07 « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. 08 En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.
Pas besoin d’être chrétien pour vivre de cette parole.
Raymond Manna : du groupe rock TRUST à aumônier de prison.
C’est l’histoire d’un célèbre musicien de rock français qui, après avoir connu les feux de la rampe avec le groupe TRUST qu’il a fondé en 1977, a choisi la lumière plus sombre des cellules de la prison de La Farlède dans le Var. Raymond Manna qui, dans sa jeunesse a rencontré Jimmy Hendrix et David Bowie… est aujourd’hui aumônier catholique en milieu carcéral. Comment lui est venue cette vocation, lui qui n’était pas chrétien ?
Si Raymond est proche des détenus, c’est que lui aussi a connu une enfance chaotique marquée par le décès de ses parents alors qu’il n’avait que 10 ans. La musique devient une échappatoire et en même temps son moyen de rentrer une première fois en contact avec des prisonniers.
La célébrité l’appelle, mais une « rencontre » imprévue au début des années 90, réorientera sa vie…A l’ombre des projecteurs –
01 Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs. 02 Il vint trouver Jésus pendant la nuit. Il lui dit : « Rabbi, nous le savons, c’est de la part de Dieu que tu es venu comme un maître qui enseigne, car personne ne peut accomplir les signes que toi, tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui. » 03 Jésu s lui répondit : « Amen, amen, je te le dis : à moins de naître d’en haut, on ne peut voir le royaume de Dieu. » 04 Nicodème lui répliqua : « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il entrer une deuxième fois dans le sein de sa mère et renaître ? » 05 Jésus répondit : « Amen, amen, je te le dis : personne, à moins de naître de l’eau et de l’Esprit, ne peut entrer dans le royaume de Dieu. 06 Ce qui est né de la chair est chair ; ce qui est né de l’Esprit est esprit. 07 Ne sois pas étonné si je t’ai dit : il vous faut naître d’en haut. 08 Le vent souffle où il veut : tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi pour qui est né du souffle de l’Esprit. » 09 Nicodème reprit : « Comment cela peut-il se faire ? »
La rencontre de Jésus avec Nicodème s’est faite de nuit, Nicodème ne voulant pas être vu. Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes cherchent Jésus en cachette, par peur de l’entourage, peur de la persécution religieuse. Et cette peur est justifiée. Pensons à Joseph Fadelle qui a du fuir l’Irak: Sa propre famille cherchait à le tuer. (cfr son livre: Le prix à payer)
Heureusement, grâce à Internet, beaucoup de gens viennent à Jésus sans s’exposer directement. C’est quand leur foi est affermie qu’ils osent dire à leur entourage qu’ils sont devenus chrétiens … Certains subissent alors le martyre.
Grâce à Internet, la lumière de Jésus brille de plus en plus loin dans le monde. Internet permet aussi d’unir nos prières, ce qui donne du poids à nos prières.
Chercher: « Que disent vraiment les plus anciens manuscrits du Coran ? »
Bruno Guillot est belge francophone. Il a étudié l’arabe afin de bien comprendre le Coran. Il s’est aussi rendu en Arabie pour s’imprégner de la culture islamique et devenir un bon Musulman. Revenu à la foi chrétienne, il discute volontiers au sujet des religions. « Dans cette vidéo, nous explorons en profondeur les manuscrits anciens du Coran ainsi que les variantes textuelles, aux côtés du professeur Mohamed Al Massih. Ensemble, nous analysons les différences entre les manuscrits, et ce que ces découvertes signifient réellement pour la compréhension du texte coranique. Une enquête passionnante au cœur des sources les plus anciennes. »
Quid du conflit israélo-palestinien ? Quelques réflexions.
« Il serait bon de mettre Dieu hors-jeu autant que possible » (J.Chr. Attias).
En Terre Sainte, de sont des extrémismes religieux qui se confrontent. Donc impossible de dialoguer !
Ce que nous devons tous faire : PRIER DAVANTAGE POUR LA PAIX. Dieu entend toutes nos voix et quand on se présentera devant lui, il ne nous demandera pas quelle était notre religion, mais il nous jugera sur l’AMOUR. Prier, c’est aimer. Prier pour ses ennemis, c’est obéir à Dieu. Jésus nous le demande instamment.
Présentons nos faiblesse à Dieu avec confiance: nous savons si peu aimer!
Avant que le monde existe, Jésus était dans la gloire. Par sa mort et sa résurrection, il est à nouveau glorifié.
04 Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. 05 Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe.
La royauté de Jésus est unique, inclassable, au-delà des paramètres humains. Jésus n’est pas un roi COMME les autres, disait le pape François, il est un roi POUR les autres. » Il est un roi sans cour, sans armée, sans légion, sans garde rapprochée, … Il est le serviteur dont parle Isaïe, sans apparence ni beauté qui attire nos regards. Il est le roi qu’annonçait prophétiquement Zacharie, juste, victorieux, à califourchon sur l’âne, au lieu de parader sur un beau palefroi. Roi qui découvre l’envers de ce qui était considéré comme l’endroit. Il n’est de puissance vraie que dans la faiblesse, de justice juste que dans le respect et le service de l’autre, de paix durable que dans la volonté et l’action pacifique. … Mgr Dupuy
Quel type de messie, de « roi », les Juifs attendaient-ils au temps de Jésus ?
Jésus est au milieu de nous, présent dans la sainte hostie. Nous pouvons l’ADORER.
et rejeter le diable, notre ennemi !
Jésus ne recherche pas les honneurs et il n’envoie pas les autres au supplice en restant les bras croisés.
Il prend la dernière place, par AMOUR. Jésus dit non au pouvoir de l’argent, de la gloire terrestre. Il « se mouille ». Il veut notre PAIX!
Jésus est bien le Messie attendu par Israël, selon les prophéties bibliques
Jésus sera acclamé comme “fils de David”. Mais sa mission ne sera pas limitée au seul peuple d’Israël.
« Tout l’Évangile nous le présente comme celui qui vient réconcilier tous les peuples de la terre en livrant son corps et en versant son sang. Jésus rejoint par sa Passion tous les blessés de la vie. Offrant sa vie par amour, Jésus est le roi de tous les hommes. Il compte sur chacun de nous pour participer à son œuvre de réconciliation et de rassemblement. Dans une société où les pauvres sont de plus en plus nombreux, nous sommes envoyés pour être les porteurs de la sollicitude du Christ, Roi de l’univers. » (Père Pineault)
“Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. 35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; 36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !” 37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? 38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? 39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?” 40 Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
L’Eglise met en pratique l’enseignement de Jésus quand elle met le pauvre au centre de ses préoccupations.
Journée Mondiale des Pauvres 2025 : Un signe de charité – 400 ans de mission.
Jésus SAUVE celui qui s’est perdu dans les eaux nauséabondes du péché, quel qu’il soit.
Il est un Roi qui recherche les pécheurs. Il espère le repentir de ceux qui le font tellement souffrir par leurs péchés.
Le bon larron est l’exemple du repentir. Ils étaient deux larrons à être crucifiés en même temps que Jésus. Ils ont été témoins de sa mort, ils ont entendu les moqueries à son sujet. Les deux condamnés réagirent différemment. Voici le récit raconté par Luc.
En ce temps-là, on venait de crucifier Jésus, et le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient : « Il en a sauvé d’autres : qu’il se sauve lui-même, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! » Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait : « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! » Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c’est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. » Et il disait : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » Jésus lui déclara : « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. »
Au sujet du larron converti (que la tradition orale nomme Dismas), père Jacques fait ce commentaire:
« Avec dégoût, il se détourne des égarements de sa vie passée et reconnaît publiquement son ancienne adhésion au péché, mais aussi son amour total pour le Christ. Il accepte les souffrances de la crucifixion et les tourments de la mort. Il reconnaît publiquement qu’il a mérité tout cela. Dismas est la preuve vivante de la puissance inimaginable du Sang du Christ et de l’infinie miséricorde de Dieu. »
Saint Paul, lui-même converti, appelle à l’action de grâce.
13 Nous arrachant au pouvoir des ténèbres, il nous a placés dans le Royaume de son Fils bien-aimé : 14 en lui nous avons la rédemption, le pardon des péchés. 15 Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né, avant toute créature : 16 en lui, tout fut créé, dans le ciel et sur la terre. Les êtres visibles et invisibles, Puissances, Principautés, Souverainetés, Dominations, tout est créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toute chose, et tout subsiste en lui. 18 Il est aussi la tête du corps, la tête de l’Église : c’est lui le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin qu’il ait en tout la primauté. 19 Car Dieu a jugé bon qu’habite en lui toute plénitude 20 et que tout, par le Christ, lui soit enfin réconcilié, faisant la paix par le sang de sa Croix, la paix pour tous les êtres sur la terre et dans le ciel. 21 Et vous, vous étiez jadis étrangers à Dieu, et même ses ennemis, par vos pensées et vos actes mauvais. 22 Mais maintenant, Dieu vous a réconciliés avec lui, dans le corps du Christ, son corps de chair, par sa mort, afin de vous introduire en sa présence, saints, immaculés, irréprochables.
En France, Jeanne d’Arc a reçu mission de rappeler que le Christ est roi.
La France a bien une mission spéciale.Les dons gratuits de Dieu et son appel sont sans repentance.
33 Quelle profondeur dans la richesse, la sagesse et la connaissance de Dieu ! Ses décisions sont insondables, ses chemins sont impénétrables ! 34 Qui a connu la pensée du Seigneur ? Qui a été son conseiller ? 35 Qui lui a donné en premier et mériterait de recevoir en retour ? 36 Car tout est de lui, et par lui, et pour lui. À lui la gloire pour l’éternité ! Amen.
Le trône du Christ-Roi, c’est la Croix – Guérison & Consolation CHEZ VOUS
18 L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, 19 annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.
Bien trop de fois, Tu m’as tendu la main, Je t’ai repoussé, car je ne pensais pas que tu pouvais m’aider. Maintenant tu es tout, Oui tu es tout pour moi, Et je ne peux vivre sans toi, Dieu, oh tu es tout. Je veux te dire merci J’me perdais, tu m’as trouvé Au fond d’moi j’étais morte Et t’as soufflé la vie, T’as ranimé cette épave Je veux te dire merci. Merci de m’avoir sauvée Merci de m’aimer tellement sans condition, Dieu.
Tu m’as ouvert les bras, Je t’ai repoussé, Car j’avais peur d’être déçue, encore abandonnée, Mais j’ai fait taire mes peurs Pour revenir à toi Tu étais là, jamais, tu ne, m’abandonneras, Dieu
Je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvée Merci de m’aimer tellement sans condition, Dieu . Je ne te mérite pas, Dieu. Mais tu continues à m’aimer, peu importe, Tu ne cesses jamais de m’aimer,… Dieu
1. Seigneur, en ta victoire Tu as détruit la mort. Du signe de ta gloire, Tu as marqué nos corps. Sur nous l’Esprit repose, Promesse de salut ; Il mène toute chose Vers toi, Seigneur Jésus.
2. Rassemble tous les hommes Déjà tendus vers toi ! Ils marchent vers l’aurore Où resplendit ta croix. Tu vois ce peuple immense Cherchant la vérité ; Révèle ta présence, Sauveur ressuscité !
3. Proclame ta Parole, Lumière pour nos vies ; Rassemble tous tes membres, Unis en un seul corps. Et fais de tous les hommes Tes instruments de paix Pour restaurer le monde Selon ta volonté.
Pour en savoir plus sur le Sacré-Cœur de Jésus, sur Marie et la France
Le pasteur Saïd Oujibou est bien connu sur les réseaux sociaux pour son dynamisme au service de l’évangélisation. Or, lors de la nuit des attentats, il était en garde à vue au commissariat de police: Son cousin s’était fait exploser. Y avait-il des connivences entre eux ?
J’ai envoyé ceci à une marocaine. « Bonjour Latifa, en écoutant Bruno Guillot, j’ai pensé à ta fille qui se voile. Est-ce que tu parles avec elle ? Sait-elle tout ce que tu as vécu au Maroc et comment ce sont des chrétiens qui t’ont permis d’échapper à un triste destin ? »
Adela, ex-musulmane et laïque, passe du temps à discuter avec les Musulmans.
Bruno Guillot, lui aussi ex-musulman s’exprime en tant que chrétien.
Alerte : l’UE s’apprête à légaliser la polygamie
Le sondage qui dévoile le tsunami islamique en France – Jean Messiha
Qui choisissons-nous de suivre? Le Dieu d’AMOUR ou Satan !
Point de vue du pape Léon XIV concernant les migrations.
Au Nigéria, les enlèvements continuent!!
Au Bengladesh aussi, les chrétiens sont persécutés.
PRIONS le DIEU d’AMOUR.
07 Écoute, Seigneur, je t’appelle ! * Pitié ! Réponds-moi ! 08 Mon cœur m’a redit ta parole : « Cherchez ma face. » * 09 C’est ta face, Seigneur, que je cherche : ne me cache pas ta face. N’écarte pas ton serviteur avec colère : * tu restes mon secours. Ne me laisse pas, ne m’abandonne pas, Dieu, mon salut ! * 10 Mon père et ma mère m’abandonnent ; le Seigneur me reçoit. 11 Enseigne-moi ton chemin, Seigneur, * conduis-moi par des routes sûres, malgré ceux qui me guettent. 12 Ne me livre pas à la merci de l’adversaire : * contre moi se sont levés de faux témoins qui soufflent la violence. 13 Mais j’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur sur la terre des vivants. * 14 « Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ; espère le Seigneur. »
04 Le salaire dont vous avez frustré les ouvriers qui ont moissonné vos champs, le voici qui crie, et les clameurs des moissonneurs sont parvenues aux oreilles du Seigneur de l’univers. 05 Vous avez mené sur terre une vie de luxe et de délices, et vous vous êtes rassasiés au jour du massacre. 06 Vous avez condamné le juste et vous l’avez tué, sans qu’il vous oppose de résistance.
Pas besoin d’être chrétien pour user de ses dons et partager ses richesses avec tout un chacun.
Même sans connaitre les exigences chrétiennes en matière de partage des biens, même sans avoir perçu l‘invitation de Jésus à aimer jusqu’à donner sa vie pour l’autre, des hommes et des femmes athées ou musulmanes, ou d’autres confessions religieuses, sont extrêmement généreux. L’histoire d’Abdul Sattar Edhi et son épouse Bilquis Edhi me réconfortent. Le Pakistan, en effet, est un pays marqué par de grandes discriminations or le Royaume de Mr Edhi est un havre de paix.
« Les femmes répudiées par leur mari ou leur famille, trouvent un refuge provisoire dans les centres Edhi. Les enfants abandonnés sont recueillis dans les orphelinats Edhi, qui s’occupent ensuite de les faire adopter. … Mr. Edhi pratique une philanthropie laïque qui lui permet de traiter directement les problèmes sociaux hors de toute contingence religieuse. “
« Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Lc 19, 1-10)
Pas de discriminations ! Jésus veut que tous nous soyons sauvés. Pour nous, citoyens de pays d’origine chrétienne, nous avons des droits égaux. Ceci est lié, non à la révolution française qui a fait beaucoup de dégâts, mais à l’évangélisation de nos contrées par des moines et des saints.
En effet, la rencontre avec Jésus change des vies car elle est une affaire de COEUR.
Grâce à la foi, des voleurs se mettent à réparer le mal qu’ils ont fait et à partager. C’est l’histoire de Zachée racontée par l’apôtre et évangéliste Luc.
01 Entré dans la ville de Jéricho, Jésus la traversait. 02 Or, il y avait un homme du nom de Zachée ; il était le chef des collecteurs d’impôts, et c’était quelqu’un de riche.
Zachée, collecteur d’impôts au service des Romains, était très riche parce qu’il profitait de sa position pour voler ses concitoyens juifs. Heureusement pour lui et pour la population de Jéricho, Zachée va rencontrer Jésus.
08 Zachée, debout, s’adressa au Seigneur : « Voici, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. » 09 Alors Jésus dit à son sujet : « Aujourd’hui, le salut est arrivé pour cette maison, car lui aussi est un fils d’Abraham. 10 En effet, le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
Commentaires : « Cette rencontre avec Jésus se termine par la belle déclaration de Zachée, qui affirme vouloir changer de vie et réparer le mal qu’il a pu faire. Toute véritable rencontre avec Jésus, c’est-à-dire une rencontre qui se situe dans le fond du cœur, doit déboucher sur un changement. Après avoir rencontré Jésus, la vie ne peut pas rester la même, que ce soit lors d’une grande conversion comme celle de Zachée, ou lors de nos rencontres quotidiennes avec Jésus, qui nous poussent à purifier chaque jour notre cœur de l’égoïsme et de l’orgueil, à grandir un petit peu plus dans l’amour, jour après jour. »
Tout ce qui est humain peut s’écrouler. Ce qui est certain, c’est que le Royaume de Dieu inauguré par Jésus-Christ n’a pas de fin car il n’est pas de ce monde.
« La venue du règne de Dieu n’est pas observable. 21 On ne dira pas : “Voilà, il est ici !” ou bien : “Il est là !” En effet, voici que le règne de Dieu est au milieu de vous. »
« Mettons notre espoir dans le Seigneur et non en nous-mêmes et dans les créatures matérielles ou spirituelles. Nous pourrions prier et répéter : Seigneur, notre espoir soit en toi comme ton amour est sur nous. Le Royaume de Dieu est tout proche : c’est le Christ qui est à notre porte et qui appelle. » (Père Pineault)
Tout donné à Dieu, Joseph Cardijn a travaillé à la construction du Royaume de Dieu.
Il a mis toutes ses richesses intellectuelles, morales … , au service des jeunes travailleurs en créant la J.O.C. dont l’influence demeure.
« Le jeune travailleur, la jeune travailleuse vaut plus que tout l’or du monde, car il/elle est fils/fille de Dieu.
Discrétion oblige.
01 « Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. 02 Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense. 03 Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite, 04 afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
19 « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et les vers les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler. 20 Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où il n’y a pas de mites ni de vers qui dévorent, pas de voleurs qui percent les murs pour voler. … 24 Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent.
Lorsque les prestations SNAP ont été réduites dans tout le pays le 1er novembre 2025, AJ Owen a décidé qu’il ne pouvait pas rester les bras croisés en regardant des familles souffrir.
Chez lui, à Pittsburgh, lui et ses deux fils ont dépensé environ 138 € lors de leur habituel « Steelers Sunday » pour remplir un petit garde-manger installé dans leur jardin de snacks et d’aliments non périssables à destination de toute personne dans le besoin.
Son objectif était simple : nourrir ses voisins et inspirer d’autres à faire de même.
La vidéo qu’il a partagée en ligne est devenue virale, touchant des milliers de personnes. Quelques jours plus tard, AJ a découvert une enveloppe dans le garde-manger contenant plusieurs milliers d’euros et un mot disant : « Que Dieu prospère et bénisse votre garde-manger. »
Ce don anonyme l’a profondément bouleversé. Très vite, des contributions provenant de tout le pays ont afflué. Ce qui avait commencé comme un geste de gentillesse d’une seule famille a désormais aidé plus de 100 familles locales, avec des tables et des bacs remplis quotidiennement.
Pour AJ, aider les autres revient simplement à accueillir quelqu’un à sa table, et son histoire montre comment un petit geste peut déclencher un mouvement d’espoir.
Source : Good Morning America / Interview d’AJ Owen.
…………………………………………………………………………………………………….
Dans un acte extraordinaire de générosité, Ruth Gottesman, 93 ans, a fait don d’environ 920 millions d’euros à l’Albert Einstein College of Medicine, dans le Bronx, garantissant une éducation gratuite à vie pour tous les étudiants.
Ce don monumental supprime les barrières financières et permet aux futures générations d’accéder aux études de médecine sans le poids des frais de scolarité.
À une époque où l’augmentation des coûts empêche d’innombrables étudiants de poursuivre leurs rêves, le don de Gottesman assure que ce sont l’ambition, le talent et la détermination — et non l’argent — qui détermineront qui réussit.
Les étudiants de tous horizons ont désormais la possibilité de s’épanouir dans l’une des communautés les plus défavorisées de New York. Cet acte transformateur montre l’impact profond qu’une seule personne peut avoir.
Grâce à sa vision et sa générosité, Ruth Gottesman a durablement remodelé le paysage éducatif, laissant un héritage d’accès, d’équité et d’opportunité pour les générations futures.
Source : Annonce de l’Albert Einstein College of Medicine.
……………………………………………………………………………………..………………..
Lorsque Josh White, propriétaire de Heretic Coffee Co. à Portland, a appris que de nombreuses familles risquaient de perdre leurs prestations SNAP le 1er novembre 2025, il ne pouvait pas imaginer des parents incapables de nourrir leurs enfants.
Alors il a fait une promesse audacieuse : toute personne perdant son aide pourrait venir chercher un burrito petit-déjeuner et un café gratuitement, sans aucune question.
Des critiques l’ont averti que cela pourrait détruire son entreprise, mais Josh a déclaré à ABC News qu’il était prêt à tout perdre si cela signifiait que des enfants ne souffriraient pas de la faim.
Ce qui s’est produit ensuite a été extraordinaire. Des personnes de tout Portland — puis du monde entier — ont commencé à faire des dons pour soutenir sa mission.
En très peu de temps, plus de 300 000 $ ont été récoltés, permettant à Heretic Coffee de servir des milliers de repas gratuits.
Josh ne cherchait pas à devenir un héros ; il refusait simplement d’ignorer ceux qui avaient besoin d’aide. Mais son acte de compassion a inspiré plus de 11 000 personnes à le rejoindre, prouvant que la générosité se propage lorsqu’une seule personne choisit d’agir avec son cœur.
Source : ABC News / Interviews Heretic Coffee
……………………………………………………………………………………..
NB: Fernand Platbrood aurait pu devenir riche mais il n’a jamais travaillé pour l’argent. Ses inventions, (dont la création d’une machine à fabriquer des briques) servent à améliorer la qualité de vie des pauvres, Africains notamment.
Méditations chrétiennes.
14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. 15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. 16 De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux.
Petite expérience personnelle de rencontre avec un sans domicile fixe. (SDF)
C’est dans un centre d’accueil pour migrants que j’ai rencontré Achim (nom d’emprunt). Il devient un ami. Après quelques années angoissantes, il est régularisé (= il a des papiers lui permettant de rester vivre en Belgique). Il trouve un appartement en ville et tout semble bien aller pour lui.
Un jour, il frappe à notre porte. Il a une tente et espère loger dans notre jardin car il est désormais sans domicile et il en a assez de dormir dans la rue. Je lui explique qu’il est préférable d’aller quelque temps dans un centre d’accueil car là, l’assistant social veillera à le remettre sur les rails. En effet, il n’a plus accès aux services sociaux, il est perdu. En attendant qu’il soit accepté dans un lieu d’hébergement, nous l’accueillons chez nous. Le jour J, je le conduis dans ce centre et puis je continue ma route. Quelques heures plus tard, il me téléphone : « Je suis à la gare. » Il a quitté son lieu d’hébergement ! Je lui réponds que je suis partie, que je ne peux pas l’aider.
Les années passent, il ne répond plus au téléphone. Je l’ai à nouveau perdu de vue. Soudain, il réapparait. Il m’explique son parcours. « Tout le monde me disait que je devais aller à l’hopital psychiatrique. » Un jour, il s’y est rendu librement, à l’invitation des éducateurs de rue. « Ils m’ont dit que si j’étais si mal, c’était dù au stress. » Depuis lors Achim se sent à nouveau bien et il a retrouvé un logement.
Je comprends qu’on ne peut pas décider à la place de quelqu’un de ce qu’il y a de mieux pour lui. On peut donner son avis, sans instster. Chacun doit rester libre de sa vie. En son temps, toute personne est bien capable de choisir la vie car Jésus est proche de chacun. Je réalise aussi qu’il faut savoir dire non à certaines demandes des personnes en détresse.
Un excellent livre de chevet pour les personnes qui aident les sans-abris.
« Nous n’avons pas besoin d’un État qui régente et domine tout, mais au contraire d’un État qui reconnaisse généreusement et qui soutienne, dans la ligne du principe de subsidiarité, les initiatives qui naissent des différentes forces sociales et qui associent spontanéité et proximité avec les hommes ayant besoin d’aide. L’Église est une de ces forces vives : en elle vit la dynamique de l’amour suscité par l’Esprit du Christ. Cet amour n’offre pas uniquement aux hommes une aide matérielle, mais également réconfort et soin de l’âme, aide souvent plus nécessaire que le soutien matériel9. »
Dieu est amour : qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.
18 Il n’y a pas de crainte dans l’amour, l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte implique un châtiment, et celui qui reste dans la crainte n’a pas atteint la perfection de l’amour. 19 Quant à nous, nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimés le premier. 20 Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu », alors qu’il a de la haine contre son frère, c’est un menteur. En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas. 21 Et voici le commandement que nous tenons de lui : celui qui aime Dieu, qu’il aime aussi son frère.
Le fait le plus célèbre de la vie de Martin a lieu à Amiens, en France, en l’an 337. Engagé dans l’armée romaine, il rencontre un pauvre transi de froid. « Mon ami, dit-il, je n’ai que mes armes et mes vêtements. » Il coupe alors son manteau avec son épée en deux parts et il en donne une au mendiant. La nuit suivante, Martin voit Jésus-Christ en songe, vêtu de cette moitié de manteau. Et Jésus dit aux anges : « C’est Martin, encore simple catéchumène, qui m’a ainsi couvert. »
Saint Martin de Tours m’inspire en matière de logement.
Martin a fait don de la moitié de son manteau. Or le manteau, c’est tout ce que certains pauvres possèdent pour se protéger. Le manteau, c’est leur seul confort, c’est comme la maison du miséreux.
Aujourd’hui, beaucoup de personnes ont des problèmes de logement. Les unes logent dans leur voiture, dans des caves, d’autres en centres d’accueil, d’autres encore dans la rue, entre des cartons, sous des bâches. Pendant ce temps, des maisons très grandes sont habitées par peu de personnes, voire une seule. Quand elles meurent, ce sont des personnes parfois nanties qui héritent de leur maison : membres de la famille même éloignés ou amis qui n’ont pas besoin d’argent. Ça me désole ! Des legs, des donations pourraient faire tant d’heureux et rendre le monde meilleur.
Partager son logement.
A l’heure où les riches deviennent de plus en plus riches, forcément, les pauvres deviennent de plus en plus pauvres. Aussi, nous sommes à un carrefour de la civilisation. Allons-nous prendre le bon chemin ?
Décidons-nous : si l’on possède une grande maison, soit on vit en colocation, soit on la partage en plusieurs parties. Des familles le font déjà : ils réservent une chambre de leur maison pour des personnes en détresse. Nous le faisons nous-mêmes, parfois de façon peu raisonnable, il est vrai. Le testament chez le notaire précise qu’à notre mort, une partie de notre grande maison continuera à servir à l’accueil.
Nul n’est à l’abri d’un mauvais coup de la vie.
Une inondation, une tempête, un incendie, … peut détruire une maison ; un divorce peut détruire une famille quand la maison est revendue ou revient à un seul des conjoints. Du jour au lendemain, des personnes se retrouvent en grande détresse. Peut-être parmi nos descendants, l’un ou l’autre sera sans domicile. Grâce au testament, nous pouvons préparer un éventuel retour dans (une partie) de la maison familiale !
Accueillir, en collaboration avec une association.
Parce qu’il faut pouvoir mettre un terme à un accueil qui se passe mal, il est bon de rester en lien avec une association.
En lien avec Caritas, il y a moyen d’aider des familles à vivre dans la dignité. L’association « L’ilot » permet à des mamans de ne plus être séparées de leurs enfants quand elles n’ont pas de domicile fixe. L’association Saint Vincent de Paul secourt toute forme de pauvreté. En lien avec le JRS, il y a aussi moyen de venir en aide aux migrants*. Le « Souffle de Vie » permet à de futures mamans de vivre sereinement leur grossesse en étant accueillies dans une famille. Et j’en passe.
*Des demandeurs d’asile pacifiques auquel l’Etat refuse des papiers contre le bon sens, vivent dans des endroits où ils sont exploités, déshumaniser. S’ils restent dans ces lieux où ils sont méprisés, c’est juste pour survivre, ils n’ont pas d’autre choix. Qu’ils aient un petit cocon bien à eux, une chambre bien à eux, quoi de plus humain !
L’Evangile illumine notre esprit. La Parole de Dieu est source de vie. Demandons à l’Esprit de sagesse de nous éclairer.
10 Les foules lui demandaient : « Que devons-nous donc faire ? »
11 Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu’il partage avec celui qui n’en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu’il fasse de même ! »
Boris Cyrulnik invite à réfléchir à la valeur de toute personne.
« Personne n’est autosuffisant. » » Ne traite jamais les autres comme s’ils étaient moins que toi. »
Une très grande pauvreté aujourd’hui est la solitude. Marchons à contre-courant.
Mgr Dupuis encourage les chrétiens à devenir des lanceurs d’alerte.
Inventons de nouvelles façons de vivre, partageons nos lieux de vie. Pensons aux autres !!
Il y a des sociétés où l’on n’a pas d’autre choix que de vivre ensemble. Pourquoi nous, les nantis, vivrait-on, chacun dans sa maison, sans place pour l’autre ? Et dans une grande solitude! Alors que l’humain n’est pas fait pour vivre seul mais en communion avec d’autres.
pinterest.com
Dans nos vastes terrains, pourquoi pas installer, par exemple, une maison-container ?
C’est moins cher qu’une vraie maison. Il y a de très grands containers. J’ai vu des enfants dans une école-container pendant le temps de la restauration de leur école.
En vendant l’un de vos biens, vous pouvez offrir à une association l’argent nécessaire pour construire plusieurs maisons, ou un hôpital, ou une école, …
« Notre richesse matérielle doit nous servir non seulement pour nos besoins mais aussi aux besoins de ceux qui nous entourent. Lorsque Dieu permet à un homme de s’enrichir, pour ne pas s’y attacher, il doit apprendre à donner. En effet, l’apôtre Paul nous fait ce rappel en disant : “En toutes choses, je vous ai montré qu’en se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.” (Actes 20, 35) »
Ces idées innovantes, je les remets entre les mains de Dieu.
01 Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ; * si le Seigneur ne garde la ville, c’est en vain que veillent les gardes. 02 En vain tu devances le jour, tu retardes le moment de ton repos, + tu manges un pain de douleur : * Dieu comble son bien-aimé quand il dort.
01 Dans son cœur, l’homme propose ; par sa parole, Dieu dispose. 02 Chacun trouve sa conduite pure, mais le Seigneur pèse les esprits. 03 Remets ton action au Seigneur, et tes projets réussiront.
35 À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » https://www.aelf.org/bible/Jn/13
Saint Martin fut un des plus grands évangélisateurs universellement connus. C’est par amour qu’il s’est penché vers le pauvre, non pas pour l’évangéliser. Ensuite, bien-sûr, encore par amour, il a cherché à faire connaitre et AIMER JESUS. De même pour sœur Emmanuelle et Père Pedro, les moines de Tibhirine, Charles de Foucauld, Père Damien de Molokaï et tant d’autres. L’évangélisation suit l’acte de charité quand c’est possible, car dans les pays communistes et musulmans, parler de l’amour de Dieu à travers le message évangélique est interdit.
34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. 35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; 36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !” 37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? 38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? 39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?” (voir suite: )
Elle est le rayonnement de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l’activité de Dieu, l’image de sa bonté. Comme elle est unique, elle peut tout ; et sans sortir d’elle-même, elle renouvelle l’univers. D’âge en âge, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu. Car Dieu n’aime que celui qui vit avec la Sagesse. Elle est plus belle que le soleil, elle surpasse toutes les constellations ; si on la compare à la lumière du jour, on la trouve bien supérieure, car le jour s’efface devant la nuit, mais contre la Sagesse le mal ne peut rien. Elle déploie sa vigueur d’un bout du monde à l’autre, elle gouverne l’univers avec bonté.
Il était un officier nazi qui a vu ses propres soldats massacrer des enfants. Il les a dénoncés. Sa récompense ? L’exécution par un peloton d’exécution. L’Allemagne a mis 67 ans à reconnaître qu’il était un héros.
Michael Kitzelmann avait vingt-quatre ans lorsqu’il a rejoint la Wehrmacht en 1939. Ce n’était pas un nazi fanatique — c’était un catholique bavarois très croyant, persuadé qu’il défendait son pays. Il gravit rapidement les échelons, reçut des médailles de bravoure, était respecté de ses hommes. Il était exactement le type de jeune officier que le Troisième Reich voulait : discipliné, loyal, efficace.
Puis il fut envoyé sur le front de l’Est en 1941. Et tout ce qu’il croyait s’effondra.
L’opération Barbarossa — l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie — n’était pas seulement une campagne militaire. C’était un génocide planifié. Derrière l’avancée de la Wehrmacht venaient les Einsatzgruppen, unités de la SS dont les ordres explicites étaient d’exterminer les Juifs, les Roms, les communistes et toute personne jugée « indésirable » par le régime nazi.
Ce que Michael a vu durant ces premiers mois n’était pas la guerre. C’était du meurtre industriel.
Il vit des villages entiers être rassemblés. Hommes, femmes, enfants — alignés au bord de fosses communes et abattus. Il vit des nourrissons tués dans les bras de leurs mères. Il vit des personnes âgées traînées hors de chez elles et exécutées dans la rue. Il vit les Einsatzgruppen agir avec une efficacité bureaucratique glaçante, consignant les massacres dans des registres impeccables :
« Village de Krupki : 847 Juifs liquidés.
Village de Minsk : 1 200 exécutés. »
Et il vit ses camarades — des soldats allemands ordinaires — participer ou détourner le regard.
Michael Kitzelmann ne pouvait faire ni l’un ni l’autre.
Catholique, il avait été élevé dans l’idée de la valeur sacrée de la vie humaine. Il avait rejoint l’armée pour défendre l’Allemagne. Mais ce n’était pas de la défense. Ce n’était même pas du combat. C’était du massacre, et cela violait tout ce que sa conscience et sa foi avaient de plus sacré.
Alors il fit quelque chose que presque personne d’autre dans la Wehrmacht n’osa faire : il parla.
Dans des lettres envoyées à ses proches, Michael décrivit ce qu’il voyait. Sans euphémisme. Sans adoucissement. Il parla de massacres de masse, d’enfants assassinés, de la destruction systématique de communautés entières. Il écrivit :
« Nous ne combattons pas des soldats. Nous tuons des personnes sans défense. Ce n’est pas la guerre — c’est un crime. »
Il alla encore plus loin.
Il dénonça les atrocités à ses supérieurs, exigeant que quelqu’un arrête les Einsatzgruppen. Il critiqua ouvertement les politiques nazies devant ses camarades, appelant les massacres par leur nom : le mal.
Dans l’Allemagne nazie, c’était une condamnation à mort.
Un de ses camarades — dont l’histoire a heureusement oublié le nom — le dénonça à la Gestapo. L’accusation : Wehrkraftzersetzung — « démoralisation de l’armée ». En réalité, cela signifiait : avoir critiqué le régime ou remis en question ses ordres.
En avril 1942, Michael Kitzelmann fut arrêté.
Il n’y eut pas de véritable procès. La procédure n’était qu’une formalité, le verdict était déjà décidé. Les tribunaux militaires nazis ne cherchaient pas la justice — seulement à faire taire toute dissidence et à donner l’exemple.
Michael avait vingt-sept ans. Une jeune épouse l’attendait à la maison. Il avait toute la vie devant lui. Et il savait exactement ce qui l’attendait.
Le 11 juin 1942, Michael Kitzelmann fut exécuté par peloton d’exécution.
Pas pour lâcheté.
Pas pour désertion.
Pas pour trahison envers l’Allemagne.
Pour avoir refusé de se taire pendant que des enfants étaient assassinés.
Ce qui rend son histoire encore plus tragique : presque personne n’a fait ce qu’il a fait.
Sur environ 18 millions d’hommes ayant servi dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale, moins de 30 000 furent exécutés pour résistance ou dissidence — et seulement une infime fraction pour avoir protesté contre des crimes de guerre.
La grande majorité des soldats allemands ont vu les mêmes horreurs que Michael — et n’ont rien dit. Ils ont obéi. Ils ont détourné les yeux. Ils se sont convaincus qu’ils n’avaient pas le choix.
Michael Kitzelmann prouve que « suivre les ordres » était un choix. Et que refuser de les suivre en était un aussi — un choix que presque personne n’a fait.
Après la guerre, l’histoire de Michael fut oubliée. Sa famille ne reçut aucune reconnaissance. Son nom ne figura sur aucun mémorial. Les archives militaires allemandes le décrivirent simplement comme exécuté pour « démoralisation », comme s’il avait été un fauteur de troubles plutôt qu’un témoin du génocide qui refusa d’être complice.
Pendant soixante-sept ans, Michael Kitzelmann resta officiellement déshonoré — un traître aux yeux de l’histoire militaire.
Puis, en 2009, quelque chose d’extraordinaire se produisit.
Le gouvernement allemand réhabilita officiellement Michael Kitzelmann. Il reconnut que son exécution avait été un meurtre judiciaire, que son « crime » avait été du courage moral, et qu’il méritait d’être honoré comme quelqu’un qui s’était opposé au mal alors que presque tout le monde autour de lui participait ou regardait ailleurs.
Cette réhabilitation arriva soixante-sept ans trop tard pour Michael. Il était mort depuis près de sept décennies. Son épouse était morte sans voir son nom réhabilité. Sa famille avait porté la honte de sa « trahison » pendant des générations.
Mais cette réhabilitation n’était pas pour Michael. Elle était pour l’Histoire.
C’était l’Allemagne admettant enfin ce qui aurait dû être évident dès le début : les soldats qui ont résisté étaient les héros. Ceux qui ont obéi étaient complices du génocide.
L’histoire de Michael Kitzelmann nous force à affronter une vérité dérangeante : les gens ordinaires, placés dans des circonstances extraordinaires, choisissent presque toujours le silence. Ils se persuadent qu’ils sont impuissants. Ils se disent que parler ne changera rien. Ils se protègent en fermant les yeux.
Michael aurait pu faire pareil. Il aurait pu se taire, obéir, survivre à la guerre et rentrer chez lui. Il aurait pu vivre une longue vie, mourir paisiblement entouré de petits-enfants.
À la place, il a choisi de parler. Et cela lui a tout coûté.
Il n’y a pas de fin heureuse ici. Pas de sauvetage in extremis. Pas de réhabilitation de son vivant. Juste un jeune homme faisant face à un peloton d’exécution parce qu’il a refusé de se taire tandis que des enfants étaient massacrés.
Mais voici ce que son histoire prouve : même dans les heures les plus sombres de l’Histoire, quand les régimes totalitaires écrasent les voix individuelles, quand parler signifie mourir, la résistance reste possible.
Michael Kitzelmann n’a pas arrêté la Shoah. Il n’a sauvé personne. Sa protestation n’a rien changé sur le moment.
Mais il a prouvé que la conscience morale ne disparaît pas simplement parce que le mal devient la norme. Il a prouvé que même dans l’engrenage du génocide, un être humain peut encore choisir autrement.
Il était un officier nazi qui a dénoncé ses propres troupes pour leurs crimes. Ils l’ont tué pour cela.
Et il a fallu 67 ans pour que son pays admette qu’il avait raison. (paru sur facebook)
Aujourd’hui, au NIGERIA!
PRIONS L’ESPRIT SAINT pour chacun de nous qui faisons face à des situations délirantes afin que nous prenions nos responsabilités en tant qu’humains, en tant que chrétiens.
Égypte: Mustafa* et son épouse ont quitté l’islam pour embrasser le christianisme. Leur famille, issue d’un milieu très conservateur, a vivement désapprouvé cette décision. Après avoir tenté en vain de les ramener à l’islam, leurs proches ont exercé de fortes pressions, puis, en collaboration avec la police, ont fait emprisonner Mustafa en s’appuyant sur de fausses accusations. Un an plus tard, la terrible nouvelle tombe: il est mort en prison. Les années ont passé.
Grâce à la fidélité de Dieu, un contact de l’AÉM a appris par un ancien codétenu que Mustafa était encore en vie. Il s’est avéré qu’il avait été délibérément placé dans une prison spéciale de haute sécurité. Ainsi, personne ne pouvait l’aider. Il ne recevait pas les médicaments dont il avait urgemment besoin et sa famille ne lui apportait pas de nourriture supplémentaire, comme c’est habituellement le cas dans les prisons égyptiennes en raison des rations insuffisantes. Lorsque notre contact local a rendu visite à Mustafa, il a trouvé un homme amaigri et malade.
Notre contact rend visite à Mustafa aussi souvent que possible, s’exposant ainsi à un grand danger. Comme Mustafa a été déclaré mort et n’existe plus sur le papier, seul un miracle de Dieu pourrait le faire libérer.
Le plus grand encouragement pour Mustafa est de savoir que, même après toutes ces années, il n’est pas oublié. Au début, il aurait probablement pu sortir simplement en reniant Jésus, mais, durant sa captivité, il a parlé de Jésus à d’autres et les a amenés à la foi.
Nous avons besoin en moyenne de 250.– francs/euros pour libérer un chrétien injustement emprisonné. Même si les chances sont très minces pour Mustafa, il existe de nombreux autres cas où une aide juridique est possible. Merci beaucoup de votre aide!
*Prénom modifié par la rédaction, image symbolique
Nigéria. Donald Trump dit vouloir libérer les chrétiens de la persécution islamiste.
A la réunion de prière de cette semaine, nous avons prié à cette intention: pour les chrétiens, pour Mr Trump, ..selon ce que l’Esprit Saint nous suggérait.
Depuis la fin mars, au moins 70 chrétiens ont perdu la vie, des villages entiers ont été réduits en cendres, et plus de 3.000 personnes sont désormais déplacées.
Une escalade de violence meurtrière. Ces violences s’ajoutent à une série d’attaques récentes. À Bokkos, ce sont des rassemblements chrétiens, des femmes en réunion de prière, des cultivateurs et des enfants qui ont été visés.
Témoignage : Vers l’âge de 30 ans, quand j’ai quitté les sectes (M.T, occultisme, Nouvel-Âge, Rose-Croix), j’ai eu besoin de trouver quelque d’autre de fort, où il y a du merveilleux. Car, dans les sectes, il y a du merveilleux et j’avais besoin de ça pour vivre. A la messe, j’entendis parler du Renouveau Charismatique à Paray-le Monial et j’ai dit à mon mari : « On irait bien ! » Il accepta d’office, car il savait mon intention de partir avec la MT en Amérique. J’étais bien capable de le faire malgré son désaccord.
Nous sommes partis à Paray dès le lendemain pour ne pas rater la session qui débutait. Mon mari me dit : « il y a un pneu à la voiture qui se dégonfle sans arrêt, nous devrons nous arrêter souvent en route. » « Tant pis, on part ! » Figurez-vous que le pneu ne s’est jamais dégonflé durant tout le temps où nous sommes partis : ni pendant l’aller, ni durant le séjour à Paray, ni lors du retour. Une fois rentrés chez nous, le pneu s’est à nouveau dégonflé ! Voilà, j’avais vu le Seigneur à l’œuvre et ce n’est pas tout. Durant la session, nous avons entendu de magnifiques témoignages de conversion, chaque fois accompagnés de signes de l’amour de Dieu, de guérisons, physiques, intérieures ! La louange fait maintenant partie de notre prière quotidienne. Depuis cette session, nous sommes membres de la Communauté de l’Emmanuel. (Marie)
Témoignage du Père Ramzi, Libanais
Nous avons des choix à faire pour résister à l’esprit du monde et recevoir l’Esprit Saint en abondance: JOIE, AMOUR, PAIX!
Carlo Acutis, adolescent canonisé en 2025, nous est donné comme modèle de sainteté.
… pas pour le copier mais pour écouter ce qu’il a de beau à nous dire. Sa vie toute de lumière, d’amour, touche des personnes de toute confession, des athées.
Carlo avait trouvé bon de faire une exposition des miracles liés à la présence réelle de Jésus dans l’Hostie. C’est très important dans la vie d’un chrétien de découvrir ce grand mystère.
Et moi, en quoi suis-je concerné-e par ces miracles?
Personnellement, maintenant, quand je reçois l’HOSTIE, je pense très fort que c’est le CŒUR de JESUS que je reçois. Si Sainte Marguerite-Marie a vécu de belles choses mystiques avec Jésus, nous aussi, nous pouvons vivre de belles choses avec Jésus. Il nous revient de mettre du cœur quand nous allons à la messe. Penser à méditer les paroles que l’on y entend, les mâcher lentement comme on mâche du pain et recevoir le Corps de Jésus avec adoration.
De jeunes chrétiens souhaitent plus de dévotion dans les offices, à travers des gestes qui parlent.
De quoi nos jeunes souffrent-ils le plus dans l’Eglise ? Le frère Paul-Adrien a mené l’enquête, avec tout le sérieux d’un Jésuite.
Quand internet concourt à l’évangélisation.
De simples témoignages contribuent à éveiller la foi chrétienne et à la nourrir. Chacun a des responsabilités pour partager la bonne nouvelle. Pensons à faire circuler les bonnes informations et l’espérance en un monde meilleur grandira.
Et ce n’est pas tout. Internet permet la formation chrétienne.
L’Eglise est notre mère. Vraiment, il n’est pas bon de la critiquer sans cesse.
Faire des reproches à ceux qui y travaillent (prêtres, diacres, organistes, sacristains, …) ne la rend pas plus belle. Que du contraire !
Un conseil : Quand nous sommes déçus de notre paroisse, évitons d’entrer dans le conflit et de l’emmener dans nos familles.
Raler attire les serpents
14 Voilà ce que tu dois rappeler, en déclarant solennellement devant Dieu qu’il faut bannir les querelles de mots : elles ne servent à rien, sinon à perturber ceux qui les écoutent.
14 Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, 15 les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, 16 et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais. 17 Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. 18 En toute circonstance, que l’Esprit vous donne de prier et de supplier : restez éveillés, soyez assidus à la supplication pour tous les fidèles.
La vérité CHOQUANTE sur les dangers spirituels de cette fête d’Halloween.
Découvrez le témoignage CHOQUANT d’un ancien sataniste devenu pasteur, qui met en garde contre les dangers spirituels d’Halloween. Dans cette vidéo, il révèle comment il a vendu son âme au diable, marié une sorcière lors d’une cérémonie démoniaque et baptisé sa fille dans les ténèbres. Mais sa rencontre avec Jésus-Christ a tout changé. Aujourd’hui, il expose les sombres secrets de cette fête et explique pourquoi les chrétiens doivent absolument l’éviter pour protéger leur famille en ces temps prophétiques. Un message fort à ne pas manquer !
Je mets devant toi la vie ou la mort, la bénédiction ou la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance.
« Ma passion, c’est les saints. Ça me donne plus d’amour. »
Au choix : bénédictions ou malédictions.
06 Le Seigneur ton Dieu te circoncira le cœur, à toi et à ta descendance, pour que tu aimes le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme, afin de vivre ;
07 et le Seigneur ton Dieu fera tomber toutes les malédictions sur tes ennemis et sur ceux qui te haïssent et te persécutent.
08 Quant à toi, tu reviendras et tu écouteras la voix du Seigneur, tu mettras en pratique tous ses commandements que je te donne aujourd’hui.
09 Le Seigneur te comblera de bonheur en toutes tes œuvres : il fera fructifier ta famille, ton bétail et ton sol ; oui, de nouveau le Seigneur prendra plaisir à ton bonheur, comme il prenait plaisir au bonheur de tes pères,
10 pourvu que tu écoutes la voix du Seigneur ton Dieu, en observant ses commandements et ses décrets inscrits dans ce livre de la Loi, et que tu reviennes au Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme.
11 Car cette loi que je te prescris aujourd’hui n’est pas au-dessus de tes forces ni hors de ton atteinte.
12 Elle n’est pas dans les cieux, pour que tu dises : « Qui montera aux cieux nous la chercher ? Qui nous la fera entendre, afin que nous la mettions en pratique ? »
13 Elle n’est pas au-delà des mers, pour que tu dises : « Qui se rendra au-delà des mers nous la chercher ? Qui nous la fera entendre, afin que nous la mettions en pratique ? »
14 Elle est tout près de toi, cette Parole, elle est dans ta bouche et dans ton cœur, afin que tu la mettes en pratique.
15 Vois ! Je mets aujourd’hui devant toi ou bien la vie et le bonheur, ou bien la mort et le malheur.
16 Ce que je te commande aujourd’hui, c’est d’aimer le Seigneur ton Dieu, de marcher dans ses chemins, de garder ses commandements, ses décrets et ses ordonnances. Alors, tu vivras et te multiplieras ; le Seigneur ton Dieu te bénira dans le pays dont tu vas prendre possession.
17 Mais si tu détournes ton cœur, si tu n’obéis pas, si tu te laisses entraîner à te prosterner devant d’autres dieux et à les servir,
18 je vous le déclare aujourd’hui : certainement vous périrez, vous ne vivrez pas de longs jours sur la terre dont vous allez prendre possession quand vous aurez passé le Jourdain.
20 en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui ; c’est là que se trouve ta vie, une longue vie sur la terre que le Seigneur a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob.