Soins palliatifs: c’est accompagner la vie jusqu’à la mort, à l’hôpital ou à la maison.

 « Allez annoncer à Jean ce que vous avez vu et entendu. » Luc 7

Cette semaine, ce que j’ai vu de beau, c’est la manière d’accompagner une personne en fin de vie.

J’ai vu en quoi consistent « Les soins palliatifs ».

J’étais venue passer quelques jours  chez ma sœur et mon beau-frère atteint d’un cancer en face terminale.

J’ai vu de quel amour était entouré mon beau-frère par son épouse. Il y avait toujours eu beaucoup d’amour entre eux, mais là, Marie-Jeanne redoublait d’attention pour son mari. Leurs enfants, petits-enfants,  leur rendaient de nombreuses visites, et aussi des amis, spécialement les membres de la communauté de l’Emmanuel. Deux jours avant le décès de Jean-Marie, il y avait même eu une maisonnée chez eux et Jean-Marie s’y était exprimé avec sérénité. J’ai entendu les prières des uns et des autres, les prières des uns pour les autres.

J’ai vu aussi un service médical motivé. L’infirmière de service fut tellement précieuse. Vanessa allait partir en congé et, avant son départ, gratuitement,  elle est repassée voir mon beau-frère et lui dire qu’il fallait qu’il prenne bien ses anti-douleurs : « Vous ne devez pas souffrir ! » Il y avait eu aussi précédemment le passage de la psychologue qui avait aidé le couple à exprimer sa souffrance. Après cette visite, j’avais perçu une plus grande patience de Jean-Marie à l’égard de son épouse un peu distraite.  

Personnellement, je ne savais pas faire grand-chose pour aider mon beau-frère mais je voyais qu’il appréciait que j’accompagne sa chère épouse.  « Tu retournes aujourd’hui ? » « Non, demain, mais une dame* viendra passer la nuit près de vous. Ta femme sera aidée, rassure-toi.  » Jean-Marie est mort la nuit suivante.  Il est vrai que j’aurais pu rester plus longtemps près d’eux. Je pense à la Vierge Marie qui, apprenant que sa cousine Elisabeth était enceinte malgré son grand âge, s’était mise à son service durant trois mois. *Une ancienne infirmière qui sait comment déplacer une personne alitée, la conduire aux toilettes ou l’aider à utiliser l’urinal et changer le lit si nécessaire, …

Jean-Marie a rejoint le Père pendant son sommeil. Ma sœur craignait le voir mourir d’étouffement et il est mort calmement.  La veille de son entrée dans la vie éternelle, nous avions encore prié ensemble le chapelet avec Lourdes et reçu comme chaque jour l’Eucharistie, le « Pain des forts ».

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Saint Pape Jean-Paul II : « Comprenez pourquoi le pape souffre ».

Jean-Marie est décédé en la fête de saint Jean-Paul II. Ce pape avait offert ses souffrances pour la famille. A l’heure où l’on encourage l’euthanasie, le pape enseignait la puissance de la souffrance offerte.  

https://evangelium-vitae.org/actualite/1613/le-plus-bel-angelus-de-jean-paul-ii-la-famille-est-agress%C3%A9e-le-pape-doit-souffrir-pour-la-famille.htm

A 15 ans, Carlo Acutis atteint d’un cancer, offrait ses souffrances.

« J’offre mes souffrances pour le pape, pour l’Eglise, afin de ne pas avoir à aller au purgatoire et d’entrer directement au ciel ». (Saint Carlo ACUTIS)

(Livre : Le secret de mon fils, Carlo Acutis. Comment il est devenu saint.)

 Les quatre fins dernières.

Carlo Acutis garde toujours à l’esprit les quatre « fins dernières » : la mort, le jugement, l’enfer et le paradis, réalités ultimes de la vie de tout homme. Son attention à ces sujets le fait parfois traiter d’excessif ou de bigot, même par ses amis. II a rencontré des prêtres qui ne croient pas à l’existence de l’enfer ni même du Purgatoire, ce qui l’a scandalisé. Pour lui, ce point de la doctrine catholique, maintes fois enseigné par Jésus-Christ et par le Magistère de l’Église, est hors de doute :

« Si vraiment les âmes courent le risque de se damner, comme en effet tant de saints en ont témoigné et comme l’ont confirmé les apparitions de Fatima, je me demande pourquoi, aujourd’hui, on ne parle presque jamais de l’enfer, parce que c’est une chose tellement terrible et épouvantable que je suis effrayé, rien que d’y penser… l’unique chose que nous devrions vraiment craindre est le péché. » En effet, « aux yeux de la foi, aucun mal n’est plus grave que le péché et rien n’a de pires conséquences pour les pécheurs eux-mêmes, pour l’Église et pour le monde entier » (Catéchisme de l’Église catholique, no 1488).

https://www.versdemain.org/articles/eglise-catholique-romaine/item/le-bienheureux-carlo-acutis

Alberto Maalouf, atteint d’une maladie orpheline douloureuse, partage son expérience.

Epuré par la maladie, Alberto parvient encore à enseigner. Et quel enseignement!

https://youtube.com/clip/UgkxC7SZ6t3K3gDiB6U6FbvMlybXWd0LwsmD?si=npU0plLTpMdaTpFt

« Marie est notre coach. » (Alberto)

https://youtube.com/clip/UgkxbefiahzDTeON6pZnq-1Ltogj-NpU-jJK?si=T_ea0edzyxjoS-d9

« La mort doit être accueillie, non administrée. » Vatican.

Soulevant la question de « la dignité de la personne malade dans un état critique ou terminal », le document dit que cela « exige de chacun les efforts appropriés et nécessaires pour soulager ses souffrances par des soins palliatifs appropriés et en évitant tout acharnement thérapeutique ou toute intervention disproportionnée ». Ces soins, lit-on, répondent au « devoir constant de comprendre les besoins du malade : besoins d’assistance, soulagement de la douleur, besoins émotionnels, affectifs et spirituels ». « Mais un tel effort est tout à fait différent, distinct, et même contraire à la décision d’éliminer sa propre vie ou la vie d’autrui sous le poids de la souffrance. La vie humaine, même dans sa condition douloureuse, est porteuse d’une dignité qui doit toujours être respectée, qui ne peut être perdue et dont le respect reste inconditionnel. »

Les auteurs de la Déclaration soulignent qu’« aider la personne suicidaire à mettre fin à ses jours » est « une atteinte objective à la dignité de la personne qui le demande, même s’il s’agit de réaliser son souhait ». Ils citent les paroles du pape François à ce sujet : « Nous devons accompagner les personnes jusqu’à la mort, mais ne pas la provoquer ni favoriser aucune forme de suicide. Je rappelle que le droit aux soins et aux traitements pour tous doit toujours être prioritaire, afin que les plus faibles, notamment les personnes âgées et les malades, ne soient jamais écartés. »

En concluant le chapitre sur l’euthanasie ou du suicide assisté, les auteurs réaffirment que « la dignité de chaque personne, même faible ou souffrante, implique la dignité de tous ». https://vaticaninfo.com/2024/04/leuthanasie-la-mort-doit-etre-accueillie-non-administree/

Une bonne raison de prier et d’offrir nos souffrances : l’avenir de nos familles, de notre pays.

Chrétiens, juifs et musulmans débattent SANS SE TAPER DESSUS ! 

https://www.prier.be/content/homepage.htm

Saint Pape Jean-Paul II, priez pour nous! Continuez d’accomplir des merveilles au milieu de nous. Nous te confions nos malades et leurs familles. PPN.

Hommage à Thomas BARNARDO. Il a fondé 90 foyers pour enfants démunis.

Il a dormi sous un pont. Il n’avait que sept ans. Pieds nus, affamé, invisible aux yeux du monde.

Londres, 1866. Une nuit froide et humide. Thomas Barnardo, jeune étudiant en médecine, visite l’East End, le quartier le plus pauvre de la ville.

Il y rencontre Jim, un enfant aux cheveux hirsutes et au regard qui ne devrait appartenir à aucun enfant. Jim raconte des histoires qui semblent tout droit sorties d’un cauchemar : des enfants qui dorment dans des bouches d’égout, qui volent pour survivre, qui meurent de froid ou de maladie.

Des histoires vraies.

Quelques jours plus tard, Jim meurt. Seul. Comme tant d’autres. Et c’est là, dans cette perte, que Thomas se rend compte d’une chose : Il ne partira pas pour la Chine comme il en rêvait. Son champ de bataille, c’est Londres. Ses petits à sauver sont là, cachés dans l’ombre.

En 1870, Thomas ouvre son premier foyer pour enfants abandonnés. À l’entrée, il place un écriteau qui changera à jamais le destin de milliers de vies :

« Aucun enfant ne sera jamais refusé. »

Il ne demande pas d’argent, n’exige rien. Il accueille toute personne dans le besoin. Même quand la maison est pleine. Même quand on lui dit qu’il est fou. Sa promesse est plus grande que la peur.

C’est ainsi que naissent d’autres foyers, d’autres familles, d’autres secondes chances. Certains enfants sont envoyés au Canada pour commencer une nouvelle vie. D’autres restent. Ils étudient. Ils deviennent des artisans, des infirmières, des hommes et des femmes avec un avenir.

Barnardo’s devient pour eux un père, un point fixe. Pas avec des sermons, mais avec de la soupe chaude. Pas avec des théories, mais avec des lits propres et des câlins sincères.

À sa mort en 1905, il avait sauvé plus de 60 000 enfants. Mais son impact va au-delà des chiffres. Il se traduit par des sourires retrouvés. Dans les vies réécrites. Dans le droit d’être un enfant.

Aujourd’hui, Barnardo continue d’opérer au Royaume-Uni, aidant les personnes fragiles, poursuivant la mission d’un homme qui a vu un enfant mourir… et a choisi de ne jamais regarder en arrière.

Parfois, il n’est pas nécessaire d’avoir de grands pouvoirs pour faire la différence. Il suffit d’un cœur qui voit et de mains qui accueillent.

Thomas Barnardo nous a laissé ceci : un exemple. Et une leçon que nous ne devrions jamais oublier.

https://www.facebook.com/ProtectCasbah

Autre présentation de Bernardo.

Thomas John Barnardo (né le 4 juillet 1845 à Dublin , Irlande — décédé le 19 septembre 1905 à Surbiton, Surrey, Angleterre) fut un pionnier du travail social. Il fonda plus de 90 foyers pour enfants démunis . Sous sa direction, les enfants reçurent des soins et une instruction de grande qualité, malgré la politique alors inhabituelle d’admission illimitée.

Le père de Barnardo, issu d’une famille protestante espagnole exilée, émigra de Hambourg , en Allemagne, en Irlande . Barnardo lui-même se rendit à Londres en 1866 pour suivre une formation de missionnaire médical protestant en Chine.

Pendant ses études de médecine, il devint directeur d’une « ragged school » (école gratuite pour enfants pauvres) dans l’ East End londonien, où, en 1867, il fonda une mission pour jeunes.

Le premier des « foyers du Dr Barnardo » pour garçons démunis fut fondé en 1870, et son premier foyer pour filles en 1876. Ces foyers furent créés en 1899 sous le nom d’Association nationale pour la récupération des enfants abandonnés démunis.

Protection de l’enfance :

services et institutions soucieux du bien-être physique, social et psychologique des enfants, notamment ceux souffrant des effets de la pauvreté ou privés de soins et de surveillance parentaux normaux. Dans le monde occidental, et particulièrement dans les grandes villes , la protection de l’enfance comprend un éventail de services hautement spécialisés qui vont bien au-delà de la survie physique et traitent de problèmes tels que le développement personnel, l’orientation professionnelle et l’utilisation du temps libre. Dans les pays moins développés et au lendemain d’ une guerre ou d’ une catastrophe , les services de protection de l’enfance peuvent se limiter aux mesures essentielles pour maintenir les enfants en vie, telles que l’alimentation d’urgence, l’hébergement et les simples précautions de santé publique . Le niveau de vie général , le niveau d’ éducation et les ressources financières du pays comptent parmi les facteurs qui déterminent les normes de protection de l’enfance .

Quand nous paraitrons devant Dieu, nous serons jugés sur l’AMOUR.

34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.

35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;

36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”

37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?

38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?

39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”

40 Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”

https://www.aelf.org/bible/Mt/25

SACRE-COEUR de JESUS, j’ai CONFIANCE en Toi. Ses apparitions en vue de la PAIX.

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Saint Jean-Paul II: « Nous venons ici à la rencontre du Coeur transpercé pour nous, d’où jaillissent l’eau et le sang. C’est l’amour rédempteur, qui est à l’origine du Salut, de notre salut, qui est à l’origine de l’Eglise. Nous venons ici contempler l’amour du Seigneur Jésus : sa bonté compatissante pour tous durant sa vie terrestre ; son amour de prédilection pour les petits, les malades, les affligés. Contemplons son Coeur brûlant d’amour pour son Père, dans la plénitude du Saint-Esprit. Contemplons son amour infini, celui du Fils éternel qui nous conduit jusqu’au mystère même de Dieu. »

Du Cœur transpercé de Jésus, nous recevons consolation et compassion.

Pourquoi la présence de la Communauté de l’Emmanuel à Paray le Monial ?

Depuis 1985, l’évêque d’Autun(Monseigneur Armand Le Bourgeois) a confié à la Communauté de l’Emmanuel la charge d’animer la vie des Sanctuaires.

  • Naissance de la Communauté de l’Emmanuel : La Communauté de l’Emmanuel, fondée par Pierre Goursat (1914-1992), est une Association privée internationale de Fidèles, de droit pontifical, dont les statuts canoniques ont été approuvés le 8 décembre 1992, confirmant ainsi sa vocation de « participer à l’accomplissement de la mission de l’Eglise dans le monde actuel. »

Cette communauté s’adresse à des hommes et des femmes insérés dans la vie ordinaire, professionnelle et sociale, de milieux, âges et nationalités différents, dans le respect de la vocation propre à chacun. Ainsi elle rassemble aussi bien des personnes mariées, que des célibataires, des jeunes, des prêtres, des consacrés dans le célibat…

  • La Communauté de L’Emmanuel à Paray le Monial : Dès les débuts de la Communauté, Pierre Goursat eut l’inspiration d’organiser une rencontre des différentes communautés du Renouveau charismatique à Paray le Monial en 1975. Depuis cette première session, Paray le Monial vit un nouveau printemps dans la vie spirituelle de son sanctuaire. Au contact du message de Jésus à sainte Marguerite, l’Emmanuel a pu découvrir un lien fort entre celui-ci et la grâce de la communauté telle qu’elle se déploie dans sa dimension d’incarnation, dans l’eucharistie, dans l’adoration, la compassion, l’évangélisation, dans l’ouverture à l’Esprit Saint ou dans la vocation à être témoin de la Miséricorde.

Pour en savoir plus sur la communauté de l’Emmanuel : son site internet

Session de la Communauté de l’Emmanuel à Beauraing.

https://www.facebook.com/SessionEmmanuel

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Pourquoi célébrer les 350 ans des apparitions du Sacré Cœur de #Jésus ?

Cette année à Paray-le-Monial en Bourgogne, est célébré le jubilé des 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite-Marie.

Au XVIIe siècle, le Christ a montré son Cœur à sœur Marguerite-Marie, religieuse de l’ordre de la Visitation à Sanctuaires de Paray-le-Monial. Les 3 apparitions principales ont eu lieu le 27 décembre 1673, le 1er vendredi d’un mois de 1674 et en juin 1675.

Le message de Jésus au cours de ces trois apparitions comporte trois dimensions :

1. Jésus montre son Cœur qui a tant aimé le monde, un Coeur passionné d’amour pour tous les hommes ;

2. Il se plaint de ne recevoir en retour qu’ingratitude et indifférence ;

3. Il demande de réparer ces manques d’amour, notamment par l’institution d’une fête pour honorer son divin Cœur.

Il s’agit donc de rendre amour pour amour, c’est-à-dire aimer en retour ce Seigneur qui nous a tant aimés. Comment cela se fait-il ? En accueillant, tout d’abord, l’amour personnel de Jésus pour chacun de nous. Le Seigneur Jésus désire nous rencontrer, entrer en relation avec chacun.

Ensuite, le Seigneur nous invite à réparer les manques d’amour dont il souffre… aimer pour ceux qui n’aiment pas, vivre dans un esprit de gratitude, de louange et d’action de grâce.

Enfin, le Seigneur Jésus nous appelle à entrer dans la compassion de son Cœur pour ceux qui ont tant besoin de consolation. Le monde est en souffrance, tant de gens ne connaissent pas le Christ et son amour unique pour chacun. Jésus nous invite à ouvrir notre propre cœur, à nous laisser toucher par la misère de l’autre et à recevoir cet appel à la mission : “Va, fais des disciples, afin qu’ils connaissent l’amour de mon Coeur !”

C’est donc pour chacun de nous l’occasion de vivre, tout au cours de cette année jubilaire, ces premiers vendredis du mois pleinement, par l’heure sainte (la veille) et par la célébration de la messe votive du Sacré Coeur (dans la journée)

 – le carnet de chants ‘Il est vivant’ nous offre des chants bien adaptés à cet effet. Bref, deux moments de prière privilégiés qui nous permettent de ‘rendre amour pour amour’ (accueil, réparation, compassion), afin de devenir des disciples missionnaires de son Cœur !

Sacré-Cœur de Jésus Sacré-Cœur Corcoran’s Sacré-Cœur Communauté de l’Emmanuel – Belgique Francophone Emmanuel Community – International

https://www.facebook.com/reel/9973449736074242

https://emmanuel.info/sessions-emmanuel-region/

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

https://www.aelf.org/2025-06-27/romain/messe

Jésus s’est aussi révélé à sainte Faustine, en Pologne. Il y délivre le même message.

Cantiques.

La communauté de l’Emmanuel, c’est aussi FIDESCO.


🎬 Tourné à Paray-le-Monial, point de départ géographique et spirituel de la mission de Fidesco, ce clip illustre 45 années de service, de fraternité et d’engagement. Il met à l’honneur l’élan missionnaire, la lumière semée par nos volontaires, partis en famille, en couple ou seuls, aux quatre coins du monde.🌍

“Par le don et l’engagement, vivre la compassion, se découvrir frères et sœurs, faire changer les cœurs pour changer le monde, prendre soin les uns des autres et bâtir la paix” 🕊️ À l’aube de cette année jubilaire, aux quatre coins du monde, les volontaires soufflent ensemble les 45 bougies de Fidesco, témoins d’une mission qui unit, unifie et transforme les cœurs ! ❤️‍🔥 Reprise de “Unis comme des frères” de @Hopen