On se demande pourquoi Dieu permet le mal.
08 Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur. 09 Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.
Inutile de discuter les plans de Dieu, de remettre en question son choix de passer par Marie … Donner sa vie à Dieu, se consacrer à Lui, prier avec le cœur, c’est notre seul recours contre la violence, la guerre, le mal sous toutes ses formes.
S’intéresser au passé de la France, notre grande sœur dans la foi, peut rendre fiers les Français.
« Les traditions rapportent qu’après l’Ascension du Seigneur, Lazare et ses sœurs vécurent un temps en Palestine auprès de Marie, la mère Jésus. Elles attestent également que Lazare, craignant pour sa nouvelle vie, fut obligé de se cacher. Ressuscité d’entre les morts par Jésus il demeurait un signe évident de la puissance miraculeuse du Fils de Dieu. C’était pour les adversaires de la jeune Eglise une personnalité à faire disparaître, au plus vite.
Lors de la première persécution, dont le martyre du diacre Etienne fut le signal, Lazare et ses sœurs quittèrent le pays par voie maritime. Ils n’étaient pas seuls. Se remémorant la prophétie du Christ annonçant que la Palestine serait bientôt ravagée, d’autres chrétiens, dont Trophime et Maximin (deux des 72 disciples), Marcelle (servante de Marthe), Sidoine (l’aveugle-né guéri par Jésus), Marie Jacobé et Marie Salomé (toutes deux parentes de la mère du Christ), Sarah (servante de Marie Salomé), les suivirent.
La tradition les fait arriver près de l’embouchure du Rhône, sur la plage où a été bâtie l’église de Notre Dame de la Barque, appelée aujourd’hui église des Saintes Maries de la mer. Le but premier du voyage devait être Marseille. Les relations avec la cité phocéenne étaient faciles à cause du commerce pratiqué entre son port et les rivages de la Méditerranée. La fortune personnelle de Lazare, Marthe et Marie Magdelaine favorisa certainement cet exode, mais aussi l’installation sur la terre des Gaules de ces aventuriers de la Foi. »
« A chaque jour suffit la peine. » Prendre un jour à la fois.
Nick Vujicic né sans bras ni jambes: « Dieu ne vous abandonnera jamais et la situation que vous traversez en ce moment ne durera pas éternellement. »
NB: Nick est devenu prêtre et il évangélise des milliers de personnes.
Internet produit du bon et il est un excellent outil pour l’évangélisation.
Carlo Acutis est reconnu comme le saint patron des geeks.
« Carlo était un garçon de notre époque donc il a vécu ce que vivent les jeunes d’aujourd’hui. Mais ce qui est l’ordinaire, il a su le transformer en extraordinaire. Parce qu’au centre de sa vie il a mis la présence vivante et réelle de Jésus , surtout dans le Très Saint Sacrement. A partir de l’âge de 7 ans, il allait à la messe tous les jours pour recevoir la communion et faire un peu d’adoration eucharistique avant ou après la messe. »
Chacun est appelé à faire grandir un monde nouveau.
Ouvrons les yeux ! Oui, il faut que ça change ! Nous voulons un MONDE NOUVEAU
01 Si donc vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. 02 Pensez aux réalités d’en haut, non à celles de la terre.
09 Plus de mensonge entre vous : vous vous êtes débarrassés de l’homme ancien qui était en vous et de ses façons d’agir, 10 et vous vous êtes revêtus de l’homme nouveau qui, pour se conformer à l’image de son Créateur, se renouvelle sans cesse en vue de la pleine connaissance. 11 Ainsi, il n’y a plus le païen et le Juif, le circoncis et l’incirconcis, il n’y a plus le barbare ou le primitif, l’esclave et l’homme libre ; mais il y a le Christ : il est tout, et en tous. 12 Puisque vous avez été choisis par Dieu, que vous êtes sanctifiés, aimés par lui, revêtez-vous de tendresse et de compassion, de bonté, d’humilité, de douceur et de patience.
16 Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et reprenez-vous les uns les autres en toute sagesse ; par des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez à Dieu, dans vos cœurs, votre reconnaissance.
ANNEXE
Sainte Marthe Vierge (+ vers l’an 81)
Sainte Marthe était soeur de Marie Madeleine et de Lazare. C’est elle qui dirigeait la maison de Béthanie et s’en montrait digne par sa douceur et son amabilité envers les siens, par sa charité envers les pauvres et par l’hospitalité si dévouée qu’elle offrait au Sauveur et à Ses disciples. Un jour, Marthe était absorbée par les soins domestiques, tandis que Madeleine se tenait aux pieds de Jésus. Marthe se plaignit:
« Seigneur, dites donc à Marie de venir m’aider, ne voyez-Vous pas qu’elle me laisse toute la charge?
Marthe, Marthe, lui dit le Maître, vous vous agitez trop. Une seule chose est nécessaire; Marie a choisi la meilleure part, et elle ne lui sera point enlevée. »
C’est Marthe qui fit prévenir Jésus de la maladie, puis de la mort de son frère Lazare: « Seigneur, Lui dit-elle, dès qu’elle L’aperçut, si Vous eussiez été ici, mon frère ne serait pas mort. » Et Jésus lui donnant des paroles d’espérance: « Seigneur, ajouta-t-elle, je crois que Vous êtes le Christ, Fils du Dieu Vivant. »
Après la mort de la Très Sainte Vierge, Marthe subit le sort de Lazare et de Madeleine: exposée par les Juifs endurcis sur une frêle barque, à la merci des flots irrités, elle est portée avec les siens vers les beaux rivages de la Provence. Là elle participe à l’apostolat de son frère Lazare, qui devint évêque de Marseille, et à la sainte vie de Madeleine.
Marthe est devenue célèbre par l’enchaînement d’un dragon. Au moment où elle commençait à prêcher la foi sur les rives du Rhône, un monstre effroyable, connu sous le nom de Tarasque, jetait la terreur dans toute la contrée. Un jour que Marthe annonçait la parole divine dans la ville de Tarascon, la foule s’écria: « Si vous détruisez le dragon, nous embrasserons votre foi.
Si vous êtes disposés à croire, répondit Marthe, tout est possible à celui qui croit. » Et seule elle s’avance vers la caverne du monstre. Pour combattre cet ennemi, Marthe se munit du signe de la Croix; le monstre baisse la tête et tremble. Elle s’avance, l’enlace avec sa ceinture et l’amène comme un trophée de victoire aux habitants, et bientôt la Tarasque tombe écrasée sous les coups vengeurs de tout le peuple. En triomphant de ce monstre, Marthe avait triomphé du dragon infernal.
Marthe s’établit dans la ville, devenue chrétienne, se fit la servante des pauvres, et fonda une communauté de vierges.