En vue de la PAIX, luttons avec l’arme puissante qu’est le ROSAIRE. URGENT!

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Quel lien y a-t-il entre saint Dominique et le Rosaire ?

La combinaison du « Je vous salue Marie » avec la réflexion sur la vie du Christ est l’essence de la dévotion du Rosaire.

https://rosarycenter.org/fr/the-rosary-and-st.-dominic

Pourquoi prier le Rosaire ?

A Fatima Marie a insisté sur la nécessité de cette prière.

 « Je suis du Ciel… récitez le chapelet tous les jours pour obtenir la paix pour le monde. » Cette parole de la Sainte Vierge à sœur Lucie de Fatima, le 13 mai 1917, nous met face aux vrais enjeux de notre temps : le chapelet quotidien et les sacrifices de trois enfants ont pu stopper en quelques mois la Première Guerre Mondiale ! Des enfants qui prient et qui offrent tout avec ferveur sont plus puissants que de redoutables armées. Retrouvons-nous ce jeudi 8 août pour prier en live le Chapelet avec les mystères lumineux de la Vierge Marie à 19H30 (Heure de Paris) avec la Fraternité NDML depuis le liban #rosaire #chapelet

«Ces terroristes pensent qu’en brûlant nos églises et nos structures, ils détruiront le christianisme. Mais cela n’arrivera jamais», affirme Mgr Dashe. «Cela prendra peut-être quelques mois et même quelques années. Mais à la fin, nous dirons: Boko Haram a disparu». Il en est même convaincu, «C’est la prière, et surtout celle du rosaire, qui va nous libérer des griffes de ce démon, le démon du terrorisme».

https://www.versdemain.org/articles/terrorisme-revolution/item/c-est-le-rosaire-qui-va-nous-liberer-de-boko-haram

Plonger dans la prière pour recevoir l’Esprit Saint, par le biais du rosaire, est-ce trop simple ?

🙏 La prière du chapelet :

-Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal. Amen

-Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen

-Ave Maria, gratia(e) plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui Iesus. Sancta Maria, mater Dei, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis nostrae. Amen.

Saint Joseph, nous nous tournons vers toi avec confiance, prends soin de nos familles, ainsi que de nos besoins matériels et spirituels. Nous savons que tu nous entends et nous te remercions d’avance. Amen

Saint Michel, Sois notre soutien dans le combat et défends-nous contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu réprime son audace, nous le demandons humblement. Et toi, Prince de l’armée céleste, refoule en enfer par la puissance divine, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour perdre les âmes. Amen

Réunissons-nous pour prier. Dans beaucoup de pays, il est impossible de pratiquer paisiblement la foi chrétienne.

  https://www.youtube.com/watch?v=uGBeETjDu1A

https://www.facebook.com/reel/449833361383980

C’est urgent : Répandons la pratique du Rosaire dans nos communautés familiales et religieuses.

Dans notre petit groupe de prière qui se réunit une fois par semaine,  nous méditons la Parole de Dieu de différentes façons et notamment avec le chapelet NDML enregistré sur cassette.

Demandons la grâce de la prière pour devenir une armée de priants. 

CANTIQUES

https://www.facebook.com/lelapinbleudecoolus

08 N’aie donc pas honte de rendre témoignage à notre Seigneur, et n’aie pas honte de moi, qui suis son prisonnier ; mais, avec la force de Dieu, prends ta part des souffrances liées à l’annonce de l’Évangile. https://www.aelf.org/bible/2Tm/1

La relation de l’esprit au corps. (Résurgences)

https://www.aelf.org/2024-07-28/romain/messe

Je vous propose de refaire l’exercice auquel nous nous sommes adonnés, il y a quelques semaines, à savoir examiner différents niveaux de lecture que l’on peut donner à ce miracle important qu’est la multiplication des pains.

Le premier niveau est toujours la lecture littérale du texte. Jésus a effectivement, à partir de cinq pains et deux poissons, miraculeusement fait apparaître de la nourriture pour une foule considérable. Il faut sans doute avoir la foi du charbonnier pour le croire, mais ça reste un niveau de lecture intéressant qui questionne notre aptitude à recevoir l’inouï de Dieu : croyons-nous que Dieu puisse littéralement faire des choses incroyables ? Et dans quelle mesure ? La lecture littérale nous rappelle toujours que notre esprit, quand il médite ces textes, doit pleinement s’ouvrir à l’inattendu, l’inouï, l’inespéré, l’incroyable, au coté profondément miraculeux de la sollicitude de Jésus à notre égard.

Une autre lecture serait de penser que le geste du jeune garçon qui offre spontanément à Jésus les vivres qu’il possède a provoqué un élan de générosité, que d’autres à sa suite se sont mis à partager le pain qu’ils avaient gardé par-devers eux, à la foule affamée. L’inouï du miracle serait ici la rupture des égoïsmes, du chacun pour soi, dans un prodigieux élan collectif de générosité. C’est déjà une lecture christologique.

Une troisième lecture, à laquelle les textes d’aujourd’hui certainement nous invitent, serait simplement de constater que l’évangéliste veut faire un rapprochement entre Jésus et le prophète Élisée. Comme lui, Jésus a des disciples auxquels il enseigne, comme lui il multiplie les pains, comme lui, il guérit les lépreux – on se souvient notamment de Naaman. Cependant la comparaison des deux trouve des limites : Élisée fait beaucoup de politique, ce que Jésus ne fait jamais. La finale de l’Évangile d’aujourd’hui est d’ailleurs explicite à ce sujet.

Autre niveau de lecture, qu’on pourrait qualifier d’ecclésial ou de sacramentel : le miracle de la multiplication des pains que nous rapporte l’Évangile symbolise l’Eucharistie qui, partant du dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, s’est multipliée de proche en proche, de communauté en communauté, jusqu’à nourrir des foules innombrables au fil du temps. Le miracle de la multiplications des pains par Jésus serait alors l’anticipation de la diffusion miraculeuse du christianisme constatée à l’époque où les Évangiles sont rédigés, à savoir quelques cinquante à septante ans après les événements qu’ils relatent. En temps de persécution, il s’agirait d’une manière discrète de dire que les eucharisties – et donc les communautés – se multiplient. Dans ce contexte, l’image des douze paniers qui débordent symbolise les apôtres.

Il y a sans doute quantité d’autres lectures à donner, notamment en s’interrogeant sur la symbolique des nombres : pourquoi cinq pains et deux poissons ?

Mais la lecture la plus profonde est la lecture spirituelle voire mystique qui fait de la parole de Dieu une nourriture, au sens littéral. Je crois profondément qu’autant il y a des paroles qui nous blessent et, petit à petit, nous tuent, autant il y a des paroles qui nous nourrissent, nous retissent, qui littéralement nous reconstituent le corps. Je crois d’ailleurs que c’est le sens premier de toute parole de réconfort : certes, agir sur l’état d’esprit, mais aussi agir sur le corps.

D’ailleurs, Dieu ne demande-t-il pas au prophète Ézéchiel (2,8 – 3,4) de littéralement manger un rouleau de l’Écriture. Je crois fondamentalement que la parole de Dieu a un impact tant sur notre esprit que sur notre corps. De même que l’Eucharistie parle aussi à notre esprit, de même la Parole de Dieu est aussi nourriture.

Derrière cette interprétation se trouve toute la question de la relation entre le corps et l’esprit ; ce qu’on appelle en philosophie le problème corps-esprit (Mind-Body Problem). Notre époque tend à radicalement dissocier les deux alors que, pour notre religion, corps et esprit sont intiment dépendants, intimement liés, au point de ne plus faire qu’un à la Résurrection, en Corps spirituel (I Corinthiens 15, 37-49).

Ce sont des questions philosophiques importantes qui nous aident à comprendre beaucoup de concepts de notre religion : l’incarnation, la présence réelle de Dieu dans l’Eucharistie, l’action concrète de Dieu sur notre esprit et notre corps, la relation entre nos états d’âme et l’état de notre corps, …

Enfin, si on fait la somme de toutes ces interprétations – car ce qui est intéressant, c’est de les croiser entre elles pour mesurer toute l’épaisseur du texte – on conclut que l’Évangile, aujourd’hui, nous invite à considérer le caractère proprement inouï, l’aspect profondément miraculeux de l’action de la parole de Dieu sur notre corps.

Les philosophes savent que le problème Mind-Body est une source de questionnements sans fin, que la relation du corps et de l’esprit restera toujours quelque part un mystère. Le propos de l’Écriture est ici de dire qu’au cœur de la relation entre notre corps et notre esprit, il y a l’action nourrissante de la parole de Dieu.

— Fr. Laurent Mathelot OP

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Frère Paul-Adrien est dominicain lui aussi, comme Laurent Mathelot.

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