Le pape François détruit-il l’Eglise ? Pourquoi soutenir l’Eglise ?

 « Rarement un souverain pontife a autant déconcerté. Le Pape François est aussi un homme attachant qui tend la main à tous, pleure avec les éprouvés, chérit la sincérité, vit sa foi sans concession en communion intime avec le Christ. Il est vrai qu’il peut aussi faire douter certains sur l’avenir de l’Église catholique. »! (Frère Paul-Adrien, dominicain)

La sainteté de l’Eglise que souhaite Jésus est celle à laquelle travaille le pape François.

« Participation, mission et communion sont les caractéristiques d’une Église humble qui se met à l’écoute de l’Esprit et place son centre en dehors d’elle-même. Henri de Lubac disait : « Aux yeux du monde, l’Église, comme son Seigneur, a toujours l’aspect d’une esclave. Elle existe ici-bas sous la forme d’une servante. […] Elle n’est ni une académie de scientifiques, ni un cénacle de spirituels raffinés, ni une assemblée de surhommes. Elle est exactement le contraire. Les infirmes, les difformes, les misérables de toute sorte s’y assemblent, les médiocres s’y bousculent […] ; il est difficile, ou plutôt impossible, pour l’homme naturel, tant qu’une transformation radicale ne s’est pas opérée en lui, de reconnaître dans ce fait l’accomplissement de la kénose salvifique, la trace adorable de l’humilité de Dieu » (Méditations sur l’Église, p. 352).

https://www.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2021/december/documents/20211223-curiaromana.html

Pape François met à jour les fragilités de la barque Eglise : les finances, la pédocriminalité…

L’Eglise, aussi critiquée soit-elle, annonce la victoire du Christ, la VIE en abondance pour chaque croyant. Soutenons-la !

Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. 11 Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. https://www.aelf.org/bible/Jn/10

Tandis que les sectes pullulent et que l’islamisme cerne l’Europe, l’Eglise a mission de conduire à bon port les frères et soeurs de Jésus.

Malheur aux mauvais bergers qui déshonorent l’Eglise.

A écouter absolument : « C’est l’histoire d’un musulman iranien qui pratiquait la charia et à qui Jésus va apparaitre… Il le verra de ses yeux… Afshin a 21 ans, il connait le Coran sur le bout des doigts et il est prêt a tout pour plaire à Allah jusqu’à persécuter les infidèles. Mais un jour, Jésus lui apparaît dans une lumière éblouissante, Il pose sa main sur son épaule et lui parle… Face à cette révélation surnaturelle, Afshin est totalement bouleversé… Il décide de suivre Jésus mais les persécutions vont commencer : il échappera miraculeusement à plusieurs tentatives… Aujourd’hui, Afshin a une fatwa contre lui mais continue de témoigner au péril de sa vie… C’est le témoignage incroyable mais vrai d’Afshin Javid. »

Ouvrons les yeux : Boualem SANSAL : « L’ Europe est cernée par l’islamisme »

Boualem Sansam évoque le 13 novembre. Pour rappel : https://www.radiofrance.fr/franceinter/attentats-du-13-novembre-2015-le-recit-d-une-nuit-d-horreur-par-ceux-qui-l-ont-vecue-2606892

Les raisons de bien parler de l’Eglise et du pape sont nombreuses. Evitons de les salir.

« Le pape François a rendu visite aux Petites Sœurs des Pauvres au Home Saint-Joseph, à Bruxelles. Cette rencontre a permis de féliciter les religieuses pour leur soutien indéfectible aux personnes âgées. »


J’aime beaucoup chez pape François le fait qu’il marche à la suite de François d’Assise. Comme lui, il a épousé « Dame Pauvreté », il est humble.  

https://www.youtube.com/clip/Ugkx099_trXOZRiOCjweIWBflY0VNUqpAmAE

Contrairement à d’autres chrétiens, j’apprécie que Benoit XVI ait démissionné.

L’Eglise allait très mal au moment où Benoit XVI a quitté la gouvernance de l’Eglise. J’admire le geste de ce pape.

De son côté, âgé de 76 ans, Georges Bergoglio allait lui aussi prendre sa retraite. Il a renoncé à cette opportunité en acceptant la lourde charge de devenir pape.

Dès son élection, pape François montre qui il est : un homme simple, soucieux des pauvres, loyal, cohérent, très courageux. Sa formation jésuite lui est d’un grand atout. 

« Le pape a mission de rompre dans la manière de gouverner l’Eglise. Par contre, au niveau de la foi, nous dit Frédéric Lenoir, il va être en continuité totale avec tous les papes qui l’ont précédé. »

L’Eglise est en souffrance. Rallions-nous autour de notre pape, de nos évêques, de nos prêtres dans la mesure où ils nous conduisent vers Jésus.

L’Eglise, c’est aussi des personnes comme cardinal Sarah qui tempère les propos de François concernant l’accueil des migrants. Tous deux ont une part de vérité.

  https://www.youtube.com/shorts/kttIK8bMHb0

Nous perdons notre temps à critiquer.

Mieux vaut TEMOIGNER et il y a urgence !

https://www.facebook.com/reel/1544364506163176

Mieux vaut nous engager comme ce prêtre à Gaza.

Mieux vaut témoigner comme frère Paul-Adrien, Dominicain.

... et comme frère Jack, Franciscain de Bruxelles.

et comme ce laïc au sein de la Communauté de l’Emmanuel à Paray-le-Monial.

A ceux qui critiquent aussi le pape Jean-Paul II,  sachez que l’on reconnait l’arbre à ses fruits:

…comme Père Pedro de la Société de Saint Vincent de Paul.

D’autres « barques » ont le même objectif : étendre le Règne de Dieu sur terre

Le pasteur Martin Luther King qui a sacrifié sa vie par amour de son peuple, tout comme Said Oujibou font partie de la barque des chrétiens protestants. Leurs témoignages et leurs prières sont tellement précieux!

BREF, cessons de critiquer l’Eglise et témoignons de notre belle foi, oeuvrons UNIS les uns aux autres.

09 Nous sommes des collaborateurs de Dieu, et vous êtes un champ que Dieu cultive, une maison que Dieu construit. 10 Selon la grâce que Dieu m’a donnée, moi, comme un bon architecte, j’ai posé la pierre de fondation. Un autre construit dessus. Mais que chacun prenne garde à la façon dont il contribue à la construction. 11 La pierre de fondation, personne ne peut en poser d’autre que celle qui s’y trouve : Jésus Christ. https://www.aelf.org/bible/1Co/3

Méditons la Parole de Dieu, prions, louons…

Louons Dieu avec les Franciscains de Bruxelles. https://www.youtube.com/watch?v=krHI8wKGz9k

Prions, méditons avec NDML

https://www.open-bible.fr/lecture/2024-10-14

Pourquoi aller à la messe? Glorious

https://www.facebook.com/reel/740286624895595

Suppléments

Vatican, histoires secrètes – Qui sont les ennemis invisibles du pape François?

Pape Jean XXIII

Le 11 avril 1963, il promulgue une encyclique qui est perçue comme étant son testament spirituel : « Pacem in Terris ». Au-delà du monde catholique elle est adressée à tous les hommes de bonne volonté, affirmant que la guerre ne peut être un instrument de justice et préconise que ce soit désormais la « loi morale » qui régisse la relation entre les états, prônant la solidarité, la justice et la liberté. Le 11 mai 1963, il reçoit le prix Balzan pour son engagement en faveur de la paix : c’est là sa dernière apparition publique.

Jean XXIII (Angelo Giuseppe Roncalli) a été béatifié le 3 septembre 2000 par saint Jean-Paul II.

Le 27 avril 2014 le pape François a proclamé saints ses prédécesseurs Jean XXIII et Jean-Paul II. Dans son homélie, il dit : « C’est l’image de l’Église que le Concile Vatican II a eu devant lui. Jean XXIII et Jean Paul II ont collaboré avec le Saint Esprit pour restaurer et actualiser l’Église selon sa physionomie d’origine, la physionomie que lui ont donnée les saints au cours des siècles. N’oublions pas que ce sont, justement, les saints qui vont de l’avant et font grandir l’Église. Dans la convocation du Concile, saint Jean XXIII a montré une délicate docilité à l’Esprit Saint, il s’est laissé conduire et a été pour l’Église un pasteur, un guide-guidé, guidé par l’Esprit. Cela a été le grand service qu’il a rendu à l’Église. C’est pourquoi j’aime penser à lui comme le Pape de la docilité à l’Esprit Saint. (…) Que ces deux nouveaux saints Pasteurs du Peuple de Dieu intercèdent pour l’Église (…) Qu’ils nous apprennent à ne pas nous scandaliser des plaies du Christ, et à entrer dans le mystère de la miséricorde divine qui toujours espère, toujours pardonne, parce qu’elle aime toujours. »

#11octobre2024 #saintdujour #JeanXXIII #NotreDamedesinternautes

La volonté de Dieu pour les musulmans aujourd’hui accueillis en France et en Occident,

est qu’ils profitent de ce qu’ils ne sont pas soumis au pouvoir de la charia pour s’échapper de l’islam. La volonté de Dieu n’est pas que les musulmans cherchent à islamiser l’Occident car on ne peut pas raisonnablement penser que les problèmes de notre société vont être résolus du jour où on se mettra à couper la main des voleurs (Coran 5 : 38), d’autant qu’un voleur qui meurt de faim ne vole pas, aux yeux de Dieu ; ou qu’on se mettra à lapider les femmes adultères (Coran 4:15) ou que l’on réduira les juifs et les chrétiens au statut social infamant de la dhimmitude, ou que l’on mettra à mort tous ceux qui ne veulent pas se convertir à l’islam (Coran 5:33). Guy Pagès

Lettre ouverte à la presse religieuse en France

« Pour un christianisme d’avenir »

Extraits – 24 juin 2021

Il est admis qu’aujourd’hui la pratique dominicale, comme marqueur d’appartenance active à l’Église catholique romaine, est tombée à environ 2 % de la population en France, contre 25 à 30 % il y a soixante ans. C’est dire qu’un nombre considérable de personnes, et pas uniquement parmi les plus jeunes, s’est détaché, souvent sur la pointe des pieds, de l’Église Il catholique.

Parmi cette masse, certains sont devenus des athées du Dieu de leur enfance, des agnostiques sévères ou des indifférents tranquilles. Chacun s’y reconnaîtra. À côté, il y a pourtant une population non négligeable qui cherche, elle, une autre manière de croire, une autre façon de se comporter comme chrétiens.

Ceux qui le font visiblement se rattachent, à des degrés variés et sous des stratégies propres, à la Conférence catholique des baptisés francophones (ccbf), au Réseau des Parvis, à l’association Nous sommes aussi l’Église (nsae), au courant historique Témoignage chrétien, à la communauté des lecteurs de Golias.

La question en vient alors à se poser : à l’intérieur du christianisme catholique, qui aujourd’hui représente qui ? Qui parle pour qui ?

Dans notre pays, la situation est dans une situation médiatique qui n’est pas des meilleures….À tous les niveaux des médias, on n’y lit, on n’y voit ou on n’y entend quasiment jamais ceux qui essayent de vivre et de penser un christianisme alternatif…L’Église catholique romaine institutionnelle ne représente pourtant qu’une face du christianisme et de sa tradition. ( …) C’est ce qu’on appelle dans la Bible la tradition sacerdotale, celle du Temple et de la Loi, menacée sans cesse par le ritualisme et le légalisme, et dont Jésus combattit les profondes déviations.

L’autre tradition, c’est celle du mouvement, d’un rapport jamais fermé à la vie et à l’évolution des sociétés, d’une adhésion aux changements culturels et aux mouvements de libération des opprimés de la vie. C’est la tradition représentée par les prophètes de la Bible juive (Esaïe, Élie, Jérémie, Malachie…) et par le maître de Nazareth. Un homme qui n’était pas un prêtre mais un laïc, pour qui la guérison de l’humain était plus importante que les préceptes juridiques hérités d’époques révolues et qui portait l’idée d’un Dieu « dont la gloire est l’homme vivant » (saint Irénée). Cette mouvance promeut une autre théologie, une autre manière de parler de l’existence chrétienne. …

La question est de savoir comment susciter une prise de conscience parmi ceux qui ne sont pas totalement endormis dans leurs certitudes et comment soutenir ceux qui s’interrogent encore sur un christianisme d’avenir, et qui frôlent parfois la désespérance ; comment établir une meilleure liaison entre ceux qui pensent qu’il est encore possible de transmettre un message d’une grande richesse ; comment inventer une nouvelle théologie comme vient de le suggérer Christoph Theobald, professeur au Centre Sèvres à Paris, ou comment produire un nouveau récit de la foi dans notre culture du XXIe siècle. (cf note ci-dessous)

Le changement est pour partie entre les mains de ceux qui, à la télévision, à la radio, dans la presse, dans l’édition, pressentent ou comprennent l’urgence de sortir de la répétition et de l’enfermement actuel, et envisagent la possibilité de donner à d’autres que ceux que l’on voit, que l’on entend ou que l’on lit habituellement, la possibilité de s’exprimer et de débattre. Notre appel sera-t-il entendu ?

Robert Ageneau, Robert Dumont et Jacques Musset,
de l’équipe « Pour un christianisme d’avenir »

En note : « Une recherche monolithique ne peut pas nous conduire très loin. Nous avons besoin d’avoir une approche théologique plurielle. Nous sortons d’une époque durant laquelle nous avons eu peur de tout ce qui était différent… Nous sommes à un moment charnière, tout particulièrement en Europe. Développer une prospective est essentiel, alors que l’Église est anesthésiée par le nombre moindre des vocations, par les questions éthiques de la société, par la pandémie. Il n’y a pas de vision face à l’incertitude, alors même que nous devrions vivre de cette vertu centrale qu’est l’espérance et développer, comme dans la Bible, des rêves d’avenir ». Interview de Christoph Théobald par Christophe Henning, recueillie le10 mai 2021 et publiée dans la version numérique de La Croix, le jour suivant.

Lettre ouverte à la presse religieuse en France

Lettre à ma paroisse.

Le monde est foutu ? Courage, au travail !