07 « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. 08 En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.
Pas besoin d’être chrétien pour vivre de cette parole.
Jésus m’a touché-e
Raymond Manna : de la prison à aumônier de prison.
C’est l’histoire d’un célèbre musicien de rock français qui, après avoir connu les feux de la rampe avec le groupe TRUST qu’il a fondé en 1977, a choisi la lumière plus sombre des cellules de la prison de La Farlède dans le Var. Raymond Manna qui, dans sa jeunesse a rencontré Jimmy Hendrix et David Bowie… est aujourd’hui aumônier catholique en milieu carcéral. Comment lui est venue cette vocation, lui qui n’était pas chrétien ?
Si Raymond est proche des détenus, c’est que lui aussi a connu une enfance chaotique marquée par le décès de ses parents alors qu’il n’avait que 10 ans. La musique devient une échappatoire et en même temps son moyen de rentrer une première fois en contact avec des prisonniers.
La célébrité l’appelle, mais une « rencontre » imprévue au début des années 90, réorientera sa vie…A l’ombre des projecteurs –
01 Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs. 02 Il vint trouver Jésus pendant la nuit. Il lui dit : « Rabbi, nous le savons, c’est de la part de Dieu que tu es venu comme un maître qui enseigne, car personne ne peut accomplir les signes que toi, tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui. » 03 Jésu s lui répondit : « Amen, amen, je te le dis : à moins de naître d’en haut, on ne peut voir le royaume de Dieu. » …
Chercher, trouver Jésus et naître de nouveau, grâce à Internet.
La rencontre de Jésus avec Nicodème s’est faite de nuit, Nicodème ne voulant pas être vu. Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes cherchent Jésus en cachette, par peur de l’entourage, peur de la persécution religieuse. Et cette peur est justifiée. Pensons à Joseph Fadelle qui a du fuir l’Irak: Sa propre famille cherchait à le tuer. (cfr son livre: Le prix à payer)
Heureusement, grâce à Internet, beaucoup de gens viennent à Jésus sans s’exposer directement. C’est quand leur foi est affermie qu’ils osent dire à leur entourage qu’ils sont devenus chrétiens … Certains subissent alors le martyre.
Grâce à Internet, la lumière de Jésus brille de plus en plus loin dans le monde. Internet permet aussi d’unir nos prières, ce qui donne du poids à nos prières.
Chercher: « Que disent vraiment les plus anciens manuscrits du Coran ? »
Bruno Guillot est belge francophone. Il a étudié l’arabe afin de bien comprendre le Coran. Il s’est aussi rendu en Arabie pour s’imprégner de la culture islamique et devenir un bon Musulman. Revenu à la foi chrétienne, il discute volontiers au sujet des religions. « Dans cette vidéo, nous explorons en profondeur les manuscrits anciens du Coran ainsi que les variantes textuelles, aux côtés du professeur Mohamed Al Massih. Ensemble, nous analysons les différences entre les manuscrits, et ce que ces découvertes signifient réellement pour la compréhension du texte coranique. Une enquête passionnante au cœur des sources les plus anciennes. »
Quid du conflit israélo-palestinien ? Quelques réflexions.
« Il serait bon de mettre Dieu hors-jeu autant que possible » (J.Chr. Attias).
En Terre Sainte, de sont des extrémismes religieux qui se confrontent. Donc impossible de dialoguer !
Ce que nous devons tous faire : PRIER DAVANTAGE POUR LA PAIX. Dieu entend toutes nos voix et quand on se présentera devant lui, il ne nous demandera pas quelle était notre religion, mais il nous jugera sur l’AMOUR. Prier, c’est aimer. Prier pour ses ennemis, c’est obéir à Dieu. Jésus nous le demande instamment.
Présentons nos faiblesse à Dieu avec confiance: nous savons si peu aimer!
Avant que le monde existe, Jésus était dans la gloire. Par sa mort et sa résurrection, il est à nouveau glorifié.
04 Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. 05 Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe.
La royauté de Jésus est unique, inclassable, au-delà des paramètres humains. Jésus n’est pas un roi COMME les autres, disait le pape François, il est un roi POUR les autres. » Il est un roi sans cour, sans armée, sans légion, sans garde rapprochée, … Il est le serviteur dont parle Isaïe, sans apparence ni beauté qui attire nos regards. Il est le roi qu’annonçait prophétiquement Zacharie, juste, victorieux, à califourchon sur l’âne, au lieu de parader sur un beau palefroi. Roi qui découvre l’envers de ce qui était considéré comme l’endroit. Il n’est de puissance vraie que dans la faiblesse, de justice juste que dans le respect et le service de l’autre, de paix durable que dans la volonté et l’action pacifique. … Mgr Dupuy
Quel type de messie, de « roi », les Juifs attendaient-ils au temps de Jésus ?
Jésus est au milieu de nous, présent dans la sainte hostie. Nous pouvons l’ADORER.
et rejeter le diable, notre ennemi !
Jésus ne recherche pas les honneurs et il n’envoie pas les autres au supplice en restant les bras croisés.
Il prend la dernière place, par AMOUR. Jésus dit non au pouvoir de l’argent, de la gloire terrestre. Il « se mouille ». Il veut notre PAIX!
Jésus est bien le Messie attendu par Israël, selon les prophéties bibliques
Jésus sera acclamé comme “fils de David”. Mais sa mission ne sera pas limitée au seul peuple d’Israël.
« Tout l’Évangile nous le présente comme celui qui vient réconcilier tous les peuples de la terre en livrant son corps et en versant son sang. Jésus rejoint par sa Passion tous les blessés de la vie. Offrant sa vie par amour, Jésus est le roi de tous les hommes. Il compte sur chacun de nous pour participer à son œuvre de réconciliation et de rassemblement. Dans une société où les pauvres sont de plus en plus nombreux, nous sommes envoyés pour être les porteurs de la sollicitude du Christ, Roi de l’univers. » (Père Pineault)
“Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. 35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; 36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !” 37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? 38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? 39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?” 40 Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
L’Eglise met en pratique l’enseignement de Jésus quand elle met le pauvre au centre de ses préoccupations.
Journée Mondiale des Pauvres 2025 : Un signe de charité – 400 ans de mission.
Jésus SAUVE celui qui s’est perdu dans les eaux nauséabondes du péché, quel qu’il soit.
Il est un Roi qui recherche les pécheurs. Il espère le repentir de ceux qui le font tellement souffrir par leurs péchés.
Le bon larron est l’exemple du repentir. Ils étaient deux larrons à être crucifiés en même temps que Jésus. Ils ont été témoins de sa mort, ils ont entendu les moqueries à son sujet. Les deux condamnés réagirent différemment. Voici le récit raconté par Luc.
En ce temps-là, on venait de crucifier Jésus, et le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient : « Il en a sauvé d’autres : qu’il se sauve lui-même, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! » Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait : « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! » Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c’est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. » Et il disait : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » Jésus lui déclara : « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. »
Au sujet du larron converti (que la tradition orale nomme Dismas), père Jacques fait ce commentaire:
« Avec dégoût, il se détourne des égarements de sa vie passée et reconnaît publiquement son ancienne adhésion au péché, mais aussi son amour total pour le Christ. Il accepte les souffrances de la crucifixion et les tourments de la mort. Il reconnaît publiquement qu’il a mérité tout cela. Dismas est la preuve vivante de la puissance inimaginable du Sang du Christ et de l’infinie miséricorde de Dieu. »
Saint Paul, lui-même converti, appelle à l’action de grâce.
13 Nous arrachant au pouvoir des ténèbres, il nous a placés dans le Royaume de son Fils bien-aimé : 14 en lui nous avons la rédemption, le pardon des péchés. 15 Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né, avant toute créature : 16 en lui, tout fut créé, dans le ciel et sur la terre. Les êtres visibles et invisibles, Puissances, Principautés, Souverainetés, Dominations, tout est créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toute chose, et tout subsiste en lui. 18 Il est aussi la tête du corps, la tête de l’Église : c’est lui le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin qu’il ait en tout la primauté. 19 Car Dieu a jugé bon qu’habite en lui toute plénitude 20 et que tout, par le Christ, lui soit enfin réconcilié, faisant la paix par le sang de sa Croix, la paix pour tous les êtres sur la terre et dans le ciel. 21 Et vous, vous étiez jadis étrangers à Dieu, et même ses ennemis, par vos pensées et vos actes mauvais. 22 Mais maintenant, Dieu vous a réconciliés avec lui, dans le corps du Christ, son corps de chair, par sa mort, afin de vous introduire en sa présence, saints, immaculés, irréprochables.
En France, Jeanne d’Arc a reçu mission de rappeler que le Christ est roi.
La France a bien une mission spéciale.Les dons gratuits de Dieu et son appel sont sans repentance.
33 Quelle profondeur dans la richesse, la sagesse et la connaissance de Dieu ! Ses décisions sont insondables, ses chemins sont impénétrables ! 34 Qui a connu la pensée du Seigneur ? Qui a été son conseiller ? 35 Qui lui a donné en premier et mériterait de recevoir en retour ? 36 Car tout est de lui, et par lui, et pour lui. À lui la gloire pour l’éternité ! Amen.
Le trône du Christ-Roi, c’est la Croix – Guérison & Consolation CHEZ VOUS
18 L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, 19 annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.
Bien trop de fois, Tu m’as tendu la main, Je t’ai repoussé, car je ne pensais pas que tu pouvais m’aider. Maintenant tu es tout, Oui tu es tout pour moi, Et je ne peux vivre sans toi, Dieu, oh tu es tout. Je veux te dire merci J’me perdais, tu m’as trouvé Au fond d’moi j’étais morte Et t’as soufflé la vie, T’as ranimé cette épave Je veux te dire merci. Merci de m’avoir sauvée Merci de m’aimer tellement sans condition, Dieu.
Tu m’as ouvert les bras, Je t’ai repoussé, Car j’avais peur d’être déçue, encore abandonnée, Mais j’ai fait taire mes peurs Pour revenir à toi Tu étais là, jamais, tu ne, m’abandonneras, Dieu
Je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvée Merci de m’aimer tellement sans condition, Dieu . Je ne te mérite pas, Dieu. Mais tu continues à m’aimer, peu importe, Tu ne cesses jamais de m’aimer,… Dieu
1. Seigneur, en ta victoire Tu as détruit la mort. Du signe de ta gloire, Tu as marqué nos corps. Sur nous l’Esprit repose, Promesse de salut ; Il mène toute chose Vers toi, Seigneur Jésus.
2. Rassemble tous les hommes Déjà tendus vers toi ! Ils marchent vers l’aurore Où resplendit ta croix. Tu vois ce peuple immense Cherchant la vérité ; Révèle ta présence, Sauveur ressuscité !
3. Proclame ta Parole, Lumière pour nos vies ; Rassemble tous tes membres, Unis en un seul corps. Et fais de tous les hommes Tes instruments de paix Pour restaurer le monde Selon ta volonté.
Pour en savoir plus sur le Sacré-Cœur de Jésus, sur Marie et la France
Le pasteur Saïd Oujibou est bien connu sur les réseaux sociaux pour son dynamisme au service de l’évangélisation. Or, lors de la nuit des attentats, il était en garde à vue au commissariat de police: Son cousin s’était fait exploser. Y avait-il des connivences entre eux ?
J’ai envoyé ceci à une marocaine. « Bonjour Latifa, en écoutant Bruno Guillot, j’ai pensé à ta fille qui se voile. Est-ce que tu parles avec elle ? Sait-elle tout ce que tu as vécu au Maroc et comment ce sont des chrétiens qui t’ont permis d’échapper à un triste destin ? »
Adela, ex-musulmane et laïque, passe du temps à discuter avec les Musulmans.
Bruno Guillot, lui aussi ex-musulman s’exprime en tant que chrétien.
Alerte : l’UE s’apprête à légaliser la polygamie
Le sondage qui dévoile le tsunami islamique en France – Jean Messiha
Qui choisissons-nous de suivre? Le Dieu d’AMOUR ou Satan !
Point de vue du pape Léon XIV concernant les migrations.
Au Nigéria, les enlèvements continuent!!
Au Bengladesh aussi, les chrétiens sont persécutés.
PRIONS le DIEU d’AMOUR.
07 Écoute, Seigneur, je t’appelle ! * Pitié ! Réponds-moi ! 08 Mon cœur m’a redit ta parole : « Cherchez ma face. » * 09 C’est ta face, Seigneur, que je cherche : ne me cache pas ta face. N’écarte pas ton serviteur avec colère : * tu restes mon secours. Ne me laisse pas, ne m’abandonne pas, Dieu, mon salut ! * 10 Mon père et ma mère m’abandonnent ; le Seigneur me reçoit. 11 Enseigne-moi ton chemin, Seigneur, * conduis-moi par des routes sûres, malgré ceux qui me guettent. 12 Ne me livre pas à la merci de l’adversaire : * contre moi se sont levés de faux témoins qui soufflent la violence. 13 Mais j’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur sur la terre des vivants. * 14 « Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ; espère le Seigneur. »
Il était un officier nazi qui a vu ses propres soldats massacrer des enfants. Il les a dénoncés. Sa récompense ? L’exécution par un peloton d’exécution. L’Allemagne a mis 67 ans à reconnaître qu’il était un héros.
Michael Kitzelmann avait vingt-quatre ans lorsqu’il a rejoint la Wehrmacht en 1939. Ce n’était pas un nazi fanatique — c’était un catholique bavarois très croyant, persuadé qu’il défendait son pays. Il gravit rapidement les échelons, reçut des médailles de bravoure, était respecté de ses hommes. Il était exactement le type de jeune officier que le Troisième Reich voulait : discipliné, loyal, efficace.
Puis il fut envoyé sur le front de l’Est en 1941. Et tout ce qu’il croyait s’effondra.
L’opération Barbarossa — l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie — n’était pas seulement une campagne militaire. C’était un génocide planifié. Derrière l’avancée de la Wehrmacht venaient les Einsatzgruppen, unités de la SS dont les ordres explicites étaient d’exterminer les Juifs, les Roms, les communistes et toute personne jugée « indésirable » par le régime nazi.
Ce que Michael a vu durant ces premiers mois n’était pas la guerre. C’était du meurtre industriel.
Il vit des villages entiers être rassemblés. Hommes, femmes, enfants — alignés au bord de fosses communes et abattus. Il vit des nourrissons tués dans les bras de leurs mères. Il vit des personnes âgées traînées hors de chez elles et exécutées dans la rue. Il vit les Einsatzgruppen agir avec une efficacité bureaucratique glaçante, consignant les massacres dans des registres impeccables :
« Village de Krupki : 847 Juifs liquidés.
Village de Minsk : 1 200 exécutés. »
Et il vit ses camarades — des soldats allemands ordinaires — participer ou détourner le regard.
Michael Kitzelmann ne pouvait faire ni l’un ni l’autre.
Catholique, il avait été élevé dans l’idée de la valeur sacrée de la vie humaine. Il avait rejoint l’armée pour défendre l’Allemagne. Mais ce n’était pas de la défense. Ce n’était même pas du combat. C’était du massacre, et cela violait tout ce que sa conscience et sa foi avaient de plus sacré.
Alors il fit quelque chose que presque personne d’autre dans la Wehrmacht n’osa faire : il parla.
Dans des lettres envoyées à ses proches, Michael décrivit ce qu’il voyait. Sans euphémisme. Sans adoucissement. Il parla de massacres de masse, d’enfants assassinés, de la destruction systématique de communautés entières. Il écrivit :
« Nous ne combattons pas des soldats. Nous tuons des personnes sans défense. Ce n’est pas la guerre — c’est un crime. »
Il alla encore plus loin.
Il dénonça les atrocités à ses supérieurs, exigeant que quelqu’un arrête les Einsatzgruppen. Il critiqua ouvertement les politiques nazies devant ses camarades, appelant les massacres par leur nom : le mal.
Dans l’Allemagne nazie, c’était une condamnation à mort.
Un de ses camarades — dont l’histoire a heureusement oublié le nom — le dénonça à la Gestapo. L’accusation : Wehrkraftzersetzung — « démoralisation de l’armée ». En réalité, cela signifiait : avoir critiqué le régime ou remis en question ses ordres.
En avril 1942, Michael Kitzelmann fut arrêté.
Il n’y eut pas de véritable procès. La procédure n’était qu’une formalité, le verdict était déjà décidé. Les tribunaux militaires nazis ne cherchaient pas la justice — seulement à faire taire toute dissidence et à donner l’exemple.
Michael avait vingt-sept ans. Une jeune épouse l’attendait à la maison. Il avait toute la vie devant lui. Et il savait exactement ce qui l’attendait.
Le 11 juin 1942, Michael Kitzelmann fut exécuté par peloton d’exécution.
Pas pour lâcheté.
Pas pour désertion.
Pas pour trahison envers l’Allemagne.
Pour avoir refusé de se taire pendant que des enfants étaient assassinés.
Ce qui rend son histoire encore plus tragique : presque personne n’a fait ce qu’il a fait.
Sur environ 18 millions d’hommes ayant servi dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale, moins de 30 000 furent exécutés pour résistance ou dissidence — et seulement une infime fraction pour avoir protesté contre des crimes de guerre.
La grande majorité des soldats allemands ont vu les mêmes horreurs que Michael — et n’ont rien dit. Ils ont obéi. Ils ont détourné les yeux. Ils se sont convaincus qu’ils n’avaient pas le choix.
Michael Kitzelmann prouve que « suivre les ordres » était un choix. Et que refuser de les suivre en était un aussi — un choix que presque personne n’a fait.
Après la guerre, l’histoire de Michael fut oubliée. Sa famille ne reçut aucune reconnaissance. Son nom ne figura sur aucun mémorial. Les archives militaires allemandes le décrivirent simplement comme exécuté pour « démoralisation », comme s’il avait été un fauteur de troubles plutôt qu’un témoin du génocide qui refusa d’être complice.
Pendant soixante-sept ans, Michael Kitzelmann resta officiellement déshonoré — un traître aux yeux de l’histoire militaire.
Puis, en 2009, quelque chose d’extraordinaire se produisit.
Le gouvernement allemand réhabilita officiellement Michael Kitzelmann. Il reconnut que son exécution avait été un meurtre judiciaire, que son « crime » avait été du courage moral, et qu’il méritait d’être honoré comme quelqu’un qui s’était opposé au mal alors que presque tout le monde autour de lui participait ou regardait ailleurs.
Cette réhabilitation arriva soixante-sept ans trop tard pour Michael. Il était mort depuis près de sept décennies. Son épouse était morte sans voir son nom réhabilité. Sa famille avait porté la honte de sa « trahison » pendant des générations.
Mais cette réhabilitation n’était pas pour Michael. Elle était pour l’Histoire.
C’était l’Allemagne admettant enfin ce qui aurait dû être évident dès le début : les soldats qui ont résisté étaient les héros. Ceux qui ont obéi étaient complices du génocide.
L’histoire de Michael Kitzelmann nous force à affronter une vérité dérangeante : les gens ordinaires, placés dans des circonstances extraordinaires, choisissent presque toujours le silence. Ils se persuadent qu’ils sont impuissants. Ils se disent que parler ne changera rien. Ils se protègent en fermant les yeux.
Michael aurait pu faire pareil. Il aurait pu se taire, obéir, survivre à la guerre et rentrer chez lui. Il aurait pu vivre une longue vie, mourir paisiblement entouré de petits-enfants.
À la place, il a choisi de parler. Et cela lui a tout coûté.
Il n’y a pas de fin heureuse ici. Pas de sauvetage in extremis. Pas de réhabilitation de son vivant. Juste un jeune homme faisant face à un peloton d’exécution parce qu’il a refusé de se taire tandis que des enfants étaient massacrés.
Mais voici ce que son histoire prouve : même dans les heures les plus sombres de l’Histoire, quand les régimes totalitaires écrasent les voix individuelles, quand parler signifie mourir, la résistance reste possible.
Michael Kitzelmann n’a pas arrêté la Shoah. Il n’a sauvé personne. Sa protestation n’a rien changé sur le moment.
Mais il a prouvé que la conscience morale ne disparaît pas simplement parce que le mal devient la norme. Il a prouvé que même dans l’engrenage du génocide, un être humain peut encore choisir autrement.
Il était un officier nazi qui a dénoncé ses propres troupes pour leurs crimes. Ils l’ont tué pour cela.
Et il a fallu 67 ans pour que son pays admette qu’il avait raison. (paru sur facebook)
Aujourd’hui, au NIGERIA!
PRIONS L’ESPRIT SAINT pour chacun de nous qui faisons face à des situations délirantes afin que nous prenions nos responsabilités en tant qu’humains, en tant que chrétiens.
Égypte: Mustafa* et son épouse ont quitté l’islam pour embrasser le christianisme. Leur famille, issue d’un milieu très conservateur, a vivement désapprouvé cette décision. Après avoir tenté en vain de les ramener à l’islam, leurs proches ont exercé de fortes pressions, puis, en collaboration avec la police, ont fait emprisonner Mustafa en s’appuyant sur de fausses accusations. Un an plus tard, la terrible nouvelle tombe: il est mort en prison. Les années ont passé.
Grâce à la fidélité de Dieu, un contact de l’AÉM a appris par un ancien codétenu que Mustafa était encore en vie. Il s’est avéré qu’il avait été délibérément placé dans une prison spéciale de haute sécurité. Ainsi, personne ne pouvait l’aider. Il ne recevait pas les médicaments dont il avait urgemment besoin et sa famille ne lui apportait pas de nourriture supplémentaire, comme c’est habituellement le cas dans les prisons égyptiennes en raison des rations insuffisantes. Lorsque notre contact local a rendu visite à Mustafa, il a trouvé un homme amaigri et malade.
Notre contact rend visite à Mustafa aussi souvent que possible, s’exposant ainsi à un grand danger. Comme Mustafa a été déclaré mort et n’existe plus sur le papier, seul un miracle de Dieu pourrait le faire libérer.
Le plus grand encouragement pour Mustafa est de savoir que, même après toutes ces années, il n’est pas oublié. Au début, il aurait probablement pu sortir simplement en reniant Jésus, mais, durant sa captivité, il a parlé de Jésus à d’autres et les a amenés à la foi.
Nous avons besoin en moyenne de 250.– francs/euros pour libérer un chrétien injustement emprisonné. Même si les chances sont très minces pour Mustafa, il existe de nombreux autres cas où une aide juridique est possible. Merci beaucoup de votre aide!
*Prénom modifié par la rédaction, image symbolique
Nigéria. Donald Trump dit vouloir libérer les chrétiens de la persécution islamiste.
A la réunion de prière de cette semaine, nous avons prié à cette intention: pour les chrétiens, pour Mr Trump, ..selon ce que l’Esprit Saint nous suggérait.
Depuis la fin mars, au moins 70 chrétiens ont perdu la vie, des villages entiers ont été réduits en cendres, et plus de 3.000 personnes sont désormais déplacées.
Une escalade de violence meurtrière. Ces violences s’ajoutent à une série d’attaques récentes. À Bokkos, ce sont des rassemblements chrétiens, des femmes en réunion de prière, des cultivateurs et des enfants qui ont été visés.
Témoignage : Vers l’âge de 30 ans, quand j’ai quitté les sectes (M.T, occultisme, Nouvel-Âge, Rose-Croix), j’ai eu besoin de trouver quelque d’autre de fort, où il y a du merveilleux. Car, dans les sectes, il y a du merveilleux et j’avais besoin de ça pour vivre. A la messe, j’entendis parler du Renouveau Charismatique à Paray-le Monial et j’ai dit à mon mari : « On irait bien ! » Il accepta d’office, car il savait mon intention de partir avec la MT en Amérique. J’étais bien capable de le faire malgré son désaccord.
Nous sommes partis à Paray dès le lendemain pour ne pas rater la session qui débutait. Mon mari me dit : « il y a un pneu à la voiture qui se dégonfle sans arrêt, nous devrons nous arrêter souvent en route. » « Tant pis, on part ! » Figurez-vous que le pneu ne s’est jamais dégonflé durant tout le temps où nous sommes partis : ni pendant l’aller, ni durant le séjour à Paray, ni lors du retour. Une fois rentrés chez nous, le pneu s’est à nouveau dégonflé ! Voilà, j’avais vu le Seigneur à l’œuvre et ce n’est pas tout. Durant la session, nous avons entendu de magnifiques témoignages de conversion, chaque fois accompagnés de signes de l’amour de Dieu, de guérisons, physiques, intérieures ! La louange fait maintenant partie de notre prière quotidienne. Depuis cette session, nous sommes membres de la Communauté de l’Emmanuel. (Marie)
Témoignage du Père Ramzi, Libanais
Nous avons des choix à faire pour résister à l’esprit du monde et recevoir l’Esprit Saint en abondance: JOIE, AMOUR, PAIX!
Carlo Acutis, adolescent canonisé en 2025, nous est donné comme modèle de sainteté.
… pas pour le copier mais pour écouter ce qu’il a de beau à nous dire. Sa vie toute de lumière, d’amour, touche des personnes de toute confession, des athées.
Carlo avait trouvé bon de faire une exposition des miracles liés à la présence réelle de Jésus dans l’Hostie. C’est très important dans la vie d’un chrétien de découvrir ce grand mystère.
Et moi, en quoi suis-je concerné-e par ces miracles?
Personnellement, maintenant, quand je reçois l’HOSTIE, je pense très fort que c’est le CŒUR de JESUS que je reçois. Si Sainte Marguerite-Marie a vécu de belles choses mystiques avec Jésus, nous aussi, nous pouvons vivre de belles choses avec Jésus. Il nous revient de mettre du cœur quand nous allons à la messe. Penser à méditer les paroles que l’on y entend, les mâcher lentement comme on mâche du pain et recevoir le Corps de Jésus avec adoration.
De jeunes chrétiens souhaitent plus de dévotion dans les offices, à travers des gestes qui parlent.
De quoi nos jeunes souffrent-ils le plus dans l’Eglise ? Le frère Paul-Adrien a mené l’enquête, avec tout le sérieux d’un Jésuite.
Quand internet concourt à l’évangélisation.
De simples témoignages contribuent à éveiller la foi chrétienne et à la nourrir. Chacun a des responsabilités pour partager la bonne nouvelle. Pensons à faire circuler les bonnes informations et l’espérance en un monde meilleur grandira.
Et ce n’est pas tout. Internet permet la formation chrétienne.
L’Eglise est notre mère. Vraiment, il n’est pas bon de la critiquer sans cesse.
Faire des reproches à ceux qui y travaillent (prêtres, diacres, organistes, sacristains, …) ne la rend pas plus belle. Que du contraire !
Un conseil : Quand nous sommes déçus de notre paroisse, évitons d’entrer dans le conflit et de l’emmener dans nos familles.
Raler attire les serpents
14 Voilà ce que tu dois rappeler, en déclarant solennellement devant Dieu qu’il faut bannir les querelles de mots : elles ne servent à rien, sinon à perturber ceux qui les écoutent.
14 Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, 15 les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, 16 et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais. 17 Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. 18 En toute circonstance, que l’Esprit vous donne de prier et de supplier : restez éveillés, soyez assidus à la supplication pour tous les fidèles.
Pour aider à mourir, on entend souvent parler d’euthanasie. Une dame m’avait raconté combien la mort par euthanasie de sa maman l’avait troublée. «Juste avant, maman nous parlait paisiblement, elle souriait encore, son teint était rosé, et dès l’injection de la piqûre (… ) C’est du suicide assisté! » La malade avait insisté pour que ses (petits-)enfants soient présents à ce moment mais quel mauvais souvenir!!
Il y a une alternative à l’euthanasie : « les soins palliatifs ». On en entend trop peu parler. C’est ce que je vais faire dans cet article. Jésus nous demande de partager les bonnes nouvelles.
« Allez annoncer à Jean ce que vous avez vu et entendu. » Luc 7
Cette semaine, ce que j’ai vu de beau, c’est la manière d’accompagner une personne en fin de vie.
J’ai vu en quoi consistent « Les soins palliatifs ».
J’étais venue passer quelques jours chez ma sœur et mon beau-frère atteint d’un cancer en face terminale.
J’ai vu de quel amour était entouré mon beau-frère par son épouse. Il y avait toujours eu beaucoup d’amour entre eux, mais là, Marie-Jeanne redoublait d’attention pour son mari. Leurs enfants, petits-enfants, leur rendaient de nombreuses visites, et aussi des amis, spécialement les membres de la communauté de l’Emmanuel. Deux jours avant le décès de Jean-Marie, il y avait même eu une maisonnée chez eux et Jean-Marie s’y était exprimé avec sérénité. J’ai entendu les prières des uns et des autres, les prières des uns pour les autres.
J’ai vu aussi un service médical motivé. L’infirmière de service fut tellement précieuse. Vanessa allait partir en congé et, avant son départ, gratuitement, elle est repassée voir mon beau-frère et lui dire qu’il fallait qu’il prenne bien ses anti-douleurs : « Vous ne devez pas souffrir ! » Il y avait eu aussi précédemment le passage de la psychologue qui avait aidé le couple à exprimer sa souffrance. Après cette visite, j’avais perçu une plus grande patience de Jean-Marie à l’égard de son épouse un peu distraite.
Personnellement, je ne savais pas faire grand-chose pour aider mon beau-frère mais je voyais qu’il appréciait que j’accompagne sa chère épouse. « Tu retournes aujourd’hui ? » « Non, demain, mais une dame* viendra passer la nuit près de vous. Ta femme sera aidée, rassure-toi. » Jean-Marie est mort la nuit suivante. Il est vrai que j’aurais pu rester plus longtemps près d’eux. Je pense à la Vierge Marie qui, apprenant que sa cousine Elisabeth était enceinte malgré son grand âge, s’était mise à son service durant trois mois. *Une ancienne infirmière qui sait comment déplacer une personne alitée, la conduire aux toilettes ou l’aider à utiliser l’urinal et changer le lit si nécessaire, …
Jean-Marie a rejoint le Père pendant son sommeil. Ma sœur craignait le voir mourir d’étouffement et il est mort calmement. La veille de son entrée dans la vie éternelle, nous avions encore prié ensemble le chapelet avec Lourdes et reçu comme chaque jour l’Eucharistie, le « Pain des forts ».
Saint Pape Jean-Paul II : « Comprenez pourquoi le pape souffre ».
Jean-Marie est décédé en la fête de saint Jean-Paul II. Ce pape avait offert ses souffrances pour la famille. A l’heure où l’on encourage l’euthanasie, le pape enseignait la puissance de la souffrance offerte.
A 15 ans, Carlo Acutis atteint d’un cancer, offrait ses souffrances.
« J’offre mes souffrances pour le pape, pour l’Eglise, afin de ne pas avoir à aller au purgatoire et d’entrer directement au ciel ». (Saint Carlo ACUTIS)
(Livre : Le secret de mon fils, Carlo Acutis. Comment il est devenu saint.)
Les quatre fins dernières.
Carlo Acutis garde toujours à l’esprit les quatre « fins dernières » : la mort, le jugement, l’enfer et le paradis, réalités ultimes de la vie de tout homme. Son attention à ces sujets le fait parfois traiter d’excessif ou de bigot, même par ses amis. II a rencontré des prêtres qui ne croient pas à l’existence de l’enfer ni même du Purgatoire, ce qui l’a scandalisé. Pour lui, ce point de la doctrine catholique, maintes fois enseigné par Jésus-Christ et par le Magistère de l’Église, est hors de doute :
« Si vraiment les âmes courent le risque de se damner, comme en effet tant de saints en ont témoigné et comme l’ont confirmé les apparitions de Fatima, je me demande pourquoi, aujourd’hui, on ne parle presque jamais de l’enfer, parce que c’est une chose tellement terrible et épouvantable que je suis effrayé, rien que d’y penser… l’unique chose que nous devrions vraiment craindre est le péché. » En effet, « aux yeux de la foi, aucun mal n’est plus grave que le péché et rien n’a de pires conséquences pour les pécheurs eux-mêmes, pour l’Église et pour le monde entier » (Catéchisme de l’Église catholique, no 1488).
« La mort doit être accueillie, non administrée. » Vatican.
Soulevant la question de « la dignité de la personne malade dans un état critique ou terminal », le document dit que cela « exige de chacun les efforts appropriés et nécessaires pour soulager ses souffrances par des soins palliatifs appropriés et en évitant tout acharnement thérapeutique ou toute intervention disproportionnée ». Ces soins, lit-on, répondent au « devoir constant de comprendre les besoins du malade : besoins d’assistance, soulagement de la douleur, besoins émotionnels, affectifs et spirituels ». « Mais un tel effort est tout à fait différent, distinct, et même contraire à la décision d’éliminer sa propre vie ou la vie d’autrui sous le poids de la souffrance. La vie humaine, même dans sa condition douloureuse, est porteuse d’une dignité qui doit toujours être respectée, qui ne peut être perdue et dont le respect reste inconditionnel. »
Les auteurs de la Déclaration soulignent qu’« aider la personne suicidaire à mettre fin à ses jours » est « une atteinte objective à la dignité de la personne qui le demande, même s’il s’agit de réaliser son souhait ». Ils citent les paroles du pape François à ce sujet : « Nous devons accompagner les personnes jusqu’à la mort, mais ne pas la provoquer ni favoriser aucune forme de suicide. Je rappelle que le droit aux soins et aux traitements pour tous doit toujours être prioritaire, afin que les plus faibles, notamment les personnes âgées et les malades, ne soient jamais écartés. »
C’est la fête chez les religieuses, à l’occasion du 100ème anniversaire de la consécration de leur église.
Mère Catherine Pagano (la 3ème en partant de la gauche), est fille d’immigrés italiens, mère Jeanne est congolaise, soeur Agnès est française, et sœur Selyn-Mary est indienne. Bel exemple d’unité au sein de l’Eglise comme Jésus l’aime. Les deux autres religieuses sont de passage pour participer à cette grande fête.
« Ce qui importe avant tout, c’est d’entrer en nous-mêmes pour y rester seul à seul avec Dieu. » (Thérèse d’Avila)
En quelques mots, un peu d’histoire. Ensuite, des vidéos de la cérémonie du jour, des méditations mariales, une émission de la RTB
D’abord l’ordre bénédictin puis l’ordre cistercien.
La Gaule avait connu un élan formidable lors de la colonisation romaine. Puis, les migrations germaniques ébranlèrent, non seulement les structures de l’empire romain, mais aussi la diffusion du christianisme. L’évangélisation reprit avec les moines dont la vie était balisée par diverses règles. Celle de saint Benoît, rédigée au VIe siècle, l’emporta sur toutes les autres et se répandit dans toute l’Europe occidentale.
L’abbaye de Cîteaux, fondée en 1098 en Bourgogne, suscita un nouvel élan de la vie monastique. Saint Bernard entra au monastère en 1112. Lorsqu’il mourut, en 1253, il y avait près de 350 abbayes cisterciennes. C’est à l’ordre de Cîteaux (d’où vient le nom Cistercien) que se rattachent l’abbaye de Chimay tout comme celle de Scourmont.
Là où les moines et moniales s’installent, l’économie est florissante, la VIE est gagnante.
Leurs différences en quelques mots : Les bénédictins se consacrent principalement au travail intellectuel : ils conservent et recopient des documents importants pour conserver la mémoire du passé, favoriser la réflexion, l’esprit critique, … tandis que les cisterciens travaillent davantage de leurs mains. Là où ils arrivent, ils défrichent et cultivent. Chimay, en 1850, a eu beaucoup de chance de les accueillir.
Avec passion, l’historienne Bernadette Masereel nous a raconté en détails l’histoire de la fondation de l’abbaye Notre-Dame de la Paix de Chimay. Je retrouve certains de ses propos sur le site de l’abbaye, site qu’elle alimente régulièrement. Grand merci à Bernadette. Remarquez que les laïcs, selon leurs dons, jouent un rôle important dans la vie des monastères. (Ce qui est certain, c’est que Bernadette m’a donné le goût de l’Histoire!)
À l’origine, au 13è siècle, des moniales s’installèrent sur les bords de la Troesne, à 89 km au N-O de Paris. Ce fut l‘abbaye de Gomerfontaine.
Celle-ci fut fondée par le seigneur Hugues de Chaumont qui agit selon la volonté et avec l’accord de son épouse Pétronille. Il offrit aux moniales de l’Ordre de Cîteaux sa maison de Gomerfontaine.
C’est donc Hugues de Chaumont et son épouse Pétronille de Poissy qui fondèrent l’ABBAYE DE GOMERFONTAINE (1205-1266)
Au XIIIe et au début du XIV siècle, l’abbaye de Gomerfontaine reçut des dizaines de donations: pièces de terre, droits de censive, de champart, d’herbage ou de pêche, dîmes, fournitures annuelles de blé, de harengs ou d’argent et même deux « hôtes »… La famille de Chaumont se montra particulièrement généreuse. La fondatrice, Pétronille, et d’autres élirent l’abbaye comme lieu de sépulture. Le XIIIe siècle fut, pour l’abbaye de Gomerfontaine, une période de prospérité. En 1434, l’abbaye fut dévastée par les Anglais qui ravagèrent le Vexin. Elle fut ensuite reconstruite.
La Révolution française de 1789 saccage le pays.
En 1792, l’abbaye de Gomerfontaine ne compte plus que 27 moniales. Elle subit le même sort que tous les établissements religieux de France. Elle est sécularisée et, une nouvelle fois, presque totalement détruite. Elle est vendue comme bien national.
En 1801, Bonaparte signe avec le pape, Pie VII, un Concordat. Les circonstances politiques sont dès lors plus favorables à l’exercice des cultes. Les prêtres sont autorisés à rentrer en France. Sr Pauline Ducastel forme le projet de reprendre la vie monastique telle qu’elle l’a vécue à Gomerfontaine. (….)
En 1904, les bernardines de Saint-Paul-aux-Bois tombent sous l’effet de la loi Combes qui contraint des milliers de religieux à s’exiler. Les religieuses sont expulsées manu militari le 4 octobre 1904. Elles trouvent un protecteur en la personne du colonel Bougon qui les accompagne du monastère jusqu’à la frontière. Elles s’établissent dans le refuge qu’elles ont préparé, à Fourbechies, dans le Hainaut belge. Là, dans une ancienne brasserie construite sur deux étages, elles vivent pauvrement, suivent fidèlement la règle et prient avec beaucoup de ferveur. Des vocations adviennent: seize jeunes filles s’adjoignent à la communauté. Du fait de son transfert en Belgique, elle passe sous la « paternité » de l’abbé de Scourmont à Forges-lez-Chimay.
En 2011, une nouvelle supérieure, Mère Catherine Pagano est mise en charge de l’abbaye, avec mission d’accompagner les dernières sœurs jusqu’à la fermeture…. Il reste alors la supérieure et 4 religieuses. On a peut-être touché le fond.
C’est mal connaitre mère Catherine ! Au lieu de fermer l’abbaye, elle lui donne un élan nouveau.
Puis, curieusement, un esprit de printemps et d’ouverture se met à souffler, non sans quelques bourrasques. L’hôtellerie est rouverte, l’abbaye s’ouvre aux visiteurs, le chant liturgique se renouvelle, les offices de vigiles, puis ceux de nones sont rétablis, des travaux de rénovation sont réalisés, une salle de conférence est aménagée, une biscuiterie est mise en route, le potager donne à nouveau fruits et légumes, le dialogue œcuménique déjà entamé se poursuit et c’est le grand rabbin, Albert Guigui, qui inaugure la nouvelle salle de conférence… Surtout, trois moniales venues d’autres abbayes font promesse de stabilité à Chimay.
En 1804, la communauté comptait cinq religieuses; en 1937, quasi une centaine; aujourd’hui, quatre. Ces dernières sont convaincues que leur abbaye est et sera un lieu de renouveau.
Sœur Véronique (à gauche) a prononcé ses vœux en 1964. Depuis lors, plus aucune religieuse n’y a fait profession. Mais les religieuses sont convaincues : leur abbaye est et sera un lieu de renouveau.
Pendant de nombreuses années, père Jacques Blanpain (à gauche) a célébré l’Eucharistie chez les Trappistines chaque dimanche. Nous nous souvenons qu’il y venait à vélo. Aujourd’hui, c’est le père Jacques Pineault, un Canadien, qui célèbre la messe chez les sœurs. Merci à eux pour le Pain de la Parole et le Pain du Corps du Christ.
Quelques moments de l’Eucharistie de ce 13 octobre.
1ère lecture: 1 R 8: 22-30
22 Salomon se plaça devant l’autel du Seigneur, en face de toute l’assemblée d’Israël ; il étendit les mains vers le ciel 23 et fit cette prière :
« Seigneur, Dieu d’Israël, il n’y a pas de Dieu comme toi, ni là-haut dans les cieux, ni sur la terre ici-bas ; car tu gardes ton Alliance et ta fidélité envers tes serviteurs, quand ils marchent devant toi de tout leur cœur. 24 Tu as gardé pour ton serviteur David, mon père, ce que tu lui avais dit ; et ce que tu lui avais dit de ta bouche, aujourd’hui tu l’as accompli de ta main. 25 Et maintenant, Seigneur, Dieu d’Israël, par égard pour ton serviteur David, mon père, garde la parole que tu lui avais dite : “Tes descendants qui siégeront sur le trône d’Israël ne seront pas écartés de ma présence, pourvu que tes fils veillent à suivre leur chemin en marchant devant moi, comme tu as marché devant moi.” 26 Maintenant donc, Dieu d’Israël, que se vérifie la parole que tu as dite à ton serviteur David, mon père ! 27 Est-ce que, vraiment, Dieu habiterait sur la terre ? Les cieux et les hauteurs des cieux ne peuvent te contenir : encore moins cette Maison que j’ai bâtie !
28 Sois attentif à la prière et à la supplication de ton serviteur. Écoute, Seigneur mon Dieu, la prière et le cri qu’il lance aujourd’hui vers toi. 29 Que tes yeux soient ouverts nuit et jour sur cette Maison, sur ce lieu dont tu as dit : “C’est ici que sera mon nom.” Écoute donc la prière que ton serviteur fera en ce lieu. 30 Écoute la supplication de ton serviteur et de ton peuple Israël, lorsqu’ils prieront en ce lieu. Toi, dans les cieux où tu habites, écoute et pardonne.
Remarquons que toutes les abbayes cisterciennes portent le nom de Notre-Dame.
Notre-Dame de Scourmont, Notre-Dame de la Paix, etc…
En général, les gens prient peu, vraiment trop peu. Or le monde va mal. Dieu merci, des congrégations de religieux et religieuses se consacrent totalement à la prière à laquelle Marie ne cesse de nous appeler. Ils sont les racines de l’arbre sans lesquelles la civilisation ne peut tenir.
Dessin: Souffle de Vie.
La prière rend fort. De la force il en faut pour arriver à subsister alors que les vents violents ne cessent de se déchainer contre l’Eglise.
Pour les moniales, que de mouvements depuis 100 ans! Que d’acharnement pour arriver à créer puis maintenir vivante leur congrégation. Sans la détermination, sans la foi à toute épreuve de mère Catherine, l’abbaye aurait fermé ses portes depuis longtemps. Qu’elle en soit remerciée!
Beaucoup de personnes retrouvent la paix du coeur après avoir confié leur chagrin à telle ou telle religieuse, ou lors d’une retraite à l’abbaye.
D’autre part, tous les religieux ne cessent de prier pour la PAIX dans le monde. La libération des otages juifs ce 13 octobre résonne comme une victoire, une réponse aux mille prières qui jaillissent sans cesse des coeurs des priants.
Mais la guerre n’est pas finie! L’islam radical sévit dans la bande de Gaza. Et puis, chez nous aussi, il y a l’islam politique et conquérant qui inquiète vraiment.
Oui, il manque cruellement de priants, de personnes qui donnent toute leur vie pour les autres!
A propos de l’abbaye de Gomerfontaine.
Dieu aime les gens même brisés comme Gomer. Il souhaite les relever, leur pardonner …
Bernadette Masereel a fait remarquer que Gomer est le nom de la femme prostituée du prophète Osée. Cette abbaye avait-elle mission de prier pour la conversion des femmes et des hommes qui se prostituent? Comme nous l’avons tous, leur mission était de prier intensément en s’offrant à Dieu pour la conversion de l’humanité qui adore les faux dieux que sont l’argent, la réussite, le pouvoir.
« Je te fiancerai à moi pour toujours », dit-il.
« Je te fiancerai dans la justice et dans la droiture, dans l’amour et dans la miséricorde.
Je te fiancerai par la fidélité, et tu connaîtras l’Éternel.
Comme une prostituée, la France (et pas qu’elle!) renie Celui qui l’aime tant !
Nourrissons notre espérance!
PRIONS: Puissent, grâce à la prière des religieuses et les nôtres, de nombreux pécheurs se convertir, c’est-à-dire se tourner résolument vers Dieu et changer de vie. Que l’Esprit Saint fortifie tous ceux qui évangélisent de mille manières possibles.
Que ceux qui connaissent mal ou pas du tout notre Seigneur Jésus cherchent intensément la VERITE!
07 Seigneur, tu m’as séduit, et j’ai été séduit ; tu m’as saisi, et tu as réussi. À longueur de journée je suis exposé à la raillerie, tout le monde se moque de moi. … 09 Je me disais : « Je ne penserai plus à lui, je ne parlerai plus en son nom. » Mais elle était comme un feu brûlant dans mon cœur, elle était enfermée dans mes os. Je m’épuisais à la maîtriser, sans y réussir.
En ce mois d’octobre, qui est celui du rosaire, rappelons-nous les messages répétés de la Vierge à Medjugorje.
… spécialement en ce jour du 13 octobre qui rappelle la dernière apparition de la Vierge Marie à Fatima où elle invite fortement à prier et à se sacrifier pour la PAIX.
Alors que mr le président français Macron souhaite envoyer la jeunesse en Ukraine au lieu de chercher inlassablement le dialogue avec la Russie, pensons très fort à tous ces enfants qui seraient privés de leur papa ou maman si le caprice macroniste se réalisait.
Les enfants de militaires de carrière me comprennent. Arrêtons les guerres ! Prions sans cesse à cette intention, la plus importante de toutes nos intentions : la PAIX! Apprenons à nos enfants à PRIER, avec le coeur, avec foi, avec persévérance, apprenons-leur à faire de petits sacrifices pour que vienne la PAIX.
Marie, protectrice de la France, nous donne l’espérance en son relèvement.
Que nos gouvernements européens cherchent à construire la paix, d’abord chez nous.
Le climat social y est de plus en plus tendu. Que de souffrances pour les Juifs notamment, comme cet homme qui exprime sa souffrance dans la vidéo suivante.
La mystique Marthe Robin avait prophétisé ce que nous vivons aujourd’hui.
Marthe Robin pensait que la France tomberait bas, très bas, plus bas que les autres nations, mais que la Sainte Vierge viendrait la relever, ce qui semble logique et naturel, puisque notre pays est consacré à la Mère de Dieu, qui ne l’abandonnera pas quelques soient ses reniements et sa dégringolade. C’est ce qu’elle a dit à plusieurs de ses visiteurs (cf. les intuitions de Marthe Robin sur la France), après l’avoir confié d’abord au Père Finet, le 10 février 1936 :
La foi est un combat spirituel plus dur qu’une bataille d’hommes.
Entrons dans le combat. Pas de tièdeur !
« La tièdeur est l’escabeau qui fait tomber dans l’aveuglement du péché. » (Marthe Robin)
« La tièdeur peut rendre sensible aux vents dominants. »
Changer de religion a demandé beaucoup de courage, de détermination à Bruno Guillot vu que l’islam interdit de choisir librement sa voie !
Jésus est Dieu et son autorité est absolue.
« Moi, le Seigneur,en temps voulu, j’agiraivite. »(Isaïe 60, 22)
France, qu’as-tu fait de ton baptême ? (Pape Jean-Paul II)
« Une Europe capable de mettre à profit son [patrimoine religieux] peut être plus facilement immunisée contre les nombreux extrémismes qui déferlent dans le monde d’aujourd’hui ». (Pape François )
Les signes d’espérance sont nombreux. Prêtons-y attention et nous grandirons dans la foi.
Prions, Bible en mains et avec Marie.
« Si c’est par le doigt de Dieu que j’expulse les démons, c’est donc que le règne de Dieu est venu jusqu’à vous » (Lc 11, 15-26)
Venez, serviteurs de mon Dieu, passez la nuit vêtus de toile à sac ! Car la maison de votre Dieu ne reçoit plus ni offrandes ni libations. Prescrivez un jeûne sacré,
Aimer son pays, c’est soutenir le peuple qui lutte pour vivre. Ce n’est pas tout casser. Au contraire! Un vrai citoyen tente de réparer ce qui est détruit par des irresponsables et il crée de bonnes conditions de VIE.
Aimer son pays, c’est dénoncer les injustices qui l’appauvrissent et s’engager soi-même, « se mouiller » comme on dit. C’est aussi prier beaucoup pour la PAIX! Compter sur Jésus-Christ, le Prince de la Paix. C’est Satan qui veut la guerre.
24 C’est par la jalousie du diable que la mort est entrée dans le monde ; ils en font l’expérience, ceux qui prennent parti pour lui.
Quand on est dans une radio privée, comme ici : on ne touche pas, à Sud-Radio, un sou de subvention. Sud-radio vit de la publicité, des auditeurs et des téléspectateurs et que le meilleur gagne.
Mais dans les services publics (4à5 milliards d’€ de budgets payés par nos contribuables) les orientations vont toutes dans le même sens: toujours les mêmes opinions, toujours les mêmes idéologies, les mêmes partis-pris , … Non, ça ne va pas , ça. Moi je veux bien qu’il y ait des radios de gauche et de droite, je veux bien qu’on affiche la couleur parce que la neutralité, l’objectivité, mais …
Silence des mainstreams sur des événements très graves.
Le sort des femmes druzes en Syrie est terrible. Pourquoi les femmes en France ne disent-elle rien à ce sujet ? Et les chrétiens, soutiennent-ils suffisamment leurs coreligionnaires ? Même en Turquie, Les chrétiens sont persécutés !
En Belgique, en France, … on ne vit plus en démocratie.
A-t-on le droit de défendre les Français sans être qualifié de racistes ?
Que dit la Bible au sujet du partage des richesses ?
13 Il ne s’agit pas de vous mettre dans la gêne en soulageant les autres, il s’agit d’égalité. 14 Dans la circonstance présente, ce que vous avez en abondance comblera leurs besoins, afin que, réciproquement, ce qu’ils ont en abondance puisse combler vos besoins, et cela fera l’égalité, 15 comme dit l’Écriture à propos de la manne : Celui qui en avait ramassé beaucoup n’eut rien de trop, celui qui en avait ramassé peu ne manqua de rien.
Mais quel malheur pour vous, les riches, car vous avez votre consolation ! Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant, car vous aurez faim ! Quel malheur pour vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et vous pleurerez ! Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. »
Pas d’attentat-suicide chez les chrétiens! Ils aiment la VIE, ils donnent leur vie .
Grandissons dans la foi : « Ne crains pas, crois seulement. »
Des prophètes annoncent le relèvement de la France. Yvonne-Aimée de Malestroit, et Marthe Robin, par exemple. La fille ainée de l’Eglise portera à nouveau la lumière de Dieu à travers le monde. Courage!
34 Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »
La vérité prend l’escalier tandis que le mensonge prend l’ascenseur.
Docteur Raoult est un professeur hautement qualifié qui a déjà soigné des milliers d’humains avec ses traitements bon marché. Il est extrêmement intelligent et il a le sens de la dignité humaine. Or il est sans cesse critiqué … car il s’attaque à BigFarma. C’est un homme LIBRE!
NB: La vérité au sujet du covid et de la « vaccination » arrive à la surface et lui donne raison.
EXCELLENTE NOUVELLE: Le chef d’état major de l’armée de terre confirme: les soldats français n’iront pas en Ukraine.
NON ET NON au porno et au wokisme.
Ces « armes » détruisent la civilisation! Le jeunesse souffre beaucoup de la folie des adultes.
Le communisme n’est pas la panacée ! L’athéisme a déjà fait des millions de victimes.
Mais maintenant, vous aussi, débarrassez-vous de tout cela : colère, emportement, méchanceté, insultes, propos grossiers sortis de votre bouche. Plus de mensonge entre vous : vous vous êtes débarrassés de l’homme ancien qui était en vous et de ses façons d’agir, et vous vous êtes revêtus de l’homme nouveau qui, pour se conformer à l’image de son Créateur, se renouvelle sans cesse en vue de la pleine connaissance. Ainsi, il n’y a plus le païen et le Juif, le circoncis et l’incirconcis, il n’y a plus le barbare ou le primitif, l’esclave et l’homme libre ; mais il y a le Christ : il est tout, et en tous.
Par ta sainte Passion, accorde-nous ta Paix, Seigneur !
CANTIQUES :
Prière et jeûne conduisent à la PAIX et non la violence qui ajoute du mal au mal.
A Medjugorje, la Vierge Marie ne cesse d’appeler à la prière!
« Chers enfants, aujourd’hui encore je vous invite à la prière. C’est seulement par la prière et le jeûne que la guerre peut être arrêtée. C’est pourquoi, mes chers petits enfants, priez et témoignez par votre vie que vous êtes miens et que vous m’appartenez. Car Satan, dans ces jours agités, désire séduire le plus d’âmes possible. C’est pourquoi je vous invite à vous décider pour Dieu, il vous protégera et vous montrera ce que vous devez faire, et quel chemin emprunter... »