Le CŒUR de JESUS façonne le cœur des SAINTS. Maximilien Kolbe. Mère Teresa.

CHRIST rend FORTS ceux qui l’AIMENT.    

Saint Maximilien Kolbe.

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En juillet 1941, dans l’enfer vivant du camp de concentration d’Auschwitz, un sergent polonais nommé Franciszek Gajowniczek entendit les mots qui signaient son arrêt de mort — et tomba à genoux en pleurant pour sa femme et ses enfants.

C’est alors qu’un homme, parmi les prisonniers, fit un geste qui marquerait l’histoire.

Un prisonnier s’était échappé, et les nazis, furieux, imposèrent leur règle cruelle : pour chaque évasion, dix hommes seraient enfermés dans un bunker de la mort, condamnés à mourir lentement de faim. Cette méthode visait à écraser tout espoir de liberté.

Franciszek était un mari, un père. Quand son numéro fut appelé, il craqua. « Ma femme ! Mes enfants ! » cria-t-il, sachant qu’il ne les tiendrait plus jamais dans ses bras.

Mais alors, parmi la mer de prisonniers affamés en uniformes rayés, un homme s’avança. Mince et épuisé, comme tous les autres, mais sa voix resta ferme.

« Je suis un prêtre catholique, » dit-il simplement. « Je n’ai pas de famille. Permettez-moi de prendre sa place. »

Cet homme s’appelait Maximilien Kolbe. Il avait 47 ans. Et il venait de faire un choix qui résonnerait à travers les générations.

Avant la guerre, Kolbe était un moine franciscain — un érudit, un écrivain, un homme qui avait dédié sa vie à la foi et à la bienveillance. Quand les nazis envahirent la Pologne en 1939, il ne se cacha pas. Il accueillit des réfugiés juifs dans son monastère. Il imprima des journaux qui disaient la vérité, quand la vérité était dangereuse. Pour ce courage, la Gestapo l’arrêta en 1941 et l’envoya à Auschwitz, où il reçut le matricule 16670.

Même là — dans cet endroit destiné à briser l’humanité — Kolbe devint une lumière discrète. Il partageait ses maigres rations, murmurait des prières, réconfortait les brisés. Et quand le moment vint, il offrit sa vie.

Les gardes acceptèrent. Kolbe et neuf autres hommes furent enfermés dans le bunker de la mort — une cellule sans fenêtres où ils mourraient de soif et de faim.

Pendant deux semaines insupportables, Kolbe tint bon. Un par un, les autres moururent. Mais Kolbe ne se laissa pas submerger. Il dirigea des prières. Il chanta des hymnes. Il tint les mains mourantes et leur rappela qu’ils n’étaient pas seuls.

Le 14 août 1941, impatient de vider le bunker, les gardes lui injectèrent de l’acide carbolique. Il mourut les bras tendus, paisible jusqu’à la fin.

Mais Franciszek ? Il survécut. Il traversa Auschwitz et la guerre. Il retourna auprès de sa femme et de ses enfants. Et pendant 52 ans — jusqu’en 1995 — il raconta l’histoire de Kolbe à tous ceux qui voulaient l’entendre, pour que le monde ne l’oublie jamais.

En 1982, le pape Jean-Paul II canonisa Kolbe, le qualifiant de « martyr de la charité ». Il fut la première personne jamais canonisée pour être morte volontairement à la place d’un autre.

Ce geste oublié de l’amour nous rappelle que même dans les endroits les plus sombres, le choix d’une personne peut briller comme un phare. Kolbe ne venait pas du pouvoir ou du privilège dans ce camp — il venait du même enfer que tous les autres. Mais il choisit la compassion quand le monde demandait la cruauté. Il choisit la vie d’un autre homme plutôt que la sienne.

Cela me fait réfléchir : si un homme a pu faire cela à Auschwitz, que pourrions-nous faire avec ne serait-ce qu’une fraction de ce courage dans nos vies quotidiennes ?

La prochaine fois que vous vous demanderez si la gentillesse compte, pensez à Maximilien Kolbe qui se tenait dans cette ligne — et partagez cette histoire pour que son sacrifice ne soit jamais oublié.

Sources: « Saint Maximilian Kolbe: Martyr of Charity » « The Life and Sacrifice of Maximilian Kolbe »

Maximilien Kolbe est le fondateur de la « Mission de l’Immaculée. »

https://www.franciscainslourdes.fr/mission-immacul%C3%A9e

Mère Teresa.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Missionnaires_de_la_Charit%C3%A9

Mère Teresa est la fondatrice des « Missionnaires de la Charité ».

Cantiques

NB: Le père Claude la Colombière -qui fut l’accompagnateur spirituel de soeur Marguerite-Marie- était un Jésuite. Les Jésuites sont bien connus pour leur aide au discernement des esprits. Pape François était Jésuite.

https://www.popesprayer.va/fr/

Le pape enseigne et protège. Il est un « bon berger ».

Ce n’est pas pour les honneurs que l’on accepte d’être pape. C’est pour servir l’humanité au Nom du Christ. C’est, à la suite de Jésus,  chercher à construire la paix là où il y a la haine tout en acceptant la persécution, voire le martyre.

 « Tu es le Christ,  le Fils du Dieu vivant. »

1ère homélie du pape Léon XIV à l’adresse des cardinaux.

Quelques extraits :

« Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant » (Mt 16, 16). Par ces paroles, Pierre, interrogé avec les autres disciples par le Maître sur la foi qu’il a en Lui, exprime en synthèse le patrimoine que l’Église, à travers la succession apostolique, garde, approfondit et transmet depuis deux mille ans. Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, c’est-à-dire l’unique Sauveur et le révélateur du visage du Père.

En Lui, Dieu, pour se faire proche et accessible aux hommes, s’est révélé à nous dans les yeux confiants d’un enfant, dans l’esprit éveillé d’un adolescent, dans les traits mûrs d’un homme, jusqu’à apparaître aux siens, après sa résurrection, dans son corps glorieux. Il nous a ainsi montré un modèle d’humanité sainte que nous pouvons tous imiter, avec la promesse d’une destinée éternelle qui dépasse toutes nos limites et toutes nos capacités.

En particulier, Dieu, en m’appelant par votre vote à succéder au Premier des Apôtres, me confie ce trésor afin que, avec son aide, j’en sois le fidèle administrateur (cf. 1 Co 4, 2) au profit de tout le Corps mystique de l’Église, de sorte qu’elle soit toujours plus la ville placée sur la montagne (cf. Ap 21, 10), l’arche du salut qui navigue sur les flots de l’histoire, phare qui éclaire les nuits du monde. Et cela, non pas tant grâce à la magnificence de ses structures ou à la grandeur de ses constructions – comme les édifices dans lesquels nous nous trouvons –, mais à travers la sainteté de ses membres, de ce « peuple que Dieu s’est acquis pour proclamer les œuvres admirables de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière » (1 P 2, 9).

Aujourd’hui encore, nombreux sont les contextes où la foi chrétienne est considérée comme absurde, réservée aux personnes faibles et peu intelligentes ; des contextes où on lui préfère d’autres certitudes, comme la technologie, l’argent, le succès, le pouvoir, le plaisir.

Il s’agit d’environnements où il n’est pas facile de témoigner et d’annoncer l’Évangile, et où ceux qui croient sont ridiculisés, persécutés, méprisés ou, au mieux, tolérés et pris en pitié. Et pourtant, c’est précisément pour cette raison que la mission est urgente en ces lieux, car le manque de foi entraîne souvent des drames tels que la perte du sens de la vie, l’oubli de la miséricorde, la violation de la dignité de la personne sous ses formes les plus dramatiques, la crise de la famille et tant d’autres blessures dont notre société souffre considérablement.

Aujourd’hui encore, il existe des contextes où Jésus, bien qu’apprécié en tant qu’homme, est réduit à une sorte de leader charismatique ou de super-homme, et cela non seulement chez les non-croyants, mais aussi chez nombre de baptisés qui finissent ainsi par vivre, à ce niveau, dans un athéisme de fait.

Tel est le monde qui nous est confié, dans lequel, comme nous l’a enseigné à maintes reprises le Pape François, nous sommes appelés à témoigner de la foi joyeuse en Jésus Sauveur. C’est pourquoi, pour nous aussi, il est essentiel de répéter : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant » (Mt 16, 16).

Il est essentiel de le faire avant tout dans notre relation personnelle avec Lui, dans l’engagement d’un chemin quotidien de conversion. Mais aussi, en tant qu’Église, en vivant ensemble notre appartenance au Seigneur et en apportant à tous la Bonne Nouvelle.

Je le dis tout d’abord pour moi-même, en tant que Successeur de Pierre, alors que je commence ma mission d’Évêque de l’Église qui est à Rome, appelée à présider dans la charité l’Église universelle, selon la célèbre expression de S. Ignace d’Antioche.

Conduit enchaîné vers cette ville, lieu de son sacrifice imminent, il écrivait aux chrétiens qui s’y trouvaient : « Alors je serai vraiment disciple de Jésus-Christ, quand le monde ne verra plus mon corps » (Lettre aux Romains, IV, 1). Il faisait référence au fait d’être dévoré par les bêtes sauvages dans le cirque – et c’est ce qui arriva –, mais ses paroles renvoient de manière plus générale à un engagement inconditionnel pour quiconque exerce un ministère d’autorité dans l’Église : disparaître pour que le Christ demeure, se faire petit pour qu’Il soit connu et glorifié (cf. Jn 3, 30), se dépenser jusqu’au bout pour que personne ne manque l’occasion de Le connaître et de L’aimer.

Que Dieu m’accorde cette grâce, aujourd’hui et toujours, avec l’aide de la très tendre intercession de Marie, Mère de l’Église.

© Traduction du Vatican

https://vaticaninfo.com/2025/05/disparaitre-pour-que-le-christ-demeure-premiere-homelie-du-pape-leon-xiv-texte-complet/ voir annexe

15 Jésus leur demanda : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »16 Alors Simon-Pierre prit la parole et dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! »17 Prenant la parole à son tour, Jésus lui dit : « Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux.18 Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle.19 Je te donnerai les clés du royaume des Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. »

https://www.aelf.org/bible/Mt/16

Jésus est le bon berger. Belle méditation de l’évêque, mgr Aupetit.

En ce temps-là,
Jésus déclara :
    « Mes brebis écoutent ma voix ;
moi, je les connais,
et elles me suivent.
    Je leur donne la vie éternelle :
jamais elles ne périront,
et personne ne les arrachera de ma main.
    Mon Père, qui me les a données,
est plus grand que tout,
et personne ne peut les arracher de la main du Père.
    Le Père et moi,
nous sommes UN. »

https://www.aelf.org/2025-05-11/romain/messe

« Nous avons besoin d’une révolution de l’amour. » Pape François.

CANTIQUES.

Jésus avait préparé son départ en désignant Pierre comme  son successeur à  la tête de l’Eglise.  Depuis 2000 ans, les « Pierre » se succèdent pour assurer le bon fonctionnement de cette institution divine. Et si on remerciait le Seigneur pour son Esprit Saint qui inspire l’Eglise en exprimant toute notre joie ?  

Le pape est un autre Jean-Baptiste chargé de désigner le Messie :

« 07 Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. 08 Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière. 09 Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde.

https://www.aelf.org/bible/Jn/1

Méditons encore …

NB: « The Chosen » est une merveilleuse production protestante. Chrétiens, unissons-nous! Au Nom de Jésus qui supplie: « Que tous soient un afin que le monde croie. » (Jn 17)

Annexe :

Pape Léon reprend les paroles de st Ignace d’Antioche, 3ème pape.  « Alors je serai vraiment disciple de Jésus-Christ, quand le monde ne verra plus mon corps »

Saint Ignace d’Antioche (35-107) fut envoyé à Rome pour y être livré en pâture aux bêtes sauvages, à cause du témoignage qu’il avait rendu au Christ.

Depuis la Syrie jusqu’à Rome, je combats contre les bêtes (cf. 1 Co 15, 32), sur terre et sur mer, nuit et jour, enchaîné à dix léopards, c’est-à-dire à un détachement de soldats ; quand on leur fait du bien, ils en deviennent pires. Mais, par leurs mauvais traitements, je deviens davantage un disciple, mais « je n’en suis pas pour autant justifié » (1 Co 4,4)

C’est maintenant que je commence à être un disciple. Que rien, des êtres visibles et invisibles, ne m’empêche par jalousie, de trouver le Christ. …

Il est bon pour moi de mourir pour m’unir au Christ Jésus plutôt que de régner sur toute la terre. C’est lui, le Christ, que je cherche, lui qui est mort pour nous ; c’est lui que je désire, lui qui est ressuscité pour nous. Le moment où je vais naître approche.

Croyez ce que je vous écris, et c’est bien vivant que je vous écris pour vous dire mon désir de mourir. Mon désir terrestre a été crucifié, il n’y a plus en moi de feu pour aimer la matière, en moi il y a une eau vive qui murmure et qui dit au-dedans de moi : Viens vers le Père. 

Je ne me plais plus à une nourriture de corruption, ni aux plaisirs de cette vie ; c’est le Pain de Dieu que je veux, Pain qui est la chair de Jésus Christ, de la race de David, et pour boisson, je veux son sang qui est l’amour  incorruptible.

Catégorie : Texte du jour

https://site-catholique.fr/?Saint-Ignace-d-Antioche-Lettre-aux-Romains