LUEUR d’ESPOIR: Michael Kitzelmann, un officier NAZI – Quel espoir au NIGERIA?

Il était un officier nazi qui a vu ses propres soldats massacrer des enfants. Il les a dénoncés. Sa récompense ? L’exécution par un peloton d’exécution. L’Allemagne a mis 67 ans à reconnaître qu’il était un héros.

Michael Kitzelmann avait vingt-quatre ans lorsqu’il a rejoint la Wehrmacht en 1939. Ce n’était pas un nazi fanatique — c’était un catholique bavarois très croyant, persuadé qu’il défendait son pays. Il gravit rapidement les échelons, reçut des médailles de bravoure, était respecté de ses hommes. Il était exactement le type de jeune officier que le Troisième Reich voulait : discipliné, loyal, efficace.

Puis il fut envoyé sur le front de l’Est en 1941. Et tout ce qu’il croyait s’effondra.

L’opération Barbarossa — l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie — n’était pas seulement une campagne militaire. C’était un génocide planifié. Derrière l’avancée de la Wehrmacht venaient les Einsatzgruppen, unités de la SS dont les ordres explicites étaient d’exterminer les Juifs, les Roms, les communistes et toute personne jugée « indésirable » par le régime nazi.

Ce que Michael a vu durant ces premiers mois n’était pas la guerre. C’était du meurtre industriel.

Il vit des villages entiers être rassemblés. Hommes, femmes, enfants — alignés au bord de fosses communes et abattus. Il vit des nourrissons tués dans les bras de leurs mères. Il vit des personnes âgées traînées hors de chez elles et exécutées dans la rue. Il vit les Einsatzgruppen agir avec une efficacité bureaucratique glaçante, consignant les massacres dans des registres impeccables :

« Village de Krupki : 847 Juifs liquidés.

Village de Minsk : 1 200 exécutés. »

Et il vit ses camarades — des soldats allemands ordinaires — participer ou détourner le regard.

Michael Kitzelmann ne pouvait faire ni l’un ni l’autre.

Catholique, il avait été élevé dans l’idée de la valeur sacrée de la vie humaine. Il avait rejoint l’armée pour défendre l’Allemagne. Mais ce n’était pas de la défense. Ce n’était même pas du combat. C’était du massacre, et cela violait tout ce que sa conscience et sa foi avaient de plus sacré.

Alors il fit quelque chose que presque personne d’autre dans la Wehrmacht n’osa faire : il parla.

Dans des lettres envoyées à ses proches, Michael décrivit ce qu’il voyait. Sans euphémisme. Sans adoucissement. Il parla de massacres de masse, d’enfants assassinés, de la destruction systématique de communautés entières. Il écrivit :

« Nous ne combattons pas des soldats. Nous tuons des personnes sans défense. Ce n’est pas la guerre — c’est un crime. »

Il alla encore plus loin.

Il dénonça les atrocités à ses supérieurs, exigeant que quelqu’un arrête les Einsatzgruppen. Il critiqua ouvertement les politiques nazies devant ses camarades, appelant les massacres par leur nom : le mal.

Dans l’Allemagne nazie, c’était une condamnation à mort.

Un de ses camarades — dont l’histoire a heureusement oublié le nom — le dénonça à la Gestapo. L’accusation : Wehrkraftzersetzung — « démoralisation de l’armée ». En réalité, cela signifiait : avoir critiqué le régime ou remis en question ses ordres.

En avril 1942, Michael Kitzelmann fut arrêté.

Il n’y eut pas de véritable procès. La procédure n’était qu’une formalité, le verdict était déjà décidé. Les tribunaux militaires nazis ne cherchaient pas la justice — seulement à faire taire toute dissidence et à donner l’exemple.

Michael avait vingt-sept ans. Une jeune épouse l’attendait à la maison. Il avait toute la vie devant lui. Et il savait exactement ce qui l’attendait.

Le 11 juin 1942, Michael Kitzelmann fut exécuté par peloton d’exécution.

Pas pour lâcheté.

Pas pour désertion.

Pas pour trahison envers l’Allemagne.

Pour avoir refusé de se taire pendant que des enfants étaient assassinés.

Ce qui rend son histoire encore plus tragique : presque personne n’a fait ce qu’il a fait.

Sur environ 18 millions d’hommes ayant servi dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale, moins de 30 000 furent exécutés pour résistance ou dissidence — et seulement une infime fraction pour avoir protesté contre des crimes de guerre.

La grande majorité des soldats allemands ont vu les mêmes horreurs que Michael — et n’ont rien dit. Ils ont obéi. Ils ont détourné les yeux. Ils se sont convaincus qu’ils n’avaient pas le choix.

Michael Kitzelmann prouve que « suivre les ordres » était un choix. Et que refuser de les suivre en était un aussi — un choix que presque personne n’a fait.

Après la guerre, l’histoire de Michael fut oubliée. Sa famille ne reçut aucune reconnaissance. Son nom ne figura sur aucun mémorial. Les archives militaires allemandes le décrivirent simplement comme exécuté pour « démoralisation », comme s’il avait été un fauteur de troubles plutôt qu’un témoin du génocide qui refusa d’être complice.

Pendant soixante-sept ans, Michael Kitzelmann resta officiellement déshonoré — un traître aux yeux de l’histoire militaire.

Puis, en 2009, quelque chose d’extraordinaire se produisit.

Le gouvernement allemand réhabilita officiellement Michael Kitzelmann. Il reconnut que son exécution avait été un meurtre judiciaire, que son « crime » avait été du courage moral, et qu’il méritait d’être honoré comme quelqu’un qui s’était opposé au mal alors que presque tout le monde autour de lui participait ou regardait ailleurs.

Cette réhabilitation arriva soixante-sept ans trop tard pour Michael. Il était mort depuis près de sept décennies. Son épouse était morte sans voir son nom réhabilité. Sa famille avait porté la honte de sa « trahison » pendant des générations.

Mais cette réhabilitation n’était pas pour Michael. Elle était pour l’Histoire.

C’était l’Allemagne admettant enfin ce qui aurait dû être évident dès le début : les soldats qui ont résisté étaient les héros. Ceux qui ont obéi étaient complices du génocide.

L’histoire de Michael Kitzelmann nous force à affronter une vérité dérangeante : les gens ordinaires, placés dans des circonstances extraordinaires, choisissent presque toujours le silence. Ils se persuadent qu’ils sont impuissants. Ils se disent que parler ne changera rien. Ils se protègent en fermant les yeux.

Michael aurait pu faire pareil. Il aurait pu se taire, obéir, survivre à la guerre et rentrer chez lui. Il aurait pu vivre une longue vie, mourir paisiblement entouré de petits-enfants.

À la place, il a choisi de parler. Et cela lui a tout coûté.

Il n’y a pas de fin heureuse ici. Pas de sauvetage in extremis. Pas de réhabilitation de son vivant. Juste un jeune homme faisant face à un peloton d’exécution parce qu’il a refusé de se taire tandis que des enfants étaient massacrés.

Mais voici ce que son histoire prouve : même dans les heures les plus sombres de l’Histoire, quand les régimes totalitaires écrasent les voix individuelles, quand parler signifie mourir, la résistance reste possible.

Michael Kitzelmann n’a pas arrêté la Shoah. Il n’a sauvé personne. Sa protestation n’a rien changé sur le moment.

Mais il a prouvé que la conscience morale ne disparaît pas simplement parce que le mal devient la norme. Il a prouvé que même dans l’engrenage du génocide, un être humain peut encore choisir autrement.

Il était un officier nazi qui a dénoncé ses propres troupes pour leurs crimes. Ils l’ont tué pour cela.

Et il a fallu 67 ans pour que son pays admette qu’il avait raison. (paru sur facebook)

Aujourd’hui, au NIGERIA!

PRIONS L’ESPRIT SAINT pour chacun de nous qui faisons face à des situations délirantes afin que nous prenions nos responsabilités en tant qu’humains, en tant que chrétiens.

« Voici que je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » (Mt 28:20)

Les promesses de Jésus avant son départ : 

Celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; moi aussi, je l’aimerai, et je me manifesterai à lui. (Jn 14 :21)

Vous me verrez vivant, et vous vivrez aussi. (Jn 14 :19)

Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviens vers vous. (Jn 14 :18)

 Amen, amen, je vous le dis : avant qu’Abraham fût, moi, JE SUIS. (Jn 8 :58)

Jésus est présent à travers sa Parole, à travers la foi de son Eglise, de ses saints, de ses  martyrs, à travers ses apparitions, charismes, locutions intérieures, visions ….

 Et si l’on priait avant de continuer ?

« Si tes péchés t’effraient, si ton passé t’inquiète, si tes blessures ne guérissent pas, si tes chutes constantes te démoralisent et que tu sembles avoir perdu l’espérance, s’il te plait, n’aie pas peur. Dieu connait tes faiblesses et il est plus grand que tes erreurs. Dieu est plus grand que nos péchés : beaucoup plus grand. » Pape François

Non, les chrétiens n’ont pas changé la Parole de Dieu.

Une demandeuse d’asile me dit : « Je suis devenue musulmane parce que vous avez changé la parole de Dieu. «  Elle cite alors Matthieu 5 : 17-18 

Jésus a dit : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. 18 Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre disparaissent, pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu’à ce que tout se réalise.  https://www.aelf.org/bible/Mt/5

-Tu as raison, l’Eglise n’a pas le droit de changer quoi que ce soit de la Parole. Mais sais-tu que  Jésus  le VERBE de DIEU ? Il  est venu ACCOMPLIR la parole des prophètes tout en la portant à sa perfection. 

    Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens :
Tu ne commettras pas de meurtre,
et si quelqu’un commet un meurtre,
il devra passer en jugement.
    Eh bien ! moi, je vous dis :
Tout homme qui se met en colère contre son frère
devra passer en jugement.
Si quelqu’un insulte son frère,
il devra passer devant le tribunal.
Si quelqu’un le traite de fou,
il sera passible de la géhenne de feu. https://www.aelf.org/2024-06-13/romain/messe

Comme annoncé à Cana, Jésus nous offre un vin nouveau, meilleur que le premier.

37 Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra et les outres seront perdues. 38 Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves.  https://www.aelf.org/bible/Lc/5

Hélas, dit Jésus …

39 Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : “C’est le vieux qui est bon.” »

Par notre prière à l’Esprit Saint,  nous rendons Jésus présent et il nous explique lui-même sa Parole .   

Une Maghrébine raconte : « J’ai vu Jésus en rêve. Il me regardait. Je l’ai vu à ma droite, devant moi. A ma gauche, près de moi, un homme me faisait signe de la tête que  je pouvais regarder Jésus. Mes yeux étaient comme fermés par des écailles mais plus je le regardais et plus mes yeux s’ouvraient. Il était dans la lumière, moi j’étais dans l’obscurité. »

Jésus visible à travers la foi des martyrs.

Comment François Xavier Nguyên Van Thuân put-il passer 13 ans dans les geôles communistes  sans procès ni décision de justice, dont 9 ans en isolement ?  C’est un miracle ! Comment tant de chrétiens peuvent-ils tenir bon dans des pays communistes* ? (*cfr annexe)

https://www.catholic.org/featured/headline.php?ID=1316

En 300 ans, 130 000 catholiques vietnamiens sont morts pour la foi, dont 118 ont été béatifiés. Le nombre de catholiques au Vietnam qui sont morts de la même manière depuis 1975 est inconnu. https://www.catholic.org/featured/headline.php?ID=1316

20 Rappelez-vous la parole que je vous ai dite : un serviteur n’est pas plus grand que son maître. Si l’on m’a persécuté, on vous persécutera, vous aussi. Si l’on a gardé ma parole, on gardera aussi la vôtre. 21 Les gens vous traiteront ainsi à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas Celui qui m’a envoyé. 22 Si je n’étais pas venu, si je ne leur avais pas parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais à présent ils sont sans excuse pour leur péché. 23 Celui qui a de la haine contre moi a de la haine aussi contre mon Père.

https://www.aelf.org/bible/Jn/15

VIGILANCE :  Le communisme n’est pas mort !! Les « communistes » ne sont pas « camarades »  avec tous. Comme les islamistes, ils ne sont d’accord qu’avec ceux qui pensent comme eux. (cfr annexe: Maurice Bellet)

Les miracles eucharistiques sont très nombreux.

Jésus est présent dans la Sainte Hostie. Tant de chrétiens l’ont oublié et ils reçoivent l’Hostie sans l’adorer, avec un cœur sale. Le sacrement du pardon (Confession – Réconciliation) lave nos cœurs de leurs souillures et nous prépare à recevoir dignement le Corps du Christ. NB : Si nous recevons le Corps du Christ directement dans la bouche, c’est comme si Jésus lui-même nous donnait son Corps car les mains du prêtre* sont consacrées. A méditer. 

*Malheur au prêtre qui commet le péché de pédophilie !

Miracles liés à Saint Antoine de Padoue.

  • La vision de l’Enfant Jésus : Un jour que saint Antoine se recueille en prière seul, à Camposampiero, on le voit en pleine extase tenant l’Enfant Jésus dans ses bras. Toute sa vie, saint Antoine a une profonde dévotion à l’Enfant Jésus. Juste avant de mourir, il s’écrie encore une fois : “Je vois mon Seigneur !”. 

https://hozana.org/saints/saint-antoine-de-padoue/miracles

Antoine discutait un jour sur la présence de Jésus dans l’Eucharistie avec un hérétique. Ce dernier lui lança un défi de prouver, par un miracle, que dans l’hostie consacrée est présent le vrai corps du Christ, et lui promit, s’il y parvenait, de se convertir à la foi catholique.

L’hérétique lui dit : « J’enfermerai ma mule pendant plusieurs jours dans mon étable, sans lui donner à manger. Je l’amènerai ensuite sur la place devant tout le monde en lui présentant du fourrage. Pendant ce temps, tu placeras l’hostie devant la mule. Si l’animal s’agenouille devant l’hostie en négligeant le fourrage, je me convertirai. »

Le jour fixé, le Saint montre l’hostie à la mule en disant :

«En vertu et au nom du Créateur que moi, bien qu’indigne, je tiens entre mes mains, je te dis, animal, et je t’ordonne de t’approcher avec humilité et de Lui prêter la vénération qui Lui est due ».

Dès qu’Antoine eut prononcé ces mots, la mule, négligeant le fourrage, baissa la tête, s’approcha de lui et s’agenouilla devant le sacrement du corps du Christ.

https://www.santantonio.org/fr/content/la-mule

Jésus présent grâce au Rosaire.  

https://www.facebook.com/groups/mariemerededieuetnotremere

« La décadence qui existe dans le monde est sans nul doute la conséquence du manque de prière. Ce fut en prévision de cette désorientation que la Vierge a recommandé avec tant d’insistance la récitation du chapelet.

Et comme le chapelet est, après la sainte liturgie eucharistique, la prière la plus propre à conserver la foi dans les âmes, le démon a déchaîné sa lutte contre lui. Malheureusement, nous voyons les désastres qu’il a causés.

Nous ne pouvons et nous ne devons pas nous arrêter ni laisser, comme dit Notre Seigneur, les fils des ténèbres être plus avisés que les fils de la Lumière. Le rosaire est l’arme la plus puissante pour nous défendre sur le champ de bataille. « (Extrait d’une lettre de sœur Lucie de Fatima à un prêtre, 26-11-1970)

 
Dom Raso, ancien Navy SEAL(1), s’y connaît en matière de combat, tant physique que spirituel. Soldat d’élite de l’armée américaine, il est reconnu dans tout le pays pour son service et sa contribution à la recherche et au développement des techniques militaires. Mais, plus que ses exploits militaires hors pair, c’est sa volonté de se battre, à la fois pour la liberté des États-Unis et pour la gloire de Dieu, qui est le plus remarquable.  

Dom a des centaines de milliers de fans sur Instagram, mais il ne cherche pas la célébrité. Il se décrit dans sa biographie Instagram simplement comme étant : « un ancien Navy SEAL, catholique, marié et père de 5 enfants »« .  

Dans une interview, Dom Raso raconte des moments forts de sa vie. Ayant connu le combat, la souffrance et le deuil, Dom a choisi le bon, le vrai et le beau. Mais cela ne s’est pas fait sans une discipline extrême, une profonde souffrance et l’aide de la miséricorde divine. Bien que Dom se soit servi d’armes humaines dans son passé de SEAL, il reconnaît que l’arme la plus puissante qu’il porte sur lui est le chapelet.

Son premier chapelet est celui qu’il préfère – il s’en servait déjà à l’époque où il faisait partie des SEAL. « C’est la seule chose dont je me souvienne qui m’a donné le sentiment très fort d’être relié au Ciel. » À l’époque, il n’aurait pas pu expliquer pourquoi cet objet lui était si précieux. « Maintenant, je sais pourquoiLes méditations et la prière du Rosaire ont changé ma vie. Elles m’ont permis d’approfondir mon regard sur le Christ à chaque étape de son parcours sur terre, et de l’aimer davantage. J’ai aussi pris conscience de l’humilité de Marie et de son rôle dans le plan parfait de Dieu, celui d’épouse de l’Esprit Saint ».  

Depuis cinq mois, Dom et son fils adolescent se sont engagés à prier ensemble leur chapelet quotidien, sans jamais y manquer. Cela a été un catalyseur de conversations profondes et un lien plus fort, et ils attribuent tous les deux cela à la Sainte Vierge. Bridget McCartney Nohara, 19 mars 2024 Adapté de : www.wordonfire.org (1) Les SEAL, communément appelés Navy SEALs, sont la principale force spéciale de la marine de guerre des États-Unis

Don Raso :https://www.navyseal.com/dom-raso/

Le Christ se révèle à travers ses saints: leur exemple, leur enseignement.

20 Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis aujourd’hui dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi.  https://www.aelf.org/bible/Ga/2

Des saints ont réalisé une foule de miracles durant leur vie. Découvrez l’extraordinaire vie de saint Padre Pio et de saint Charbel ainsi que les miracles de sainte Thérèse de Lisieux, et ceux du saint curé d’Ars.

https://hozana.org/saints/saint-antoine-de-padoue/miracles

« Viens Esprit Saint nous sanctifier et le monde te verra à travers nous.« 

A propos de Mgr François Xavier Nguyên Van Thuân « Au cours de son long isolement, surveillé par deux gardes, il avait recueilli tous les petits morceaux de papier trouvés, réalisant un agenda sur lequel il avait reporté plus de 300 phrases de l’Evangile, célébrant la messe sur la paume de sa main et créant également de petites communautés chrétiennes. »

Aujourd’hui 13 juin, c’est la fête de saint Antoine dont la renommée est reconnue bien au-delà du Portugal. Pourquoi ceux qui l’aiment n’accourent-ils pas à la messe au moins le jour de sa fête ? Les saints nous sont donnés comme modèles. Tous  sont (ou ont été) pratiquants.   

13 « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens. 14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. 15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. 16 De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. https://www.aelf.org/bible/Mt/5

Maria Valtorta, grande mystique à qui Jésus s’est révélé.

L’œuvre donnée à Maria Valtorta n’est pas une œuvre canonique, comme le sont les Évangiles : Jésus le précise lui-même voir l’extrait ci-contre). En effet, la Révélation publique est close par la mort du dernier apôtre : Jean l’évangéliste. Après cela, seules sont admises les révélations privées : elles sont un secours qu’inspire le Ciel mais n’engagent ni Dieu, ni la foi[7]. Jésus précise à Maria Valtorta les raisons de cette œuvre :        
– Nous aider à mieux comprendre ce que furent sa vie et ses paroles ; 
– confirmer l’Évangile éternel en une époque qui le défigure.   

https://www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/028.htm

Cantiques

Ton regard. Ruy Boff

https://polysons-fauroeulx.weebly.com/uploads/2/1/9/8/21981468/248_ton_regard.pdf

Supplément

Au sujet de la liberté d’expression, du nazisme, du communisme …

Maurice Bellet

https://www.rcf.fr/articles/vie-spirituelle/archive-rencontre-avec-maurice-bellet

Nous expulsons le mal. Où trouvera-t-il à s’exercer ? Dans cette expulsion même. (…. ) vous voulez des exemples ? …. Le nazisme parut, en ses débuts, à des millions d’Allemands ce qui les tirait du chaos, du désespoir, du grand échec de tout ce à quoi ils avaient cru. La chose est encore plus fort à propos du communisme, à la mesure même où la visée de celui-ci était d’emblée généreuse et universelle. Comment ce qui s’annonçait comme la fin de l’exploitation de l’homme par l’homme, la marche allègre de l’humanité vers l’humanité fraternelle et heureuse, a-t-elle pu devenir ce que c’est devenu ? C’est dans ce mouvement même de libération que s’est glissé cela même qu’il ne pouvait que haïr le plus : l’oppression, le règne féroce d’un pouvoir sans  règle ni mesure, le massacre du peuple au nom du peuple.

Et si nous croyons en être délivrés, prenons garde. Geneviève de Gaulle disait récemment qu’après ces deux totalitarismes que je viens d’évoquer, un troisième était en train de leur succéder : celui de l’argent. Il est, si l’on peut dire, moins spectaculaire que les précédents, mais il sait être à  sa manière, atroce. Et le terrible est que quand on est mis là-dedans on ne le voit pas. La perversion majeure est d’abord inconsciente. Ce ne sera que liberté, développement, progrès, communication, fin des guerres absurdes, satisfaction offerte aux désirs et autres bienfaits.

 (…) Mais en même temps, ce meilleur est déjà le pire…

(Le Dieu pervers – Desclée De Brouwer pages 9 à 11)

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