Femmes, je vous aime ! Courage, mes sœurs !   

Partout dans le monde, des femmes sont victimes* de la société machiste. Je pense à une amie (belge) qui se demande si elle pourra participer à l’anniversaire de sa maman parce que c’est monsieur qui décide des sorties de madame. Elle n’ose pas lui tenir tête et mène une triste vie.

Je pense aussi à une Maghrébine. Elle jubilait au téléphone quand sa sœur l’invitait au mariage de son neveu. « Je pleure de joie » lui disait-elle, tout en regardant sur son smartphone la belle robe traditionnelle que sa fille porterait ce jour-là. Après le coup de fil, elle retomba les deux pieds sur terre : «J’espère que Rachid voudra bien. »

*mais il y a aussi des femmes qui font beaucoup de mal à leur compagnon, à leur mari. Oui, des hommes fragiles sont battus, abandonnés par caprice.

« Je reste pour les enfants. »

C’est « pour les enfants » que ni l’une ni l’autre de ces femmes ne souhaitent divorcer,  ce que je comprends très bien. En effet, il n’est pas rare qu’une personne abandonnée à son sort se venge sur les enfants ou qu’elle les mette en danger si elle n’a pas les moyens de bien s’occuper d’eux (difficultés  sur le plan matériel ou psychologique). Et quand les enfants aiment les deux parents, ils ne veulent pas la séparation.

Avant de divorcer, il faut bien peser le pour et le contre. Parfois une séparation évite un suicide ou un meurtre «par accident ».

Oui, pensons aux enfants. Alors qu’ils ont père et mère, ils souffrent parfois tellement de la solitude !

Une alternative au divorce.

Une séparation totale  est souvent violente et fait beaucoup souffrir les personnes qui ne souhaitent  pas la séparation. Quand la séparation est devenue inévitable, pour éviter trop de mal, certains couples choisissent de ne pas fonder une nouvelle famille (avec un beau-père, une belle-mère ) mais de vivre sous des toits différents et de continuer à se parler.

Une alternative au divorce est donc de vivre dans des maisons différentes tout en continuant à se voir, à s’entraider, sans chercher à créer une nouvelle famille.

Fait de vie. Une dame racontait ceci : « Lors du covid, mon ex. est tombé très malade. Je suis retournée auprès de lui pour le soigner jour et nuit. Il a été guéri. Je l’ai toujours aimé mais vivre auprès de lui ne m’est plus possible car il m’étouffe, il me fait trop souffrir avec ses vilaines paroles, ses moqueries. » NB :  Elle vit aujourd’hui dans une grande pauvreté.

Restons ensemble pour faire face aux grands défis actuels.

La pauvreté gagne du terrain et les familles monoparentales sont les premières touchées.

Les dirigeants ont plus de facilité à imposer leurs dérives lorsque les familles sont fragilisées par le divorce. « Je ne voulais pas du vaccin anticovid pour les enfants mais mon « ex » qui aime me contrarier le voulait. »

« Diviser pour régner » pourrait être la devise du nouvel ordre mondial.

https://www.facebook.com/eppne.ca

Déjà au temps de Jésus, la société était patriarcale et notre Sauveur réagissait vivement !

Jésus a lutté contre cet esprit qui gangrenait le vivre-ensemble et, par sa parole qui est éternelle, il continue à agir.   

https://conceptoit.net/societe-patriarcale/

Jésus a évité la lapidation à une femme adultère et guérit des femmes atteintes dans leur féminité.

Jésus a courageusement fait face à cette société machiste et prodigué beaucoup d’attention aux femmes exclues de la société. Elles pouvaient ainsi y retrouver leur place.

Mgr Aupetit commente le récit de la femme adulère condamnée à être lapidée.

Les Juifs du temps de Jésus accordaient peu de place aux femmes. L’islam a emprunté les mêmes comportements.   

Par exemple, quand elles avaient leurs menstruations,  elles étaient considérées comme impures ! Or qu’y a-t-il d’impur dans le sang ? Dieu n’a-t-il pas fait toute chose avec sagesse ?

Une Musulmane me disait : « Quand j’ai mes règles, je ne peux pas prier car je suis impure ! »

Les femmes n’ont pas le droit de choisir leur religion. Là, elles sont égales aux hommes.  

Je grince des dents quand je lis dans la Bible : « Femmes soyez soumises à vos maris. » En fait il faut remettre cette phrase dans son contexte.

Paul écrit :

21 Par respect pour le Christ, soyez soumis les uns aux autres ;22 les femmes, à leur mari, comme au Seigneur Jésus ;

A l’attention des hommes, Paul ajoute :

… 25 Vous, les hommes, aimez votre femme à l’exemple du Christ : il a aimé l’Église, il s’est livré lui-même pour elle, 28 C’est de la même façon que les maris doivent aimer leur femme : comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s’aime soi-même.

29 Jamais personne n’a méprisé son propre corps : au contraire, on le nourrit, on en prend soin. C’est ce que fait le Christ pour l’Église, 33 Pour en revenir à vous, chacun doit aimer sa propre femme comme lui-même, et la femme doit avoir du respect pour son mari. https://www.aelf.org/bible/Ep/5

« Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! » Jésus.

A toute époque, des femmes victimes de la violence masculine : viols, mariages forcés… trouvent soutien auprès de quelques hommes. Merci infiniment à eux!

Bien longtemps avant la venue de Jésus,  le jeune Daniel a défendu Suzanne, une femme accusée à tort d’adultère. Elle a ainsi échappé à la mort.

C’est à la messe, que je me suis remémorée cette histoire biblique.

Comme on la conduisait à la mort,
Dieu éveilla l’esprit de sainteté
chez un tout jeune garçon nommé Daniel,
qui se mit à crier d’une voix forte :
« Je suis innocent
de la mort de cette femme ! » … Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.

https://www.aelf.org/2025-04-07/romain/messe

Il nous faut des prophètes comme DANIEL en grand nombre.

Face à la corruption qui règne dans notre société, combien nous avons besoin de prophètes pour défendre les femmes victimes du machisme et les innocents qui croupissent dans les prisons tandis que les malfaiteurs courent les rues. 

Prions,  prions à cette intention. Que l’Esprit Saint change les cœurs de pierre en coeurs de chair !

Il nous faut aussi des hommes comme Denis Mukwege.

Le Congolais Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix 2018, est un mélange de mère Teresa et de Nelson Mandela. Il se bat pour qu’on cesse de violer les corps et les droits des femmes.

En Afghanistan, Pakistan, Iran, Arabie, … comment sont considérées les femmes ?  

 « Femmes d’aujourd’hui » avril 2025

En Irak, d’après Len et Jerry, cela se passerait  assez bien pour les femmes, mais … pas pour les Yésidie !

Merci aux Français Lena et Jerry, de grands voyageurs. Ils essaient de faire tomber les tabous et a-priori concernant des pays d’Orient mal connus en Europe. Ils ont raison d’encourager la rencontre avec les autres cultures et aussi de dénoncer les drames qui frappent ou ont frappé les pays qu’ils visitent.

Notez que quand je vois des femmes portant la burka, je souffre pour elles. Au temps du covid, je ne supportais pas le masque qui empêche une bonne respiration. Et ces femmes voilées à l’excès ne peuvent même pas bien voir où elles marchent. Parait qu’il y a même des endroits dans le monde où il n’y a qu’une ouverture dans la burka pour un oeil seulement.

De quel droit un homme peut-il imposer de telles mesures aux femmes? Non! Dieu ne veut pas ça! En Jésus, il nous dit que chaque femme est aimée de Dieu.

https://www.youtube.com/watch?v=O4DngNSnNFY

Quel homme voudrait porter la burka, être violé, arraché à sa famille, … ?

En Belgique, Fadila Maaroufi est menacée de mort.

Les  courageuses épouses de martyrs conservent la foi en Dieu.

Dieu choisit des femmes pour de grandes choses. Ainsi la Vierge Marie.

Gardons les yeux fixés sur Jésus et sa sainte mère.

Des vierges consacrées à Dieu prient avec les enfants.

Comme toujours, j’invite à prier pour la PAIX, la paix dans les coeurs, ceux de nos enfants tellement perturbés, …

Le chapelet est une prière simple à la portée de tout le monde. La mère de Jésus ne cesse de nous la recommander. Nous pouvons le prier seul, ou en famille, ou en groupes de prière, …

Toute violence crée de la souffrance et des horreurs indescriptibles.

Floris: « Ton bonheur, c’est Quelqu’un. »

https://www.open-bible.fr/lecture/2025-04-10

https://www.youtube.com/watch?v=Vfwr_9VKF0Q&list=PLAkOPZWAXefVO6d9l5VY13NwaU8l6EQ3V&index=1

Bénévole dans les pénitenciers pour femmes, sœur Marguerite Rivard. (Québec)

Marguerite éprouve une grande compassion pour les femmes en prison. Elle quitte le couvent pour se consacrer entièrement à cette mission.

Elle devient vierge consacrée, ce qui lui permet de ne pas renier ses vœux religieux, tout en lui accordant l’indépendance nécessaire à accomplir sa mission.

Par Laurence Gagnon  9 avril 2025 Crédit photo : Laurence Gagnon

« Une fleur derrière les barreaux »

Ce livre (Novalis, 2022) recueille les entretiens entre Mathieu Lavigne et Sœur Marguerite Rivard, bénévole dans les pénitenciers pour femmes de la Maison Tanguay et de Joliette depuis plus de trente ans. En 2016, elle remporte le prix Reneault-Tremblay, de l’Association des services de réhabilitation du Québec, pour son engagement auprès des femmes détenues.

La mission d’une vie

Marguerite Rivard est adolescente lorsqu’elle sent l’appel de sa vocation religieuse. Au monastère, sa voix s’élève parfois en dissonance contre les hautes instances. C’est que sœur Marguerite a en elle ce fort besoin d’être utile et d’aider ceux et celles qui en ont besoin. C’est pourquoi elle quitte le monastère pour devenir vierge consacrée, ce qui lui permet de ne pas renier ses vœux religieux, tout en lui accordant l’indépendance nécessaire à accomplir sa mission : aider les femmes détenues.

En cherchant à développer en elles une vie intérieure, en se servant du catholicisme comme cadre, sœur Marguerite cherche à réconforter les détenues au meilleur de sa capacité.

Grâce à la proximité qu’elle ressent face à ces femmes, qui lui vient de son propre vécu et de ses propres traumatismes d’enfance, elle s’efforce d’apporter du réconfort à celles chez qui les expériences ont causé une méfiance des hommes ; celles qui ont surtout besoin d’être écoutées attentivement, de sentir qu’on les comprend, qu’on se soucie d’elles et de leurs expériences ; celles qui ont besoin d’apprendre à s’aimer avant de pouvoir avancer et sortir de leur douleur ; celles que la société et l’institution carcérale ont abandonnées à leurs souffrances.

https://www.fondationperemenard.org/une-fleur-derriere-les-barreaux/?mc_cid=a56e1081ab&mc_eid=4ea00d52b3

Le système crée l’injustice. Des politiciens mériteraient la prison.

Des personnes accumulent l’argent non mérité au vu de tous. Détournements de fonds, paradis fiscaux … REAGISSONS à ces genres de crime!

En toute légalité des politiciens deviennent de plus en plus riches au détriment de la population. N’est-ce pas criminel?

C’est une situation injuste parmi d’autres que dénonce le journal. Jérôme de Warzée aussi dénonce.

Puissent les politiciens refuser des salaires injustifiés! Qu’ils disent NON!

Comment ne pas penser à l’abbé Pierre quand il était député ?

Quand il était député, l’abbé Pierre utilisait son salaire pour aider les pauvres afin qu’ils puissent être re-logés, nourris, …

Oui,  il a fait beaucoup du mal, oui, il aurait mérité la prison, mais, de grâce, ne limitons pas une personne au mal qu’elle a commis. L’abbé Pierre a aussi fait beaucoup de bien.

Justement, Emmaüs est né de sa bonne entente avec un homme qui sortait de prison. Sa femme ne l’avait pas attendu. Il pensait au suicide. Heureusement il a accepté d’œuvrer avec l’abbé Pierre. A deux, c’était plus facile de se lancer dans l’aventure. Nous devons beaucoup à cet ancien prisonnier et à l’abbé Pierre.

A Emmaüs, d’anciens prisonniers et autres personnes en détresse trouvent refuge et travail.

L’oeuvre de l’abbé Pierre est magnifique, mais son grave péché lié à la sexualité est comme un mouche dans une verre de vin délicieux …

Tous sont pécheurs.

Qui sommes-nous pour condamner les autres ?

A chaque messe,  les chrétiens demandent pardon pour leurs péchés « en paroles, en pensée,  par action et par omission ».

Le riche qui n’utilise pas son argent pour faire le bien commet un grave péché par omission. Jésus est tranchant à ce sujet. Quand on sait que chaque jour, en France, un courageux agriculteur se donne la mort par manque de soutien matériel … parfois à deux pas d’un voisin très riche. C’est choquant!

N’est-ce pas grave de laisser de rester indifférent face à la misère quand on a plus qu’il ne faut pour se loger, se nourrir?

Jésus raconte cette parabole :  

Prière/Cantique/Méditation.

Et si on pensait à l’éternité, au salut de notre âme ?

Ici-bas, nous ne sommes que de passage.

Le « pays » dans lequel Dieu nous invite à VIVRE, c’est son CŒUR pas une terre. « Choisis donc la vie! »

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