30 Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Jésus invite à venir à lui pour recevoir le repos et en même temps il nous invite à prendre sur nous son joug. Y a-t-il contradiction ? Veut-il nous charger ?
La vie nous fait porter beaucoup de souffrances, morales, physiques, spirituelles. Jésus nous invite à nous atteler à lui pour qu’ensemble, avec lui, nous portions nos fardeaux. Avec lui, c’est plus facile.
Parait qu’il y a un des deux bœufs qui démarre premier et entraine l’autre.
Pour nous aider les uns les autres, témoignons de notre foi !
Les bien-aimés de Dieu ne sont pas à l’abri des difficultés. Quid des martyrs pour la foi ?
Dieu permet de grandes souffrances mais elles sont porteuses de vie et donc de consolation. Ainsi Paul, après avoir souffert de la lapidation, a eu la joie de faire beaucoup de disciples.
Aujourd’hui, des chrétiens en terre musulmane souffrent de la persécution. Mais Dieu tire parti de leur vie donnée.
Parce que le Royaume de Dieu n’est pas encore établi sur terre, Dieu permet que des chrétiens soient tués. Il en préserve d’autres, comme Joseph Fadelle, comme Saul de Tarse pour qu’ils témoignent de la nécessité de suivre Jésus. Les épreuves sont nombreuses dans leur vie.
Une fois en terre étrangère, ils témoignent de leur conversion et ils stimulent la foi endormie des pays sécularisés. Cependant, où qu’ils soient, ils sont traqués par les fondamentalistes ennemis de la liberté de culte.
Parlant de Paul à Ananie, le Seigneur Jésus ressuscité lui demande de l’accueillir :
Comme Paul cité ci-dessus, Joseph Fadelle (né Mohammed al-Sayyid al-Moussawi) a connu la persécution, il a été abandonné comme mort. Parce que Dieu l’avait choisi et appelé à témoigner, il a survécu et a réussi à gagner un pays où existe (pour l’instant) la liberté religieuse. Aujourd’hui il témoigne.
Rappelons-nous les chrétiens Shahbaz Bhatti, Salman Taseer.
Ministre pakistanais des Minorités religieuses et l’un des principaux défenseurs de l’amendement de la loi contre le blasphème, Shahbaz Bhatti a été assassiné à Islamabad. Salman Taseer a été assassiné lui aussi car il défendait Asia Bibi. Dieu merci, Asia Bibi a été libérée …
Nous sommes devant un choix : Ou bien le Royaume de Dieu, ou bien le Califat.
Les Musulmans souhaitent étendre le califat qui a pour loi la charia. Horrible programme ! Réveillons-nous !
Plus de 1 000 personnes ont manifesté dans cette ville du nord de l’Allemagne, certaines brandissant des affiches appelant à l’imposition de la charia et à l’établissement d’un califat.
« Trop tard pour Merah, dit Hassem Chalghoumi. Trop tard pour les attaques sur des militaires à Londres et Paris. Trop tard face à la montée des intégristes. Trop tard pour nos jeunes Belges et Français qui apprennent à manier des armes et à se battre avec les intégristes en Syrie. Trop tard pour ceux qui se battent contre l’armée française au Mali,… On commence à en voir 100, 200, 300,… je crains que demain, ils soient 100.000 ! »
« Je veux voir Dieu », disait un gamin tout recueilli lors de sa prière du soir. Voir Dieu, tant de personnes le souhaitent. Du temps de Jésus, son ami Philippe demanda :
09 Jésus lui répond : « Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : “Montre-nous le Père” ? 10 Tu ne crois donc pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi !
« Croyez du moins à cause des œuvres elles-mêmes. »
Face à l’incrédulité de ses apôtres, Jésus insiste :
11 Croyez-moi : je suis dans le Père, et le Père est en moi ; si vous ne me croyez pas, croyez du moins à cause des œuvres elles-mêmes. 12 Amen, amen, je vous le dis : celui qui croit en moi fera les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes, parce que je pars vers le Père …
Des œuvres, Jésus en a produites beaucoup : il a guéri des malades, chassé des démons, réalisé des résurrections… Aujourd’hui encore, Jésus sauve. Il y a mille raisons de croire en Lui.
Voici une histoire vraiment surprenante. Le gangster Alan Ames a vu Jésus face à face et tout a changé. Il est même devenu missionnaire.
Ressuscité, Jésus reste à nos côtés, pour toujours.
Cette image reçue quand j’étais adolescente ne m’a jamais quittée. La parole biblique est vivante.
18 Jésus s’approcha d’eux et leur adressa ces paroles : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre.19 Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit,20 apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. »
Après de nombreuses années dans l’athéisme, c’est grâce à un voisin qui lui avait donné une Bible qu’Yveline a rencontré le Seigneur. Elle a alors décidé de lire la Parole de Dieu chaque jour. Elle témoigne:
NB : Croire à la Providence n’empêche pas d’exercer son discernement, car Satan singe Dieu. Il se peut que l’on soit au mauvais endroit au mauvais moment. Le Malin cherche à nous troubler. Résistons-lui par une prière soutenue, constante. Padre Pio, bien connu pour sa lutte contre Satan, priait de très nombreux chapelets chaque jour.
La Providence et le chien de Don Bosco
Jésus nous donne son Esprit : l’Esprit Saint
Jésus prévient ses apôtres de son départ imminent. Il les rassure : l’Esprit Saint, le Défenseur sera là.
06 Mais, parce que je vous dis cela, la tristesse remplit votre cœur. 07 Pourtant, je vous dis la vérité : il vaut mieux pour vous que je m’en aille, car, si je ne m’en vais pas, le Défenseur ne viendra pas à vous ; mais si je pars, je vous l’enverrai. …13 Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière. 23 En ce jour-là, vous ne me poserez plus de questions. Amen, amen, je vous le dis : ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera. 24 Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom ; demandez, et vous recevrez : ainsi votre joie sera parfaite.
Lors de la Pentecôte, l’Esprit Saint est donné en surabondance et guide l’Eglise…
Floris : Ton bonheur, c’est Quelqu’un.
L’évangélisation, grâce à l’Esprit Saint.
Jésus est ressuscité et ses apôtres, guidés par l’Esprit Saint, continuent son œuvre. Les apôtres se dispersent et portent l’Evangile aux quatre coins du monde. C’est l’évangélisation. L’Eglise fondée par le Christ appelle chaque chrétien à faire connaitre son message autour de lui.
Saint Luc a soin de noter quelques-uns des actes des apôtres.
Un jour qu’ils célébraient le culte du Seigneur et qu’ils jeûnaient, l’Esprit Saint leur dit : « Mettez à part pour moi Barnabé et Saul en vue de l’œuvre à laquelle je les ai appelés. » Alors, après avoir jeûné et prié, et leur avoir imposé les mains, ils les laissèrent partir. Eux donc, envoyés par le Saint- Esprit, descendirent à Séleucie et de là s’embarquèrent pour Chypre ; arrivés à Salamine, ils annonçaient la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs.
La bonne odeur de Dieu se répand à travers ses enfants.
Un jour, en sortant de l’église du village, j’humai une bonne odeur. D’où venait-elle ? Il n’y avait pas d’arbustes fleuri près de l’église. J’en conclus que Dieu voulait faire passer ce message: Quand je sors de l’église ou d’un temps de prière, je devrais porter la bonne odeur de la foi autour de moi. Au lieu de me plaindre (du temps, de ma santé, …) je devrais louer Dieu pour ce qu’Il est et pour ce qu’Il apporte dans ma vie. Les personnes que je rencontre ont besoin d’être écoutées, réconfortées, encouragées.
14 Rendons grâce à Dieu qui nous entraîne sans cesse en son cortège triomphal dans le Christ, et qui répand par nous en tout lieu le parfum de sa connaissance. 15 Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, parmi ceux qui accueillent le salut comme parmi ceux qui vont à leur perte ; 16 pour les uns, c’est un parfum de mort qui conduit à la mort ; pour les autres, un parfum de vie qui conduit à la vie. Et qui donc est capable de cela ? 17 En effet, nous ne sommes pas comme tous ces gens qui sont des trafiquants de la parole de Dieu ; au contraire, c’est avec sincérité, c’est de la part de Dieu, et devant Dieu, que dans le Christ nous parlons.
03 Ils feront cela, parce qu’ils n’ont connu ni le Père ni moi.
Du mal, Dieu tire le bien : La bonne odeur de Dieu se répand.
Lors du procès des complices des assassins du père Hamel, « Les acteurs de ce procès hors norme ont été littéralement saisis par des moments de grâce »
« Je me souviendrai longtemps de cette scène : il fait nuit, le verdict est tombé depuis près de deux heures maintenant. Roseline Hamel, la sœur du prêtre assassiné à Saint-Étienne-du-Rouvray, est encore dehors devant les grilles du palais à réconforter la famille d’un des hommes condamnés.»
1) Jésus dans l’islam.L’islam est apparu 6 siècles après Jésus. Comment donc les Musulmans peuvent-ils en savoir plus sur Jésus que les Chrétiens eux-mêmes?
Le récit évangélique a été écrit par 4 auteurs différents.
N’est-ce pas une richesse de pouvoir puiser à différentes sources ?
3) En vue de l’évangélisation, l’association Marie de Nazareth a besoin d’argent.
Soyons généreux. C’est par l’évangélisation que nous combattons la bête de l’apocalypse. Mr le président Emmanuel Macron n’avait-il pas déclaré : « La Bête est là ».
18 Petits enfants, n’aimons pas en paroles ni par des discours, mais par des actes et en vérité. https://www.aelf.org/bible/1Jn/3
12 Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et, en nous, son amour atteint la perfection. 16 Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru.
…. En nous appuyant sur tous les moyens de communication multimédias les plus modernes, nous sommes en train de présenter à nos contemporains l’incroyable trésor de la foi chrétienne… pour leur permettre de découvrir ou de redécouvrir l’amour de Jésus et la tendresse de Marie ! C’est tout l’objectif du projet 1000 Raisons de Croire que vous connaissez et que je vous invite à soutenir car il est en train de véritablement changer la donne… … mais nous avons besoin de votre soutien de toute urgence pour convertir l’essai !
P.S. : Nous vous enverrons bien entendu un reçu fiscal qui vous permettra de déduire 66% du montant de votre don, si vous êtes imposable.
Votre don de 100€ ne vous coûtera donc que 34€. Merci de votre générosité !
Pour porter du fruit en abondance, prions encore et demandons l’amour de la prière. Il en va de l’avenir du christianisme et de la VIE.
Père, je te bénis pour ton Eglise en prière qui fait front à l’empire du mal.
Dans ce monde en plein désarroi, l’Eglise est comme une barque sur la mer en furie et elle tangue fortement, mais Dieu merci, Jésus est à bord. Les petits, les humbles écoutent sa voix et appellent chacun à faire confiance au Père.
Grégory Turpin interprète merveilleusement « Père, je te bénis ».
Père , je te bénis pour Jésus, le Bon Berger qui conduit vers Toi.
10 Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. 11 Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis.
Le temps des apparitions de Jésus n’est pas terminé. C’est déroutant de se retrouver face à Lui et qu’il nous parle encore aujourd’hui, en live, en rêve ou en vision. C’est déroutant et même déplaisant pour certains quand Jésus passe par Marie pour transmettre des messages à l’humanité. N’en déplaise à nos frères chrétiens protestants, depuis sa résurrection, c’est souvent Marie qui transmet des messages du ciel destinés aux autorités de l’Eglise. Elle passe par des enfants, des adolescents ou par des personnes très humbles, des « petits ». Ainsi Bernadette Soubirous, Gilles Bouhours. Carlos Acutis avait lui aussi une grande dévotio mariale.
Père, je te bénis pour Bernadette de Lourdes.
Parce qu’elle s’obstinait à transmettre le message venu du ciel, Bernadette de Lourdes, 13 ans seulement, fut persécutée. Issue d’une famille pauvre, elle savait à peine lire et écrire or Marie lui confie une mission de grande importance. Imaginons l’émotion du prêtre quand cette adolescente lui a révélé le nom de l’apparition :
« Je suis l’Immaculée Conception ».
L’abbé Peyramale savait que le pape avait donné ce titre d’immaculée à la Vierge quelques années plus tôt, mais Bernadette ne pouvait pas le savoir ! Elle a donc confirmé le dogme papal de la conception immaculée de Marie, mère de Jésus.
Père, je te bénis pour le petit Gilles.
Cet enfant n’avait que 2 ans et 10 mois lors de sa première rencontre avec la Vierge. Elle lui confiera plus tard un secret qu’il devra révéler au pape Pie XII en premier lieu ! Imaginons le pape recevoir en audience un enfant de 5 ans qui vient vers lui de la part du Ciel !
« La Sainte Vierge n’est pas morte. Elle est montée au ciel avec son corps et son âme. »
N’en déplaise donc à nos frères chrétiens orthodoxes, Marie n’est pas morte avant de monter au ciel. Il se fait que le pape avait demandé un signe avant de proclamer ce dogme de l’Assomption. Et c’est le petit Gilles qui le lui a donné quelques mois plus tôt.
Livre : Le petit Gilles (1944-1960) Messager de Marie auprès du Pape. (Jean PHILIPPE). (annexes)
Père, je te bénis pour les « petits » frères et soeurs de Jésus.
Je me suis toujours demandée comment on peut en arriver à ne pas faire confiance à autant de personnes (des enfants, des papes, des docteurs de l’Eglise, de grands saints, … ) qui se penchent sur la dévotion à Marie !
Sa maman témoigne. « Carlo a vécu une vie exceptionnelle jusqu’au bout, lorsqu’il a déclaré avoir offert sa douleur physique à Dieu pour le pape et pour l’Église. Sa mère dit : « Pour moi, Carlo était un petit sauveur qui m’a amené à emprunter un chemin spécial. »
« C’est un chemin que je continue de parcourir », réfléchit-elle. « J’essaie de diffuser son héritage, en particulier cette exposition sur les miracles eucharistiques, qui a parcouru tous les continents et qui a aidé de nombreuses personnes. »
« Il existe des témoignages de personnes qui se sont rapprochées de Dieu et qui ont commencé une vie de foi », dit-elle. « Pour moi, c’est le plus grand signe. Parce que Carlo se souciait beaucoup de l’Eucharistie et il disait : « Nous sommes nés comme des originaux, mais beaucoup vivent comme des photocopies ».
La mère de Carlo est d’accord avec ses propos. Elle dit que « Jésus nous donne les sacrements pour que nous ne mourrions pas en photocopies, et il se donne à travers l’Eucharistie », qui est « Dieu présent en personne : son corps, son sang, son âme et sa divinité ».
Pendant la maladie de Carlo, son courage face à sa mort prématurée a inspiré sa mère. « Maman, n’aie pas peur, dit-il, car avec l’Incarnation de Jésus, la mort est devenue vie, et il n’y a pas besoin d’y échapper : dans la vie éternelle, quelque chose d’extraordinaire nous attend. »
Père, je te bénis pour Myriam, la petite sainte d’Irak.
Père, je te bénis pour ta sainte Présence tangible à Medjugorje.
« Là où il voit Marie, l’Esprit Saint accourt. » Que de merveilles en ce lieu où la foi est mise en pratique.
A Medjugorje, comme à Fatima, il y a de nombreuses conversions, guérisons et des signes dans le ciel pour tenter de secouer notre foi.
Là encore, c’est à des enfants et adolescents que Marie est apparue et elle continue de s’y entretenir avec eux. Premières apparitions en juin 1981 et depuis lors, elle accompagne maternellement aussi les millions de pèlerins qui répondent à son appel.
Père, je te bénis pour les grandes personnes au cœur d’enfant.
Je viens d’assister à la sépulture de sœur Assunta, religieuse trappistine. L’éloge qui fut faite de cette bonne personne m’a convaincue qu’elle avait conservé un cœur d’enfant, un cœur confiant au milieu-même des épreuves. Elle avait donné toute sa vie à Dieu, d’abord en étant infirmière et soeur missionnaire en RDC (Kasaï) et puis comme trappistine.
Les « grandes personnes », les mains dans les poches, critiquent tout ce qui ne va pas dans la société, ils « refont le monde ». Les petits enfants du Bon Dieu, eux, s’engagent à fond, tout donnés à leurs frères et sœurs en humanité.
Nous avons des responsabilités, celui de fournir à notre jeunesse un terreau favorable à l’éclosion des vocations (à servir les autres, à devenir religieux, prêtre, …) Une petite prière avec ses enfants le soir avant de dormir n’est pas suffisante, ni une bougie allumée dans une église. Quelques heures de caté préparatoires aux sacrements, ce n’est pas assez.
A l’heure du déluge numérique (smartphones ) et de l’explosion du trafic de drogues, qui détruisent les familles, la société a besoin de nombreux « Moïse » qui libèrent les jeunes de leurs esclavages.
La société a besoin de joyeux missionnaires qui prennent les enfants en charge au sein d’associations comme le patro, le scoutisme, … où ils apprennent à aimer, à respecter Dieu, le prochain et la nature. Les conversations mondaines , les chansons grivoises y sont remplacées par des hymnes de louange.
Pour l’instant, des scouts (dont mon petit-fils) nettoient le lac de Bambois pour un bon accueil des touristes. Travail bénévole qui fait un pied de nez à tous ceux qui ne pensent qu’argent.
Louons Dieu qui appelle sans cesse à le suivre. Prions pour celles et ceux qui sont appelés. Qu’ils répondent généreusement à l’appel reçu. Oui, Dieu appelle, même au sein de familles athées ou d’autres religions. Prions.
02 Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.
Comme il y a « Mille raisons de croire. », il y a mille façons d’être missionnaires. Par le chant, le dessin, le service, l’offrande de sa vie.
18 Jésus s’approcha d’eux et leur adressa ces paroles : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. 19 Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, 20 apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. »https://www.aelf.org/bible/Mt/28
D’abord un fait d’actualité. Fermer ses oreilles au message de Jésus, c’est risquer de l’ouvrir à celui des fanatiques comme ce jeune de 16 ans qui a poignardé un prêtre.
POIGNARDÉ en pleine messe: le prêtre MAR MARI EMMANUEL (Bishop Tiktok).
Suivre Jésus, c’est prendre des risques. La prédication chrétienne dérange ceux qui refusent de se poser des questions. Quoi de plus facile pour faire taire des missionnaires que de les tuer! Que de lâcheté!
A la messe de ce 16 avril, j’entendais le récit du meurtre d’Etienne, premier martyr après la résurrection de Jésus. Sa prédication dérangeait, comme celle de Mar Mari Emmanuel. Les détracteurs d’Etienne se bouchaient les oreilles … Est-ce par peur de se laisser toucher par la beauté du message chrétien? Est-ce par jalousie de son aura qu’Etienne fut lapidé?
… Alors ils poussèrent de grands cris et se bouchèrent les oreilles.
Étienne, pendant qu’on le lapidait, priait ainsi : « Seigneur Jésus, reçois mon esprit. » Puis, se mettant à genoux, il s’écria d’une voix forte : « Seigneur, ne leur compte pas ce péché. » Et, après cette parole, il s’endormit dans la mort.
Et c’est aussi ce qu’a fait le prêtre MAR MARI EMMANUEL, il a prié pour le terroriste :
Suivre Jésus, c’est un risque. Les Chrétiens le savent mais l’amour de Jésus les attire …
01 Mon fils, si tu viens te mettre au service du Seigneur, prépare-toi à subir l’épreuve ; 02 fais-toi un cœur droit, et tiens bon ; ne t’agite pas à l’heure de l’adversité.
16 « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et candides comme les colombes. 17 Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues.
La LECTIO DIVINA aide à comprendre l’histoire d’amour qui unit Jésus à ses disciples.
Tutto Lectio Divina.
Hozana: La lectio divina, c’est quoi ? Comment procéder ?
« Il s’agit d’un cheminement qui part d’une lecture des saintes écritures, lente et posée, qui conduit à « entendre » ce que le Seigneur veut nous dire aujourd’hui. A partir de là, un dialogue entre lui et nous s’instaure pour mener à une communion d’esprit. Cette pratique, inspirée du PaRDeS de la tradition hébraïque, est accessible à tous.
On peut décider de pratiquer la lectio divina à plusieurs : en couple, en famille, entre amis, dans un groupe de paroissiens. C’est dans la diversité des ressentis, des compréhensions que nous percevons à quel point ces textes sont vivants.
Il est alors important d’être dans une attitude d’accueil et d’écoute bienveillante de l’autre. N’oublions pas que l’Esprit Saint vient éclairer chacun pour nous éclairer mutuellement. »
Quelles sont les étapes de la Lectio Divina ? (d’après pape Benoit XVI)
« Les étapes fondamentales de la Lectio Divina : elle s’ouvre par la lecture (lectio) du texte qui provoque une question portant sur la connaissance authentique de son contenu: que dit en soi le texte biblique? Sans cette étape, le texte risquerait de devenir seulement un prétexte pour ne jamais sortir de nos pensées.
S’en suit la méditation (meditatio) qui pose la question suivante: que nous dit le texte biblique? Ici, chacun personnellement, mais aussi en tant que réalité communautaire, doit se laisser toucher et remettre en question, car il ne s’agit pas de considérer des paroles prononcées dans le passé mais dans le présent.
L’on arrive ainsi à la prière (oratio) qui suppose cette autre question: que disons-nous au Seigneur en réponse à sa Parole? La prière comme requête, intercession, action de grâce et louange, est la première manière par laquelle la Parole nous transforme.
Enfin, la Lectio divina se termine par la contemplation (contemplatio), au cours de laquelle nous adoptons, comme don de Dieu, le même regard que lui pour juger la réalité, et nous nous demandons: quelle conversion de l’esprit, du cœur et de la vie le Seigneur nous demande-t-il? Saint Paul, dans la Lettre aux Romains affirme:
«Ne prenez pas pour modèle le monde présent, mais transformez-vous en renouvelant votre façon de penser pour savoir reconnaître quelle est la volonté de Dieu: ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait» https://www.aelf.org/bible/Rm/12 verset 2
La contemplation, en effet, tend à créer en nous une vision sapientielle de la réalité, conforme à Dieu, et à former en nous «la pensée du Christ» (1 Co 2, 16). https://www.aelf.org/bible/1Co/2
La Parole de Dieu se présente ici comme un critère de discernement:
12 Elle est vivante, la parole de Dieu, énergique et plus coupante qu’une épée à deux tranchants ; elle va jusqu’au point de partage de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles ; elle juge des intentions et des pensées du cœur.
Il est bon, ensuite, de rappeler que la Lectio divina ne s’achève pas dans sa dynamique tant qu’elle ne débouche pas dans l’action (actio), qui porte l’existence croyante à se faire don pour les autres dans la charité.
La lectio divina permet un dialogue et une intimité avec Dieu et est en cela très personnelle. En effet, notre Père qui nous connaît intimement – à travers un même texte – aura un message pour chacun. Toutefois, un partage de la parole est également bénéfique, notamment dans l’étape de méditation. On peut décider de pratiquer la lectio divina à plusieurs : en couple, en famille, entre amis, dans un groupe de paroissiens. C’est dans la diversité des ressentis, des compréhensions que nous percevons à quel point ces textes sont vivants. Il est alors important d’être dans une attitude d’accueil et d’écoute bienveillante de l’autre. N’oublions pas que l’Esprit Saint vient éclairer chacun pour nous éclairer mutuellement.
La Lectio Divina à laquelle je participe
NB: Cette lectio divina en groupe est féconde mais parfois ardue vu la présence de personnes presque « théologiennes ». Notez qu’il existe de simples groupes de partage de la Parole facilement accessibles à tous. Se renseigner en paroisse. Le parcours sur internet de « Retraite dans la ville » est aussi à la portée de tous. https://psaume.retraitedanslaville.org/psaume/psaume-118-pour-qui-aime-ton-nom
Quelques moniales et des laïcs se rassemblent pendant deux heures une fois par mois. Pour l’instant, nous méditons l’Evangile selon saint Matthieu. Nous lisons quelques versets à chaque rencontre tout en suivant l’ordre proposé par l’auteur lui-même.
Notre lectio divina commence par une prière sincère à l’Esprit Saint. Pourquoi ? Parce que sans l’Esprit Saint la lecture biblique est hermétique. On pourrait la croire réservée à des élus, mais c’est faux. Même les simples la comprennent car ils ne sont pas encombrés par toutes sortes de théories. Ils ont un rapport franc avec Dieu. L’Esprit Saint touche facilement leur esprit.
Après la prière, la lecture de la Parole. Ensuite, une méditation personnelle. Puis chacun est invité à exprimer ce qui lui est venu à l’esprit. On remarque des différences de compréhension de la Parole mais aussi des idées qui s’emboitent les unes dans les autres pour former un tout aux mille couleurs différentes. Le fait de partager augmente encore les idées…. Et la coupe déborde.
Tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
On s’explique mutuellement la Parole, parfois aussi à la lumière des commentaires écrits en petits caractères à chaque page de la Bible
La lectio divina peut se préparer à la maison.
Les plus mordus d’entre nous préparent chez eux cette lectio et ils établissent des liens avec d’autres passages bibliques. C’est bien entendu très intéressant.
Dans le groupe que je fréquente, nous nous basons sur une traduction littérale de la Parole de Dieu et non as littéraire. Le texte biblique écrit en grec est traduit en français littéral. En effet, Matthieu écrivait en utilisant la langue grecque. Parfois le retour à cette langue est bien utile pour appréhender le sens d’un mot.
Par exemple, quand on lit en français que Jésus est Fils de l’homme, la traduction du grec nous dit : Jésus est fils de l’humain. En grec ancien homme se dit ἀνδρός, andros, et humain vient du mot grec : ανθρωπότητα anthropos. C’est donc différent. L’étude des textes anciens facilite la recherche de la vérité.
Matthieu chapitre 26 versets 17à 29.
Voici quelques mots au sujet de notre dernière Lectio Divina. Ci-dessous, le texte n’est pas littéral mais littéraire, donc en français d’aujourd’hui.
Dès le verset 17 : on voit que les disciples de Jésus respectent les coutumes juives.
Où veux-tu que nous préparions la paque pour toi : « pour toi » : c’est Jésus qui compte. Il est au centre.
Verset 18 : Allez chez « un tel ». Ce « un tel » marque une élection du Maître, une personne préparée à cette visite des apôtres.
… et dites-lui : « Le Maître te fait dire : Mon temps est proche. » Le personnage « un tel » peut comprendre ce langage de Jésus car, on le suppose, Jésus le lui a révélé à l’avance.
En écrivant ce chapitre, je fais le lien avec Saul de Tarse qui fut envoyé par le Seigneur chez Jude, une personne choisie par Dieu, un élu lui aussi. Jude avait été préparé à recevoir la visite de Saul. Voici ce passage :
11 Le Seigneur reprit : « Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude : tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul. Il est en prière, 12 et il a eu cette vision : un homme, du nom d’Ananie, entrait et lui imposait les mains pour lui rendre la vue. »
Verset 21 et 22: Alors qu’ils mangeaient. Le repas est un moment privilégié de communion. C’est au cours de ce dernier repas de Jésus qu’il y eut un moment transcendantal, en lien avec l’Alliance (verset 18).
« Amen, je vous le dis, un de vous me livrera. » 22 Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, chacun son tour : « Serait-ce moi, Seigneur ? »
Serait-ce moi ? Cette question marque la difficulté du discernement. Les apôtres connaissent la fragilité de la condition humaine. Il est possible qu’ils se remettent en question.
Verset 23« Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi, celui-là va me livrer… » Ce détail montre que Jésus et Judas sont liés d’amitié. C’est un ami qui va livrer Jésus à ses bourreaux.
Verset 24 et 25« Malheureux cet humain-là par qui le Fils de l’humain est livré. C’eut été bien pour lui s’il ne fut pas engendré, cet humain-là. »Répondant, Judas, celui qui le livre, lui dit : « Est-ce moi ? ».
Au sujet de Judas, les réflexions sont très diverses.
Judas est un effronté, il sait bien que c’est lui qui le livre puisqu’il a déjà fait affaire avec les grands-prêtres :
14 Alors, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres 15 et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ? » Ils lui remirent trente pièces d’argent. 16 Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
Pourquoi a-t-il livré Jésus ? Est-ce vraiment pour de l’argent ? Est-ce par jalousie de l’autorité de Jésus ? Judas a-t-il pensé que Jésus allait s’en tirer comme d’autres fois auparavant ? Était-il prédestiné à cela, comme une marionnette ou avait-il le libre arbitre ? ? Mais Dieu donne toujours l’occasion de se « convertir » !
Quand Judas dit aux grands-prêtres : « Que voulez-vous me DONNER ? » Cette parole démontre l’égoïsme de Judas, son amour de l’argent alors que Jésus invite à donner, à servir et pas le contraire. Il n’a pas l’esprit de Jésus.
Lors de ce repas, on voit clairement que l’amour le plus pur et le mal le plus abject cohabitent.
Question lancinante: Satan est-il entré en lui ? Est-il devenu serviteur de Satan ? Quelle est la part de Judas en chacun de nous?
Après cette discussion au sujet de Satan, je voulais en savoir plus pour être mieux éclairée. Aussi, de retour chez moi, j’ai recherché ce que dit Maria Valtorta au sujet de Judas. Son oeuvre, « L’Evangile tel qu’il m’ a été révélé » (que Jésus lui a dicté mot à mot), décrit bien la psychologie des personnages.
NB: Dans les études bibliques comme la Lectio Divina, on ne recourt pas aux révélations privées. C’est la Parole Biblique seule qui guide notre étude. (cfr Maria Valtorta : annexe)
Verset 26 Jésus bénit le pain : c’est une pratique juive que les apôtres ont conservée. Jésus va plus loin que la bénédiction. Il y est question de l’Alliance de Dieu avec les humains.
Comment les apôtres ont-ils pu entendre de telles paroles si ce n’est parce qu’il est le Maitre, un Maître qui a autorité et qu’on écoute ?
Quelques réflexions sur l’Eucharistie que Jésus a instituée durant son dernier repas avec ses apôtres.
Le Corps du Christ a une force inimaginable qui va au-delà de l’humain et s’étend à la création entière. Il touche les personnes qui ne communient pas au Corps du Christ. Si elles ont un désir de vérité, un désir de devenir meilleur, c’est grâce au rayonnement du Corps du Christ qui sanctifie le monde et que rien n’arrête. A ce propos, Teilhard de Chardin a été cité. (annexe)
Comparaison: le rayonnement du Corps du Christ, sur le plan spirituel, c’est un peu comme les ondes électomagnétiques mais qui se diffuseraient à l’infini.
Père Omer de l’abbaye de Scourmont.
Même le pape dit qu’il y a des non-chrétiens meilleurs que des chrétiens.
Des témoignages de l’importance de la messe sont donnés
« Je souhaite aller à la messe chaque jour. Avant d’aller enseigner, je m’arrange pour y aller. Je prie pour que le train n’ait pas de retard! »
« Le moment où le prêtre élève l’hostie qui devient Corps du Christ et puis la coupe du vin qui devient Sang du Christ, ce moment est intense. Je pense au Corps de Jésus qui a été torturé, lacéré, écrasé et je vois le Sang qui sort de ce Corps, comme de la sève. C’est avec ce Sang que Jésus nous rachète. Il est au centre de l’univers. Tout converge vers Lui. L’Eau et le Sang qui jaillissent du Cœur de Jésus, c’est purement incroyable ! C’est La Source de tout bien !Je pense aux révélations de Jésus à sainte Faustine.
« Le moine se tient à la porte des enfers pour que personne n’y tombe. On peut dire aussi qu’il se tient à la crête d’une montagne. D’un côté le ciel, de l’autre l’enfer. »
Quelques prières finales
Après un retour sur ce qui nous a touchés, voire percutés durant ce partage biblique, vient un temps de prière. En voici des bribes:
« Jésus, je t’offre les obstacles sur mon chemin, ils sont marchepieds vers Toi »
« Jésus, viens chez moi, je suis ce « un tel », viens … »
« Merci Seigneur pour ce beau partage fraternel. Chacun apporte ce qu’il reçoit personnellement. Nous sommes comme des grains de blé choisis par Dieu pour être moulus comme Jésus et devenir pain pour le monde. Entre tes mains, Seigneur… »
ANNEXES
Le dernier repas est un Séder. Fr. Laurent Mathelot OP
La Lumière de Dieu n’est pas à vendre. Elle est d’ailleurs hors de prix! Heureusement !
Oui, heureusement, car la Lumière divine apporte la foi et, avec elle, l’espérance en un monde meilleur !
01 La foi est une façon de posséder ce que l’on espère, un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas. 02 Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens, c’est à cause de leur foi.
On pourrait comparer l’Esprit Saint à la lumière qui éclaire un paysage. Dans la pénombre, on distingue mal les formes. Sans l’Esprit Saint, on peut lire la Bible et ne rien y comprendre.
On pourrait aussi comparer l’Esprit Saint au suc gastrique qui permet de digérer ce que nous mangeons. Manger lentement, mastiquer est conseillé pour bien digérer. De même, lire attentivement le texte biblique, le relire phrase par phrase, le méditer permet de comprendre un peu mieux la parole. L’Esprit Saint « parle » alors à notre intelligence.
Pape François : «Et comment invoque-t-on le Saint-Esprit?
Parce que je sais comment prier le Père, avec le Notre Père; je sais comment prier la Vierge avec le Je vous salue Marie; je sais comment prier Jésus avec la Prière des Plaies, mais qu’en est-il de l’Esprit? Quelle est la prière du Saint-Esprit?»
La prière à l’Esprit Saint est spontanée: elle doit venir de ton cœur. Tu dois dire dans les moments de difficulté: «Saint Esprit, viens». Le mot clé est celui-ci: «viens». Mais tu dois le dire avec ton langage, avec tes mots. Viens, parce que je suis en difficulté, viens parce que je suis dans l’obscurité, dans les ténèbres; viens parce que je ne sais pas quoi faire; viens parce que je risque de tomber. Viens. Viens. C’est la parole de l’Esprit pour invoquer l’Esprit.
Apprenons à invoquer plus souvent l’Esprit Saint. Nous pouvons le faire avec des mots simples, à différents moments de la journée. Et nous pouvons emporter avec nous, peut-être bien dans notre Evangile de poche, la belle prière que l’Eglise récite à la Pentecôte: «Viens, Esprit Saint, / envoie du haut du ciel un -rayon de ta lumière. … Cette prière nous aidera à marcher dans l’Esprit, dans la liberté et dans la joie, car quand vient l’Esprit Saint, vient la joie, la vraie joie. Que le Seigneur vous bénisse! https://www.osservatoreromano.va/fr/news/2021-11/fra-046/la-liberte-chretienne-donnee-par-l-esprit-de-dieu.html
En 1998, le pape Jean-Paul II avait fait une année de catéchèse sur l’Esprit saint, pendant laquelle il s’était intéressé au rôle de l’Esprit saint dans les autres religions. Il disait : « Il faut d’abord avoir à l’esprit que toute recherche de l’esprit humain dans le sens de la vérité et du bien, et en ultime analyse de Dieu, est suscitée par l’Esprit saint. C’est précisément de l’ouverture primordiale de l’homme à l’égard de Dieu que naissent les diverses religions. À l’origine, on trouve souvent des fondateurs qui ont réalisé avec l’aide de l’Esprit de Dieu une expérience religieuse plus profonde. Transmise aux autres, cette expérience a pris forme dans des doctrines, dans des rites, dans des préceptes des diverses religions. Dans toutes ces expériences religieuses authentiques, la manifestation la plus caractéristique est la prière. »
On peut tout à fait discerner l’Esprit saint au travail dans l’attitude de personnes d’autres religions ou qui ne croient pas en Dieu. Dans cette réalité de l’Esprit saint au travail, on peut entendre le Christ nous parler et nous faire progresser.
Son interprétation spirituelle est une démarche personnelle toujours discutée chez les théologiens catholiques4.
Une théologie eucharistique. Le mouvement du texte s’inscrit dans le schéma général de l’Eucharistie dans la tradition catholique6 : offertoire, préface, consécration, communion et prière de conclusion. Ainsi, remarque Xavier Tilliette, « l’autel est la terre entière, l’offertoire « le travail et la peine du monde » ; la patène porte la moisson de l’effort, le calice la sève des « fruits broyés »5 »
Il y a des gens, nous aussi, parfois, qui ne peuvent pas vivre dans la Lumière parce qu’ils sont habitués aux ténèbres. La Lumière les éblouit, ils sont incapables de « voir ». Ce sont des chauves-souris humaines : ils savent seulement agir la nuit. Et nous aussi, quand nous sommes dans le péché, nous sommes dans cet état: nous ne tolérons pas la Lumière. Il est plus commode pour nous de vivre dans les ténèbres ; la Lumière est une gifle, elle nous fait voir ce que nous ne voulons pas voir. Mais le pire est que les yeux, les yeux de l’âme, à force de vivre dans les ténèbres s’habituent à un tel point qu’ils finissent par ignorer ce qu’est la Lumière : perdre le sens de la Lumière, parce que je m’habitue davantage aux ténèbres. Et tant de scandales humains, tant de cas de corruption nous indiquent cela ! Les corrompus ne savent pas ce qu’est la Lumière, ils ne la connaissent pas. Nous aussi, quand nous sommes en état de péché, en état d’éloignement du Seigneur, nous devenons aveugles et nous nous sentons mieux dans les ténèbres et nous partons ainsi, sans voir, comme les aveugles, en avançant comme nous pouvons.
Laissons l’Amour de Dieu, qui nous a envoyé Jésus pour nous sauver, entrer en nous et que «la lumière qu’apporte Jésus» (cf. v. 19), la lumière de l’Esprit entre en nous et nous aide à voir les choses avec la Lumière de Dieu, avec la vraie Lumière et non avec les ténèbres que nous donne le prince des ténèbres.
Deux choses aujourd’hui : [Regarder] l’Amour de Dieu dans le Christ, dans le crucifix, quotidiennement. Et la question que nous pouvons nous poser chaque jour : « Est-ce que je marche dans la Lumière ou est-ce que je marche dans les ténèbres ? Suis-je un enfant de Dieu ou est-ce que j’ai fini par être une pauvre chauve-souris ? »Pape François (Homélie du 22 avril 2020)
Parce Domine – Parce populo tuo : Ne in aeternum irascaris nobis (Pardonnez, Seigneur, pardonnez à votre peuple ! N’ayez pas contre nous de colère éternelle.)
Finies donc l’exploitation sexuelle, l’exploitation de la nature, … On est comme des anges.
Tout donner à Jésus, oui mais …
Père Omer, abbaye de Scourmont.
Comment ne pas penser aux sans-papiers qui dépendent de la générosité des personnes qui les accueillent ? Nous avons une toit, des moyens plus ou moins grands pour vivre. Cette « abondance » partagée avec eux les sauve de la misère. Réciproquement, leur travail « en noir » sauve des secteurs essentiels de notre économie.
Puissent nos politiciens prendre en considération toutes les personnes sans aide sociale qui se dévouent pour faire vivre leurs familles (parfois restées au pays d’origine) et qui enrichissent nos pays vieillissants. Il y a une complémentarité évidente entre eux et nous.
11 Or, nous apprenons que certains d’entre vous mènent une vie déréglée, affairés sans rien faire. 12 À ceux-là, nous adressons dans le Seigneur Jésus Christ cet ordre et cet appel : qu’ils travaillent dans le calme pour manger le pain qu’ils auront gagné.
Pour soulager la souffrance des pauvres, inutile de compter sur les ultra-riches. La plupart d’entr’eux cherchent à acquérir toujours plus. A chacun donc revient la responsabilité de S’ENGAGER pour plus d’amour, plus de justice sociale.
Rien n’est plus injuste et malsain que les gros héritages. Des personnes ne travaillent pas mais vivent de leurs rentes en investissant pour être encore plus riches … au détriment des moins nantis.
D’autres personnes ont la santé et pourraient travailler mais elles préfèrent profiter du système du chômage.
Dans l’un et l’autre cas, c’est destructeur car de moins en moins de gens travaillent. Il manque d’infirmiers, il manque d’enseignants, il manque de travailleurs manuels, des fils et filles d’agriculteurs ne veulent pas reprendre l’exploitation familiale. Quel avenir pour nos enfants si plus personne ne travaille ?
L’argent qui arrive sur le compte d’une personne qui ne le mérite pas gangrène la société. Hormis les malades, tout le monde devrait travailler, au moins bénévolement.
« Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? »
07 Qui donc t’a mis à part ? As-tu quelque chose sans l’avoir reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te vanter comme si tu ne l’avais pas reçu ?
Ouvre ton coeur! Aime et tu verras que l’amour fait vivre.
L’argent bien utilisé est favorable à tous. Ainsi, Sebasti et Lilia ressuscitent 600 ha de terres désertiques.
C’est le moment de s’alléger de ses lingots d’or.
Avec 2, 5 kg d’or (environ 180 000 €), il y a moyen, par exemple, de bâtir tout un lycée à Madagascar à la demande d’un confère de Père Pedro. Que de bonheur pour des enfants, des jeunes qui ont soif d’apprendre et de donner sens à leur vie.
Quand ce projet en attente se réalisera, l’espérance jaillira dans les familles qui rêvent d’une société meilleure. JOIE! JOIE! JOIE! pour tous, pour ceux qui donnent et pour ceux qui reçoivent, dès ici-bas!
180000 €, c’est cette somme que souhaite acquérir « Enfants de Madagascar ASBL » au service de l’œuvre de Père Pedro Opeka. Seul, ce prêtre ne sait rien faire. Il a besoin d’argent pour payer les Malgaches occupés à la construction de leurs villages (maisons, écoles, hôpitaux, …) Cet argent, il le rassemble lors de ses voyages.
Agé aujourd’hui de 75 ans, combien de temps Père Pedro pourra-t-il encore se déplacer pour quémander de l’aide aux pays comme le nôtre ? Qui continuera l’œuvre des « Enfants de Madagascar ASBL » si ce n’est peut-être toi et toi aussi…
Père Pedro aura-t-il le plaisir de recevoir notre soutien lors de son passage en Belgique et Allemagne en juin 2024 ?
Olivier De Sutter se déplace pour donner des conférences qui ont du sens et cela gratuitement. Il vient à Libramont au profit des « Enfants de Madagascar ASBL »
Dieu a pitié du pauvre. Répondons aux appels qu’il nous lance.
L’abbé Pierre a commencé son oeuvre avec son salaire de député. Ensuite, c’est la générosité de la population qui a fait grandir cette belle oeuvre au service des déshérités.
Jésus déborde de générosité mais il ne prend pas notre place.
C’est un exemple qu’il nous a donné lors de la multiplication des pains. Un enfant de 12 ans a donné son pique-nique à Jésus. Notre Seigneur a béni ce pain et Il l’a multiplié. Bel exemple de confiance en Jésus.
Aujourd’hui encore, Il multiplie ce qu’on lui donne. Oui, il y a encore des multiplications de nourriture et d’autres biens matériels et spirituels. Ce qui manque, c’est davantage de prière et de personnes audacieuses qui comptent vraiment sur Jésus. La vision de Maria Valtorta à ce sujet est éclairante. (annexe)
« Aujourd’hui aussi la multiplication des biens ne résout pas les problèmes sans un partage juste. Il nous vient à l’esprit la tragédie de la faim, qui concerne en particulier les plus fragiles. On a calculé – officiellement – que chaque jour dans le monde environ 7000 enfants de moins de cinq ans meurent pour des raisons liées à la malnutrition, parce qu’ils n’ont pas le nécessaire pour vivre. Face à de tels scandales, Jésus nous adresse à nous aussi une invitation, une invitation semblable à celle que reçut probablement le jeune de l’Evangile, qui n’a pas de nom et dans lequel nous pouvons tous nous reconnaître : Courage, donne le peu que tu as, tes talents et tes biens, mets-les à disposition de Jésus et de tes frères. N’aie pas peur, rien ne sera perdu, parce que, si tu partages, Dieu multiplie. Chasse la fausse modestie de te sentir inadapté, fais confiance. Crois dans l’amour, crois dans le pouvoir du service, crois dans la force de la gratuité ».
03 …. « Amen, amen, je te le dis : à moins de naître d’en haut, on ne peut voir le royaume de Dieu. » 06 Ce qui est né de la chair est chair ; ce qui est né de l’Esprit est esprit. 07 Ne sois pas étonné si je t’ai dit : il vous faut naître d’en haut.
30 Lui, il faut qu’il grandisse ; et moi, que je diminue. 31 Celui qui vient d’en haut est au-dessus de tous. Celui qui est de la terre est terrestre, et il parle de façon terrestre. Celui qui vient du ciel est au-dessus de tous,
« Sur les 15.000 pages manuscrites, où Maria Valtorta consigne ses visions et dictées quotidiennes, près des deux tiers sont occupés par l’œuvre monumentale de la vie de Jésus : ensemble de visions allant de l’enfance de Marie jusqu’aux débuts de l’Église.
Les visions sont reçues dans un ordre aléatoire. Elles sont notées à la suite et sans rature sur 122 cahiers d’écolier. Elles s’entremêlent avec des dictées de Jésus pour notre temps. Les visions, ainsi notées à la suite, sont ultérieurement remises en ordre chronologique sur les instructions de Jésus à Maria Valtorta[1]. Au final, les 4.800 pages composant les dix tomes de l’édition française, forment un ensemble parfaitement cohérent.
L’ouvrage dénote des connaissances étonnantes à plus d’un titre, car Maria Valtorta ne disposait ni des moyens, ni de l’entourage, ni du niveau d’instruction qui les expliqueraient.
La conformité dogmatique et théologiquede l’œuvre a été validée :
– par le pape Pie XII qui l’avait personnellement lue et encouragé explicitement sa publication …. »
Méditons le OUI de Marie lors de la messe à Nazareth et devenons réceptacles de la vie divine.
A la suite de Marie, offrir Jésus au monde.
Grâce à Internet, par mille chemins différents, la nourriture spirituelle est à la portée de tous, jusqu’aux confins de la terre. Distribuons cette manne et que se multilient les amis intimes de Jésus et de Marie!
The Chosen.
Cantiques
Tu es toute belle, Marie, Tu es toute pure, Marie, Et bénie plus que toutes les femmes.
1 – Il fallait une coupe très pure, Vase d’amour pour une telle hostie. Il fallait la tendresse infinie, D’une âme vierge, d’une enfant très pure.
2 – Il fallait la beauté d’un jardin clos Et tous les parfums de la pureté, Il fallait une vigne bien gardée, Pour déposer l’Agneau sans défaut.
3 – Il fallait une âme ressemblante, Un miroir d’angélique pureté, Il fallait une humble majesté, Mère du verbe, et son amante.
4 – Il fallait une arche d’alliance, Infiniment plus vaste que les cieux Il fallait en Marie la grandeur de Dieu, Pour que Dieu et l’homme se fiancent.
Puisse l’ESPRIT de DIEU nous éclairer. En effet, il s’agit de passer de l’idée que Dieu n’existe pas ou qu’il est indifférent à nos souffrances à l’idée que Dieu révèle son Amour en Jésus, encore aujourd’hui.
Louons Dieu pour le don de la foi. La foi, c’est quoi ?
Il y a ceux qui ne croient que ce qu’ils voient et ceux qui voient ce qu’ils croient.
C’est ce chemin que nous avons à faire. Au lieu de penser qu’il n’y a que ce que nous voyons qui est crédible – ce qui est faux – il nous faut apprendre à recevoir peu à peu un don qui vient de Dieu, et c’est la foi, pour apprendre à voir ce que l’on croit c’est-à-dire le Seigneur présent. Notre foi est basée non sur l’observation mais sur une relation de confiance basée sur l’amour …
Proclamons son Saint Nom. L’AMOUR VAINCRA!
Sans l’humilité, on a tôt fait de critiquer Dieu.
12 Allons ! Qui donc êtes-vous pour mettre en ce jour Dieu à l’épreuve, et pour vous dresser au-dessus de lui parmi les fils des hommes ? 13 En réalité, vous qui scrutez les intentions du Seigneur souverain de l’univers, vous n’y comprendrez jamais rien ! 14 La profondeur du cœur de l’homme, vous ne la découvrirez pas ; les raisonnements de son esprit, vous ne les saisirez pas. Comment donc pourrez-vous sonder le Dieu qui a fait tout cela, comprendre sa pensée et reconnaître son projet ?
Ainsi Ute Costermans. Mal aimée dès la naissance, son psychiatre lui avait dit : « On ne peut donner que ce qu’on a reçu.» En s’approchant de Dieu, elle a changé sa mentalité de perdante. Son témoignage est percutant.
Si Dieu est miséricordieux, quid des dérèglements de la nature ? Des guerres ?
A Medjugorje, la Vierge Marie affirme qu’on peut arrêter les guerres et suspendre les lois de la nature grâce à la foi. Elle nous dit :
« Chers enfants, seulement par le jeûne et la prière, vous pouvez empêcher les guerres, arrêter les guerres et suspendre les lois de la nature. «
En Sicile, les autorités religieuses et le gouverneur Cuffaro ont pris au sérieux l’appel de Marie et leur île a été protégée. Réponse de Dieu à la prière ou hasard de la nature? Curieux hasard tout de même.
Jésus ne dit pas que nous sommes trop nombreux sur terre.
Il se penche sur les foules et sur chaque personne en particulier
36 Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger. 37 Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. 38 Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. »
L’apôtre Paul demande que l’on prie pour ceux qui nous dirigent afin qu’ils nourrissent des pensées de paix.
« J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.» 1 Timothée 2, 1-2.
Jésus est Dieu, d’où le fait qu’Il est présent en tout lieu.
Depuis 2000 ans, Jésu se rend présent là où il veut, même dans les prisons.
Jésus nous veut libres.
Jésus nous invite à être miséricordieux nous aussi.
36 Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. 37 Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés.
Jésus compte beaucoup sur les femmes. C’est d’ailleurs une femme, Marie-Madeleine qui fut la première personne témoin de la résurrection.
Pourquoi messieurs, tant de mépris à leur égard?
La Déclaration de Casablance – GPA
« Mercredi 6 décembre, le leader de Debout la France a profité de la diffusion d’un épisode de la série Joséphine, ange gardien pour remettre en cause la gestation pour autrui (GPA).
Diffusé pour la première fois en 2011, l’épisode en question racontait l’histoire d’Anna, une mère porteuse qui a finalement refusé de laisser le bébé. L’ange, incarné par Mimie Mathy lui est venue en aide. Le leader de Debout la France a donc réagi dans un tweet : « Épisode très émouvant de Joséphine ange gardien sur la monstruosité du traitement des mères porteuses. Nouvel esclavage des femmes ! »
Ce n’est pas la première fois que l’homme politique se prononce contre cette pratique. Alors qu’il était candidat lors de l’élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan promettait de « mieux lutter contre le commerce des enfants que représente la GPA ».
Aujourd’hui encore, des missionnaires subissent, non seulement la prison, mais aussi la torture alors qu’ils sont tout à fait innocents. Cela ne nous fait-il pas penser au sacrifice de Jésus qui nous libère du péché et de la mort ? Méditer sa Passion nous rapproche de Lui.
04 En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié. 05 Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris.
En dépit des moqueries,les vrais chrétiens partagent la Parole de Dieu.
@louange Écoutez la lecture des paroles chaque jour sur notre chaine Cathoglad : https://www.youtube.com/c/%C3%89vangileetParoledujourCathoglad Vous aurez en plus de la parole vivante, des louanges, des prières, des méditations et des commentaires de l’Evangile ! Il faut se préparer le coeur avec la parole pour recevoir la miséricorde ! 🙂
C’est une question de miséricorde que de partager sa JOIE avec d’autres.
Comme l’étoile de Bethléem conduit à Jésus, de même l’Eglise est un phare aux mille feux qui éclairent le chemin.
Ainsi saint Jean-Paul II. C’est lui qui a étendu la fête de la Miséricorde Divine à l’Eglise universelle. Comme pour marquer son approbation, Dieu l’a rappelé à Lui en la vigile de la fête de la Miséricorde. Le hasard n’existe pas.
Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito. – Albert Einstein.
Prière de saint Claude La Colombière.
Annexes
Ce sont essentiellement des femmes qui sont au pied de la Croix.
« Les âmes qui réciteront ce chapelet seront enveloppées par ma miséricorde pendant leur vie et surtout à l’heure de la mort. »
Jésus propose ce chapelet à Sœur Faustine le 13 septembre 1935. Le chapelet se récite avec un chapelet ordinaire. Un « Notre Père », un « Je vous salue Marie », un « Je crois en Dieu »
Sur les gros grains : « Père Éternel, je t’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de ton Fils bien-aimé, notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier. »
Sur les petits grains : « Par sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier » A la fin du chapelet : « Dieu saint, Dieu fort, Dieu éternel, prends pitié de nous et du monde entier. » (× 3)
Célébrer le Dimanche de la Miséricorde
« Je désire que le premier dimanche après Pâques soit la Fête de la Miséricorde… Qui s’approchera, ce jour-là, de la source de vie, obtiendra la rémission de ses fautes et de leurs châtiments ».
Le 30 avril 2000, Jean Paul II canonise Soeur Faustine et instaure la fête de la Miséricorde Divine, le 1er dimanche après Pâques.
Vénérer l’heure de la miséricorde
Jésus demande à Faustine que l’on vénère l’heure de sa mort sur la Croix, soit 15 heures. Jésus lui dit :
« À trois heures implore ma miséricorde, tout particulièrement pour les pécheurs, et ne fût-ce que pour un bref instant,… en cette heure, je ne saurais rien refuser à l’âme qui me prie, par ma passion… ».
Une semaine après Pâques, l’Eglise catholique célèbre le dimanche de la divine miséricorde. Quel est le sens de cette fête? La miséricorde est-elle possible pour tous? Une question lancinante…
A l’origine de la fête de la miséricorde divine, une religieuse polonaise, Sœur Faustine Kowalska (1905-1938). Entrée dans la congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la miséricorde à Varsovie, en 1925, Sœur Faustine, qui remplit des tâches toutes simples au sein du couvent, est en fait une authentique mystique. Depuis l’âge de 19 ans, le Christ lui apparaît et lui transmet des messages, qu’elle met par écrit.
Ces messages du Christ parlent de la miséricorde de Dieu, et contiennent des instructions précises, que la religieuse est chargée de transmettre à l’Eglise. L’une de ces demandes concerne l’institution de la fête de la miséricorde, le deuxième dimanche de Pâques:
Cet appel sera entendu bien après la mort de Sœur Faustine en 1938. A partir de 1985, l’archevêque de Cracovie, le cardinal Franciszek Macharski, institue cette solennité dans son diocèse, suivi, dans les années suivantes, par d’autres diocèses polonais. En 1995, le saint pape Jean-Paul II l’étend à toute la Pologne, à la demande des évêques de ce pays. Et au cours du Jubilé de l’an 2000, en canonisant Sœur Faustine, le deuxième dimanche de Pâque, Jean-Paul II institue cette fête pour toute l’Eglise.
Pourquoi cette fête?
Cette fête de la miséricorde divine s’inscrit, par bien des aspects, dans la droite ligne de la dévotion au Cœur de Jésus (aussi appelé, plus anciennement, le Sacré-Cœur). Remontant au Moyen-Âge, cette dévotion va véritablement prendre son envol dans l’Eglise catholique à partir du 17è siècle, et les apparitions du Christ à sainte Marguerite-Marie Alacoque, à Paray-le-Monial en Bourgogne. « Regarde ce Cœur qui a tant aimé les hommes, et qui n’a reçu qu’indifférence« , disait Jésus à Marguerite-Marie.
Le sens du message de Paray-le-Monial, et de la dévotion au Cœur de Jésus, c’est l’amour infini de Dieu pour chaque homme, l’amour du Cœur de Dieu qui s’est incarné dans un cœur humain – le cœur signifiant ici, de façon finalement très biblique, l’être profond, le siège de l’intelligence, de la volonté et des sentiments d’une personne. En ce sens, Dieu, Lui aussi, a un Cœur…
S’il faut bien sûr se garder ici d’un anthropomorphisme de mauvais aloi, qui peut s’apparenter à de l’idôlatrie, les révélations privées de Paray, comme celles reçues par sainte Faustine, mettent l’accent sur un aspect essentiel de la révélation chrétienne, de l’Evangile. C’est le cas, ou ce doit être le cas, de toute dévotion bien comprise.
Avec le message de la miséricorde, il s’agit de mettre en avant cet amour infini de Dieu pour chaque personne, et plus spécialement la dimension de compassion et de pardon propre à cet amour: Dieu, qui nous aime… de tout son Cœur, partage toutes nos peines, et est toujours prêt à nous réconcilier avec Lui, pour peu que l’on accepte son amour et son pardon. Avec une forme de lucidité sur nous-même qui, en « régime » chrétien, s’appelle humilité. L’humilité bien comprise, ce n’est pas le fait de devoir être humilié, mais d’assumer notre condition humaine, avec ses beautés et ses limites, et d’en faire le canal de l’amour de Dieu, qui veut nous rejoindre dans notre humanité concrète, celle de tous les jours, celle de nos souffrances et de nos joies.
Comme toutes les fêtes chrétiennes, la fête de la miséricorde veut nous donner la possibilité de vivre, d’intégrer une dimension essentielle, irremplaçable de la richesse infinie de l’Evangile, à savoir, en l’occurrence, de son amour plein de compassion et de pardon.
La miséricorde: vraiment pour tous?
En tant que chrétiens, il nous faut, sur cette question comme sur toutes les autres, tenir ensemble des aspects différents, des « vérités » différentes, parfois opposées en apparence mais, en fait, complémentaires. Dieu est amour. Il ne connaît ni la haine, ni la vengeance, et il continue d’aimer chacune de ses créatures, quoiqu’elle ait pu faire. Le pardon est toujours possible, quoiqu’on ait fait, quoiqu’on ait commis, mais pas n’importe comment, pas automatiquement. Relevons ces paroles du Christ à sainte Faustine, déjà citées plus haut:
« Je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde » …
Si on ne se tourne pas vers le Dieu de la miséricorde, si on n’est pas disposé à recevoir son pardon – ce qui suppose de reconnaître le mal que l’on a fait, d’accepter que ce que l’on a fait est mal –, si on n’est pas disposé à réparer le mal qu’on a commis, dans les limites du possible, on ne peut, presque logiquement, pas recevoir la miséricorde de Dieu pour nous.
Toute femme, tout homme est-il capable d’accomplir cette démarche? Concrètement, sans doute pas, mais en principe, oui. Et cette perspective fait partie intégrante de notre foi. Ç’en est même l’un des aspects les plus marquants, comme nous le montre le mystère de la victoire du Christ sur le mal, le péché, la mort, qui est une victoire par « en bas », sur la croix. Mais le cas échéant, le pardon implique un chemin de repentir, de réparation et de réconciliation qui peut prendre beaucoup de temps.
Apparitions de JESUS à Paray le Monial, à sainte Marguerite-Marie Alacoque.
Entre 1673 et 1675, à Paray-le-Monial, petit village de Bourgogne, cette religieuse visitandine reçoit des apparitions et des révélations privées de Jésus, qui lui dit notamment: « Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour. Et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes.«
14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. 15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
Comment fait Père Pedro pour passer de la misère absolue à une ville qui fonctionne ?
Il fait aussi appel aux dons. Ainsi, en cette année 2024, Père Pedro souhaite aider un confrère à créer un établissement scolaire dans une autre région de Madagascar. Il fait appel à « Enfants de Madascar ASBL » pour couvrir les 180 000 € de frais. L’ASBL a déjà récolté 80 000 € à cette fin. Qui va aider ?
Le bienheureux Edouard Poppe a un remède à la tristesse.
Pour recevoir la bénédiction de notre cher pape François : voir à 6 minutes.
Je pense qu’il est mauvais de critiquer sans cesse le Pape et l’Eglise que Jésus a confiée à Pierre. Seul Jésus fut un guide parfait. Mais pensons à tout le mal qu’on lui a fait ! Combien il était critiqué !
26 Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes.
24 Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, ils soient eux aussi avec moi, et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde.
25 Père juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont reconnu que tu m’as envoyé. 26 Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux, et que moi aussi, je sois en eux. »