Pendant la guerre, le prêtre Jean Darigault a fondé un groupe de résistance. Dénoncé, il est arrêté et envoyé en camp de concentration. Là, il exprime sa foi, son espérance à travers des œuvres qu’il réalise sur des morceaux de papier journal allemand. Notamment la nativité.
NB: La résistance, c’est héroïque. La dénonciation, c’est honteux, c’est l’oeuvre du Diable. Puissons-nous toujours faire le bon choix, celui du respect de la VIE d’autrui!
La Nativité (1942), Jean Daligault (1899-1945)
Pourquoi le nom de Jean Daligault est-il si peu connu ? Prêtre du diocèse de Bayeux et Lisieux, résistant de la première heure, peintre et sculpteur, déporté en Allemagne où il mourut le 28 avril 1945, cet homme était hors du commun par son caractère et ses talents comme par sa vie. Il a laissé de son passage dans les camps et prisons nazis des témoignages artistiques bouleversants.
Dans le dénuement
C’est dans le plus radical dénuement que fut réalisée cette Nativité. Elle porte assez mal son nom, puisqu’il s’agit d’une Sainte Famille. Trois couleurs, cinq personnages. Tout en haut, deux bâtisses angulaires évoquent non Nazareth, mais la désolation de l’univers carcéral. Suggéré par les têtes de Joseph, de Marie et des deux hommes de dos au premier plan, où l’on ne peut s’empêcher de voir des prisonniers, un rond de douceur entoure l’enfant. Les auréoles, les contours des épaules et des cols, les bras symétriquement ramenés vers la poitrine de Marie et de Joseph, tout est courbe, et les traits gras renforcent la simplicité et la chaleur paradoxale du dessin. À travers la peinture de cette Sainte Famille, on voit le papier du journal allemand récupéré par le matricule 5316.
Pendant ses années de sacerdoce dans le Calvados, Jean Daligault avait fabriqué une gigantesque crèche qui s’illuminait et s’égayait de musique, construit sa propre voiture, mais aussi un avion, un bateau : non content de peindre, l’abbé était mécanicien. Dans les tristes lieux qui furent ses demeures entre 1941 et 1945, il mettra cette ingéniosité au service de son art, utilisant des moyens de fortune pour peindre et sculpter. Pour pinceau, de la paille ; pour support, du carton, des journaux, des planches, des os ; en guise de couleurs, de la peinture grattée sur les murs, du charbon de bois, de la chaux, de la suie, de la rouille. Un dépouillement absolu qui entre en résonnance avec la venue sur terre du Fils de Dieu, destiné à souffrir aux mains des hommes.
Pour la liberté
L’occupation nazie n’est pas la première expérience de guerre de l’abbé ; mobilisé dès 1917, il a travaillé, pendant la Première Guerre mondiale, dans une école militaire en Syrie puis dans les services de cryptage. Il reste d’importantes zones d’ombres dans sa vie, de très nombreux voyages inexpliqués, un retrait momentané de sa charge de curé : certains biographes ont émis l’hypothèse que Jean Daligault ait été un agent du renseignement, dès avant 1939-1945. Ce qui est certain, c’est que ce prêtre osait tout. Il était en tous ses choix un « Français libre ».
Capable de fonder, dès août 1940, avec le cabaretier et l’instituteur athée de Villerville, dont il était curé, un groupe de résistance qui rejoint le réseau de l’Armée des Volontaires et lui vaut d’être arrêté un an après. Capable de dire, pendant l’appel interminable au camp de concentration de Hinzert, au témoignage d’un co-détenu : « Moi, ils m’emmerdent, je m’en vais », et de rentrer au baraquement. Capable de supporter la torture. En art, il était passionné par la peinture contemporaine, désireux de délaisser la peinture figurative traditionnelle où il s’était fait un petit renom local pour emboîter le pas aux courants novateurs des Nabis, de Van Gogh, de Picasso, d’artistes de Montmartre qu’il avait rencontrés. Incarcéré, il créera, sans rien, mais avec génie.
Incompréhensible espérance
Vers Jésus s’inclinent ses parents. Joseph, longue barbe, semble lui tendre un objet ; Marie, voilée, le désigne. Les deux têtes du premier plan sont plus grosses que celles de la Sainte Famille : Daligault a créé une perspective qui permet à qui regarde son œuvre de trouver sa place, derrière les deux hommes, pour se joindre à ceux qui font cercle autour de l’enfant. Légèrement tournés l’un vers l’autre, les assistants semblent se parler. Que disent-ils ? Leur surprise, leur émerveillement, leur désespoir, leur incrédulité?
Les quelque deux cents œuvres de camp de Jean Daligault ont justifié cette espérance : confiées à l’aumônier de la prison de Trêves qui les cacha dans sa cave, elles ont traversé un bombardement qui détruisit le presbytère, et c’est un autre prêtre français, ancien déporté, l’abbé La Martinière, qui, revenant sur les traces de la déportation pour en retrouver des témoignages, les recevra de l’abbé Jonas.
L’abbé Daligault est mort exécuté à 46 ans, il y a quatre-vingts ans. En se livrant à la création artistique du fond d’un gouffre de misère et de souffrance, il a réalisé le vœu que formulait une autre déportée, Etty Hillesum : « Pour peu que nous fassions en sorte, malgré tout, que Dieu soit chez nous entre de bonnes mains. »
Originaire d’Espagne, il a accompli une quantité impressionnante de travail missionnaire en seulement 10 ans, soit de mai 1542 à décembre 1552, ce qui lui a valu les titres « d’Apôtre des Indes » et « d’Apôtre du Japon ».
En 1539, il a rencontré Ignace de Loyola et ses compagnons et ils ont préparé le fondement définitif de la Compagnie de Jésus en 1540.
NB : Il prête son nom à de nombreuses écoles, paroisses et communautés jésuites du monde entier, dont l’école secondaire Xavier High School à New York et l’université Xavier University à Cincinnati.
Charbel Maklouf : qui était ce grand saint libanais?
Moine ermite maronite (1828-1898) et figure spirituelle majeure, saint Charbel est vénéré comme le saint patron du Liban. Son histoire est racontée à l’occasion de la visite du pape au monastère de Saint-Maroun, à Annaya au Liban.
Aujourd’hui encore, saint Charbel intervient dans la vie de tant de personnes.
Abouna Yaccoub/Frère Jacques.
Abouna Yaacoub est nommé en 1905 directeur des Écoles des Pères Capucins* au Liban; il introduit alors l’idée de créer de petites écoles dont le nombre s’élève à 230. Abouna Yaacoub se distingue par l’art d’organiser pèlerinages, processions et célébrations des Premières Communions et ne cesse de répéter : « semez des hosties, vous récolterez des Saints« . Il est également tellement connu pour sa prédication et ses conseils spirituels, qu’on fait appel à lui pour prêcher en Syrie, en Iraq, en Palestine et autres pays…
À l’instar de son père, Saint François d’Assise, Abouna Yaacoub fonde le Tiers Ordre Séculier et en diffuse les principes et le règlement dans les villes et les villages en 1906.
La première guerre mondiale éclate en 1914; et les Capucins Français se voient alors contraints de quitter le Liban, après avoir confié toute la mission à Abouna Yaacoub. Cependant, ces nouvelles charges ne l’empêchent pas de s’occuper du Tiers Ordre Séculier; il consacre sa mission à distribuer du pain aux affamés et d’inhumer les morts. Durant cette période difficile, la providence divine l’accompagne jour et nuit; maintes fois, il échappe à la potence, à la prison et l’arrestation. https://sistersofthecross.org.lb/web/biographie/
Cette religieuse poursuit l’œuvre de frère Jaacoub au Liban.
La supérieure générale de l’hôpital psychiatrique s’exprime : « Comment une institution pauvre qui ne possède rien peut-elle tenir malgré l’explosion, la famine, la maladie et l’effondrement des institutions de l’Etat ? Comment pouvons-nous poursuivre sans soutien ? Et malgré cela nous ouvrons grand les portes, largement, à chaque fois que les portes du monde se ferment à ceux qui y frappent, … » La religieuse évoque la multiplication des pains réalisée par Jésus pour nourrir le peuple qui l’écoutait… Je pense qu’elle la vit au quotidien. N’empêche qu’il lui faut encore et encore des dons à multiplier.
L’Or MBongo évangélise par le chant , la parole et les bonnes œuvres.
Protestante évangélique, elle sait partager sa foi non seulement par le chant mais aussi la prédication. Mue par des convictions profondes, elle n’hésite pas à joindre l’action à la parole en venant en aide aux plus démunis dans des orphelinats ou en construisant un centre de santé à Maluku, à quelques kilomètres de la capitale.
Evangéliser lors de la mort par le martyre.
Maximilien Kolbe: il se sacrifie à Auschwitz.
– Shahbaz Bhatti, ministre pakistanais des Minorités religieuses défend la foi chrétienne et meurt assassiné. Il s’y attendait.
Bref, on peut être missionnaire de mille façons possible, à mille endroits différents.
-Léon XIV: comme pape, il évangélise à Rome et aussi lors de ses voyages et par Internet.
-Saint François-Xavier, quant à lui, a beaucoup voyagé, en Inde, au Japon, … pour porter l’Evangile.
-Saint Charbel Makhlouf était un homme ascétique qui vivait en ermitage. Environ 30 000 miracles lui sont attribués (sans compter les petits miracles qui restent cachés)
-Saint père Damien De Veuster a quitté la Belgique pour rejoindre définitivement les lépreux sur l’île de Molokaï. Ce fut son seul grand voyage mais son souvenir ne s’éteindra jamais.
-La fraternité Notre-Dame Mère de la Lumière. Alberto Maalouf, de famille originaire du Liban vit en France où il a fondé une association de priants : NDML. Il voyage dans le monde entier.
-L’Or MBongo évangélise son pays, le Congo RDC.
-Les chrétiens évangéliques sont très portés pour l’évangélisation. Proches des chrétiens du Renouveau Charismatiques.
-Comme au temps des cathédrales, les arts servent encore et toujours à l’évangélisation.
C’est par le témoignage de notre belle foi, par l’évangélisation que nous éviterons de grandes misères.
PRIONS
Prions pour les persécuteurs des chrétiens et autres minorités religieuses.
Nous sommes allés à des villages de néophytes, baptisés voici peu d’années. Cette région n’est absolument pas habitée par les Portugais, car elle est très stérile et très pauvre. Les chrétiens indigènes, privés de prêtres, ne savent rien, sinon qu’ils sont chrétiens. Il n’y a personne pour leur célébrer les sacrements ; personne pour leur enseigner le Symbole, le Pater, l’Ave Maria, ni les commandements de Dieu.
Depuis que je suis venu ici, je n’ai pas arrêté : je parcourais activement les villages, je baptisais tous les enfants qui ne l’avaient pas encore été. Aussi ai-je régénéré un nombre immense de bébés qui, comme on dit, ne savaient pas distinguer leur droite de leur gauche. Quant aux enfants, ils ne me laissaient ni réciter l’office divin, ni manger ni me reposer tant que je ne leur avais pas enseigné une prière. Alors j’ai commencé à saisir que le royaume des cieux appartient à ceux qui leur ressemblent.
Aussi, comme je ne pouvais sans impiété repousser une requête aussi pieuse, en commençant par la confession de foi au Père, au Fils et à l’Esprit Saint, je leur inculquais le Symbole des Apôtres, le Pater nosteret l’Ave Maria. J’ai remarqué qu’ils étaient très doués ; s’il y avait quelqu’un pour les former à la foi chrétienne, je suis sûr qu’ils deviendraient de très bons chrétiens.
Dans ce pays, quantité de gens ne sont pas chrétiens uniquement parce qu’il n’y a personne aujourd’hui pour en faire des chrétiens. J’ai très souvent eu l’idée de parcourir toutes les universités d’Europe, et d’abord celle de Paris, pour hurler partout d’une manière folle et pousser ceux qui ont plus de doctrine que de charité, en leur disant : « Hélas, quel nombre énorme d’âmes, exclu du ciel par votre faute, s’engouffre dans l’enfer ! »
De même qu’ils se consacrent aux belles-lettres, s’ils pouvaient seulement se consacrer aussi à cet apostolat, afin de pouvoir rendre compte à Dieu de leur doctrine et des talents qui leur ont été confiés !
Beaucoup d’entre eux, bouleversés par cette pensée, aidés par la méditation des choses divines, s’entraîneraient à écouter ce que le Seigneur dit en eux et, en rejetant leurs ambitions et leurs affaires humaines, ils se soumettraient tout entiers, définitivement, à la volonté et au décret de Dieu. Oui, ils crieraient du fond du cœur : « Seigneur, me voici ; que veux-tu que je fasse ? Envoie-moi n’importe où tu voudras, même jusque dans les Indes. »
Ouvriers de la paix, la moisson vous attend : pour réconcilier le monde, n’emportez que l’amour. À ceux qui vous accueillent, comme à ceux qui vous chassent, annoncez la nouvelle : Le Royaume de Dieu est là, tout près de vous, Vous allez recevoir une force : l’Esprit Saint viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins jusqu’aux extrémités de la terre.
ORAISON : Tu as voulu, Seigneur, que la prédication de saint François Xavier appelle à toi de nombreux peuples d’Orient ; accorde à tous les baptisés le même zèle pour la foi et fais que ton Église se réjouisse d’avoir, partout dans le monde, de nouveaux enfants.
Etre missionnaire, c’est encourager la rencontre avec Dieu.
Aussi éloignés de Dieu sommes-nous, Dieu est heureux de nous accueillir dans ses bras.
07 « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. 08 En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.
Pas besoin d’être chrétien pour vivre de cette parole.
Jésus m’a touché-e
Raymond Manna : de la prison à aumônier de prison.
C’est l’histoire d’un célèbre musicien de rock français qui, après avoir connu les feux de la rampe avec le groupe TRUST qu’il a fondé en 1977, a choisi la lumière plus sombre des cellules de la prison de La Farlède dans le Var. Raymond Manna qui, dans sa jeunesse a rencontré Jimmy Hendrix et David Bowie… est aujourd’hui aumônier catholique en milieu carcéral. Comment lui est venue cette vocation, lui qui n’était pas chrétien ?
Si Raymond est proche des détenus, c’est que lui aussi a connu une enfance chaotique marquée par le décès de ses parents alors qu’il n’avait que 10 ans. La musique devient une échappatoire et en même temps son moyen de rentrer une première fois en contact avec des prisonniers.
La célébrité l’appelle, mais une « rencontre » imprévue au début des années 90, réorientera sa vie…A l’ombre des projecteurs –
01 Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs. 02 Il vint trouver Jésus pendant la nuit. Il lui dit : « Rabbi, nous le savons, c’est de la part de Dieu que tu es venu comme un maître qui enseigne, car personne ne peut accomplir les signes que toi, tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui. » 03 Jésu s lui répondit : « Amen, amen, je te le dis : à moins de naître d’en haut, on ne peut voir le royaume de Dieu. » …
Chercher, trouver Jésus et naître de nouveau, grâce à Internet.
La rencontre de Jésus avec Nicodème s’est faite de nuit, Nicodème ne voulant pas être vu. Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes cherchent Jésus en cachette, par peur de l’entourage, peur de la persécution religieuse. Et cette peur est justifiée. Pensons à Joseph Fadelle qui a du fuir l’Irak: Sa propre famille cherchait à le tuer. (cfr son livre: Le prix à payer)
Heureusement, grâce à Internet, beaucoup de gens viennent à Jésus sans s’exposer directement. C’est quand leur foi est affermie qu’ils osent dire à leur entourage qu’ils sont devenus chrétiens … Certains subissent alors le martyre.
Grâce à Internet, la lumière de Jésus brille de plus en plus loin dans le monde. Internet permet aussi d’unir nos prières, ce qui donne du poids à nos prières.
Chercher: « Que disent vraiment les plus anciens manuscrits du Coran ? »
Bruno Guillot est belge francophone. Il a étudié l’arabe afin de bien comprendre le Coran. Il s’est aussi rendu en Arabie pour s’imprégner de la culture islamique et devenir un bon Musulman. Revenu à la foi chrétienne, il discute volontiers au sujet des religions. « Dans cette vidéo, nous explorons en profondeur les manuscrits anciens du Coran ainsi que les variantes textuelles, aux côtés du professeur Mohamed Al Massih. Ensemble, nous analysons les différences entre les manuscrits, et ce que ces découvertes signifient réellement pour la compréhension du texte coranique. Une enquête passionnante au cœur des sources les plus anciennes. »
Quid du conflit israélo-palestinien ? Quelques réflexions.
« Il serait bon de mettre Dieu hors-jeu autant que possible » (J.Chr. Attias).
En Terre Sainte, de sont des extrémismes religieux qui se confrontent. Donc impossible de dialoguer !
Ce que nous devons tous faire : PRIER DAVANTAGE POUR LA PAIX. Dieu entend toutes nos voix et quand on se présentera devant lui, il ne nous demandera pas quelle était notre religion, mais il nous jugera sur l’AMOUR. Prier, c’est aimer. Prier pour ses ennemis, c’est obéir à Dieu. Jésus nous le demande instamment.
Présentons nos faiblesse à Dieu avec confiance: nous savons si peu aimer!
Témoignage : « Quand j’étais petite, je voulais devenir sainte. Quand j’allais à l’abbaye en famille, je sentais même l’appel à devenir religieuse. J’étais touchée par les livres que mes parents achetaient au frère Léopold. J’ai dit à ma maman : «Je veux devenir sainte. » Elle m‘a répondu en riant : « Oui, une sainte Nitouche ! » 70 ans plus tard je pense encore à ces moments de grâce vécus à l’abbaye. L’Esprit Saint travaillait mon cœur. Il aurait suffi de peu pour que je devienne religieuse. Je ne regrette rien. J’ai cherché la sainteté autrement, par la voie du mariage, la fidélité inconditionnelle à mon époux, un saint homme qui a eu bien de la patience avec moi. Merci Seigneur pour ma vie telle qu’elle s’est déroulée. » (Marie)
C’est le Saint Esprit qui forme les saints. Laissons-le agir en nous.
Jésus, merci pour Marie. Tu nous la donnes comme modèle de sainteté, comme coach !
« Si je pouvais mettre dans le coeur de tout le monde le feu que j’ai là dans ma poitrine, et qui me brûle et me fait tant aimer le Coeur de Jésus et le cœur de Marie ! »[5] (Jacinthe, voyante de Fatima)
Il a conservé l’esprit du monde, en opposition avec l’Esprit de Dieu.
14 Comme des enfants qui obéissent, cessez de vous conformer aux convoitises d’autrefois, quand vous étiez dans l’ignorance, 15 mais, à l’exemple du Dieu saint qui vous a appelés, devenez saints, vous aussi, dans toute votre conduite, 16 puisqu’il est écrit : Vous serez saints, car moi, je suis saint.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
–En SYRIE : Il faut beaucoup d’amour, de sainteté, pour dialoguer avec Daesch.
18 Il n’y a pas de crainte dans l’amour, l’amour parfait bannit la crainte (…) 20 Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu », alors qu’il a de la haine contre son frère, c’est un menteur. En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas. 21 Et voici le commandement que nous tenons de lui : celui qui aime Dieu, qu’il aime aussi son frère.
–Au LIBAN : la sainteté de l’Eglise est nécessaire pour surmonter les crises.
L’Eglise est souvent la seule institution qui reste encore fidèle aux valeurs de la coexistence entre les religions, qui aident les plus démunis, qui essaye non pas d’instruire, mais d’éduquer les jeunes à un monde meilleur sans corruption et dans le respect de l’autre.
13 « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens. 14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
–A Madagascar, malgré la persécution, père Pedro consacre sa vie aux pauvres, à la suite du fondateur de sa congrégation : Saint Vincent de Paul.
Et c’est un combat de chaque jour. Combat contre les mauvaises habitudes des uns et des autres (paresse, drogue, …) et aussi combat contre les personnes armées venues de l’extérieur pour détruire cette œuvre divine. Père Pédro est un saint !
Prions
Prions pour ceux qui font le mal. Que la parole du Christ touche leur cœur endurci.
43 Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. 44 Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, 45 afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. 46 En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 47 Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 48 Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait.
Prions pour la collaboration entre les différentes traditions religieuses
Seigneur Jésus, Toi qui es un en la diversité et qui poses un regard d’amour sur chaque personne, aide-nous à nous reconnaître comme frères et sœurs, appelés à vivre, prier, travailler et rêver ensemble. Nous vivons dans un monde plein de beauté, mais aussi blessé par de profondes divisions. Parfois, les religions, au lieu de nous unir, deviennent une cause de confrontation. Donne-nous ton Esprit pour purifier notre cœur, afin que nous reconnaissions ce qui nous unit et qu’à partir de là, nous réapprenions à écouter et à collaborer sans détruire. Que les exemples concrets de paix, de justice et de fraternité dans les religions nous inspirent à croire qu’il est possible de vivre et de travailler ensemble, au-delà de nos différences. Que les religions ne soient pas utilisées comme des armes ou des murs, mais qu’elles soient vécues comme des ponts et une prophétie : rendant crédible le rêve du bien commun, accompagnant la vie, soutenant l’espérance et devenant le levain de l’unité dans un monde fragmenté. Amen.
« Aimez-vous les uns les autres »
Tel est le message central de Jésus, une invitation à la sainteté. Pourquoi donc l’Amour n’est-il pas aimé ?
COURAGE ! AU TRAVAIL, vous tous les saints du Seigneur !
Courage, tout le peuple du pays ! – oracle du Seigneur. Au travail ! Je suis avec vous – oracle du Seigneur de l’univers –, 05 selon l’engagement que j’ai pris envers vous à votre sortie d’Égypte. Mon esprit se tient au milieu de vous : Ne craignez pas ! 06 Encore un peu de temps – déclare le Seigneur de l’univers –, et je vais ébranler le ciel et la terre, la mer et la terre ferme.
Pour aider à mourir, on entend souvent parler d’euthanasie. Une dame m’avait raconté combien la mort par euthanasie de sa maman l’avait troublée. «Juste avant, maman nous parlait paisiblement, elle souriait encore, son teint était rosé, et dès l’injection de la piqûre (… ) C’est du suicide assisté! » La malade avait insisté pour que ses (petits-)enfants soient présents à ce moment mais quel mauvais souvenir!!
Il y a une alternative à l’euthanasie : « les soins palliatifs ». On en entend trop peu parler. C’est ce que je vais faire dans cet article. Jésus nous demande de partager les bonnes nouvelles.
« Allez annoncer à Jean ce que vous avez vu et entendu. » Luc 7
Cette semaine, ce que j’ai vu de beau, c’est la manière d’accompagner une personne en fin de vie.
J’ai vu en quoi consistent « Les soins palliatifs ».
J’étais venue passer quelques jours chez ma sœur et mon beau-frère atteint d’un cancer en face terminale.
J’ai vu de quel amour était entouré mon beau-frère par son épouse. Il y avait toujours eu beaucoup d’amour entre eux, mais là, Marie-Jeanne redoublait d’attention pour son mari. Leurs enfants, petits-enfants, leur rendaient de nombreuses visites, et aussi des amis, spécialement les membres de la communauté de l’Emmanuel. Deux jours avant le décès de Jean-Marie, il y avait même eu une maisonnée chez eux et Jean-Marie s’y était exprimé avec sérénité. J’ai entendu les prières des uns et des autres, les prières des uns pour les autres.
J’ai vu aussi un service médical motivé. L’infirmière de service fut tellement précieuse. Vanessa allait partir en congé et, avant son départ, gratuitement, elle est repassée voir mon beau-frère et lui dire qu’il fallait qu’il prenne bien ses anti-douleurs : « Vous ne devez pas souffrir ! » Il y avait eu aussi précédemment le passage de la psychologue qui avait aidé le couple à exprimer sa souffrance. Après cette visite, j’avais perçu une plus grande patience de Jean-Marie à l’égard de son épouse un peu distraite.
Personnellement, je ne savais pas faire grand-chose pour aider mon beau-frère mais je voyais qu’il appréciait que j’accompagne sa chère épouse. « Tu retournes aujourd’hui ? » « Non, demain, mais une dame* viendra passer la nuit près de vous. Ta femme sera aidée, rassure-toi. » Jean-Marie est mort la nuit suivante. Il est vrai que j’aurais pu rester plus longtemps près d’eux. Je pense à la Vierge Marie qui, apprenant que sa cousine Elisabeth était enceinte malgré son grand âge, s’était mise à son service durant trois mois. *Une ancienne infirmière qui sait comment déplacer une personne alitée, la conduire aux toilettes ou l’aider à utiliser l’urinal et changer le lit si nécessaire, …
Jean-Marie a rejoint le Père pendant son sommeil. Ma sœur craignait le voir mourir d’étouffement et il est mort calmement. La veille de son entrée dans la vie éternelle, nous avions encore prié ensemble le chapelet avec Lourdes et reçu comme chaque jour l’Eucharistie, le « Pain des forts ».
Saint Pape Jean-Paul II : « Comprenez pourquoi le pape souffre ».
Jean-Marie est décédé en la fête de saint Jean-Paul II. Ce pape avait offert ses souffrances pour la famille. A l’heure où l’on encourage l’euthanasie, le pape enseignait la puissance de la souffrance offerte.
A 15 ans, Carlo Acutis atteint d’un cancer, offrait ses souffrances.
« J’offre mes souffrances pour le pape, pour l’Eglise, afin de ne pas avoir à aller au purgatoire et d’entrer directement au ciel ». (Saint Carlo ACUTIS)
(Livre : Le secret de mon fils, Carlo Acutis. Comment il est devenu saint.)
Les quatre fins dernières.
Carlo Acutis garde toujours à l’esprit les quatre « fins dernières » : la mort, le jugement, l’enfer et le paradis, réalités ultimes de la vie de tout homme. Son attention à ces sujets le fait parfois traiter d’excessif ou de bigot, même par ses amis. II a rencontré des prêtres qui ne croient pas à l’existence de l’enfer ni même du Purgatoire, ce qui l’a scandalisé. Pour lui, ce point de la doctrine catholique, maintes fois enseigné par Jésus-Christ et par le Magistère de l’Église, est hors de doute :
« Si vraiment les âmes courent le risque de se damner, comme en effet tant de saints en ont témoigné et comme l’ont confirmé les apparitions de Fatima, je me demande pourquoi, aujourd’hui, on ne parle presque jamais de l’enfer, parce que c’est une chose tellement terrible et épouvantable que je suis effrayé, rien que d’y penser… l’unique chose que nous devrions vraiment craindre est le péché. » En effet, « aux yeux de la foi, aucun mal n’est plus grave que le péché et rien n’a de pires conséquences pour les pécheurs eux-mêmes, pour l’Église et pour le monde entier » (Catéchisme de l’Église catholique, no 1488).
« La mort doit être accueillie, non administrée. » Vatican.
Soulevant la question de « la dignité de la personne malade dans un état critique ou terminal », le document dit que cela « exige de chacun les efforts appropriés et nécessaires pour soulager ses souffrances par des soins palliatifs appropriés et en évitant tout acharnement thérapeutique ou toute intervention disproportionnée ». Ces soins, lit-on, répondent au « devoir constant de comprendre les besoins du malade : besoins d’assistance, soulagement de la douleur, besoins émotionnels, affectifs et spirituels ». « Mais un tel effort est tout à fait différent, distinct, et même contraire à la décision d’éliminer sa propre vie ou la vie d’autrui sous le poids de la souffrance. La vie humaine, même dans sa condition douloureuse, est porteuse d’une dignité qui doit toujours être respectée, qui ne peut être perdue et dont le respect reste inconditionnel. »
Les auteurs de la Déclaration soulignent qu’« aider la personne suicidaire à mettre fin à ses jours » est « une atteinte objective à la dignité de la personne qui le demande, même s’il s’agit de réaliser son souhait ». Ils citent les paroles du pape François à ce sujet : « Nous devons accompagner les personnes jusqu’à la mort, mais ne pas la provoquer ni favoriser aucune forme de suicide. Je rappelle que le droit aux soins et aux traitements pour tous doit toujours être prioritaire, afin que les plus faibles, notamment les personnes âgées et les malades, ne soient jamais écartés. »
C’est la fête chez les religieuses, à l’occasion du 100ème anniversaire de la consécration de leur église.
Mère Catherine Pagano (la 3ème en partant de la gauche), est fille d’immigrés italiens, mère Jeanne est congolaise, soeur Agnès est française, et sœur Selyn-Mary est indienne. Bel exemple d’unité au sein de l’Eglise comme Jésus l’aime. Les deux autres religieuses sont de passage pour participer à cette grande fête.
« Ce qui importe avant tout, c’est d’entrer en nous-mêmes pour y rester seul à seul avec Dieu. » (Thérèse d’Avila)
En quelques mots, un peu d’histoire. Ensuite, des vidéos de la cérémonie du jour, des méditations mariales, une émission de la RTB
D’abord l’ordre bénédictin puis l’ordre cistercien.
La Gaule avait connu un élan formidable lors de la colonisation romaine. Puis, les migrations germaniques ébranlèrent, non seulement les structures de l’empire romain, mais aussi la diffusion du christianisme. L’évangélisation reprit avec les moines dont la vie était balisée par diverses règles. Celle de saint Benoît, rédigée au VIe siècle, l’emporta sur toutes les autres et se répandit dans toute l’Europe occidentale.
L’abbaye de Cîteaux, fondée en 1098 en Bourgogne, suscita un nouvel élan de la vie monastique. Saint Bernard entra au monastère en 1112. Lorsqu’il mourut, en 1253, il y avait près de 350 abbayes cisterciennes. C’est à l’ordre de Cîteaux (d’où vient le nom Cistercien) que se rattachent l’abbaye de Chimay tout comme celle de Scourmont.
Là où les moines et moniales s’installent, l’économie est florissante, la VIE est gagnante.
Leurs différences en quelques mots : Les bénédictins se consacrent principalement au travail intellectuel : ils conservent et recopient des documents importants pour conserver la mémoire du passé, favoriser la réflexion, l’esprit critique, … tandis que les cisterciens travaillent davantage de leurs mains. Là où ils arrivent, ils défrichent et cultivent. Chimay, en 1850, a eu beaucoup de chance de les accueillir.
Avec passion, l’historienne Bernadette Masereel nous a raconté en détails l’histoire de la fondation de l’abbaye Notre-Dame de la Paix de Chimay. Je retrouve certains de ses propos sur le site de l’abbaye, site qu’elle alimente régulièrement. Grand merci à Bernadette. Remarquez que les laïcs, selon leurs dons, jouent un rôle important dans la vie des monastères. (Ce qui est certain, c’est que Bernadette m’a donné le goût de l’Histoire!)
À l’origine, au 13è siècle, des moniales s’installèrent sur les bords de la Troesne, à 89 km au N-O de Paris. Ce fut l‘abbaye de Gomerfontaine.
Celle-ci fut fondée par le seigneur Hugues de Chaumont qui agit selon la volonté et avec l’accord de son épouse Pétronille. Il offrit aux moniales de l’Ordre de Cîteaux sa maison de Gomerfontaine.
C’est donc Hugues de Chaumont et son épouse Pétronille de Poissy qui fondèrent l’ABBAYE DE GOMERFONTAINE (1205-1266)
Au XIIIe et au début du XIV siècle, l’abbaye de Gomerfontaine reçut des dizaines de donations: pièces de terre, droits de censive, de champart, d’herbage ou de pêche, dîmes, fournitures annuelles de blé, de harengs ou d’argent et même deux « hôtes »… La famille de Chaumont se montra particulièrement généreuse. La fondatrice, Pétronille, et d’autres élirent l’abbaye comme lieu de sépulture. Le XIIIe siècle fut, pour l’abbaye de Gomerfontaine, une période de prospérité. En 1434, l’abbaye fut dévastée par les Anglais qui ravagèrent le Vexin. Elle fut ensuite reconstruite.
La Révolution française de 1789 saccage le pays.
En 1792, l’abbaye de Gomerfontaine ne compte plus que 27 moniales. Elle subit le même sort que tous les établissements religieux de France. Elle est sécularisée et, une nouvelle fois, presque totalement détruite. Elle est vendue comme bien national.
En 1801, Bonaparte signe avec le pape, Pie VII, un Concordat. Les circonstances politiques sont dès lors plus favorables à l’exercice des cultes. Les prêtres sont autorisés à rentrer en France. Sr Pauline Ducastel forme le projet de reprendre la vie monastique telle qu’elle l’a vécue à Gomerfontaine. (….)
En 1904, les bernardines de Saint-Paul-aux-Bois tombent sous l’effet de la loi Combes qui contraint des milliers de religieux à s’exiler. Les religieuses sont expulsées manu militari le 4 octobre 1904. Elles trouvent un protecteur en la personne du colonel Bougon qui les accompagne du monastère jusqu’à la frontière. Elles s’établissent dans le refuge qu’elles ont préparé, à Fourbechies, dans le Hainaut belge. Là, dans une ancienne brasserie construite sur deux étages, elles vivent pauvrement, suivent fidèlement la règle et prient avec beaucoup de ferveur. Des vocations adviennent: seize jeunes filles s’adjoignent à la communauté. Du fait de son transfert en Belgique, elle passe sous la « paternité » de l’abbé de Scourmont à Forges-lez-Chimay.
En 2011, une nouvelle supérieure, Mère Catherine Pagano est mise en charge de l’abbaye, avec mission d’accompagner les dernières sœurs jusqu’à la fermeture…. Il reste alors la supérieure et 4 religieuses. On a peut-être touché le fond.
C’est mal connaitre mère Catherine ! Au lieu de fermer l’abbaye, elle lui donne un élan nouveau.
Puis, curieusement, un esprit de printemps et d’ouverture se met à souffler, non sans quelques bourrasques. L’hôtellerie est rouverte, l’abbaye s’ouvre aux visiteurs, le chant liturgique se renouvelle, les offices de vigiles, puis ceux de nones sont rétablis, des travaux de rénovation sont réalisés, une salle de conférence est aménagée, une biscuiterie est mise en route, le potager donne à nouveau fruits et légumes, le dialogue œcuménique déjà entamé se poursuit et c’est le grand rabbin, Albert Guigui, qui inaugure la nouvelle salle de conférence… Surtout, trois moniales venues d’autres abbayes font promesse de stabilité à Chimay.
En 1804, la communauté comptait cinq religieuses; en 1937, quasi une centaine; aujourd’hui, quatre. Ces dernières sont convaincues que leur abbaye est et sera un lieu de renouveau.
Sœur Véronique (à gauche) a prononcé ses vœux en 1964. Depuis lors, plus aucune religieuse n’y a fait profession. Mais les religieuses sont convaincues : leur abbaye est et sera un lieu de renouveau.
Pendant de nombreuses années, père Jacques Blanpain (à gauche) a célébré l’Eucharistie chez les Trappistines chaque dimanche. Nous nous souvenons qu’il y venait à vélo. Aujourd’hui, c’est le père Jacques Pineault, un Canadien, qui célèbre la messe chez les sœurs. Merci à eux pour le Pain de la Parole et le Pain du Corps du Christ.
Quelques moments de l’Eucharistie de ce 13 octobre.
1ère lecture: 1 R 8: 22-30
22 Salomon se plaça devant l’autel du Seigneur, en face de toute l’assemblée d’Israël ; il étendit les mains vers le ciel 23 et fit cette prière :
« Seigneur, Dieu d’Israël, il n’y a pas de Dieu comme toi, ni là-haut dans les cieux, ni sur la terre ici-bas ; car tu gardes ton Alliance et ta fidélité envers tes serviteurs, quand ils marchent devant toi de tout leur cœur. 24 Tu as gardé pour ton serviteur David, mon père, ce que tu lui avais dit ; et ce que tu lui avais dit de ta bouche, aujourd’hui tu l’as accompli de ta main. 25 Et maintenant, Seigneur, Dieu d’Israël, par égard pour ton serviteur David, mon père, garde la parole que tu lui avais dite : “Tes descendants qui siégeront sur le trône d’Israël ne seront pas écartés de ma présence, pourvu que tes fils veillent à suivre leur chemin en marchant devant moi, comme tu as marché devant moi.” 26 Maintenant donc, Dieu d’Israël, que se vérifie la parole que tu as dite à ton serviteur David, mon père ! 27 Est-ce que, vraiment, Dieu habiterait sur la terre ? Les cieux et les hauteurs des cieux ne peuvent te contenir : encore moins cette Maison que j’ai bâtie !
28 Sois attentif à la prière et à la supplication de ton serviteur. Écoute, Seigneur mon Dieu, la prière et le cri qu’il lance aujourd’hui vers toi. 29 Que tes yeux soient ouverts nuit et jour sur cette Maison, sur ce lieu dont tu as dit : “C’est ici que sera mon nom.” Écoute donc la prière que ton serviteur fera en ce lieu. 30 Écoute la supplication de ton serviteur et de ton peuple Israël, lorsqu’ils prieront en ce lieu. Toi, dans les cieux où tu habites, écoute et pardonne.
Remarquons que toutes les abbayes cisterciennes portent le nom de Notre-Dame.
Notre-Dame de Scourmont, Notre-Dame de la Paix, etc…
En général, les gens prient peu, vraiment trop peu. Or le monde va mal. Dieu merci, des congrégations de religieux et religieuses se consacrent totalement à la prière à laquelle Marie ne cesse de nous appeler. Ils sont les racines de l’arbre sans lesquelles la civilisation ne peut tenir.
Dessin: Souffle de Vie.
La prière rend fort. De la force il en faut pour arriver à subsister alors que les vents violents ne cessent de se déchainer contre l’Eglise.
Pour les moniales, que de mouvements depuis 100 ans! Que d’acharnement pour arriver à créer puis maintenir vivante leur congrégation. Sans la détermination, sans la foi à toute épreuve de mère Catherine, l’abbaye aurait fermé ses portes depuis longtemps. Qu’elle en soit remerciée!
Beaucoup de personnes retrouvent la paix du coeur après avoir confié leur chagrin à telle ou telle religieuse, ou lors d’une retraite à l’abbaye.
D’autre part, tous les religieux ne cessent de prier pour la PAIX dans le monde. La libération des otages juifs ce 13 octobre résonne comme une victoire, une réponse aux mille prières qui jaillissent sans cesse des coeurs des priants.
Mais la guerre n’est pas finie! L’islam radical sévit dans la bande de Gaza. Et puis, chez nous aussi, il y a l’islam politique et conquérant qui inquiète vraiment.
Oui, il manque cruellement de priants, de personnes qui donnent toute leur vie pour les autres!
A propos de l’abbaye de Gomerfontaine.
Dieu aime les gens même brisés comme Gomer. Il souhaite les relever, leur pardonner …
Bernadette Masereel a fait remarquer que Gomer est le nom de la femme prostituée du prophète Osée. Cette abbaye avait-elle mission de prier pour la conversion des femmes et des hommes qui se prostituent? Comme nous l’avons tous, leur mission était de prier intensément en s’offrant à Dieu pour la conversion de l’humanité qui adore les faux dieux que sont l’argent, la réussite, le pouvoir.
« Je te fiancerai à moi pour toujours », dit-il.
« Je te fiancerai dans la justice et dans la droiture, dans l’amour et dans la miséricorde.
Je te fiancerai par la fidélité, et tu connaîtras l’Éternel.
Comme une prostituée, la France (et pas qu’elle!) renie Celui qui l’aime tant !
Nourrissons notre espérance!
PRIONS: Puissent, grâce à la prière des religieuses et les nôtres, de nombreux pécheurs se convertir, c’est-à-dire se tourner résolument vers Dieu et changer de vie. Que l’Esprit Saint fortifie tous ceux qui évangélisent de mille manières possibles.
Que ceux qui connaissent mal ou pas du tout notre Seigneur Jésus cherchent intensément la VERITE!
07 Seigneur, tu m’as séduit, et j’ai été séduit ; tu m’as saisi, et tu as réussi. À longueur de journée je suis exposé à la raillerie, tout le monde se moque de moi. … 09 Je me disais : « Je ne penserai plus à lui, je ne parlerai plus en son nom. » Mais elle était comme un feu brûlant dans mon cœur, elle était enfermée dans mes os. Je m’épuisais à la maîtriser, sans y réussir.
En ce mois d’octobre, qui est celui du rosaire, rappelons-nous les messages répétés de la Vierge à Medjugorje.
… spécialement en ce jour du 13 octobre qui rappelle la dernière apparition de la Vierge Marie à Fatima où elle invite fortement à prier et à se sacrifier pour la PAIX.
« Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis. » (Coppola)
Comment ne pas chercher à dialoguer avec un pays qui possède la bombe atomique ? Il faut être casse-cou pour l’affronter. C’est déjà très pénible pour les familles de militaires de voir un des siens partir plusieurs mois pour préparer la guerre. Combien ce doit l’être quand on sait qu’il y a très peu de chances que son cher enfant, père, fils, fille, … en revienne vivant?
Concernant les situations conflictuelles locales, prémices de guerre civile, il y a de quoi se poser des questions. Par exemples : Quid de l’avenir de l’agriculture, vu la mondialisation ? Quid des repères chrétiens si l’islamisation de l’Europe n’est pas freinée ? Quid de la liberté individuelle si les communistes arrivent au pouvoir?
A l’heure de la bombe atomique, provoquer l’ennemi, entrer dans la course aux armements, c’est de la folie. D’autre part envoyer des soldats sans se « mouiller » soi-même, quelle lacheté! En Belgique, nous gardons le souvenir du bon Albert qui était auprès de ses troupes durant la guerre, pendant que la reine Elisabeth était au chevet des blessés. En France, le roi Louis était en tête de ses troupes et c’est la mort dans l’âme, qu’avec son armée, il quittait ses bien-aimés pendant plusieurs années pour repousser l’ennemi.
Le temps des croisades est terminé. C’est par le dialogue, les pourparlers, le respect de l’adversaire, bref c’est par l’amour auquel Jésus nous invite que l’on cherche-ra désormais à faire la paix entre les humains.
« Seigneur, où es-tu dans tout cela ? »
« Dans ces moments-là, il peut être facile de perdre le Seigneur de vue. De ne plus voir sa main agissante. De ne plus entendre sa voix rassurante. Pourtant, il n’a pas changé. Dieu n’a pas changé. Il est encore Emmanuel, Dieu avec nous.
Ainsi, vous n’êtes jamais seul(e) sur le chemin. Jésus est toujours présent, jamais très loin, il est celui qui vous comprend. Dans les moments difficiles, Jésus se montre un véritable ami…
Patrick Célérier invite à prier avec lui : « Seigneur Jésus, merci pour ta fidélité, ton amitié, ta présence. Tu es Emmanuel, Dieu avec moi. J’ai la certitude que tu ne m’abandonnes pas, toi l’ami fidèle, l’ami véritable. Je ne suis pas seul(e) dans la situation que je traverse, mais tu es avec moi. Merci Jésus, avec toi je suis plus fort(e). »
« Cette phrase prononcée par Klaus Schwab, « grand prêtre » du Forum Économique de Davos déterminé à devenir l’un des nouveaux maîtres du monde à venir, a été souvent reprise par les médias. Mais que signifie-t-elle et qu’implique-t-elle pour la vie des citoyens qui semblent – malgré eux – avoir perdu la direction de leur vie ? «
Les agriculteurs étaient déjà maltraités et chaque jour, la France comptait plus d’un suicide parmi eux. Cette fois, l’état y va encore plus fort en détruisant complètement des cheptels au lieu de miser sur la vaccination et sur le bon sens paysan. Que veulent les dirigeants ? Moins de pollution ? Non ! Ils veulent la mise en place du « Mercosur ».
Aujourd’hui, l’état frappe fort. Que restera-t-il aux agriculteurs? Leur maison? Même pas sûr! C’est horrible!
Les agriculteurs, agricultrices vont tout perdre si leurs dettes ne sont pas épurées. Leur ferme sera vendue à des riches qui en feront ce qu’ils veulent.
NB: J’ai vu des gens de la noblesse récupérer des terres louées de père en fils à des agriculteurs. Ils avaient étudié l’agronomie et ils croyaient en savoir plus que les agriculteurs qui le sont de père en fils, ceux-là qui aiment la terre, qui aiment leur métier. Quelle misère: ces apprentis-agriculteurs n’ont pas l’ADN de l’agriculteur né, ils ne font pas du bon travail et ils privent des familles de leur moyen de vivre. SVP: Aidons les paysans! Cessons de leur mettre des batons dans les roues.
Il faut aider les familles d’agriculteurs. Il faut les soutenir matériellement. Avoir beaucoup d’empathie à leur égard ne suffit pas, il faut agir concrètement. Ne pas les accabler de reproches ni de conseils mais leur demander : « Que puis-je faire pour vous ? Combien d’argent vous faut-il pour sortir la tête de l’eau ? » Se faire mendiants pour eux. … » Il y a des riches qui ne savent que faire de leurs biens et des familles qui léguent leur fortune à des paresseux qui vivent de leurs rentes. Arrêtons ça! Faisons bon usage de nos biens.
Quid de la famille quand on doit revendre sa maison?
« La propriété foncière qui abrite la famille, c’est à dire le logement, fait régulièrement l’objet d’évolutions juridiques importantes notamment avec les taxes liées aux transactions. Ce que l’on appelle abusivement les frais de notaire représentent 99% de taxes. L’habitat est un fondement pour l’homme, à toutes les époques, c’est un lieu privé où la personne peut se sentir en sécurité, où elle peut se reposer. La propriété reste un droit inviolable et sacré inscrit dans la Constitution française.«
Prions Dieu d’accorder à la France un chef qui l’aime à l’image du saint roi Louis. Et tout le monde s’en portera bien!
🎙️Philippe de Villiers : « Saint Louis est un roi immense. Il incarne notre civilisation, qui est la civilisation chrétienne. »
« Il n’abandonna jamais, ni son Dieu, ni son peuple.«
En écoutant cette histoire, on découvre la raison des croisades. Quel courage avaient nos ancètres pour arrêter l’avancée de l’islam en terre chrétienne!
La paix avec le peuple musulman se construi-ra par l’AMOUR, non par la force!
Oui, l’islam crée problème vu son ambition de conquérir le monde entier, d’étendre le califat, par la force si nécessaire. Or l’apostasie peut être unie de mort!!! Que de naïveté parmi nous! Quand allons-nous ouvrir les yeux et décider de témoigner de notre belle foi en JESUS, ROI D’AMOUR?
Heidi Baker est un fameux témoin. Elle conduit des Musulmans vers Jésus, le Prince de la PAIX. Sa force? Elle la puise dans la prière et le jeûne, l’écoute continue de l’Esprit Saint.
« La Gospa nous a déjà dit, à Medjugorje, que les musulmans étaient aussi ses enfants. Tous les hommes sont enfants de Dieu et ils les aiment tous et veut tous les sauver. L’amour ne peut se réjouir du mal or la guerre est toujours un mal. »
Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien.
28« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. 29Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. 30Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
10 Soyez unis les uns aux autres par l’affection fraternelle, rivalisez de respect les uns pour les autres. 11 Ne ralentissez pas votre élan, restez dans la ferveur de l’Esprit, servez le Seigneur, 12 ayez la joie de l’espérance, tenez bon dans l’épreuve, soyez assidus à la prière. 13 Partagez avec les fidèles qui sont dans le besoin, pratiquez l’hospitalité avec empressement.
14 Bénissez ceux qui vous persécutent ; souhaitez-leur du bien, et non pas du mal. 15 Soyez joyeux avec ceux qui sont dans la joie, pleurez avec ceux qui pleurent. 16 Soyez bien d’accord les uns avec les autres ; n’ayez pas le goût des grandeurs, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne vous fiez pas à votre propre jugement. 17 Ne rendez à personne le mal pour le mal, appliquez-vous à bien agir aux yeux de tous les hommes. 18 Autant que possible, pour ce qui dépend de vous, vivez en paix avec tous les hommes.
19 Bien-aimés, ne vous faites pas justice vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu. Car l’Écriture dit : C’est à moi de faire justice, c’est moi qui rendrai à chacun ce qui lui revient, dit le Seigneur. 20 Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire : en agissant ainsi, tu entasseras sur sa tête des charbons ardents. 21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien.
Courage, tout le peuple du pays ! – oracle du Seigneur. Au travail ! Je suis avec vous – oracle du Seigneur de l’univers –, 05 selon l’engagement que j’ai pris envers vous à votre sortie d’Égypte. Mon esprit se tient au milieu de vous : Ne craignez pas !
Sans plus tarder, revenons tout simplement à Jésus, avec Marie en tête.
PRIONS en union avec les saints du ciel.
Que sainte Monique, fêtée ce 27 août, qui, par sa prière dans les larmes a obtenu la conversion de son fils Augustin, soutienne notre confiance en la Miséricorde de Jésus-Christ. NB: Monique et Augustin sont originaires de Tagaste (Algérie).
« Montre les merveilles de ta grâce, garde-moi comme la prunelle de l’oeil ! »
Je t’appelle, toi, le Dieu qui répond : écoute-moi, entends ce que je dis. Montre les merveilles de ta grâce, toi qui libères de l’agresseur ceux qui se réfugient sous ta droite.
Garde-moi comme la prunelle de l’œil ; à l’ombre de tes ailes, cache-moi. Et moi, par ta justice, je verrai ta face : au réveil, je me rassasierai de ton visage.
Le Bon Dieu entend chacun de nos appels. Il fait de grandes choses !
Père Elias Maalouf était atteint d’un cancer virulent. Les médecins constatent qu’il est complétement guéri.
« Frères et sœurs Dieu m’a guérie »
Depuis qu’elle est petite, Janick pensait qu’elle était un garçon dans un corps de fille.
En grandissant, elle s’affirme de plus en plus dans la masculinité jusqu’à subir, à l’âge de 23 ans, 3 opérations chirurgicales lui permettant de changer de sexe. … Un jour, la voix de Dieu résonne dans son coeur l’invitant à revenir sur ses pas : » Si tu me fais confiance, je te restaurerai dans ton identité initiale « . … Elle témoigne désormais au grand public de son identité retrouvée grâce au Christ et des dangers de la transition.
Attaqué par les djinns ( démons en islam: جِنّ ), Jésus le sauve !
Le Seigneur a déjoué les plans des nations, anéanti les projets des peuples. Le plan du Seigneur demeure pour toujours, les projets de son cœur subsistent d’âge en âge.
« Tu as besoin du Saint Esprit ! » Les chrétiens pentecôtistes.
Janick encourage à faire constamment appel au Saint Esprit comme ils le font chez les chrétiens pentecôtistes et le Renouveau Charismatique catholique.
La foi est audacieuse!
Cantiques
TEMOIGNONS des merveilles de Dieu, faisons-les passer autour de nous.
Souvenez-vous des merveilles que le Seigneur a faites.
Matthieu, c’était un Juif, un collecteur d’impôts à la solde des Romains. Inutile de dire qu’il n’était pas apprécié par la population juive. Or voilà que Jésus le regarde, lui, et il l’invite à faire partie de son groupe d’apôtres. Quel honneur !
Il a suffi d’un regard et d’une parole simple mais profonde – “Suis-moi” – pour que Jésus transforme la vie de Matthieu. Matthieu va tout quitter et devenir un grand évangélisateur qui donnera sa vie pour Jésus. « Sans cet appel de Jésus à Matthieu, nous n’aurions pas l’Evangile selon saint Matthieu », faisait remarquer le prêtre à la messe de ce vendredi.
Histoire d’une foi.
NB : C’est Matthieu qui nous raconte ce merveilleux entretien entre Jésus et un Romain. Les Romains occupaient la Palestine. Jésus accueille tout le monde! Donc il faut bon accueil à ce Romain.
19 Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu
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Les premiers samedis du mois, c’est à Marie que nous pensons particulièrement.
En ces temps difficiles que nous vivons, dans sa grande miséricorde, Jésus permet à sa maman de nous accompagner. A Medjugorje (ses dernières apparitions sur terre), Marie agit en éducatrice de notre foi. Jésus nous l’a donnée comme mère!
25 Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur terre, les nations seront affolées et désemparées par le fracas de la mer et des flots.36 Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme. »
Après sa résurrection et jusqu’à son ascension, Jésus apparait de nombreuses fois à ses contemporains.
L’un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau), n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. » Thomas lui dit alors : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »
Jésus avait promis de ne pas laisser seuls ses amis. Il leur donne l’Esprit Saint avec la mission de poursuivre son œuvre.
08 Mais vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous ; vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre. »
Pour faciliter notre foi en lui, Jésus se manifeste, tantôt à plus de 500 personnes à la fois, tantôt à une seule …
Paul résume en quelques mots l’essentiel de sa foi.
03 Avant tout, je vous ai transmis ceci, que j’ai moi-même reçu : le Christ est mort pour nos péchés conformément aux Écritures, 04 et il fut mis au tombeau ; il est ressuscité le troisième jour conformément aux Écritures, 05 il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;06 ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois – la plupart sont encore vivants, et quelques-uns sont endormis dans la mort –, 07 ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.08 Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis. 09 Car moi, je suis le plus petit des Apôtres, je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre, puisque j’ai persécuté l’Église de Dieu.
Après la Pentecôte, remplis d’Esprit Saint, les apôtres continuent l’œuvre de Jésus. Ils enseignent, font des miracles, ce qui étonne.
NB: « The Chosen » exprime avec des vidéos l’esprit de l’Evangile, mais il ne faut pas tout prendre à la lettre. Ces vidéos donnent une idée de ce qu’est le christianisme en actes.
12 Voyant cela, Pierre interpella le peuple : « Hommes d’Israël, pourquoi vous étonner ? Pourquoi fixer les yeux sur nous, comme si c’était en vertu de notre puissance personnelle ou de notre piété que nous lui avons donné de marcher ?
13 Le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a glorifié son serviteur Jésus, alors que vous, vous l’aviez livré, vous l’aviez renié en présence de Pilate qui était décidé à le relâcher. 14 Vous avez renié le Saint et le Juste, et vous avez demandé qu’on vous accorde la grâce d’un meurtrier. 15 Vous avez tué le Prince de la vie, lui que Dieu a ressuscité d’entre les morts, nous en sommes témoins.
16 Tout repose sur la foi dans le nom de Jésus Christ : c’est ce nom lui-même qui vient d’affermir cet homme que vous regardez et connaissez ; oui, la foi qui vient par Jésus l’a rétabli dans son intégrité physique, en votre présence à tous.
Aujourd’hui, en 2025, les miracles sont de plus en plus nombreux
… spécialement dans les groupes de prière charismatiques et aussi dans les lieux de pèlerinages.
Et il y a aussi bien des guérisons et autres signes de la tendresse de Dieu dans les foyers où l’on prie. Oui, l’humble prière fait des merveilles !
Si vous ne connaissez pas encore (ou bien mal) Maria Valtorta, écoutez Olivier Bonnassies. Il parle d’elle avec beaucoup d’enthousiasme. L’œuvre de cette grande mystique est un vrai miracle.
Oui, je crois en Eglise, fondée par Jésus lui-même afin de continuer son œuvre de salut.