Edmond, cochon philosophe de foire et psy de comptoir, fait réfléchir, sourire ou pisser de rire (couches non fournies) ! Le défi de « La Page d’Edmond » est aussi de pratiquer l’humour « au détriment de personne » et de véhiculer un esprit bienveillant, optimiste et pacificateur. https://www.facebook.com/lapagededmond
EN CES TEMPS DE DISETTE BISOUCALINOPAPOUILLESQUE IMPOSÉE, FAITES DE LA RÉSISTANCE ET ENTRELACEZ-VOUS, ENTRELARDEZ-VOUS, ENTREMÊLEZ-VOUS, ET ENTREVIVEZ-VOUS COMME SI VOUS ÉTIEZ DES ÊTRES HUMAINS !
Comme le dit sans relâche le professeur Jean-François T. (Oups ! La censure me guette ! ) et bien d’autres médecins qui n’ont pas zappé ce qu’ils ont appris, vous exposer à vos frères et soeurs humains en cette phase où l’épidémie n’est plus létale, renforcera votre immunité naturelle !
Les Suédois y sont bien parvenus, pourquoi pas nous !
C’est pas en vivant sous cloche, badigeonné de gel hydroalcoolique et retranché derrière un préservatif bucco-nasal, qu’on construit sa résistance !
Notre immunité s’est précisément construite grâce aux milliards de virus et de bactéries avalés goulûment depuis notre cri primal (mmmmh, trop bon ! ). Depuis Cromagnon et depuis bien avant lui, l’homme (et la femme aussi hein ! ) se sont confrontés aux « intempéries de la vie » (le froid, les canicules, la faim, la soif, le vent, plein de bébêtes, y compris les microscopiques) pour devenir forts et survivre jusqu’à aujourd’hui.
On va quand même pas, après 7 millions d’années (l’âge de notre ancêtre, répondant au doux nom de « Sahelanthropus Tchadensis »), renoncer à notre pouvoir intérieur et croire que notre salut dépend de la potion tragique d’un milliardaire fou !
BISOUS ARÔME BACTERIUMCOVIDUM À TOUTES ET TOUS ! JEAN & EDMOND
Parmi les commentaires:
Point de vue personnel. Recherche du juste milieu.
Dès le début de la crise, l’attitude des « experts » ne m’a pas inspiré confiance. Ils savaient que le virus faisait des dégâts en Chine, et ils fermaient les yeux : chaque jour, à l’aéroport Charles de Gaule, des avions continuaient à apporter des objets bien inutiles en Europe. Par contre, les vivres n’arrivaient plus dans des pays où les gens mouraient de faim déjà avant l’épidémie. Ces mêmes experts voudraient nous faire la leçon ! Non ! Qu’ils commencent par nous montrer un bon exemple !
Pour ma part, j’évite les excès autant que possible : achats dans les petits commerces de proximité, promenades-découvertes de ma belle région plutôt que vacances au bout du monde, etc. Avec ceux qui ont la même optique, je conserve des contacts, en extérieur quand le temps le permet : Dieu merci, pendant les moments forts de l’épidémie, il faisait bon et nous pouvions nous rencontrer dehors sans problèmes, sans masques.
Je tire parti de la crise que nous vivons. Par exemple, quand j’ai le rhume, je renonce à une visite, par précaution. Avant la crise sanitaire, j’y prêtais moins attention. D’autre part, quand je soupçonne que quelqu’un porte le même masque depuis le début de l’épidémie (les masques sont des porteurs de saleté !), je lui demande de le jeter (dans une poubelle !) et d’en acheter de nouveaux.
VIGILANCE. Gare à l’effondrement sociétaire.
Le 23 septembre: « 1600 décès en France, 400 de cancers, 400 de maladies cardio-vasculaires … Sur ces sujets-là, que fait le ministre de la santé actuellement ? »
« 140 millions d’enfants passés sous le seuil de pauvreté »