Moïse lui dit : « Serais-tu jaloux pour moi ? Ah ! Si le Seigneur pouvait faire de tout son peuple un peuple de prophètes ! Si le Seigneur pouvait mettre son esprit sur eux ! » (Moïse Exode 11: 29)
Annonçons-le : C’est le « début de la fin du monde … de l’égoïsme. »
Les inondations donnent à chacun l’occasion de faire tomber certains a-priori. Pas de racisme quand on est tous dans le même panier !
Des jeunes – dont des Marocains – sortent de sa maison une
dame prisonnière des eaux. Cette dame ne leur a pas demandé leur origine
ethnique, religieuse … Dans de tels moments,
il n’y a pas de racisme, n’est-ce pas ? D’où qu’elle vienne, l’aide
est la bienvenue.
Grève de la faim des sans-papiers – Leur situation doit être dénoncée, mais avec discernement. Il faut bien expliquer!
Fait de vie. Une amie raconte son dernier contact avec un sans-papier.
-Je t’invite
le 21 juillet chez moi avec la famille de mon mari que tu connais.
-Pas
possible, mon patron a besoin de moi.
-SVP,
affranchis-toi ! Un 21 juillet, fête de la Belgique, tu as droit à
réclamer un congé vu que tu es sans
cesse à son service en toutes circonstances! Ton patron a une femme, des
enfants, des connaissances, … Ce 21 juillet, qu’ils comptent sur eux mais pas
sur toi ! Tu as BESOIN de te changer les idées, de VIVRE !
Ce matin, à
la messe, j’ai pensé à toi. On a entendu
le passage de la Mer Rouge par Moïse et son peuple. Sais-tu au moins que tout
le peuple israélien n’a pas suivi Moïse ?
Certains ont préféré rester en esclavage !
-Et tu as
pensé à moi ?
-Bien-sûr ! Je pense beaucoup à ta situation et je prie pour toi et ta famille restée au pays ! A toi de te bouger ! Je fais ce que je peux de mon côté comme tu le sais.
Des chaines de télévision libres, des politiciens qui ont un autre discours aident à discerner.
Je cherche des politiciens et journalistes qui ont de la sagesse. Informons-nous à différentes sources! Ouvrons notre esprit!
Pass sanitaire : « Macron n’a plus de limites » ! – Nicolas Dupont-Aignan – Le Zoom – TVL
Dieu nous parle à travers les signes de la nature.
Lors de ses visites, le père Rémels s.j. montre une photo prise dans le ciel de Medjugorje. Oui, Dieu se fait comprendre. Et si nous ne le comprenons pas, prenons plus de temps avec lui!
Dieu parle à
travers les autres.
Fait de la vie quotidienne: Mon mari revient penaud du magasin. Il me dit : « J’ai perdu mon portefeuille. » Je n’ose pas lui demander s’il a tenu compte de mon conseil de ne pas garder d’argent sur lui …
Alors qu’Etienne se met en recherche de son portefeuille dans les parkings des magasins, je me dirigeai vers le tiroir où d’ordinaire il déposait son portefeuille. J’avais voulu y aller avant qu’il ne parte mais il m’en avait empêché : « Non, c’est au magasin que je l’ai perdu ! » En fin de compte, il y était dans ce tiroir! Rentré à la maison, il me dit : « Je l’y ai mis sans réfléchir ! » « Oui ! Il faudrait de temps en temps écouter les intuitions! » … surtout quand on vieillit et qu’on oublie …
Bref: Nous pourrions éviter pas mal de difficultés si nous étions plus attentifs à ce que nous disent « les autres ». C’est valable pour moi d’abord: Etienne me reproche de ne pas savoir écouter! « Je vais faire plus attention! »
Dieu peut nous parler à travers n’importe qui, croyants, non croyants, adultes, enfants, … mais attention aux faux-prophètes ! Discernons !!!
L’Eglise
prophétique…
Mgr Dupuy fait la description du BON prophète. Gare aux faux prophètes.
Ne pas baisser les bras et témoigner / Mgr Dupuy – 11 juillet 2021
L’Eglise ne prêche pas ce que les puissants souhaitent entendre dire, disait le pape Benoit XVI. Ses critères sont la vérité et la justice même si c’est contre les applaudissements et contre le pouvoir humain. Frères et sœurs, le prophète comme le disciple n’est pas un chien muselé incapable d’aboyer. Il ne cherche ni à plaire aux puissants ni à les flatter. Il n’est pas non plus un amuseur. Il ose dire NON quand il faut dire NON. Le prophète clame et proclame ce que Dieu lui demande de dire. Il s’efface devant la parole qu’il propage. …
Les prophètes s’exposent
à tous les dangers.
Cette histoire n’avait
jamais été racontée. Celle des nombreuses vies sauvées de la terreur durant la
dictature en Argentine, par le jeune provincial des jésuites de Buenos Aires,
le Père Jorge Mario Bergoglio, qui deviendra le pape François. Le journaliste
Nello Scavo a enquêté et interrogé de nombreux témoins qui affirment tous avoir
été sauvés par lui. Dans ce document exceptionnel, il revient sur l’affaire de
la disparition des deux prêtres jésuites Jalics et Yorio, avec de nouvelles
preuves en faveur du Père Bergoglio.
« Jorge Bergoglio a
fait émigrer de nombreuses personnes traquées par les militaires, en mettant en
danger sa propre vie. » Alicia Oliveira, magistrate en Argentine.
« Il m’a sauvé la vie en me faisant sortir de prison. » José Manuel de la Sota, membre du Parti justicialiste argentin.
« Je me suis toujours demandé si Bergoglio était bien conscient du risque qu’il prenait en me cachant. Si nous avions été arrêtés, on l’aurait accusé de protéger un rebelle. » Gonzalo Mosca, syndicaliste argentin.
« Bergoglio n’était pas d’accord avec tous mes choix, mais il m’a sauvé en déjouant les services secrets et m’a aidé à fuir une mort certaine. » Père José-Luis Caravias, prêtre-ouvrier argentin.
« Prophète du Seigneur, lève-toi parmi tes frères. » Cantique.
Des prophètes s’expriment à travers leurs oeuvres artistiques, journalistiques, leur style de vie …
Medjugorje,
signe prophétique pour notre temps.
Depuis le 24 Juin 1981, des jeunes du petit village de Medjugorje, en
Bosnie-Herzégovine, sont formés à l’école de Marie de Nazareth elle-même. C’est Dieu qui nous l’envoie pour nous
fortifier, nous consoler, nous éclairer …
Jakov Colo avait 10 ans au début des apparitions. Marie choisit généralement des enfants car ils sont accueillants au merveilleux de Dieu.
L’avenir est entre les Mains de Dieu, que cela nous plaise ou non.
Si nous prions beaucoup, nous nous en porterons bien. Moins de peur en l’avenir grâce à plus d’abandon dans les Mains de Dieu. Allons-nous accueillir Marie, ambassadrice du Ciel?
40 ans d’apparitions mariales à Medjugorje.
Revue : Les enfants de Medjugorje.
Medjugorje, 40 ans avec Marie, et après ? par Sœur Emmanuel. Anniversaire des apparitions !
Jésus-Christ
est le Prophète par excellence. Il est le VERBE de Dieu !
Fait de vie. Rencontre avec un réfugié musulman.
Il me dit : – Ce qui me frappe, c’est que, dans le Coran, on dit que Jésus est le verbe de Dieu. Je n’arrête pas d’y penser.
-Est-ce que Dieu peut nous tromper ? Non ! J’en conclus donc que Jésus dit la vérité, toute la vérité, parce qu’il est Dieu. Seul Dieu connait tout et dit toute la vérité. Il est le VERBE de Dieu!
-Le problème, Rachid, c’est que les musulmans pensent que Jésus n’est pas mort sur la croix. C’est douloureux pour un chrétien d’entendre de telles paroles! C’est même un blasphème! (1)
-On nous a appris que c’est un sosie qui a pris sa place.
-C’est vraiment mal connaitre Jésus. En venant dans le
monde, Jésus voulait prendre la dernière place, celle de l’esclave dont la vie
ne compte pas. Il est venu pour servir, non pour régner en maitre et se faire
servir ! Pour donner l’exemple ! Magnifique, non ?
-Tu sais, Rachid, le monde a peu besoin de chefs. Il en faut, oui, mais pas trop ! Par contre, la société a besoin de personnes qui servent les autres : de pompiers, instituteurs, garde-forestiers, infirmiers, … à commencer par les mamans qui donnent leur vie pour leurs enfants (…)
-Jésus est un vrai modèle de service ! Sais-tu par exemple, qu’après la multiplication des pains, le peuple voulait en faire un roi ? Il a dû se sauver !! J’apprécie sa Parole en Matthieu au chapitre 20.
(NB : Fils de l’Homme : Jésus se désigne lui-même
par ces termes tirés de l’AT)
Vue
prophétique du cardinal Ratzinger (future pape Benoit XVI) sur l’avenir de
l’Eglise.
L’Eglise ne prêche pas ce que les puissants souhaitent entendre dire. (Mgr Dupuy)
Pakistan: Shahbaz Bhatti, un homme avec un rêve.
Témoignage du voyant Jakov Colo à Medjugorje. Servir.
Cantiques :
Red River Valley #1 • Chants scouts
Par toute la terre (Criez de joie, Christ est ressuscité) – Chant de l’Emmanuel
Jésus est le chemin
Grain de blé
Chant gestué « Tu
aimeras »
CANTIQUE Kendji Girac – OH PRENDS MON ÂME *❤️👍🙏*
Give us your peace – Full Album (1h) Mladifest – Medjugorje Song
Marche de la paix #1 • Chants scouts
Nous voulons pour
tous les hommes Le travail, le pain, la joie, la liberté. • Notre chant nous
engage, Luttons, mes frères, Portons l’amour au monde entier. • Nous voulons
pour tous les peuples Le droit de régler sans peur leur destinée. • Nous
pensons que cette terre Doit d’abord donner le pain aux affamés. • Nous
briserons les frontières Pour unir d’un seul effort l’humanité. • Nous fondrons l’acier des armes Pour forger
l’acier qu’il faut pour labourer. • Nous
combattrons toute haine Nous arracherons
leurs fers aux opprimés. • Nous croyons que la lumière Chassera pour tous, un jour l’obscurité.
La miséricorde
en action auprès des personnes âgées.
Témoignage personnel : Maman est restée à son domicile, près de nous, jusqu’au jour où il fut nécessaire de la placer car elle devenait dangereuse pour elle-même et pour les autres. En institution, rapidement sa santé s’améliora: café plus léger, repas et repos à heure régulière dans un contexte détendu, etc …
Pour ma part je fais l’éloge de la maison de repos et de soins où a vécu ma maman. Merci au personnel soignant. Merci à Tininane, Franco-Algérienne que maman aime beaucoup. (Vidéo réalisée avant pandémie)
Merci au personnel qui tient compte de la soif spirituelle de ses résidents. Même la messe de Pâques, maman l’a suivie de sa chambre. « Ses lèvres remuaient » nous confia une infirmière. Or maman est muette depuis quelques mois. Oui, Maman priait. Malgré la vieillesse, l’Alzheimer n’empêche pas Dieu de visiter une âme qui l’aime. « Rien n’est impossible à Dieu ». « Heureux ceux qui croient. »
Utilité des maisons de repos.
Vu l’allongement de la durée de la vie, il est
nécessaire d’ouvrir de nombreuses maisons de repos et de soins (MRS -EPHAD).
C’est une consolation de constater que les anciens sont
bien encadrés dans les maisons de repos, qu’ils y reçoivent les soins d’un personnel
qualifié et parfois très doux, gentil
avec les personnes fragiles.
Les anciens sont parfois/souvent plus heureux quand
ils sont placés en institution que quand ils restent seuls dans leur maison.
Les enfants bien accueillis en maison de repos.
Fait de vie : Mon fils et moi-même nous arrivons à la maison de repos accompagnés de 6 ou 7 enfants. Quand la porte de la pièce commune s’ouvrit, une ancienne lança joyeusement : « Les jolies colonies de vacances, merci papa merci maman… » et nous l’avons accompagnée de nos chants et éclats de rire !
A dénoncer: les institutions cruelles.
Les pièces communes sont presqu’invisibles et trop petites, les personnes âgées restent seules dans leur chambre. On ne leur donne pas d’eau entre les repas… Les soignants sont absents très longtemps. En parler avec le personnel. Peut-être une autre maison de repos conviendrait mieux à l’être que nsou chérissons. Parfois, il convient de dénoncer les dérapages à l’AVIQ.
Missonnaires, en route! Bougeons-nous là où Dieu nous attend sous les traits du plus petit.
« Ce que vous faites au plus petit d’entre les
miens c’est à Moi que vous le faites. » (Jésus de Nazareth)
La mission est donc comme un fleuve unique : Père, Fils, apôtres …avec une destination unique : le monde.
Elle n’est pas prosélytisme acharné, désir de recrutement, obsession de la perdition, comptabilité des effectifs, comparution devant le bureau de douane (pape François). Elle est offre d’hommes et femmes libres à des hommes et femmes libres. Elle est proposition d’Évangile par des envoyés qui débordent de la joie d’avoir eux-mêmes été pardonnés et qui désirent offrir la même joie aux autres.
Elle est mouvement universel de re-création. Le salut du monde ne sera
jamais œuvre d’hommes mais de la puissance récréative de l’Esprit de
Miséricorde.
Au milieu des disciples le Seigneur diffuse son pardon et sa paix. Et il nous souffle à la rencontre de tous les hommes pour agir comme lui : consoler, soigner, relever, nourrir, révéler le Père, ouvrir les yeux, faire entendre la vérité.
Pandémie, pauvreté grandissante, planète en péril, conflits partout,
gaspillage : la tâche est immense. Mais l’Esprit est puissant et nous fait
traverser la mort. Heureux ceux qui croient sans avoir vu le Ressuscité et qui
le voient encore souffrant sa passion chez les pauvres.
07 Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu. 08 Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
A l’attention du personnel de la maison de repos et de soins. (Marie-Jeanne)
Lors du décès de maman, ma soeur a exprimé ce beau message à travers lequel on devine qu’il n’est pas facile d’aimer, qu’il faut savoir pardonner…
Cantiques :
Olé Chœur – L’amour jamais ne passera
Ma joie
Le chant de la Miséricorde
✥ Taizé – Misericordias Domini
Glorie Mielului – BBSO
I can see Jesus, high and exalted My eyes are fixed upon His face It
shines like the sun I can see Jesus, clothed in glory He is high and lifted up
And His train fills the temple And all of the angels cry Holy All the saints
cry Holy All creation cries Holy Holy is the Lamb All praise unto the Lamb Who
sits on the throne Honor and power, dominion and praise Unto the Lamb Who was
and is And is to come Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah Hallelujah All Praise
unto the Lamb Who sits on the throne Honor and power Dominion and praise
Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah Hallelujah
Je peux voir Jésus, haut et exalté Mes yeux sont fixés sur son visage Il brille comme le soleil Je peux voir Jésus, vêtu de gloire Il est haut et élevé Et son train remplit le temple Et tous les anges crient Saint Tous les saints crient saint Toute la création crie Saint Saint est l’Agneau
SUPPLEMENT
Dignité et mission des personnes âgées dans l’Eglise et dans le monde Pape François
Mal traités (vidéo) La nature est un cadeau de Dieu hors de prix. » Nous nous heurtons à un scepticisme d’un monde médical qui ne peut pas croire que ces HE aient un intérêt scientifique. »
Il est fondamental de cultiver un esprit serein, optimiste et positif, car, pour quiconque renonce à vivre, il n’existe pas de remède. Père Romano ZAGO (Du cancer on peut guérir)
Les uns refusent le vaccin, d’autres l’accueillent avec
joie, d’autres encore regrettent s’être fait vacciner. Quoi qu’il en soit, il
est bon d’être POSITIF.
Aide-toi, le ciel t’aidera.
La foi en Jésus-Christ (qui peut tout) favorise notre confiance en la VIE. Dieu nous aime, c’est important de distinguer les actions qui viennent de Dieu de celles qui ne viennent pas de lui. La foi nous pousse à l’action. Nous avons un rôle à jouer. « Aide-toi, le ciel t’aidera. » Poser un regard critique sur ce qui nous est proposé sur les medias mainstream et les medias libres, non-subventionnés, c’est nécessaire pour ne pas agir en moutons de panurge.
Nous tourner vers des aliments sains (limiter le sucre qui est un grand tueur), adopter un mode de vie simple (à la campagne quand c’est possible), rencontrer de bonnes personnes, faire du sport, de la musique, prier, méditer, AIMER, tout cela favorise la santé. … N’aie pas peur, mais confie-toi à l’Eternel!
Ne crains pas – Les Padrés
Les médias mainstream n’encouragent pas une façon simple de concevoir la VIE. Cherchons ailleurs.
Cherchons donc nos informations là où l’on nous propose des
comportements positifs. Posons un regard critique sur tout ce que nos
gouvernants nous proposent. Ce ne sont pas des saints. Pour rappel : le régime de Vichy dirigé par Philippe Pétain, avait encouragé les Français à
collaborer avec Hitler. Et des Français avaient répondu à cet appel
meurtrier en dénonçant des Juifs ! Horreur ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Collaboration_en_France
Toute ressemblance avec une situation existante ou ayant existé NE serait PAS purement fortuite.
Aujourd’hui, les termes « dictature » « dénonciation » « arrestation » « surveillance », … reviennent dans la bouche de nombreux médecins, scientifiques, politiciens et autres quidams. La mise en place d’une forme évidente de dictature a été facilitée par la pandémie. Des réactionnaires (appelés à tort « complotistes ») invitent à faire passer leurs messages de VIE. Choisissons bien notre camp.
Les autorités n’ont rien inventé. Voici une ordonnance vieille de 80 ans. A remettre au gout du jour!
Ce documentaire « MAL TRAITES » n’est pas apprécié des autorités.
Pourquoi? Ecoutez plutôt, faites-vous un jugement personnel. Voir vidéo un peu plus bas.
Avant l’apparition du Covid 19, des personnes bien intentionnées avaient donné de judicieux conseils pour protéger notre santé.
En cas de pandémie : – ne pas développer la peur car celle-ci détruit l’immunité. – chercher par TOUS les moyens comment en sortir.
Reconnaissons que ces deux conseils sont bafoués par les autorités sanitaires et politiques. POURQUOI? Comment leur faire confiance?! Comment suivre toutes leurs idées? Il est bien normal de les remettre en question. Mais c’est défendu!!!
Docteur Erbstein : Un médecin parle. Un médecin raconte. Un médecin dénonce.
Prendre soin de sa santé
nécessite quelques efforts.
Aussi je ne vais pas vous mâcher le travail en relevant les nombreux passages intéressants de cette vidéo. Je n’en relève que quelques-uns. Je vous demande instamment d’écouter en entier cette vidéo. Notre santé dépend largement de nous-mêmes. Nous devons agir, réagir pour ne pas devenir (ou rester) des moutons de panurge, des autruches.
MAL TRAITÉS I Covid 19, le documentaire CHOC
Le microbe
n’est rien, le terrain est tout.
Le stress est
une agression psychologique. Le stress concourt à nous carencer en nutri-éléments,
en magnésium et donc à détruire nos
défenses immunitaires.
Dr J.J Erbstein : “Le gouvernement nous a laissé seuls en première ligne pour mener la guerre face au Corona”
On a vu monter en puissance l’épidémie et on a vu mourir des patients. … en respectant scrupuleusement la doxa gouvernementale, la règle des 4 D : Doliprane (= Dafalghan), Dodo, Domicile, Décès.
… Ça fait 25 ans que mes patients me font confiance, on ne peut quand même pas leur dire : « Restez chez vous, attendez que ça passe. » On ne peut tout de même pas commencer à laisser mourir les gens sans lever le petit doigt.
Il a alors fait une prescription qui a bien marché et d’autres médecins en ont fait autant.) azythromycine, un médicament pour les voies respiratoires et puis du zinc… 48 heures après : plus aucun symptôme. J’ai soigné 80 patients : O hospitalisation, O décès.
Cherchez bien: Où est l’erreur ?
Les trois médecins qui ont pratiqué avec succès le même genre de traitement ont été convoqués par le Conseil de l’Ordre des médecins ! Ils ne pouvaient plus faire de pub pour ces traitements efficaces.
Comment expliquer cette guerre complètement folle, complétement délirante contre l’hydroxychloriquine ? (Dr Raoult)
Journal Le Soir
Maman, je suis trop petit pour recevoir un vaccin! Pense à moi! (Commentaire personnel à la photo puisée sur facebook)
« Je ne suis pas complotiste,
mais constatiste »
Un combat s’est
engagé entre ceux qui accordent toute leur confiance au gouvernement et les
autres, ceux-là qui constatent, par exemple, que le vaccin fait beaucoup de
dégâts et qu’il faudrait le remplacer par une médecine préventive.
Sur le site EudraVigilance :
les effets secondaires de tous les médicaments qui sont sur le marché.
NEW! Pour consulter les rapports sur les
vaccins contre la COVID-19, suivez ce lien, puis cliquez sur la lettre C et faites défiler jusqu’à «COVID-19».
Manifestation du 14 juillet à Paris.
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.
La phytothérapie et
l’aromathérapie méritent de retrouver leurs lettres de noblesse.
Dans la médecine allopathique
traditionnelle, il y a un énorme parti-pris contre les vitamines.
Donc en tant que médecin, promouvoir des vitamines parait
non-scientifique et inconvenant.
La vitamine D en traitement aurait pu sauver des milliers de malades.
Pendant que l’hydroxychloriquine était diabolisée, d’autres molécules efficaces ont été purement et simplement ignorées. C’est le cas de la colchicine.
Plus notre terrain est solide, moins le virus est dangereux.
Le plus grand antiviral que la nature ait créé : le ravintsara.
Cette huile essentielle qui
vient de Madagascar est d’une puissance extraordinaire.
Son efficacité sur les virus est
bien connue.
En mélangeant une huile essentielle (HE) avec un antibiotique, on rend à l’antibiotique son efficacité sur le microbe qui lui résistait précédemment parce que l’HE a été ouvrir des portes dans le biofilm dans lequel le microbe se sentait réfugié comme entouré d’un rempart. Et c’est ça ce que l’HE offre ….
Nous nous heurtons à un
scepticisme d’un monde médical qui ne peut pas croire que ces HE aient un
intérêt scientifique.
Si vous ne pouvez pas breveter
une molécule, vous ne ferez jamais d’étude dessus. C’est pour ça qu’il n’y a
pas d’étude sur la phytothérapie, l’homéopathie, c’est pour ça que
l’hydroxychloriquine n’a pas été mise en avant.
Si l’on parle de l’hydroxychloriquine, si l’on parle de la colchicine, si l’on parle d’autres molécules naturelles ou synthétiques comme la vitamine C, cela ne fait pas vivre les actionnaires de l’industrie pharmaceutique. Et pour l’industrie pharmaceutique, il faut du nouveau. Et l’innovation, cela se paie! Cher!
Notre santé, notre bien le plus précieux est à la merci d’un écosystème où la santé des actionnaires prévaut sur celle de la population.
Pour l’industrie pharmaceutique, il faut du nouveau. Et l’innovation, cela se paie! Cher!
Sommes-nous des cobayes ?
Le vaccin est testé sur certaines catégories de personnes.
D’autres restent bien à l’abri.
Mr le président Macron déclarait attendre quelques mois avant de faire le vaccin vu qu’il a contracté le Covid il y a peu de temps. Pour de simples citoyens, faire la maladie n’empêche pas d’être appelés à être vaccinés juste après !
Livre: Du cancer, on peut guérir.
Notes personnelles : Je
connais des personnes qui, sans chimio,
ont été guéries d’un cancer suite
à la prise de l’aloès arborescens associé à une nourriture saine : pain
d’épeautre, fruits et légumes de bonne qualité.
D’autres malades ont fait une
chimiothérapie tout en prenant de l’aloes arborescens. Elles n’ont pas eu les
effets secondaires liés à la chimio : inflammation de la bouche, de la
vessie, vomissements, fièvre, perte de poids importante, la plaie qui ne se
referme pas… Non, rien de tout cela. L’aloès arborescens leur a permis de vivre
sereinement leur traitement médicamenteux.
Visionnaire depuis son enfance, sainte Hildegarde de Bingen a obéi à une voix venue du ciel lui disant : « Écris ce que tu
vois et ce que tu entends ». Elle sera ainsi l’auteur d’ouvrages célèbres
directement inspirés par ses visions à propos des plantes médicinales et de la
nature. Délaissée pendant des siècles, la science d’Hildegarde de Bingen,
proche de la médecine chinoise, a été réétudiée et on reconnaît aujourd’hui son
aspect visionnaire.
Oui, la foi fait des miracles parfois très surprenants !
TÉMOIGNAGE : JÉSUS A GUÉRI SON BÉBÉ CONDAMNÉ SELON LA MÉDECINE
13 L’un de vous se porte mal ? Qu’il prie. Un autre va bien ? Qu’il chante le Seigneur.
14 L’un de vous est malade ? Qu’il appelle les Anciens en fonction dans l’Église : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur.
La mort est le terme normal de la vie sur terre. On est tous appelés à mourir. La mort n’est pas une catastrophe (pour celui qui part)! Elle est la voie d’accès à la VIE en plénitude. Heureux sommes-nous si nous savons nous abandonner dans les bras de notre Père des cieux. (Voir suppléments) *Expression de saint François d’Assise
« L’abandon est le fruit délicieux de l’amour. » Thérèse de Lisieux.
PRIONS: Dieu a des choses à nous dire.
Comme Il l’a fait avec Moïse, Dieu appelle chacun de nous à partir les épines de sa
vie. Osons Lui parler de tout, de la vie, de la mort, de la maladie, de la
santé … Et écoutons-Le.
« Là où le péché abonde, la grâce surabonde. »Heureux sommes-nous si nous croyons.
Pape François
invite à donner « l’huile de la tendresse » à la personne
malade.
L’Evangile qu’on lit aujourd’hui dans la liturgie raconte que
les disciples de Jésus, envoyés par lui, «oignaient d’huile beaucoup de malades
et les guérissaient» (Mc 6, 13). Cette «huile» nous fait aussi
penser au sacrement de l’Onction des malades, qui réconforte l’esprit et le
corps. Mais cette «huile» c’est aussi l’écoute, la proximité, la sollicitude,
la tendresse de qui prend soin de la personne malade:
c’est comme une caresse qui fait se sentir mieux, qui apaise la douleur et
soulage. Nous tous, tous, nous avons besoin tôt ou tard de cette «onction» de
la proximité et de la tendresse, et nous pouvons tous la donner à quelqu’un
d’autre, à travers une visite, un coup de téléphone, une main tendue à qui a
besoin d’aide. Rappelons-nous que, dans le protocole du jugement dernier
– Matthieu 25 – l’une des choses que l’on nous demandera sera
la proximité avec les malades.
L’Europe retrouve l’espérance lorsque l’homme est au centre de ses institutions. Saint Benoît, priez pour nous! (Pape François)
La Règle de saint Benoît est comme une lumière pour notre chemin. Le grand moine demeure un véritable maître à l’école de qui nous pouvons apprendre l’art de vivre le véritable humanisme. (Pape Benoit XVI)
Attaquée (notamment) par le matérialisme à outrance, l’Europe perd son âme. Des extrémistes * profitent de son affaiblissement pour tenter d’imposer leurs vues. Ils souhaitent importer chez nous la guerre dite « sainte » qui est en fait diabolique. Grâce à leur rayonnement, les moines ont la force nécessaire pour renverser cette situation. Encore faut-il des vocations !
* Voir en supplément : « Dans la peau d’une djihadiste ».
« Ne rien préférer à l’amour du Christ » « Prie
et travaille »
Le 11 juillet, lors de la fête de Saint Benoit, j’ai eu le bonheur d’assister à la messe à l’abbaye Notre-Dame de la Paix à Chimay, messe célébrée par un moine de Scourmont.
Voici desextraitsdes homélies de père Jacques PINEAULT et de Don Armand VEILLEUX. (NB : La mise en relief est personnelle.) Egalement un rappel du martyre des moines de Tibhirine.
HOMELIE de père Jacques PINEAULT (Extraits)
Frères et sœurs,
« Ce dont nous avons surtout besoin en ce moment de
l’histoire, ce sont d’hommes qui, à travers une foi éclairée et vécue, rendent
Dieu crédible en ce monde… Ainsi Benoît de Nursie, comme Abraham, est-il
devenu le père de nombreux peuples » (ndlr : Cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoit XVI.)
Saint Benoît est né à Nursie autour de 480. Après une
période d’études à Rome, il s’est retiré à Subiaco où il a vécu environ trois
ans en ermite dans une grotte auprès du monastère du moine Romain. En 500
environ, il a commencé à réunir des disciples en fondant treize monastères de
douze moines chacun, réunis autour d’un abbé, sur le modèle des apôtres. (…)
CHERCHER DIEU.
Le but de l’institution conçue par saint Benoît était
de favoriser la recherche de Dieu comme unique but de la vie. “Chercher Dieu”,
tel est l’idéal que saint Benoît propose au frère qui demande à entrer au
monastère ; et pour favoriser cette recherche, il organise la communauté autour
de la lecture méditative des Saintes Écritures, de la prière, du travail manuel
et de cet ensemble d’activités qui permettent la vie pratique et le
développement des relations de charité fraternelle.
« Parce que l’oisiveté est l’ennemie de l’âme … Que
chacun vive de son propre travail ».
Aux nouveaux peuples, le plus souvent nomades,
habitués à vivre sous le ciel avec, à l’horizon, une terre à parcourir avec
leurs flèches et leurs chevaux, les monastères offraient l’exemple d’une vie
communautaire dans laquelle les différentes occupations – la prière, l’étude,
le travail, la réfection, la discussion, le repos, etc. – avaient lieu dans des
temps fixés et dans des lieux prescrits.
On ne pourra jamais évaluer à fond la force
civilisatrice et éducatrice de cette régularité dans le travail qui se
diffusera partout à partir des monastères, au rythme du tintement sévère de la
cloche qui appelle aux différentes occupations : « Parce
que l’oisiveté est l’ennemie de l’âme », dira saint Benoît.
Le développement de l’Europe est lié de manière indissoluble à la force rayonnante et structurante de l’intuition spirituelle de saint Benoît.
Il y a là une
concrétisation convaincante de la foi évangélique qui devient presque
naturellement culture et levain de choix sociaux qui, si je peux me permettre
cette expression un peu hardie, laisseront entrevoir du XIe au XIIe siècle –
l’époque de Cluny et de Cîteaux – le rêve réalisé d’une Europe civilisée et
unifiée au nom du Christ.
Comme on l’a déjà dit, cette phrase, mais je
préfèrerais dire ce programme de vie, se trouve dans la Règle de Saint Benoît (…)
Elle fonde la spiritualité des martyrs avec celle des
moines. Je crois que notre temps est l’un des plus sensibles à la fascination
de ce message. La recherche de la simplicité volontaire en est un exemple.
Combien de gens ont été déçus après avoir découvert que les objectifs qu’ils
s’étaient fixés sont bien vite devenus périmés en amour, en amitié, en biens matériels,
en exploits de toutes sortes ! Quand le pape Jean-Paul II appelait chacun à
rechercher et à vivre une haute sainteté, il invitait à parcourir les sentiers
de la vérité et du courage, justement comme les moines et les martyrs.
« Et celui qui aura quitté, à cause de mon nom, des maisons, des frères, des sœurs, un père, une mère, des enfants, ou une terre, recevra le centuple »* (Mt 19,29).
Si tu veux bien m’avoir comme ton unique trésor, si tu
veux bien t’unir à moi et ne vivre que pour moi, en « ne mettant rien avant
l’amour du Christ » comme disait saint Benoît, alors, mon Père qui t’aime d’un
amour infini te dira :
« Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi » (Lc 15,31).
Bien sûr, le disciple de Jésus n’est pas condamné à
vivre dans la misère en ce monde. La grâce de Dieu pourvoit à ses besoins réels
et même au surplus. Mais ce n’est pas cela qui doit motiver le disciple. Le
véritable héritage du chrétien est le cœur de Dieu. Ce trésor est infiniment
plus important que toutes les richesses de la terre. Mais pour le découvrir, il
faut en faire l’expérience.
Comme les moines de tous les temps, nous devons nous aussi rechercher la vérité avec confiance et ténacité,
… sans craindre la fatigue et sans avoir peur de
parcourir dans toute leur complexité les sentiers de la culture moderne,
imitant ainsi les communautés monastiques médiévales qui, proches des villes ou
perdues au milieu des forêts, placées dans des contextes chrétiens ou
éparpillées dans des landes païennes hostiles ou indifférentes, maintenaient
leur “pas”, fait de prière, d’étude, de travail et d’amour dans l’attente du
retour du Christ.
Saint Benoît ne voyait pas dans l’hôte un ennemi, mais bien un frère. Il insistait beaucoup sur l’hospitalité et l’accueil, à une époque où il y avait tant besoin d’accueil. Des mots qui sont étonnamment contemporains. Pape Françoishttps://www.vaticannews.va/fr/eglise/news/2018-07/saint-benoit.html
01 Que demeure l’amour fraternel ! 02 N’oubliez pas l’hospitalité : elle a permis à certains, sans le savoir, de recevoir chez eux des anges.
Dans les monastères vivant selon la Règle de saint
Benoît, nous célébrons aujourd’hui la Messe et l’Office de saint Benoît, même
si c’est un dimanche.
(…) Dans le Prologue de sa Règle, saint Benoît dit qu’il écrit celle-ci pour ceux qui désirent la vie et avoir des jours heureux. Or, dans l’Évangile que nous venons d’entendre Jésus, dès le début de son ministère public, décrit à ses disciples en quoi consiste le bonheur :
« Bienheureux les pauvres de cœur,… bienheureux les doux, …bienheureux ceux qui ont faim et soif de justice, etc ».
Comme toute vie chrétienne, la vie monastique consiste d’abord dans un effort de vivre ce programme de bonheur que sont les béatitudes
L’histoire de l’humanité,
comme celle des institutions humaines – que celles-ci soient civiles ou
religieuses — est faite de grands cycles au cours desquels de brèves périodes
de grande stabilité – appelées « âge d’or » — sont suivies de périodes plus
longues de désintégration avant que ne commence d’autres longues et lentes
périodes de reconstruction.
Benoît vécut à une de ces époques charnières où, dans une culture qui achevait de se désintégrer apparaissaient déjà les germes d’une culture nouvelle. Il fonda son monastère de Monte Cassino, après celui de Subiaco, à l’époque où s’écroulait l’Empire romain d’Occident sous les invasions barbares. Sa rencontre avec Totila, racontée par saint Grégoire dans ses Dialogues, est un puissant symbole de la rencontre de l’Esprit ancien du Christianisme avec la vitalité bouillonnante des peuples nouveaux. Dans le long processus de regroupement de ces peuples nouveaux, d’abord dans l’Empire de Charlemagne (appelé « père de l’Europe » par le poète Angibert en 799), puis tout au long de l’histoire mouvementée de la Chrétienté médiévale, les monastères vivant selon la Règle de saint Benoît, jouèrent un rôle capital.
Nous vivons, à notre époque, une transition semblable entre un ensemble de cultures occidentales qui se désintègrent et une humanité nouvelle en train de s’engendrer. C’est sans doute pourquoi, Paul VI, durant la seconde session du Concile Vatican II, et au début de son pontificat, proclama saint Benoît Patron de l’Europe. (…)
Ce qui frappe lorsqu’on
jette un regard d’ensemble sur cette grande tradition bénédictine, c’est qu’il
s’agit d’un esprit qui est, finalement assez indépendant des
structures dans lesquelles il s’incarne à chaque période et en chaque contexte
culturel déterminé. Benoît a réuni une petite communauté à Subiaco, puis a
fondé un petit monastère à Monte Cassino, et une douzaine d’autres petits
monastères dans les alentours. Dans les quelques siècles qui suivirent tous ces
monastères — y compris Monte Cassino — furent détruits et toutes ces
communautés furent dispersées.
Mais l’esprit demeura
vivant et diverses petites communautés naquirent et se maintinrent en Italie
jusqu’à la refondation de Monte Cassino et l’époque du Pape saint Grégoire qui
donna à l’esprit bénédictin un grand élan missionnaire. Il y eut de grands
mouvements rénovateurs comme celui de Cluny au XIème siècle et celui de Cîteaux
au XIIème siècle.
L’Europe fut couverte de
grandes abbayes comptant souvent des centaines de moines et qui, pour la
plupart, disparurent après quelques siècles d’existence. Et pourtant l’esprit qui
s’était manifesté dans la Règle de Benoît continua toujours de se maintenir et
de se transmettre, de générations en générations, de siècles en siècles, à
travers de petites communautés, la plupart du temps fragiles et
précaires, sans grand renom et sans aucune fanfare autour d’elles.
L’Europe doit aux
monastères de la famille bénédictine une grande partie de sa tradition
culturelle, y compris architecturale. Mais ce n’est là, pourrait-on dire, qu’un
sous-produit de sa spiritualité. Là n’est pas l’essentiel ni de son héritage et
encore moins de son message. L’esprit de Benoît doit se maintenir, se maintient
et se maintiendra, comme un levain d’Évangile au cœur de l’Europe, comme au
cœur du reste de l’humanité, essentiellement à travers d’humbles et petites
communautés incarnant simplement et humblement l’esprit de l’Évangile tel qu’incarné
dans la forme de vie chrétienne décrite par Benoît dans sa Règle de vie pour
les moines.
Saint Benoît, Patron de cette Europe nouvelle en gestation.
L’Europe nouvelle vit actuellement une crise. Il est devenu évident qu’une communauté économique n’est pas possible sans une communauté politique et sociale. Il est urgent de transcender l’idée de « nation », qui, avec tout ce qu’elle comporte de fierté, sinon d’orgueil, et de désir d’hégémonie, a fait éclater l’Europe médiévale à l’âge des grandes révolutions, donnant naissance à une Europe conquérante, rappelée à l’humilité par la tragédie des deux guerres mondiales.
Ce sont ces conséquences tragiques des tensions entre les nouveaux états-nations qui conduisirent quelques grands politiciens, qui étaient aussi des hommes de foi, un Adenauer, dont un fils devint prêtre, un De Gasperi, co-fondateur de la Démocratie Chrétienne en Italie, un Robert Schuman dont le procès de béatification est en cours, tous souvent inspirés par le penseur Jean Monnet, à développer l’idée d’une Europe nouvelle qui soit une communauté. Paul VI, qui avait été un diplomate avant d’être Pape, était très sensible à cette aspiration à une communauté européenne. Et c’est pourquoi il nomma saint Benoît Patron de cette Europe nouvelle en gestation.
Si l’inspiration
communautaire de saint Benoît a eu un tel succès à travers les siècles, c’est
qu’elle ne fait que donner une expression particulière au message de
l’Évangile, et spécialement à celui que nous trouvons dans l’Évangile
d’aujourd’hui.
Paul, dans sa lettre aux Colossiens, nous rappelle que toute communauté – qu’elle soit monastique, paroissiale, familiale ou européenne – ne peut se bâtir que sur l’humilité, le respect mutuel, le pardon – en un mot, ne peut se bâtir que sur l’amour mutuel. Armand VEILLEUX
A Tibhirine (Algérie) des
moines cisterciens ont donné leur vie jusqu’à accepter le martyre.
Don Armand Veilleux rend visite à ses frères trappistes de Tibhirine .
Dans la nuit du 26 au 27 mars
1996, dans le contexte de la guerre civile algérienne, sept moines du monastère
de Tibhirine étaient enlevés par un commando. Seuls deux religieux échappèrent à
cette rafle. L’annonce de leur assassinat, deux mois plus tard, suscita un
immense choc en Algérie. Mais aujourd’hui, leur héritage spirituel se vit dans
la présence reconnue et appréciée de l’Eglise d’Algérie, dont le rayonnement a
été particulièrement mis en lumière par la béatification des martyrs, le 8
décembre 2018 à Oran.
DES HOMMES ET DES DIEUX
– Bande Annonce Officielle – Lambert Wilson / Michael Lonsdale
Oui, ce qui est très beau dans leur message c’est qu’ils n’ont pas
voulu lâcher la main de l’ami qui souffrait à côté d’eux. Ils auraient très
bien pu partir, mais comme la population souffrait autour, ils sont restés
solidaires de cette population, donc c’est un appel pour nous aussi à vivre des
gestes de solidarité concrets, surtout en ce moment de crise sanitaire. Ils
peuvent être un modèle pour nous tous au quotidien.
Leur enlèvement et leur élimination ont évidemment été une tragédie épouvantable pour la petite Église d’Algérie, mais finalement on a vu plus de 20 ans après, lors de la béatification à Oran, que ces moines mais aussi les autres religieux martyrs d’Algérie avaient une fécondité immense, qu’ils avaient permis aux chrétiens de bénéficier d’une amitié, d’un respect, d’une reconnaissance, d’un amour même, de la part d’une grande partie de la population algérienne musulmane. Est-ce finalement cela, le chemin chrétien? Comme le Christ lui-même, d’un échec apparent, tirer une victoire plus grande et presque inespérée?
Et le miracle c’est aussi que l’enlèvement des moines, qui avait
pour but de créer un fossé entre chrétiens et musulmans, d’opposer l’islam à
l’occident, ça s’est transformé en grâce de fratellanza comme
dirait le Pape François, de fraternité universelle, et ça a beaucoup rapproché
les croyants de diverses confessions.
Les abbayes cisterciennes portent l’attribut « Marie » dans leur nom.
Abbaye Notre-Dame de l’Atlas, abbaye Notre-Dame de la Paix, abbaye Notre-Dame de Scourmont, …
Marie est vraiment présente dans la vie monastique. C’est pourquoi je me permets d’attirer votre attention sur Medjugorje, lieu d’apparitions mariales depuis 40 ans. Le pape François reconnait ces apparitions. Marie souhaite nous accompagner les uns et les autres dans les moments difficiles que nous vivons. Libre à nous d’accepter de prendre sa main ou de la refuser.
Commentaire seul du mercredi 26 juin 2021 à 21h00 avec Sr Emmanuel de Medjugorje
Choeur des Moines de l’Abbaye de Tamié – Salve Regina
SUPPLEMENTS.
Envoyé spécial. Margaux, femme de Daech, l’impossible retour – 9 novembre 2017 (France 2)
Patrick Buisson : « La volonté de l’Eglise de s’ouvrir au monde a eu des effets pervers »
On ne peut pas aider pour assister les gens. Assister les gens c’est les rendre dépendants des autres. … Aujourd’hui, même s’ils vivent difficilement, ils ont retrouvé la fierté d’être comme les autres et maintenant ils regardent les gens dans les yeux. Et nos enfants ne mendient plus, ils nous disent simplement : « Comment t’appelles-tu ? » …Et les parents quand ils me voient dans la rue, me disent : « Mon Père, donne-moi du travail » plus jamais (ils ne disent): « Donne-moi de l’argent. » Père Pedro.
Né en Argentine, de parents d’origine slovène, il choisit de devenir missionnaire. Prêtre Lazariste, il découvre la détresse de milliers de familles sur l’immense décharge de Tananarive à Madagascar. Il passe de suite à l’action. Aujourd’hui lorsque le dimanche il célèbre la messe sur l’ancien dépotoir, c’est une foule de 7 à 8 000 personnes qui prie avec lui.
Père Pedro choqué par la misère.
Je passe à travers une décharge et là je reçois un électrochoc de voir tant d’enfants qui se disputaient la nourriture avec les animaux … Je suis resté muet, je ne pouvais plus parler. Je me suis dit : « Ici il faut agir ! »
Le lendemain je suis allé à la décharge et ils m’ont dit « Toi, le blanc qu’est-ce que tu veux ? » « Parler avec vous »
En 30 ans de combat (en 2019), l’association est venue en aide à 500 000 personnes, 4000 maisons ont été construites …
C’est une ville qui vit comme toutes les autres villes mais avec la différence (que) chez nous il y a un peu plus de joie. Nos enfants sont devenus de vrais enfants, ils jouent, ils sont heureux rien que d’exister… Ils sont 14 mille enfants qui vont à l’école et qui aujourd’hui préparent leur avenir. Ils sont toujours derrière moi et ils me poussent.
L’académie française a créé un mot « Heureux » On ne peut pas l’écrire au singulier. On ne l’écrit qu’au pluriel. Ça veut dire qu’on ne peut pas être heureux tout seul.
Notre monde peut
changer si, à l’image de Père Pedro, missionnaire pour notre temps, chacun se
laisse à son tour bousculer par la misère des plus démunis et des blessés de
notre société. (Pierre Lunel)
Ensemble Vocal l’Alliance – Ta nuit sera lumière de midi
Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu (St Paul)
01 La foi est une façon de posséder ce que l’on espère, un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas. 02 Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens, c’est à cause de leur foi. …
L’abbé Pierre a aussi contribué à faire connaitre Père Pedro.
L’abbé Pierre: « Lorsque j’ai vu la misère de Madagascar, une horrible misère d’enfer, poussé par la révolte et l’indignation, j’ai cru que j’allais blasphémer….Heureusement je suis arrivé chez le père Pédro et là, j’ai découvert que dans l’enfer, il était possible de créer des petits paradis ».
Il est admis qu’aujourd’hui la pratique dominicale, comme marqueur d’appartenance active à l’Église catholique romaine, est tombée à environ 2 % de la population en France, contre 25 à 30 % il y a soixante ans. C’est dire qu’un nombre considérable de personnes, et pas uniquement parmi les plus jeunes, s’est détaché, souvent sur la pointe des pieds, de l’Église Il catholique.
Parmi cette masse, certains sont devenus des athées du Dieu de leur enfance, des agnostiques sévères ou des indifférents tranquilles. Chacun s’y reconnaîtra. À côté, il y a pourtant une population non négligeable qui cherche, elle, une autre manière de croire, une autre façon de se comporter comme chrétiens.
Ceux qui le font visiblement se rattachent, à des degrés variés et sous des stratégies propres, à la Conférence catholique des baptisés francophones (ccbf), au Réseau des Parvis, à l’association Nous sommes aussi l’Église (nsae), au courant historique Témoignage chrétien, à la communauté des lecteurs de Golias.
La question en vient alors à se poser : à l’intérieur du christianisme catholique, qui aujourd’hui représente qui ? Qui parle pour qui ?
Dans notre pays, la situation est dans une situation médiatique qui n’est pas des meilleures….À tous les niveaux des médias, on n’y lit, on n’y voit ou on n’y entend quasiment jamais ceux qui essayent de vivre et de penser un christianisme alternatif…L’Église catholique romaine institutionnelle ne représente pourtant qu’une face du christianisme et de sa tradition. ( …) C’est ce qu’on appelle dans la Bible la tradition sacerdotale, celle du Temple et de la Loi, menacée sans cesse par le ritualisme et le légalisme, et dont Jésus combattit les profondes déviations.
L’autre tradition, c’est celle du mouvement, d’un rapport jamais fermé à la vie et à l’évolution des sociétés, d’une adhésion aux changements culturels et aux mouvements de libération des opprimés de la vie. C’est la tradition représentée par les prophètes de la Bible juive (Esaïe, Élie, Jérémie, Malachie…) et par le maître de Nazareth. Un homme qui n’était pas un prêtre mais un laïc, pour qui la guérison de l’humain était plus importante que les préceptes juridiques hérités d’époques révolues et qui portait l’idée d’un Dieu « dont la gloire est l’homme vivant » (saint Irénée). Cette mouvance promeut une autre théologie, une autre manière de parler de l’existence chrétienne. …
La question est de savoir comment susciter une prise de conscience parmi ceux qui ne sont pas totalement endormis dans leurs certitudes et comment soutenir ceux qui s’interrogent encore sur un christianisme d’avenir, et qui frôlent parfois la désespérance ; comment établir une meilleure liaison entre ceux qui pensent qu’il est encore possible de transmettre un message d’une grande richesse ; comment inventer une nouvelle théologie comme vient de le suggérer Christoph Theobald, professeur au Centre Sèvres à Paris, ou comment produire un nouveau récit de la foi dans notre culture du XXIe siècle. (cf note ci-dessous)
Le changement est pour partie entre les mains de ceux qui, à la télévision, à la radio, dans la presse, dans l’édition, pressentent ou comprennent l’urgence de sortir de la répétition et de l’enfermement actuel, et envisagent la possibilité de donner à d’autres que ceux que l’on voit, que l’on entend ou que l’on lit habituellement, la possibilité de s’exprimer et de débattre. Notre appel sera-t-il entendu ?
Robert Ageneau, Robert Dumont et Jacques Musset, de l’équipe « Pour un christianisme d’avenir »
En note : « Une recherche monolithique ne peut pas nous conduire très loin. Nous avons besoin d’avoir une approche théologique plurielle. Nous sortons d’une époque durant laquelle nous avons eu peur de tout ce qui était différent… Nous sommes à un moment charnière, tout particulièrement en Europe. Développer une prospective est essentiel, alors que l’Église est anesthésiée par le nombre moindre des vocations, par les questions éthiques de la société, par la pandémie. Il n’y a pas de vision face à l’incertitude, alors même que nous devrions vivre de cette vertu centrale qu’est l’espérance et développer, comme dans la Bible, des rêves d’avenir ». Interview de Christoph Théobald par Christophe Henning, recueillie le10 mai 2021 et publiée dans la version numérique de La Croix, le jour suivant.
§ 49 – ….. « Sortons, sortons pour offrir à tous la vie de Jésus-Christ. Je répète ici pour toute l’Église ce que j’ai dit de nombreuses fois aux prêtres et laïcs de Buenos Aires : je préfère une Église accidentée, blessée et sale pour être sortie par les chemins, plutôt qu’une Église malade de la fermeture et du confort de s’accrocher à ses propres sécurités.
Je ne veux pas une Église préoccupée d’être le centre et qui finit renfermée dans un enchevêtrement de fixations et de procédures. Si quelque chose doit saintement nous préoccuper et inquiéter notre conscience, c’est que tant de nos frères vivent sans la force, la lumière et la consolation de l’amitié de Jésus-Christ, sans une communauté de foi qui les accueille, sans un horizon de sens et de vie.
Plus que la peur de se tromper, j’espère que nous anime la peur de nous renfermer dans les structures qui nous donnent une fausse protection, dans les normes qui nous transforment en juges implacables, dans les habitudes où nous nous sentons tranquilles, alors que, dehors, il y a une multitude affamée, et Jésus qui nous répète sans arrêt : « Donnez-leur vous-mêmes à manger » (Mc 6, 37).
Prière finale à Marie
Marie, obtiens-nous maintenant une nouvelle ardeur de ressuscités pour porter à tous l’Évangile de la vie qui triomphe de la mort. Donne-nous la sainte audace de chercher de nouvelles voies pour que parvienne à tous le don de la beauté qui ne se ternit pas.
Pape François : La Joie de l’Evangile – éd. Fidélité – 10 €
« Vous avez de la joie à prier et moi je n’ai pas ça. »
Sœur Emmanuelle Maillard évoque sa grand-mère qui, à 102 ans, regrettait ne pas trouver de joie dans la prière. Avec sa communauté, Emmanuelle pria pour sa grand-mère et ô miracle: Six mois plus tard, celle-ci déclara : « Tu te souviens de notre dernière conversation ? Eh bien ma chérie, c’est fait. J’ai maintenant de la joie à prier. » (L’Enfant caché de Medjugorje p 283)
Merci de m’aimer, Dieu. Thank you.
Si nous nous sentons aimés de Dieu, remercions-le sans attendre. Si ce n’est pas encore le cas, demandons la prière des frères et soeurs priants. C’est suite à la prière d’une communauté que la grand-mère de soeur Emmanuelle a fait l’expérience bouleversante de se sentir aimée. Moment inoubliable mis en musique par de nombreux artistes.
La prière
est le fruit d’un combat intérieur.
Pape François : Aucun des grands orants que nous rencontrons dans la Bible et dans l’histoire de l’Eglise n’a eu une prière « confortable ». Oui, oui on peut prier comme des perroquets – bla , bla, bla, bla, bla – mais ce n’est pas une prière.
La prière apporte assurément une grande paix, mais à travers un combat intérieur, parfois dur, qui peut accompagner des périodes parfois longues de la vie.
Prier n’est pas une chose facile et c’est pourquoi nous fuyons la prière. Chaque fois que nous voulons le faire, de nombreuses autres activités nous viennent immédiatement à l’esprit, qui à ce moment-là apparaissent plus importantes et plus urgentes. Cela m’arrive aussi : je vais prier un peu… Et non, je dois faire ceci et cela… Nous fuyons la prière, je ne sais pas pourquoi, mais c’est ainsi. Presque toujours, après avoir reporté la prière à plus tard, nous nous apercevons que ces choses n’étaient pas du tout essentielles, et que nous avons peut-être perdu du temps. L’Ennemi nous trompe ainsi.
« Notre tristesse
infinie ne se soigne que par un amour infini » Pape François
Celui qui goûte à cet amour peut affronter les difficultés de la vie tout en gardant toujours en lui une parcelle de cette joie. Pour le pape, la rencontre avec le Christ n’est pas réservée à une petite élite. Tout au contraire : « quand quelqu’un fait un petit pas vers Jésus, il découvre que celui-ci attendait déjà sa venue à bras ouvert » (EG 3). Pourquoi ne pas entrer nous aussi dans ce fleuve de joie, demande alors le pape ? https://www.eglisejura.com/?p=966
La prière
décape, permet de résister au diable et fait briller.
Prions et Dieu nous soufflera ce qu’Il attend de nous : d’abord un bon nettoyage de notre petite personne qui nous fera briller.
Nous « brillerons » d’autant plus si nous entrons dans le projet que Dieu a sur nous: ouverture aux autres, partage, ….
Ceux qui profitent le plus de la vie sont ceux qui mettent la sécurité de côté et se passionnent pour la mission de communiquer la vie aux autres. Une joie profonde est donc indissociable de l’ouverture aux autres, du partage, de l’attention à ceux qui sont dans le besoin.
N’ayez pas peur de l’avenir ! Osez rêver grand ! C’est à ces grands rêves que je voudrais vous inviter aujourd’hui. S’il vous plaît, ne faites pas de petites choses : volez haut et rêver en grand ! » (Pape François)
La prière permet de pardonner et rend léger pour avancer.
Genève, le 10 juin 1959. Daniel Pittet est encore dans le
ventre maternel quand son père tente d’assassiner sa mère. A sa naissance un
mois plus tard, il est déjà un rescapé. (…) . En 1968, à 9 ans, Daniel est
violé par un ce prêtre manipulateur. (…)
Daniel a gardé de son passé de nombreuses séquelles, psychologiques
comme physiques. (…) Le témoignage bouleversant et plein de courage d’un homme
debout, qui, malgré sa souffrance encore vive, a trouvé la force de pardonner à
son bourreau. https://www.payot.ch/Detail/mon_pere_je_vous_pardonne-daniel_pittet-9782848765730
Daniel Pittet est
ce soir sur le plateau d’Un coeur qui écoute, en compagnie de Soeur Marie
Simone. Ils nous racontent cette initiative originale qui permet d’évangéliser
et de donner du travail à des familles chrétiennes de Terre sainte.
Si l’on s’ouvre au Dieu-Homme, qui fait toutes choses nouvelles, alors, Lui, efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf où tout est possible. (Athénagoras)
En Iran, un
homme découvre que Jésus pardonne, que Jésus n’a pas de rancune.
Converti au christianisme, cet Iranien doit fuir pour échapper à son père qui veut le tuer. Voir à 13 minutes la situation des convertis en Iran. (Iran, les chrétiens convertis, avenir de l’Eglise. Kto)
Dieu a pardonné à Daniel, braqueur de banque et Il l’a invité à devenir franciscain.
Né dans une famille catholique, il
s’engage à l’âge de 15 ans dans le militantisme communiste révolutionnaire,
puis sombre peu à peu dans la drogue et la délinquance, jusqu’à braquer
plusieurs banques. Il se convertit à Assise, dans le couvent de saint François.
Aujourd’hui, il veut s’adresser aux jeunes qui sont perdus pour qu’ils soient
visités par Dieu. Un témoignage enregistré par Trinité TV.
Dieu efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf.
Il faut mener la guerre la plus dure contre soi-même. Il faut arriver à se désarmer. J’ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible. Mais maintenant, je suis désarmé. Je n’ai plus peur de rien, car l’amour chasse la peur. Je suis désarmé de la volonté d’avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres. Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement crispé sur mes richesses. J’accueille et je partage. Je ne tiens pas particulièrement à mes idées, à mes projets. Si l’on m’en présente de meilleurs, ou plutôt non pas meilleurs, mais bons, j’accepte sans regrets. J’ai renoncé au comparatif. Ce qui est bon, vrai, réel, est toujours pour moi le meilleur.C’est pourquoi je n’ai plus peur. Quand on n’a plus rien, on n’a plus peur. Si l’on se désarme, si l’on se dépossède, si l’on s’ouvre au Dieu-Homme, qui fait toutes choses nouvelles, alors, Lui, efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf où tout est possible.
(Traduction zenit.org – La mise en relief est personnelle)
Nous fêtons aujourd’hui deux grands Apôtres de l’Evangile et deux colonnes principales de l’Eglise : Pierre et Paul.
Regardons de près ces deux témoins de la foi : au
centre de leur histoire, ce n’est pas leur bravoure, mais plutôt la rencontre
avec le Christ qui a changé leur vie. Ils ont fait l’expérience d’un amour qui
les a guéris et libérés et c’est pourquoi ils sont devenus apôtres et ministres
de libération pour les autres.
Pierre et Paul sont libres seulement parce qu’ils ont été libérés.
Arrêtons-nous sur ce point central.
Pierre, le pêcheur de Galilée, a été tout d’abord
libéré du sentiment d’inaptitude et d’amertume de l’échec, et cela s’est
produit grâce à l’amour inconditionnel de Jésus. Bien que pêcheur expérimenté,
il a fait plusieurs fois l’expérience, au cœur de la nuit, du goût amer de la
défaite de n’avoir rien pêché (cf. Lc 5, 5 ; Jn 21, 5) et, devant les filets
vides, il a eu la tentation de tirer les rames dans la barque ; bien que fort
et impétueux, il s’est souvent laissé prendre par la peur (cf. Mt 14, 30) ;
bien que disciple passionné du Seigneur, il a continué à raisonner selon le
monde sans parvenir à comprendre et accueillir la signification de la Croix du
Christ (cf. Mt 16, 22) ; bien que se disant prêt à donner sa vie pour Lui, il a
suffi qu’il se sente soupçonné d’être des siens pour s’effrayer au point de
renier le Maître (cf. Mc 14, 66-72).
Pourtant, Jésus l’a aimé gratuitement et a misé sur
lui. Il l’a encouragé à ne pas abandonner, à jeter encore les filets à la mer,
à marcher sur les eaux, à regarder avec courage sa faiblesse, à Le suivre sur
la voie de la croix, à donner sa vie pour ses frères, à paître ses brebis. Il
l’a ainsi libéré de la peur, des calculs basés sur les seules sécurités
humaines, des soucis mondains, en lui donnant le courage de tout risquer, et la
joie de se sentir pêcheur d’hommes. Il l’a appelé, lui, à confirmer dans la foi
ses frères (cf. Lc 22, 32). Il lui a donné – nous l’avons entendu dans
l’Evangile – les clefs pour ouvrir les portes qui conduisent à la rencontre
avec le Seigneur et le pouvoir de lier et de délier : de lier les frères au
Christ et de délier les nœuds et les chaînes de leur vie (cf. Mt 16, 19).
Tout cela a été possible seulement parce que – comme
nous l’a raconté la première lecture – Pierre a d’abord été libéré. Les chaînes
qui le retenaient prisonnier ont été brisées et, comme cela s’était produit
dans la nuit de la libération des Israélites de l’esclavage d’Égypte, il lui a
été demandé de se lever rapidement, de mettre sa ceinture et de s’attacher les
sandales pour sortir. Et le Seigneur ouvre grand les portes devant lui (cf. Ac
12, 7-10). C’est une nouvelle histoire d’ouverture, de libération, de chaînes
brisées, de sortie de la prison qui enferme. Pierre fait l’expérience de la Pâque
: le Seigneur l’a libéré.
L’Apôtre Paul a également expérimenté la libération du Christ.
Il a été libéré de l’esclavage le plus oppressant,
celui de son moi, et de Saul, nom du premier roi d’Israël, il est devenu Paul
qui signifie “petit”. Il a également été libéré du zèle religieux qui l’avait
rendu acharné à soutenir les traditions reçues (cf. Ga 1, 14) et violent dans
la persécution des chrétiens. L’observance formelle de la religion et sa
défense par l’épée tirée de la tradition, au lieu de l’ouvrir à l’amour de Dieu
et des frères, l’avaient rendu rigide. C’était un fondamentaliste. Dieu l’a
libéré de cela. Par contre, Il ne lui a pas épargné de nombreuses faiblesses et
difficultés qui ont rendu sa mission évangélisatrice plus féconde : les fatigues
de l’apostolat, l’infirmité physique (cf. Ga 4, 13-14) ; les violences et les
persécutions, les naufrages, la faim et la soif, et, comme il le raconte
lui-même, une épine qui le tourmente dans la chair (cf. 2 Co 12, 7-10).
Paul a ainsi compris que «
Dieu a choisi ce qu’il y a de faible dans le monde pour couvrir de confusion ce
qui est fort » (1 Co 1, 27), que nous pouvons tout en Lui qui nous
donne force (cf. Ph 4, 13), que rien ne peut jamais nous séparer de son
Amour (cf. Rm 8, 35-39). C’est pourquoi, à la fin de sa vie – la
Deuxième Lecture nous l’a raconté – Paul peut dire : « Le Seigneur, Lui,
m’a assisté » et « Il m’arrachera encore à tout ce qu’on fait
pour me nuire » (2 Tm 4, 17.18). Paul a fait l’expérience de la Pâque :
le Seigneur l’a libéré.
Chers frères et sœurs, l’Eglise regarde ces deux
géants de la foi et voit deux Apôtres qui ont libéré la puissance de l’Évangile
dans le monde, uniquement parce qu’ils ont d’abord été libérés par la rencontre
avec le Christ. Il ne les a pas jugés, Il ne les a pas humiliés, mais Il a
partagé leur vie avec affection et proximité, en les soutenant de sa prière et,
parfois, en les reprenant pour les provoquer au changement.
A Pierre, Jésus dit tendrement : « J’ai prié
pour toi, afin que ta foi ne défaille pas » (Lc 22, 32) ;
Il demande à Paul : « Saul, Saul, pourquoi me
persécuter ? » (Ac 9, 4). Jésus fait de même avec nous : Il nous assure
de sa proximité en priant pour nous et en intercédant auprès du Père ; et Il
nous reproche avec douceur quand nous faisons erreur, afin que nous puissions
trouver la force de nous relever et de reprendre le chemin.
Touchés par le Seigneur, nous sommes libérés nous aussi.
Et nous avons toujours besoin d’être libérés, car
seule une Église libre est une Église crédible. Comme Pierre, nous sommes
appelés à être libres du sentiment de défaite face au péché ; libres de la peur
qui nous immobilise et nous rend craintifs, en nous enfermant dans nos
sécurités et en nous ôtant le courage de la prophétie. Comme Paul, nous sommes
appelés à être libres des hypocrisies de l’apparence ; libres de la tentation
de nous imposer par la force du monde plutôt que par la faiblesse qui fait
place à Dieu ; libres d’une observance religieuse qui nous rend rigides et
inflexibles ; libres des liens ambigus avec le pouvoir et de la peur d’être
incompris et attaqués.
Pierre et Paul nous livrent l’image d’une Eglise
remise entre nos mains, mais conduite par le Seigneur avec fidélité et
tendresse ; une Eglise faible, mais forte de la présence de Dieu ; une Eglise
libérée qui peut offrir au monde cette libération qu’il ne peut pas se donner
tout seul : la libération du péché, de la mort, de la résignation, du sens de
l’injustice, de la perte de l’espérance qui avilit la vie des femmes et des
hommes de notre temps.
Demandons-nous : nos villes, nos sociétés, notre monde, à quel point ont-ils besoin de libération ?
Combien de chaînes doivent-elles être brisées et
combien de portes fermées doivent-elles être ouvertes ! Nous pouvons être des
collaborateurs de cette libération, mais seulement si nous nous laissons
d’abord libérer par la nouveauté de Jésus, et si nous marchons dans la liberté
de l’Esprit Saint.
Aujourd’hui, nos frères Archevêques reçoivent le
pallium. Ce signe d’unité avec Pierre rappelle la mission du pasteur qui
donne sa vie pour le troupeau. C’est en donnant sa vie que le pasteur,
libéré de lui-même, devient instrument de libération pour les frères.
Aujourd’hui, la Délégation du Patriarcat œcuménique, envoyée en cette occasion
par le cher frère Bartholomaios, est avec nous : votre présence appréciée est
un précieux signe d’unité sur le chemin de libération des distances qui
divisent scandaleusement ceux qui croient au Christ.
Nous prions pour vous, pour les pasteurs, pour
l’Eglise, pour nous tous : afin que, libérés par le Christ, nous puissions être
des apôtres de libération dans le monde entier. »
Peut-on aimer
Jésus-Christ et ne pas aimer l’Eglise ?
Savez-vous au moins que c’est Jésus lui-même qui l’a
instituée, cette Eglise ? Pourquoi ? Pour prolonger son enseignement,
pour le rendre présent jusqu’à la fin des temps, pour ne pas laisser ses
disciples désemparés après son départ et ainsi éviter autant que possible les
disputes.
Par sa Parole (que l’on découvre dans la Bible),
Parole rapportée et commentée par l’Eglise.
Par sa Présence réelle dans le pain et le vin
consacrés lors de l’Eucharistie,
Par sa Présence quand deux ou trois sont réunis
en son Nom.
L’Eglise est notre mère.
Quelques extraits des lettres des saints
Paul et Pierre.
LETTRE DE
SAINT PAUL APÔTRE AUX EPHESIENS.
Frères, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu, car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ;
22 En obéissant à la vérité, vous avez purifié vos âmes pour vous aimer sincèrement comme des frères ; aussi, d’un cœur pur, aimez-vous intensément les uns les autres, 23 car Dieu vous a fait renaître, non pas d’une semence périssable, mais d’une semence impérissable : sa parole vivante qui demeure.
02 comme des enfants nouveau-nés, soyez avides du lait non dénaturé de la Parole qui vous fera grandir pour arriver au salut, 03 puisque vous avez goûté combien le Seigneur est bon.
07 À vous qui êtes appelés à être saints, la grâce et la paix de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ. 18 Et nous tous qui n’avons pas de voile sur le visage, nous reflétons la gloire du Seigneur, et nous sommes transformés en son image avec une gloire de plus en plus grande, par l’action du Seigneur qui est Esprit. https://www.aelf.org/bible/2Co/3
Quand le médecin annonce que le malade ne s’en sortira pas, on tente une dernière chance … Le monde d’aujourd’hui est agonisant. Grâce à une intervention divine et notre coopération, le monde sortira renouvelé du marasme ambiant. Sans plus attendre, mettons-nous en route pour la réalisation du « plan B », plan de la dernière chance(?) annoncé à Medjugorje. (Cfr fin d’article)
Courage, tout le peuple du pays ! – oracle du Seigneur. Au travail ! Je suis avec vous – oracle du Seigneur de l’univers –, 05 selon l’engagement que j’ai pris envers vous à votre sortie d’Égypte. Mon esprit se tient au milieu de vous : Ne craignez pas ! https://www.aelf.org/bible/Ag/2
Comment obtient-on des interventions divines dans nos vies? Par la foi. La
foi grandit quand on prie intensément. Or beaucoup de nos contemporains ne
savent pas prier.
Prier ce n’est pas seulement crier au secours quand on stresse. C’est avant
tout découvrir combien Dieu nous aime. C’est pourquoi il est important de rencontrer
des chrétiens fervents, joyeux, fermement attachés à Jésus et son Eglise et qui
rayonnent. Par contagion, la foi jaillit, la foi grandit. C’est là le rôle de l’Eglise
(religieux et laïcs) : nourrir la foi en Jésus, le Sauveur.
La catéchèse joue un rôle de catalyseur. Si notre église locale manque
de punch, aidons-la ! Débattre à son sujet et s’engager est devoir
d’état de chaque chrétien.
Merci aux artistes chrétiens qui nourrissent notre foi.
Ce n’est pas bien réfléchi, car, comment peut-on choisir entre l’athéisme
et l’une ou l’autre religion si on ne les connait que
superficiellement ?
Une comparaison : même si nous aimons l’anglais, nous n’attendons pas que nos enfants soient grands pour leur apprendre à parler notre langue maternelle.
Eric Lopatka
Jésus est le Verbe de Dieu. Il nous parle.
Même le coran déclare que Jésus est le Verbe de Dieu. Dieu parle à travers
Jésus, le Verbe. L’écoutons-nous ? Le christianisme, ce n’est pas une religion
comme les autres, ni une philosophie. Le christianisme, c’est une relation avec
une Personne, Jésus-Christ, qui nous
dit : « Suis-moi. »
On ne peut aimer Jésus sans aussi aimer l’Eglise qu’il nous a donnée. Permettre à nos enfants d’en faire partie, c’est les aimer, car ils pourront y puiser force, consolation.
La lettre des Fraternités séculières et sacerdotales Charles de Foucauld (2è trimestre 2021)
Fait de vie: Un réfugié venu d’Iran racontait comment il avait été sauvé de la mort en mer. Dommage que, par la suite, il n’ait pas cherché à connaitre davantage le Sauveur car il aurait ressenti dans sa chair combien il est aimé de Dieu. (NB : Fascinés par Jésus-Christ, c’est en cachette que certains le suivent pour échapper à la persécution.)
Voici son récit :
Nous traversions la mer sur une embarcation légère. Le vent s’est mis à souffler très fort, les vagues secouaient la barque. Nous savions que nous étions perdus ! Quelqu’un a crié : « Jésus, nous arrivons en terre chrétienne. Sauve-nous. » La barque s’est renversée. J’ai nagé pendant plusieurs heures et je suis arrivé sain et sauf sur la plage. Il y avait beaucoup de morts… et moi, je n’étais même pas fatigué ! Merci Jésus! Merci Allah! Merci Dieu!»
Mohamed de Marseille chante pour Jésus.
Le catéchisme n’est pas bourrage de crâne, mais ouverture d’esprit.
Jésus n’appartient pas aux chrétiens seulement. L’avantage d’un chrétien par rapport à celui qui ne l’est pas, c’est qu’il hérite de plus de 2000 ans de christianisme grâce à l’Eglise. Notre héritage spirituel est énorme. Qui donc peut mieux parler de Jésus qu’un chrétien qui aime l’Eglise et se nourrit de son lait ? https://www.dailymotion.com/video/x68436w
Que faire
quand l’Eglise nous déçoit ?
On aimerait que l’Eglise soit parfaite mais elle ne l’est pas car elle est composée de pécheurs.
En cas de problèmes graves, dénoncer sans attendre.
En cas de tiédeur dans l’enseignement religieux, si l’on n’y trouve pas la nourriture spirituelle attendue, en parler franchement, sans plus attendre, avec les autorités.
Tout chrétien a sa place en Eglise et devrait s’y exprimer librement.
« Il faut pouvoir avancer sans questions taboues, en mettant tout sur
la table pour discerner. Il y a un problème lié à ce qu’est en train de devenir
l’Église de France : seuls 34 % des baptisés se disent aujourd’hui
catholiques, et cela ne dit rien de leur attachement à l’institution. Parmi eux
2 % sont pratiquants.
On ne peut pas imaginer que l’Église aille
de l’avant en ne consultant que ces 2 % (de catholiques)
… Jusqu’à présent, beaucoup de bonnes volontés, parmi les baptisés, ont été découragées car seules les tâches administratives ou caritatives leur étaient assignées. Or de nombreux catholiques sont capables et prêts à se retrousser les manches pour des initiatives de transformation ecclésiale, dans lesquelles leur voix aurait de l’importance. Il faut donc que les laïcs de toutes sensibilités, qui représentent 99 % de la tribu, soient impliqués dans le fonctionnement de l’Église, de haut en bas. Qu’ils soient consultés partout. … » Journal La Croix 21 05 2021 – extraits
Apporter sa pierre à l’Eglise en témoignant de son cheminement sprituel.
« L’amour a déjà gagné. On verra un jour sa victoire. » Florian, footballeur professionnel.
Vivre en paroisse, cela se travaille.
En paroisse, nous pouvons dire ce que nous pensons, critiquer ce qui ne va pas, faire des propositions, mais … dans le respect. Jésus lui-même nous invite à veiller sur notre langue.
« Je fais taire tous les bruits qui sont en moi et j’écoute battre le cœur de Jésus en l’autre. » (Jacques, lors d’une Lectio Divina)
En Eglise, on peut discuter
mais les occasions de le faire sont peu nombreuses si l’on ne fait pas partie d’un groupe de partage
(EAP, CLP). Personnellement, j’ai compris que si je ne provoque pas les
occasions de m’exprimer, je devrai garder pour moi aussi bien ce qui me ronge
que ce qui m’enthousiame. Aussi, j’interroge
les uns, j’écoute les autres pour recueillir impressions, déceptions, espoirs,
propositions concrètes, offres d’engagement au service d’un nouvelle
évangélisation… Ensuite j’écris aux
autorités de l’Eglise et j’utilise internet pour diffuser … Je fais donc office de « PONT »
entre des paroissiens et les autorités, simple prêtre, doyen, évêque ou diacre.
Des laïcs
contactent l’évêché. Ils souhaitent une catéchèse plus vivante.
Les courriers
qui sont envoyés à l’évêque reviendront au prêtre responsable de sa paroisse. Donc autant écrire à tout le monde en même
temps. Il n’y a rien à cacher. Des contacts téléphoniques sont aussi les
bienvenus.
Lettre 1 –Bonjour Mgr l’évêque Harpigny, Monsieur le doyen P. Messieurs les abbés … Monsieur le diacre,
Nous sommes des parents ou grands-parents d’enfants qui font leur première communion cette année 2021. Conscients de la chance d’avoir des
catéchistes qui se dévouent pour nos enfants, nous les remercions vivement.
Par cette lettre, nous souhaitons
exprimer notre désir que la formation de nos enfants ou petits-enfants continue
après leur première communion en tenant compte que les célébrations
eucharistiques dans leur forme actuelle ne sont pas adaptées à leur
psychologie. A peine ont-ils fait leur première communion que la plupart
d’entre eux ne veulent plus participer à la messe car ils s’y ennuient.
Pour pallier à leur manque d’intérêt
à l’Eucharistie, nous souhaitons offrir aux enfants une nourriture spirituelle
adaptée à leur âge. L’une de nous a été catéchiste pendant 30 ans. Elle est
disponible et disposée à reprendre cette activité dès aujourd’hui.
Nous proposons que des catéchistes
prennent les enfants en charge durant la messe, (au moins) une fois par mois. Une
des mamans présente à notre petite réunion se souvient avec joie de l’école du
dimanche à l’Eglise Protestante. Elle
souhaite pour sa fille ce même bonheur de vivre entre frères et sœurs chrétiens
unis par Jésus-Christ.
(…) Nous sommes dans une période-clé
pour l’Eglise et le monde. Les anciens paroissiens s’en vont l’un après
l’autre. Les nouvelles générations ne prennent pas le relais. Il est urgent que
les personnes qui aiment l’Eglise se mobilisent, qu’elles agissent
concrètement.
Veuillez agréer, Mgr Harpigny, monsieur le doyen et messieurs
les prêtres et le diacre de la paroisse Chimay-Momignies, nos salutations
respectueuses. Nous vous souhaitons une bonne fête de Pentecôte.
Non à une
pastorale de conservation.
Lettre 2 Des paroissiens sont résignés au déclin de l’Eglise. Ils se consolent par la pensée qu’elle ne mourra pas. C’est vrai que « les forces de la mort ne prévaudront pas contre elle » (Mt 16 :18), cependant, prenons conscience que l’Eglise d’Europe peut disparaitre, en peu de temps d’ailleurs, et nous serons en pleurs comme les chrétiens d’Orient, d’Indonésie, de Chine, du Nigéria, d’Iran …soumis aux terribles lois de la charia (main coupée pour vol, lapidations, répudiation si mari déçu,…)
Bref, bougeons-nous sans tarder ! Je vous invite à
écouter le message de Mgr Dupuy,
chapelain à Lourdes à la fin du chapelet du 13 juin. Il dit
ceci :
« Le croyant
et le prêtre qui s’en remettent à Dieu échapperont à ce que le pape appelle « une pastorale de conservation ». L’un et
l’autre y gagnent peut-être en tranquillité, mais le Royaume, lui, ne grandit pas. … L’Esprit Saint
fait aller de l’avant le Royaume de Dieu, il suscite l’invention, il instille
toujours les moyens d’arriver au bien commun
et rassérène, il engendre,
défend, console, bouscule l’inertie, ….»
Une réponse de l’évêché.
Chers amis, C’est avec joie que nous viendrons réfléchir avec vous sur les propositions d’initiation chrétienne pour les enfants et les familles de votre UP. Pour fixer une date, je pense qu’il faut considérer deux choses :
– Les personnes à inviter – je ne sais si vous avez déjà
à Chimay une équipe de l’initiation chrétienne. Si elle est en fonction suite
au processus Refondation, il me semble essentiel qu’elle soit présente. Sinon,
que puisse être invitées au moins une ou deux personnes par année de catéchèse.
– Le moment favorable – je pense que cela peut être une réunion en après-midi ou en soirée – à vous de voir ce qui convient le mieux aux participants. Pour nous cela peut être fin juin début juillet. Bien à vous.
Comme la cathédrale Notre-Dame à Paris, l’Eglise de Jésus-Christ est en reconstruction et pour avancer vite, nous devons être nombreux à nous consacrer à cette Oeuvre.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. (Luc 1 :53)
Nos enfants sont affamés de Dieu.
Fait de vie: Je suivais une émission sur l’islam pendant que mes petits enfants jouaient dehors. L’un d’eux (4ans) me rejoint et il perçoit quelque chose qui l’interpelle dans l’émission. Il s’exclame alors joyeusement « On parle de Dieu ! » Et il sort pour ameuter ses cousins : « On parle de Dieu ! » « On parle de Dieu ! » Et les voilà tous qui accourent pour regarder l’émission … sur l’islam.
Psaume 41 Mon âme a soif -Respiration sut Kto
Comme je m’étais rendue à l’abbaye Notre-Dame de la
Paix avec mes petites-filles, une
religieuse me posa la question : « Savent-elles prier ? »
Bonne question qui nous replace face à l’essentiel : notre relation à
Dieu.
Apprendre à prier est plus important qu’apprendre à nager à
un enfant qui vit au bord d’un fleuve. Le monde est de plus en plus dangereux
et seule, une prière vraie, une relation vivante avec Dieu peut nous équiper
pour faire face aux mille défis.
S’il vous plait, préparons ensemble nos enfants à entrer
dans ce monde très dur où d’autres spiritualités alléchantes s’installent de
façon inquiétante.
« Si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens. » (Mt 5 :13)
En équipant nos enfants pour le bon combat spirituel, c’est
eux qui amèneront leurs amis à la rencontre avec le Christ. Il n’y a pas
meilleur témoin qu’un enfant qui aime Jésus.
« Je vous le dis : si eux (les disciples) se taisent, les pierres crieront. » (Luc 19 :40)
C’est un tort de lâcher la main des enfants après la première communion en attendant la préparation à la confirmation. Certains ne reviendront plus.
Un tort aussi de ne pas aider les enfants à comprendre certaines lectures de la messe. A titre d’exemple pour ce dimanche de la Fête-Dieu. « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? » https://www.aelf.org/2021-06-06/romain/messe Les enfants savent ce qu’est manger des œufs de Pâques mais « manger la pâque » !!! Ou bien ces paroles sont expliquées ou bien on en dispense les enfants.
Même les
explications du prêtre sont souvent compliquées ! Et le fait de prêcher
pendant 10 minutes, 20 minutes n’arrange vraiment pas l’affaire !
C’est
pourquoi nous souhaitons proposer en PLUS du caté, quelque chose de différent,
soit de vivantes messes pour enfants ou on utilise un langage qu’ils peuvent
comprendre, soit un joyeux groupe de prière où l’on apprend à prier avec son
coeur.
« Il renvoie
les riches les mains vides. » La richesse de nos messes qui sont trop
longues ne nourrit pas les petits …. Sauf grâce exceptionnelle, une Eglise austère qui utilise un
langage compliqué n’attirera plus jamais personne. Si nous ne tenons pas compte de l’évolution
de la société, dans dix ans, la majorité des églises seront fermées. Personne
ne prendra la relève des vieux dinosaures (comme moi) qui la composent
actuellement.
« Jésus leur annonçait la Parole, dans la mesure où ils étaient capables de l’entendre. Il ne leur disait rien sans parabole, mais il expliquait tout à ses disciples en particulier. »(Mc 4 :33)
« Que tous soient un. » (Jn 17 :21)
Jésus nous
supplie de vivre l’unité.
Que les femmes soient davantage écoutées. On les voit souvent au service de la communauté, comme sacristines, nettoyeuses, catéchistes … et priantes. Sans leur participation fidèle aux eucharisties, il faudrait fermer les églises.L’Eglise a besoin d’elles à (presque) tous les échelons de sa construction.
Pas question de supplanter les catéchistes déjà à l’œuvre … Ensemble, on est tellement plus forts, plus vrais. Ce que nous souhaitons, c’est multiplier les occasions pour les enfants de découvrir la beauté de l’Evangile au travers d’autres formes de catéchèse.
Puisque Dieu est notre Père, unissons-nous, frères et sœurs de tout horizon, pour réaliser Sa volonté.
Des enfants musulmans participent volontiers aux cours de religion chrétienne à l’école. Ils aiment prier le Notre Père et ont généralement un grand attachement à Marie, très présente dans le coran. Ils sont les bienvenus dans l’Eglise. Nous les encourageons à découvrir qui est vraiment Jésus, celui que la Bible présente. « Posez des questions ! Qui connait mieux Jésus que l’Eglise née de son Cœur transpercé lors de sa mort sur la croix ? Cessez de croire que c’est un sosie qui a pris sa place. Jésus avait trop d’amour dans le cœur pour laisser la mauvaise place à une autre personne ! »
« Occasion
donnée aux laïcs de reprendre une part active dans la vie de l’Eglise »
Chère Bernadette,
La situation que nous vivons (…) est, je pense, une occasion unique qui est
donnée aux laïcs de reprendre une part active dans la vie de l’Eglise. Je
rappelle que c’était un des souhaits majeurs du concile Vatican II. Mais,
attention , il ne faut pas faire n’importe quoi ni n’importe comment. On
risquerait de faire pire que mieux et de tomber dans le relativisme ambiant
dans la société et dans la majeure partie de l’Eglise en Occident (et
particulièrement en Belgique)
Nous sommes catholiques, cela implique certaines obligations. Les laïcs ne peuvent pas tout faire et surtout, ils ont le devoir d’être formés ou de se former en vue de la tâche à laquelle ils se sentent appelés (ceci est valable aussi pour les clercs d’ailleurs). De plus le droit canon impose certaines règles.
La catéchèse, par exemple, reste l’apanage de l’évêque (dans son diocèse)
et de ceux qu’il délègue prêtres et/ou animateur(trice)s en pastorale.
Autrement dit pour faire de la catéchèse, il faut l’accord du curé (ou de
l’animatrice en pastorale) Bernadette a donc très bien fait, (…) , de
s’adresser à l’évêché.
Il en est de même pour des célébrations liturgiques dans les lieux de
culte, il faut l’accord du curé ou, s’il y en a un, du responsable.
Par contre, le curé ne peut pas s’opposer à des réunions de fidèles ayant
pour but la prière (en dehors des lieux de culte) la formation, les partages
d’évangile, les échanges sur la foi, etc… au pire, il refusera d’apporter son
soutien et cela restera des initiatives privées. C’est là je pense qu’il y a
une possibilité d’agir. (…)
Dans l’ex Union soviétique, l’Eglise a survécu malgré le fait qu’elle ait
été interdite. La foi s’est transmise par les « grands-mères ». Ici,
nous avons au moins la chance de pouvoir vivre des sacrements puisque nous
avons des prêtres.
Pour terminer, si je trouve que l’idée de catéchiser les enfants en dehors
de l’initiation aux sacrements est une excellente idée, (à condition bien sûr
qu’il s’agisse d’une réelle catéchèse et non d’une occupation visant à faire
venir des enfants à la messe) je pense également que c’est absolument
insuffisant, pour ne pas dire inutile si l’on ne touche pas en même temps les
parents. En effet, la plupart d’entre eux sont en complète rupture avec le
contenu même de la foi. C’est même bien souvent le cas des grands-parents. Nous
sommes confrontés à des chrétiens de tradition n’ayant plus qu’une très vague
idée de ce que cela signifie d’être chrétien en général et catholique en
particulier. Nous devons non pas « évangéliser » mais
« ré-évangéliser » ! Et cela est nettement plus compliqué parce que ils
ne savent pas mais ils sont persuadés qu’ils savent !
Prions beaucoup. C’est l’année saint Joseph qui, vous le savez peut-être
est aussi le patron de l’Eglise. Ne pourrait-on ensemble faire une neuvaine à
saint Joseph ? Fraternellement en Christ.
Des bienfaits de la confession.
Ce sont vos fautes qui ont creusé un abîme entre vous et votre Dieu. Is 59 :2
Nos petits-enfants sont préparés à la première communion
avec le livret: « Pain pour tous ». Il est bien fait. Bravo à
l’équipe de Lumen Vitae. Cependant puis-je faire une remarque ?
Je constate que la demande de pardon signalée dans « Pain
pour tous » n’aboutit pas à une rencontre personnelle de l’enfant avec
le prêtre. Or ce sacrement pourrait être facilement proposé aux futurs
communiants et confirmants car ceux-ci sont habitués par leurs parents et
éducateurs à se remettre en question, à demander et recevoir le pardon. La
Présence réelle dans l’Eucharistie est bien plus difficile à expliquer. Dans
votre lettre, quand vous parlez de « recette obsolète », s’agit-il du
sacrement de réconciliation ?
Pourquoi ne pas profiter du catéchisme pour amorcer cette pratique ?
Lors de sa première communion, une fillette aime porter une robe blanche et le
garçon un nouveau vêtement bien propre. Allons-nous aussi donner à nos enfants
le goût de se nettoyer l’âme avant de communier et de confirmer leur foi,
ou bien les laisserons-nous suivre l’exemple de leurs parents qui, pour la
plupart, communient par tradition, sans jamais se confesser ?
Le sacrement de réconciliation, pratique ancestrale, a sauvé
bien des vies. C’est lors d’une confession que Charles de Foucauld (bientôt
canonisé) a connu sa conversion. Une maman catéchiste de chez nous témoignait
de sa joie ressentie après une confession qui la remit sur le bon chemin. La liste des personnes re-nées de la sorte
est infinie. Pourquoi avoir supprimé la pratique de ce sacrement ?
Pour un véritable renouveau de nos paroisses, il serait bon
que chacun se remette en question et cherche la sainteté. Les prêtres et les membres de l’EAP se
confessent-ils eux-mêmes ? Aiment-ils Jésus plus que les simples
fidèles ? Si ce n’est pas le cas, comment nos célébrations seraient-elles
acceptées par le Seigneur ? « Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est
un esprit brisé ; tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé. »
(ps 50)
La vidéo du pape : Le sacrement de la réconciliation.
Lorsque je vais me confesser, c’est pour me guérir, guérir mon âme.
Pour en ressortir avec plus de santé spirituelle. Pour passer de la misère à la
miséricorde.
Au cœur de la confession, il y a non pas les péchés que nous disons mais
l’amour divin que nous recevons et dont nous avons toujours besoin.
Au cœur de la confession, il y a Jésus qui nous attend, nous écoute et nous
pardonne.
Souvenez-vous de ceci : avant même nos erreurs, c’est nous qui sommes présents
dans le cœur de Dieu.
Prions pour vivre le sacrement de la réconciliation avec une profondeur
renouvelée, afin de goûter l’infinie miséricorde de Dieu. Et prions pour que
Dieu donne à son Église des prêtres miséricordieux et non bourreaux.
« Le
bon berger porte l’odeur de ses brebis. » (Pape François)
Il est temps de tenir compte de la situation des familles actuelles . Les considérations d’horaire et de confort sont vraiment à prendre en compte. Ce n’est pas un détail. Le week-end comme en semaine, les jeunes parents actifs courent beaucoup pour faire leurs courses et pour les activités socio-culturelles de leurs enfants. Comment les pousser à en faire plus si les enfants eux-mêmes ne sont pas motivés, si la famille doit se lever tôt pour aller à l’église ? Tout le monde sera dans la mauvaise humeur ! Pour Mgr Benson, la bonne humeur est même la 4ème vertu théologale. Il a raison : si nous n’avons pas la joie, nous faisons fausse route. Notre cher pape en donne l’exemple aux yeux du monde entier.
Puissent ces paroles de Jésus nous interpeler vivement, nous nourrir, par l’action de l’Esprit Saint. Que les enfants aient une place de choix dans nos célébrations!
« Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi. »(Mt 19 :14)
« Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d’eux. » (Mt 18 :2)
Le
magistère de l’Eglise n’est pas toujours bien éclairé.
Padre Pio fut longtemps empêché de confesser, beaucoup de saints contrariés dans leur élan missionnaire. L’abbé Edouard Poppe, fondateur de la croisade eucharistique, fut freiné par ses supérieurs. Et nous savons bien que Pape François est menacé au sein même du Vatican.
Bref, puisque certaines décisions prises en Eglise portent pas ou peu de fruit, écoutons aussi la voix du Seigneur s’exprimant à travers les petits. Que tous les croyants entrent en DIALOGUE.
Vous écouterez aussi bien le petit que le grand. (Dt 1 :17)
Le
renouveau de nos paroisses ne peut être que l’œuvre de l’Esprit Saint !
L’Esprit Saint est un artiste, un créateur. Sans lui, nous faisons du sur-place ou nous régressons.
Laissons-Le donc nous conduire et nous avancerons.
Coolus Croix Glorieuse
Comme l’aveugle de l’Evangile (Luc 18 :35-43),
demandons à Dieu de nous ouvrir les yeux
sur la situation de l’Eglise et sur ce qu’il attend de chacun de nous.
Remercions-le pour tout ce qu’il nous donne/ra en abondance. https://topbible.topchretien.com/luc.18.1/S21/
Comme Notre-Dame de Paris, l’Eglise est en mauvais état, mais en reconstruction.
La cathédrale Notre-Dame faillit disparaitre sous les flammes. De même l’Eglise, Corps du Christ, est en mauvais état, mais grâce à chaque chrétien qui l’aime, elle se reconstruit, plus belle que précédemment car purifiée. Chacun de nous qui l’aimons en est une pierre vivante. Acceptons la place qui nous revient.
Travaillez, non pour la nourriture qui se perd mais pour la nourriture qui demeure en vie éternelle. Jn,6,27
17 Que le Christ habite en vos cœurs par la foi ; restez enracinés dans l’amour, établis dans l’amour…20 À Celui qui peut réaliser, par la puissance qu’il met à l’œuvre en nous, infiniment plus que nous ne pouvons demander ou même concevoir,21 gloire à lui dans l’Église et dans le Christ Jésus pour toutes les générations dans les siècles des siècles. Amen.
Nous crions vers toi, Seigneur : toi seul peux nous sauver ! Vers le Seigneur monte la prière des pauvres,comme un appel dans la nuit. Dans sa tendresse le Seigneur écoute, son cœur s’ouvre à la pitié.
Sr Agathe. Je ne peux pas être chrétien en restant seul
Nous construirons des ponts
Noël Colombier – L’Evangile en chansons Jean le Baptiste.
Viens, ma toute belle!
10 Il parle, mon bien-aimé, il me dit : Lève-toi, mon amie, ma toute belle, et viens… 11 Vois, l’hiver s’en est allé, les pluies ont cessé, elles se sont enfuies. 12 Sur la terre apparaissent les fleurs, le temps des chansons est venu et la voix de la tourterelle s’entend sur notre terre.
Jésus est le VERBE de Dieu. Nous aussi, soyons PAROLE, VIGILANTS, comme cette syrienne chrétienne réfugiée en Allemagne.
Hugh Benson, passionné par le problème de l’Antéchrist et de la fin des temps, a condensé sous forme d’un roman, les principes qu’il avait à cœur d’exprimer et ”qu’il croyait être vrais”. Ce livre, écrit par un des plus grands romanciers catholiques de son temps, est tout simplement passionnant! Ecrit au début du XXe siècle, ce remarquable récit contient une vision prophétique d’un monde coupé en deux empires apparemment antagonistes, mais bien unis dans la persécutions des chrétiens.
La foi n’est pas une affaire de bonnes femmes. Des militaires chrétiens affirment leur foi. Edwin et Nicolas, futurs prêtres du Diocèse aux Armées
Manifestation POUR LA MESSE du 22 novembre à Bordeaux Saint André
« La foi ne se transmet pas, mais elle est contagieuse »
Propositions d’activités
pour nourrir nos enfants sur le plan spirituel
Le scoutisme : Urgent de rendre la saveur chrétienne au scoutisme. Son fondateur, Baden Powell, était un chrétien fervent, sel de la terre – Chant de la promesse (scoute) 22 novembre 2020 Cathédrale Saint André Bordeaux
Aller à la rencontre des pauvres, des malades, vieillards, immigrés …
Découverte de quelques saints.
Découvrir de grands saints comme Thérèse de Lisieux, mais aussi nos saints ou bienheureux locaux. Par exemple : l’abbé Poppe. Il a vécu quelques mois à Bourlers (Chimay) et est fêté le 10 juin. « Il fut un grand apôtre de l’Eucharistie et de la Mission. Il fut le fondateur de la Croisade Eucharistique. Béatifié en 1999, il est une des gloires de la Belgique. »https://fsspx.be/fr/vie-du-bienheureux-edouard-poppe
Des temps de prière devant le Saint Sacrement. Oui, les enfants en sont capables !