« Je suis l’Immaculée Conception »

A Lourdes, à la demande de Bernadette Soubirous, Marie a donné son nom : « Je suis l’Immaculée Conception ». Ce mot – que Bernadette ne comprenait pas – signifie que Marie a été préservée du péché dès sa conception. C’est unique dans l’histoire du salut.

Dieu a ainsi préparé Marie à recevoir  Jésus, le Messie annoncé par les prophètes, l’Agneau sans tache, lui aussi immaculé.

Marie savait ce qu’il adviendrait de son enfant. Elevée au temple, elle connaissait les prophéties bibliques. Isaïe* avait décrit les souffrances du Messie qui,  tel un agneau, se laisserait conduire à l’abattoir. En fait, c’est nos souffrances qu’il porterait.  Marie accepta néanmoins d’être la mère de ce Sauveur.  Quel courage ! Quelle femme !!

* 03 Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, il était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous l’avons méprisé, compté pour rien.
04 En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié.07
 Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n’ouvre pas la bouche.
08 Arrêté, puis jugé, il a été supprimé. 

https://www.aelf.org/bible/Is/53

L’Archange Gabriel rassura Marie. C’est l’Esprit Saint qui agirait à travers elle.  

35 …  « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu.

Demandons, nous aussi,  à être remplis de l’Esprit Saint afin de faire la volonté de Dieu !

A la messe de ce 8 décembre, nous avons entendu le récit de l’annonciation pour la nième fois.

Une parole biblique, lue et relue, donne toujours du neuf à notre méditation. La parole ressemble à un joyau aux mille facettes dont on ne voit jamais qu’une petite partie.

12 Elle est vivante, la parole de Dieu, énergique et plus coupante qu’une épée à deux tranchants ; elle va jusqu’au point de partage de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles ; elle juge des intentions et des pensées du cœur.

https://www.aelf.org/bible/He/4

Cette fois,  le prêtre nous invita à méditer sur notre appel personnel. Il insista même beaucoup. Il a raison. Dieu n’agit pas sans notre collaboration. Il agit envers nous comme un mendiant. Il  a eu besoin du OUI de Marie pour que naisse son Fils Jésus. De même il a besoin de chacun de nous pour réaliser ses plans.  Si chacun acceptait de faire ce que Dieu lui demande, que ce serait beau : Le Royaume de Dieu se construirait rapidement.

Un jour,  j’ai raconté à ce moine l’appel que j’ai reçu de Dieu à travers trois songes. Aujourd’hui, j’ai à cœur de les raconter sur cette page dans l’espoir que le message sera entendu par l’un ou l’autre de mes lecteurs.

Premier songe : On frappe à ma porte. C’est un inconnu. Il demande que je l’accueille chez moi.  J’hésite. En effet, j’ai déjà accueilli et ce n’est pas facile. Je finis pas lui dire d’entrer chez moi. A ce moment, il se retourne et me montre qu’il y a une foule derrière lui. Mon rêve s’arrête là et je me réveille. Je fais ensuite un second songe.

Deuxième songe : Je vois une remorque bien chargée que l’on conduit vers un étang où elle doit être vidée. Dans cette remorque, je reconnais mon lit d’enfance. Je me réveille, il fait jour.

Je ne me rendors plus et je médite. Il y a une foule de personnes qui n’ont pas de maison. Quant à moi, j’ai une maison et des objets dans mon grenier qui pourraient servir à meubler une autre maison. En vidant mon grenier et en partageant ce qui s’y trouve, je fais plaisir à des personnes qui manquent de tout et, de plus,  je libère une place qui pourrait servir à l’accueil.

En fait, ce sont des choses que mon mari et moi faisons déjà, tant bien que mal, avec des erreurs.  Hélas, trop peu de personnes accueillent ! Or les besoins de nos frères et sœurs en humanité sont immenses. C’est là l’appel que Dieu m’adresse et à vous aussi : que nous faisions de la place dans nos maisons et que nous partagions nos biens avec d’autres qui sont dans le besoin.

Après mon rêve, il faisait jour. C’est clair ! Quand on vivra de cette façon, les ténèbres disparaitront. La lumière se lèvera sur le monde quand nous vivrons l’accueil, comme des frères et sœurs qui s’aiment. L’égoïsme freine la construction d’un monde nouveau, du ROYAUME de DIEU.

L’argent, c’est comme le sang. Il faut qu’il circule, sinon, c’est la catastrophe.

Troisième songe : Une dizaine d’années plus tard, j’ai à nouveau fait un songe. Je voyais de grands bassins tous pareils, séparés les uns des autres par des allées rectilignes. On jetait des personnes dans ces bassins, comme pour se débarrasser d’elles. J’hurlais devant cet horrible spectacle! A la fin de mon rêve, on retirait les personnes de ces bassins !

Les gens accueillis le sont en fonction de leurs problèmes : là, les enfants abandonnés, là,  les réfugiés, là,  les femmes battues, là,  les personnes âgées…. Ce n’est pas comme cela qu’on devrait vivre. On devrait constituer de petites communautés familiales où il fait bon vivre les uns avec les autres : les personnes âgées avec les plus jeunes, les migrants, les autochtones, les pauvres, les riches…

Mon rêve, bien concrètement : – que des maisons s’ouvrent à l’accueil.  que des personnes qui le peuvent,  lèguent une partie de leurs biens à une association. Aujourd’hui, le problème de logement vient notamment du fait que de bien des habitations servent de maisons de vacances, ou de airbnb, ou de gites ruraux ou citadins.  Parait aussi que des riches achètent des logements qu’ils ne louent pas pour ne pas avoir de problèmes. Ils attendent que les prix montent pour les revendre. Bref, que ceux qui perçoivent l’appel à la générosité écoutent leur coeur.

Un changement de mentalité est nécessaire ! Une conversion profonde.

-Les moines donnent l’exemple du partage, de l’accueil, comme ils l’ont toujours fait à travers les siècles. L’Abbaye de Scourmont, par exemple, est souvent sollicitée par des personnes en quête de logement. Elle a acheté quelques maisons qu’elle loue à prix raisonnable. Qu’elle en soit bénie par une nouvelle floraison de vocations! Cependant les appels à logement continuent d’arriver ! Pas possible de répondre à toutes les demandes! A chacun de se laisser interpeler.

Ce qui manque à l’un, l’autre l’a.

Ah! Si des personnes pouvaient mettre sur leur testament qu’elles donnent leurs biens à des associations, celles-ci en feraient profiter des personnes pauvres, en toute sagesse.

-Dans un reportage sur la guerre en Ukraine, je découvre des moines et des religieuses qui vivent l’accueil au quotidien, sous les bombes! C’est le frère Paul-Adrien, Dominicain, qui raconte ce qu’il a vu là-bas. Puisse sa congrégation fleurir abondamment!

https://youtube.com/clip/UgkxdXqzag0oukm_UqCn1EJraw5EDcN-0QkD?si=rp6Q6bSrK0GsM4HF

En ce temps qui précède Noël, souvenons-nous de la sainte famille en recherche d’un toit.

40  …  “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.” 

https://www.aelf.org/bible/Mt/25

-Pensons aux mamans à qui on retire les enfants parce qu’elles n’ont pas de toit. Cfr L’ilot à Bruxelles.

-Pensons aux migrants … Justement, je viens d’écouter le message d’une réfugiée demandeuse d’asile, une ado de 16 ans, de l’âge de l’un de mes petits-enfants tellement privilégié.  Pourquoi tant de différences entre les humains! Je vous propose d’ouvrir votre cœur à son appel. Sans jugement: Oui, elle a des boucles d’oreilles!

-Pensons aux personnes âgées qui ont un toit (ou pas) et qui souffrent. A vrai dire, j’ai vraiment mal au cœur pour les personnes veuves et seules. Dans leurs maisons,  elles souffrent de problèmes de santé et de solitude ! De plus elles occupent une maison dans  laquelle il y a une ou des chambres libres d’occupation. Pourquoi pas les encourager à accueillir, du moins à l’essai ? Pour le bonheur de l’un et de l’autre.

« Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir ». 35 En toutes choses, je vous ai montré qu’en se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. »

https://www.aelf.org/bible/Ac/20

C’est par notre prière que Dieu se fraie un accès à notre cœur. Alors, méditons l’Evangile.

09 Comment, jeune, garder pur son chemin ? En observant ta parole.
10 De tout mon cœur, je te cherche ; garde-moi de fuir tes volontés.
11 Dans mon cœur, je conserve tes promesses pour ne pas faillir envers toi.
12 Toi, Seigneur, tu es béni : apprends-moi tes commandements.
13 Je fais repasser sur mes lèvres chaque décision de ta bouche.
14 Je trouve dans la voie de tes exigences plus de joie que dans toutes les richesses.
15 Je veux méditer sur tes préceptes et contempler tes voies.
16 Je trouve en tes commandements mon plaisir, je n’oublie pas ta parole.
17 Sois bon pour ton serviteur, et je vivrai, j’observerai ta parole.
18 Ouvre mes yeux, que je contemple les merveilles de ta loi.
19 Je suis un étranger sur la terre ; ne me cache pas tes volontés.
20 Mon âme a brûlé de désir en tout temps pour tes décisions.

https://www.aelf.org/bible/Ps/118

Marie,  femme forte,  est prophète. Ecoutons son chant de louange !

Nous pouvons nous consacrer à Maman Marie, comme l’enfant qui fait toute confiance à sa maman.

«Je vous choisis, aujourd’hui ô Marie, en présence de toute la cour céleste, 
pour ma Mère et ma Reine.
Je vous livre et consacre, en toute soumission et amour,
mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs,
et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures,
vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi,
et de tout ce qui m’appartient, sans exception,
selon votre bon plaisir, à la plus grande Gloire de Dieu,
dans le temps et l’éternité. Amen

https://hozana.org/priere/marie/consecration

https://www.chantonseneglise.fr/voir-texte/25295

Marie attendait la venue du Messie comme tout son peuple. Aujourd’hui, nous attendons le retour de Jésus. « Maranatha, viens Seigneur Jésus. »

17 L’Esprit et l’Épouse* disent : « Viens ! » Celui qui entend, qu’il dise : « Viens ! » Celui qui a soif, qu’il vienne. Celui qui le désire, qu’il reçoive l’eau de la vie, gratuitement.
20 Et celui qui donne ce témoignage déclare : « Oui, je viens sans tarder. » – Amen ! Viens, Seigneur Jésus !
21 Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous !

https://www.aelf.org/bible/Ap/22

*NB : L’Epouse, c’est l’Eglise.

Soins palliatifs: c’est accompagner la vie jusqu’à la mort, à l’hôpital ou à la maison.

Pour aider à mourir, on entend souvent parler d’euthanasie. Une dame m’avait raconté combien la mort par euthanasie de sa maman l’avait troublée. «Juste avant, maman  nous parlait paisiblement, elle souriait encore, son teint était rosé, et dès l’injection de la piqûre (… ) C’est du suicide assisté! » La malade avait insisté pour que ses (petits-)enfants soient présents à ce moment mais quel mauvais souvenir!!

Il y a une alternative à l’euthanasie : « les soins palliatifs ». On en entend trop peu parler.  C’est ce que je vais faire dans cet article. Jésus nous demande de partager les bonnes nouvelles.

 « Allez annoncer à Jean ce que vous avez vu et entendu. » Luc 7

Cette semaine, ce que j’ai vu de beau, c’est la manière d’accompagner une personne en fin de vie.

J’ai vu en quoi consistent « Les soins palliatifs ».

J’étais venue passer quelques jours  chez ma sœur et mon beau-frère atteint d’un cancer en face terminale.

J’ai vu de quel amour était entouré mon beau-frère par son épouse. Il y avait toujours eu beaucoup d’amour entre eux, mais là, Marie-Jeanne redoublait d’attention pour son mari. Leurs enfants, petits-enfants,  leur rendaient de nombreuses visites, et aussi des amis, spécialement les membres de la communauté de l’Emmanuel. Deux jours avant le décès de Jean-Marie, il y avait même eu une maisonnée chez eux et Jean-Marie s’y était exprimé avec sérénité. J’ai entendu les prières des uns et des autres, les prières des uns pour les autres.

J’ai vu aussi un service médical motivé. L’infirmière de service fut tellement précieuse. Vanessa allait partir en congé et, avant son départ, gratuitement,  elle est repassée voir mon beau-frère et lui dire qu’il fallait qu’il prenne bien ses anti-douleurs : « Vous ne devez pas souffrir ! » Il y avait eu aussi précédemment le passage de la psychologue qui avait aidé le couple à exprimer sa souffrance. Après cette visite, j’avais perçu une plus grande patience de Jean-Marie à l’égard de son épouse un peu distraite.  

Personnellement, je ne savais pas faire grand-chose pour aider mon beau-frère mais je voyais qu’il appréciait que j’accompagne sa chère épouse.  « Tu retournes aujourd’hui ? » « Non, demain, mais une dame* viendra passer la nuit près de vous. Ta femme sera aidée, rassure-toi.  » Jean-Marie est mort la nuit suivante.  Il est vrai que j’aurais pu rester plus longtemps près d’eux. Je pense à la Vierge Marie qui, apprenant que sa cousine Elisabeth était enceinte malgré son grand âge, s’était mise à son service durant trois mois. *Une ancienne infirmière qui sait comment déplacer une personne alitée, la conduire aux toilettes ou l’aider à utiliser l’urinal et changer le lit si nécessaire, …

Jean-Marie a rejoint le Père pendant son sommeil. Ma sœur craignait le voir mourir d’étouffement et il est mort calmement.  La veille de son entrée dans la vie éternelle, nous avions encore prié ensemble le chapelet avec Lourdes et reçu comme chaque jour l’Eucharistie, le « Pain des forts ».

https://www.facebook.com/NotreDamedesinternautes

https://www.youtube.com/watch?v=XbVriuPMfCc&t=1259s

Saint Pape Jean-Paul II : « Comprenez pourquoi le pape souffre ».

Jean-Marie est décédé en la fête de saint Jean-Paul II. Ce pape avait offert ses souffrances pour la famille. A l’heure où l’on encourage l’euthanasie, le pape enseignait la puissance de la souffrance offerte.  

https://evangelium-vitae.org/actualite/1613/le-plus-bel-angelus-de-jean-paul-ii-la-famille-est-agress%C3%A9e-le-pape-doit-souffrir-pour-la-famille.htm

A 15 ans, Carlo Acutis atteint d’un cancer, offrait ses souffrances.

« J’offre mes souffrances pour le pape, pour l’Eglise, afin de ne pas avoir à aller au purgatoire et d’entrer directement au ciel ». (Saint Carlo ACUTIS)

(Livre : Le secret de mon fils, Carlo Acutis. Comment il est devenu saint.)

 Les quatre fins dernières.

Carlo Acutis garde toujours à l’esprit les quatre « fins dernières » : la mort, le jugement, l’enfer et le paradis, réalités ultimes de la vie de tout homme. Son attention à ces sujets le fait parfois traiter d’excessif ou de bigot, même par ses amis. II a rencontré des prêtres qui ne croient pas à l’existence de l’enfer ni même du Purgatoire, ce qui l’a scandalisé. Pour lui, ce point de la doctrine catholique, maintes fois enseigné par Jésus-Christ et par le Magistère de l’Église, est hors de doute :

« Si vraiment les âmes courent le risque de se damner, comme en effet tant de saints en ont témoigné et comme l’ont confirmé les apparitions de Fatima, je me demande pourquoi, aujourd’hui, on ne parle presque jamais de l’enfer, parce que c’est une chose tellement terrible et épouvantable que je suis effrayé, rien que d’y penser… l’unique chose que nous devrions vraiment craindre est le péché. » En effet, « aux yeux de la foi, aucun mal n’est plus grave que le péché et rien n’a de pires conséquences pour les pécheurs eux-mêmes, pour l’Église et pour le monde entier » (Catéchisme de l’Église catholique, no 1488).

https://www.versdemain.org/articles/eglise-catholique-romaine/item/le-bienheureux-carlo-acutis

Alberto Maalouf, atteint d’une maladie orpheline douloureuse, partage son expérience.

Epuré par la maladie, Alberto parvient encore à enseigner. Et quel enseignement!

https://youtube.com/clip/UgkxC7SZ6t3K3gDiB6U6FbvMlybXWd0LwsmD?si=npU0plLTpMdaTpFt

« Marie est notre coach. » (Alberto)

https://youtube.com/clip/UgkxbefiahzDTeON6pZnq-1Ltogj-NpU-jJK?si=T_ea0edzyxjoS-d9

« La mort doit être accueillie, non administrée. » Vatican.

Soulevant la question de « la dignité de la personne malade dans un état critique ou terminal », le document dit que cela « exige de chacun les efforts appropriés et nécessaires pour soulager ses souffrances par des soins palliatifs appropriés et en évitant tout acharnement thérapeutique ou toute intervention disproportionnée ». Ces soins, lit-on, répondent au « devoir constant de comprendre les besoins du malade : besoins d’assistance, soulagement de la douleur, besoins émotionnels, affectifs et spirituels ». « Mais un tel effort est tout à fait différent, distinct, et même contraire à la décision d’éliminer sa propre vie ou la vie d’autrui sous le poids de la souffrance. La vie humaine, même dans sa condition douloureuse, est porteuse d’une dignité qui doit toujours être respectée, qui ne peut être perdue et dont le respect reste inconditionnel. »

Les auteurs de la Déclaration soulignent qu’« aider la personne suicidaire à mettre fin à ses jours » est « une atteinte objective à la dignité de la personne qui le demande, même s’il s’agit de réaliser son souhait ». Ils citent les paroles du pape François à ce sujet : « Nous devons accompagner les personnes jusqu’à la mort, mais ne pas la provoquer ni favoriser aucune forme de suicide. Je rappelle que le droit aux soins et aux traitements pour tous doit toujours être prioritaire, afin que les plus faibles, notamment les personnes âgées et les malades, ne soient jamais écartés. »

En concluant le chapitre sur l’euthanasie ou du suicide assisté, les auteurs réaffirment que « la dignité de chaque personne, même faible ou souffrante, implique la dignité de tous ». https://vaticaninfo.com/2024/04/leuthanasie-la-mort-doit-etre-accueillie-non-administree/

Une bonne raison de prier et d’offrir nos souffrances : l’avenir de nos familles, de notre pays.

Chrétiens, juifs et musulmans débattent SANS SE TAPER DESSUS ! 

https://www.prier.be/content/homepage.htm

Saint Pape Jean-Paul II, priez pour nous! Continuez d’accomplir des merveilles au milieu de nous. Nous te confions nos malades et leurs familles. PPN.

Hommage à Thomas BARNARDO. Il a fondé 90 foyers pour enfants démunis.

Il a dormi sous un pont. Il n’avait que sept ans. Pieds nus, affamé, invisible aux yeux du monde.

Londres, 1866. Une nuit froide et humide. Thomas Barnardo, jeune étudiant en médecine, visite l’East End, le quartier le plus pauvre de la ville.

Il y rencontre Jim, un enfant aux cheveux hirsutes et au regard qui ne devrait appartenir à aucun enfant. Jim raconte des histoires qui semblent tout droit sorties d’un cauchemar : des enfants qui dorment dans des bouches d’égout, qui volent pour survivre, qui meurent de froid ou de maladie.

Des histoires vraies.

Quelques jours plus tard, Jim meurt. Seul. Comme tant d’autres. Et c’est là, dans cette perte, que Thomas se rend compte d’une chose : Il ne partira pas pour la Chine comme il en rêvait. Son champ de bataille, c’est Londres. Ses petits à sauver sont là, cachés dans l’ombre.

En 1870, Thomas ouvre son premier foyer pour enfants abandonnés. À l’entrée, il place un écriteau qui changera à jamais le destin de milliers de vies :

« Aucun enfant ne sera jamais refusé. »

Il ne demande pas d’argent, n’exige rien. Il accueille toute personne dans le besoin. Même quand la maison est pleine. Même quand on lui dit qu’il est fou. Sa promesse est plus grande que la peur.

C’est ainsi que naissent d’autres foyers, d’autres familles, d’autres secondes chances. Certains enfants sont envoyés au Canada pour commencer une nouvelle vie. D’autres restent. Ils étudient. Ils deviennent des artisans, des infirmières, des hommes et des femmes avec un avenir.

Barnardo’s devient pour eux un père, un point fixe. Pas avec des sermons, mais avec de la soupe chaude. Pas avec des théories, mais avec des lits propres et des câlins sincères.

À sa mort en 1905, il avait sauvé plus de 60 000 enfants. Mais son impact va au-delà des chiffres. Il se traduit par des sourires retrouvés. Dans les vies réécrites. Dans le droit d’être un enfant.

Aujourd’hui, Barnardo continue d’opérer au Royaume-Uni, aidant les personnes fragiles, poursuivant la mission d’un homme qui a vu un enfant mourir… et a choisi de ne jamais regarder en arrière.

Parfois, il n’est pas nécessaire d’avoir de grands pouvoirs pour faire la différence. Il suffit d’un cœur qui voit et de mains qui accueillent.

Thomas Barnardo nous a laissé ceci : un exemple. Et une leçon que nous ne devrions jamais oublier.

https://www.facebook.com/ProtectCasbah

Autre présentation de Bernardo.

Thomas John Barnardo (né le 4 juillet 1845 à Dublin , Irlande — décédé le 19 septembre 1905 à Surbiton, Surrey, Angleterre) fut un pionnier du travail social. Il fonda plus de 90 foyers pour enfants démunis . Sous sa direction, les enfants reçurent des soins et une instruction de grande qualité, malgré la politique alors inhabituelle d’admission illimitée.

Le père de Barnardo, issu d’une famille protestante espagnole exilée, émigra de Hambourg , en Allemagne, en Irlande . Barnardo lui-même se rendit à Londres en 1866 pour suivre une formation de missionnaire médical protestant en Chine.

Pendant ses études de médecine, il devint directeur d’une « ragged school » (école gratuite pour enfants pauvres) dans l’ East End londonien, où, en 1867, il fonda une mission pour jeunes.

Le premier des « foyers du Dr Barnardo » pour garçons démunis fut fondé en 1870, et son premier foyer pour filles en 1876. Ces foyers furent créés en 1899 sous le nom d’Association nationale pour la récupération des enfants abandonnés démunis.

Protection de l’enfance :

services et institutions soucieux du bien-être physique, social et psychologique des enfants, notamment ceux souffrant des effets de la pauvreté ou privés de soins et de surveillance parentaux normaux. Dans le monde occidental, et particulièrement dans les grandes villes , la protection de l’enfance comprend un éventail de services hautement spécialisés qui vont bien au-delà de la survie physique et traitent de problèmes tels que le développement personnel, l’orientation professionnelle et l’utilisation du temps libre. Dans les pays moins développés et au lendemain d’ une guerre ou d’ une catastrophe , les services de protection de l’enfance peuvent se limiter aux mesures essentielles pour maintenir les enfants en vie, telles que l’alimentation d’urgence, l’hébergement et les simples précautions de santé publique . Le niveau de vie général , le niveau d’ éducation et les ressources financières du pays comptent parmi les facteurs qui déterminent les normes de protection de l’enfance .

Quand nous paraitrons devant Dieu, nous serons jugés sur l’AMOUR.

34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.

35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;

36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”

37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?

38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?

39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”

40 Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”

https://www.aelf.org/bible/Mt/25

SACRE-COEUR de JESUS, j’ai CONFIANCE en Toi. Ses apparitions en vue de la PAIX.

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Saint Jean-Paul II: « Nous venons ici à la rencontre du Coeur transpercé pour nous, d’où jaillissent l’eau et le sang. C’est l’amour rédempteur, qui est à l’origine du Salut, de notre salut, qui est à l’origine de l’Eglise. Nous venons ici contempler l’amour du Seigneur Jésus : sa bonté compatissante pour tous durant sa vie terrestre ; son amour de prédilection pour les petits, les malades, les affligés. Contemplons son Coeur brûlant d’amour pour son Père, dans la plénitude du Saint-Esprit. Contemplons son amour infini, celui du Fils éternel qui nous conduit jusqu’au mystère même de Dieu. »

Du Cœur transpercé de Jésus, nous recevons consolation et compassion.

Pourquoi la présence de la Communauté de l’Emmanuel à Paray le Monial ?

Depuis 1985, l’évêque d’Autun(Monseigneur Armand Le Bourgeois) a confié à la Communauté de l’Emmanuel la charge d’animer la vie des Sanctuaires.

  • Naissance de la Communauté de l’Emmanuel : La Communauté de l’Emmanuel, fondée par Pierre Goursat (1914-1992), est une Association privée internationale de Fidèles, de droit pontifical, dont les statuts canoniques ont été approuvés le 8 décembre 1992, confirmant ainsi sa vocation de « participer à l’accomplissement de la mission de l’Eglise dans le monde actuel. »

Cette communauté s’adresse à des hommes et des femmes insérés dans la vie ordinaire, professionnelle et sociale, de milieux, âges et nationalités différents, dans le respect de la vocation propre à chacun. Ainsi elle rassemble aussi bien des personnes mariées, que des célibataires, des jeunes, des prêtres, des consacrés dans le célibat…

  • La Communauté de L’Emmanuel à Paray le Monial : Dès les débuts de la Communauté, Pierre Goursat eut l’inspiration d’organiser une rencontre des différentes communautés du Renouveau charismatique à Paray le Monial en 1975. Depuis cette première session, Paray le Monial vit un nouveau printemps dans la vie spirituelle de son sanctuaire. Au contact du message de Jésus à sainte Marguerite, l’Emmanuel a pu découvrir un lien fort entre celui-ci et la grâce de la communauté telle qu’elle se déploie dans sa dimension d’incarnation, dans l’eucharistie, dans l’adoration, la compassion, l’évangélisation, dans l’ouverture à l’Esprit Saint ou dans la vocation à être témoin de la Miséricorde.

Pour en savoir plus sur la communauté de l’Emmanuel : son site internet

Session de la Communauté de l’Emmanuel à Beauraing.

https://www.facebook.com/SessionEmmanuel

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Pourquoi célébrer les 350 ans des apparitions du Sacré Cœur de #Jésus ?

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Au XVIIe siècle, le Christ a montré son Cœur à sœur Marguerite-Marie, religieuse de l’ordre de la Visitation à Sanctuaires de Paray-le-Monial. Les 3 apparitions principales ont eu lieu le 27 décembre 1673, le 1er vendredi d’un mois de 1674 et en juin 1675.

Le message de Jésus au cours de ces trois apparitions comporte trois dimensions :

1. Jésus montre son Cœur qui a tant aimé le monde, un Coeur passionné d’amour pour tous les hommes ;

2. Il se plaint de ne recevoir en retour qu’ingratitude et indifférence ;

3. Il demande de réparer ces manques d’amour, notamment par l’institution d’une fête pour honorer son divin Cœur.

Il s’agit donc de rendre amour pour amour, c’est-à-dire aimer en retour ce Seigneur qui nous a tant aimés. Comment cela se fait-il ? En accueillant, tout d’abord, l’amour personnel de Jésus pour chacun de nous. Le Seigneur Jésus désire nous rencontrer, entrer en relation avec chacun.

Ensuite, le Seigneur nous invite à réparer les manques d’amour dont il souffre… aimer pour ceux qui n’aiment pas, vivre dans un esprit de gratitude, de louange et d’action de grâce.

Enfin, le Seigneur Jésus nous appelle à entrer dans la compassion de son Cœur pour ceux qui ont tant besoin de consolation. Le monde est en souffrance, tant de gens ne connaissent pas le Christ et son amour unique pour chacun. Jésus nous invite à ouvrir notre propre cœur, à nous laisser toucher par la misère de l’autre et à recevoir cet appel à la mission : “Va, fais des disciples, afin qu’ils connaissent l’amour de mon Coeur !”

C’est donc pour chacun de nous l’occasion de vivre, tout au cours de cette année jubilaire, ces premiers vendredis du mois pleinement, par l’heure sainte (la veille) et par la célébration de la messe votive du Sacré Coeur (dans la journée)

 – le carnet de chants ‘Il est vivant’ nous offre des chants bien adaptés à cet effet. Bref, deux moments de prière privilégiés qui nous permettent de ‘rendre amour pour amour’ (accueil, réparation, compassion), afin de devenir des disciples missionnaires de son Cœur !

Sacré-Cœur de Jésus Sacré-Cœur Corcoran’s Sacré-Cœur Communauté de l’Emmanuel – Belgique Francophone Emmanuel Community – International

https://www.facebook.com/reel/9973449736074242

https://emmanuel.info/sessions-emmanuel-region/

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

https://www.aelf.org/2025-06-27/romain/messe

Jésus s’est aussi révélé à sainte Faustine, en Pologne. Il y délivre le même message.

Cantiques.

La communauté de l’Emmanuel, c’est aussi FIDESCO.


🎬 Tourné à Paray-le-Monial, point de départ géographique et spirituel de la mission de Fidesco, ce clip illustre 45 années de service, de fraternité et d’engagement. Il met à l’honneur l’élan missionnaire, la lumière semée par nos volontaires, partis en famille, en couple ou seuls, aux quatre coins du monde.🌍

“Par le don et l’engagement, vivre la compassion, se découvrir frères et sœurs, faire changer les cœurs pour changer le monde, prendre soin les uns des autres et bâtir la paix” 🕊️ À l’aube de cette année jubilaire, aux quatre coins du monde, les volontaires soufflent ensemble les 45 bougies de Fidesco, témoins d’une mission qui unit, unifie et transforme les cœurs ! ❤️‍🔥 Reprise de “Unis comme des frères” de @Hopen