Lors des funérailles à l’Eglise, il y a lieu de choisir entre :
-la célébration de bénédiction: sans communion.
–La célébration avec communion: Eucharistie (=messe).
Voici le document envoyé par l’évêché (de Tournai) à l’attention des familles.
Pourquoi ne pas toujours faire des funérailles avec une Eucharistie?
Il faut savoir que, lors d’une Eucharistie, le prêtre consacre une hostie (du pain) qui devient le Corps de Jésus et du vin qui devient le Sang de Jésus! Certains l’ignorent et s’approchent pour recevoir la sainte Hostie consacrée sans être en état de grâce. Pour être en état de grâce il est utile de confesser ses péchés. Avoir de la haine contre son frère est un grave péché. Avant de communier, il faut avoir tenté la réconciliation.
23 Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande à l’autel, si, là, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, 24 laisse ton offrande, là, devant l’autel, va d’abord te réconcilier avec ton frère, et ensuite viens présenter ton offrande.
Bref, des funérailles à l’église sans Eucharistie est une bonne solution pour les familles qui se déchirent. Un prêtre ne devrait pas encourager la communion mais plutôt mettre en garde contre le péché de communier sans préparation du coeur.
NB: Des prêtres invitent les croyants à participer à la messe pour les défunts le dimanche suivant ou en fin de mois … (annexe: sanctuaire de Montligeon)
Bien des personnes ne sont pas conscientes que Jésus est présent dans l’Hostie consacrée. Pour tenter de pallier à cette carence, Jésus répond par des miracles eucharistiques, comme ceux-ci.
N’attendons pas d’être en fin de vie pour nous remettre entre les mains de Dieu.
« Il est important de savoir regarder les choses par rapport à l’éternité. »
Puisque la vie est courte par rapport à l’éternité, qu’attendons-nous pour préparer notre au-delà? Dès aujourd’hui, nous pouvons nous abandonner à la Miséricorde de Dieu et il nous aidera à faire la vérité avec nous-mêmes. Nos beaux diplômes, notre compte en banque, notre prestige, tout cela ne comptera pas dans la balance. (cfr annexe: article concernant Gloria Polo)
Pensons-y bien :
Beaucoup de premiers seront derniers, et les derniers seront les premiers.
Lors des funérailles, les chants chrétiens ont pour but de nourrir l’espérance des familles qui ont perdu un être cher. Aussi est-il bon de bien les choisir. En voici quelques-uns parmi tant d’autres.
Fabrice Di Vizio a une vision sur l’avenir. Très intéressant! Prenons-en tous de la graine!
Au lieu de nous plaindre sans cesse de l’évolution du monde, il est préférable de mettre en lumière les signes d’ESPERANCE que nous découvrons. Et CRÉER nous-mêmes les moyens de faire face aux grands défis actuels : l’éducation des enfants, la santé, l’instruction, la production alimentaire, une information véritable, sérieuse…
Contre la suppression de la liberté d’expression : Cyril Hanouna et Jordan Bardella se mobilisent.
Quand TicToc est au service de la paix, c’est génial !
Servir la paix est l’affaire de tous. Les influenceurs ont du boulot!
Abdul Sitar Edhi et son épouse, Bilquis Edhi, des humanitaires au grand cœur !
Ils ont créé et développé la fondation Edhi, un réseau d’assistance sociale et médicale qui vient en aide à tous les Pakistanais sans distinction de communauté ou de religion.
Dans un tel pays où la femme trouve difficilement sa place, c’est un fameux défi qu’ils ont relevé, ce qui n’a pas manqué de leur amener de la persécution.
A la suite de son père, Malala Yousafsay a relevé un fameux défi dans ce pays : permettre aux filles l’accès à l’instruction.
02 Qui élève bien son fils en retirera des satisfactions ; devant ses relations, il en sera fier. https://www.aelf.org/bible/Si/30
21 Ne te laisse pas aller à la tristesse, ne te tourmente pas pour tes projets. 22 La joie du cœur fait vivre l’homme, et la gaieté prolonge la durée de ses jours. 23 Divertis-toi, réconforte ton cœur, et chasse loin de toi la tristesse ; car la tristesse en a perdu beaucoup, elle ne sert à rien. 24 Jalousie et colère abrègent la vie, les soucis font vieillir avant l’heure. https://www.aelf.org/bible/Si/30
Quand une association nous confie une personne en difficulté, il ne faut pas agir seul mais en lien avec d’autres.
Quand on ne connait pas la personne qui va venir partager notre vie de famille, il y a un lâcher-prise qui fait peur. C’est par la confiance en Dieu que l’on marche mais la vigilance reste de mise.
-Il faut être plusieurs pour bien encadrer la personne. Ne pas agir seul. Lors d’une maladie sérieuse, mon mari ne trouvant pas le temps d’intervenir, j’ai lâché la main de la personne accueillie. J’aurais dû demander conseil auprès de l’association qui nous l’avait confiée. Celle-ci aurait pu faire passer le relais.
-Dans le cas de Sandrine, quand elle a quitté notre maison, elle a fait sa vie mais tout en boitant. Nous n’avions plus de contact avec elle et quand j’ai appris qu’elle avait mis fin à ses jours, j’ai éprouvé une grand regret de ne pas l’avoir gardée chez nous ainsi qu’elle me l’avait demandé : « Je voudrais que vous m’adoptiez ». Elle était vraiment sans famille. Elle se plaisait tellement bien chez nous. C’était un plaisir de la voir heureuse. Elle apportait de la joie à notre maisonnée. Bon, voilà, les regrets ne servent à rien mais je partage ce témoignage afin d’encourager les personnes qui accueillent à « aimer jusqu’au bout » en se mettant vraiment à l’écoute des personnes. Ne pas décider à leur place.
Le Souffle de Vie souhaite être tenu au courant de ce que vit la (future) maman qu’il place en famille. Ainsi, quand l’une d’elles a eu son bébé, elle est repartie vers la ville et là, à nouveau grâce au Souffle de Vie, elle a reçu le soutien d’une autre famille, une famille de parrainage. 30 ans plus tard, nous sommes toujours en contact étroit avec cette maman.
Un jour, par l’intermédiaire d’une visiteuse de malades à l’hôpital, nous avons accueilli une maman qui venait d’accoucher et ses enfants, une famille en décrochage de la société, SDF. Chez nous, la dame ne voulait pas du tout participer aux petits travaux de la vie quotidienne : « Je ne suis pas votre esclave ». Elle passait son temps à fumer et boire du café. Ça ne pouvait pas durer. Le CPAS ne leur cherchait pas de logement à la famille. Que faire ? Grâce à l’aide financière d’un bon prêtre, nous les avons installés dans un gite rural et avons prévenu le CPAS que nous ne les reprendrions pas chez nous. Malgré les rouspétances du CPAS, la décision était prise, la page était tournée.
NB : Les problèmes liés à la grossesse n’arrivent pas qu’aux autres. Le Souffle de Vie intervient aussi pour éclairer les futures mères en difficulté des familles d’accueil.
Merci à Jacques et Micheline Philippe pour leur vie toute donnée à cette belle cause.
Les chrétiens sont des gens ordinaires qui, quand ils vivent des choses difficiles, puisent leur énergie dans la foi en Jésus-Christ.
Parce que Dieu les a consolés dans leur détresse, les disciples de Jésus ont le désir d’aider les autres à faire face eux aussi aux grands défis de la vie avec ESPERANCE.
Pape François: « Je vois l’Eglise comme un hôpital de campagne après une bataille. Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol ou si son taux de sucre est trop haut! Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. »https://www.cathobel.be/2024/04/francois-le-pape-qui-aimait-lhopital/
Jésus frappe à la porte de notre cœur. Allons-nous l’inviter à entrer:
« Jésus j’ai besoin de toi. »
Témoignage : d’une triste vie enfantine à une vie en paroisse épanouie.
J’ai toujours eu une vie un peu triste.
Mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée chez les sœurs et puis je me suis mariée et j’ai eu des enfants, et puis mon mari est parti, on s’est séparé, et j’ai été un peu par-ci, par-là chercher le bonheur… que je croyais trouver mais je ne l’ai jamais trouvé avec les hommes.
Charleroi, église des Jésuites.
Mathilde me disait toujours : « Viens à Charleroi, à la prière » mais c’était loin et je n’y allais pas, et puis un jour, il a bien fallu dix ans, j’ai dit : « Oui j’y vais ! » Mathilde me dit encore bien : « Si tu t’ennuies, tu iras fumer ta cigarette ! »
Et là, j’ai vraiment été frappée par le chant : « N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ. » Moi, j’ai toujours cru que le Seigneur m’en voulait de ma vie –je ne vais pas dire de débauche- mais quand même, je cherchais maladroitement après le bonheur, et voilà ! Je croyais que le Seigneur m’en voulait à cause de tout cela. Je croyais que le Seigneur ne me regardait déjà plus puisque j’avais péché. Je savais que j’avais péché !
Pourquoi cette chanson-là m’a-t-elle frappée ? C’était ma vie qui se déroulait ! C’est comme si le Seigneur me disait dans cette parole-là : « N’aie pas peur, je suis là ! » Mais c’est la confession qui me sauvera.
Pendant le chant, j’ai commencé à pleurer et j’ai compris que le Seigneur m’aimait telle que j’étais, mais il me demandait, à moi, de me renouveler, de devenir propre. Je suis allée à la confession –j’ai eu dur, hein !- et quand je suis revenue à ma place j’ai senti que j’étais légère, libérée d’un poids qui était resté là depuis des années. Je me suis sentie renouvelée. J’ai compris à ce moment-là que la vie que j’avais avant n’avait plus de sens, que c’était le Seigneur qui rentrait quelque part dans ma vie et qu’il prenait la place d’autres rencontres que j’aurais pu encore faire.
Je me compare toujours à Marie-Madeleine, depuis que je suis allée à Charleroi… On ne sait pas tout. Dans la religion on nous a dit tellement de choses, que le péché c’était grave ! Mais on n’a pas assez insisté sur le fait que, du péché, on peut être pardonné et que tout devient nouveau en nous. C’est à Charleroi que je l’ai appris.
Il y avait bien dix ans que je n’ étais plus allée à la confession, parce que je ne m’en sentais plus digne. C’est comme quand quelqu’un doit aller demander pardon, il lui faut du courage, eh bien avec le Seigneur, c’est pareil !
Grâce à la confession, j’ai aussi compris qu’il faut pardonner ! Pardonner de la vie qu’on a eue car il y a des gens qui ne sont pas gentils. Grâce au fait que j’ai été pardonnée à la confession, j’ai pu moi-même pardonner. Je ne dis pas que je pardonne tout le temps ! Grâce au fait que le Seigneur m’avait pardonné, là aussi je pouvais pardonner. Je connais beaucoup de gens qui ne savent pas pardonner. Et j’ai mal pour eux ! Dans mes prières je leur dis : « Vous seriez si légers si vous pardonniez ! »
Le Seigneur, je le connaissais déjà avant la réunion de prière à Charleroi, mais je l’avais un peu oublié. Maintenant je suis contente de l’avoir rencontré. Je ne dis pas que la vie est devenue facile, mais j’ai compris beaucoup de choses et quand on a le Seigneur dans sa vie, on est heureux, on n’est plus tout seul. C’est surtout ça !
Ce qui m’aide beaucoup c’est que le Seigneur est vivant. Il m’aide toujours. Il est près de moi. Bien-sûr, il est pour tout le monde, il sait se donner à tous ! Il ne demande que ça !
Dans le passé, on a été malheureux, mais peut-être qu’il a fallu passer par là pour être ce qu’on est aujourd’hui. Si j’avais eu une belle vie, si j’avais tout eu, peut-être que je n’aurais pas ce que j’ai aujourd’hui. Il a fallu que je passe par tout ça ! Et ensuite pour te remettre sur le bon chemin, il faut que tu rencontres quelqu’un qui t’y mette sur le bon chemin. J’ai eu cette chance-là ! Ou alors parfois tu restes toujours sur le mauvais chemin. Je pense à la vie de saint Augustin. Il s’est beaucoup amusé et puis après il est devenu un saint.
Un jour, avant une réunion de prière charismatique à Beaumont, Brigitte est venue vers moi, quand j’étais encore dans la voiture, et elle m’a dit : « Eliane, comme tu aimes le Seigneur ! » Or on se s’était plus vue depuis des années, longtemps avant ma conversion et la sienne! Je lui ai dit : « Pourquoi ? Comment le sais-tu ? » Elle me répondit : « Je sens l’amour que tu as pour le Seigneur ! » Je t’assure que j’ai été étonnée ! Pendant la prière, j’ai compris qu’elle avait l’Esprit de Dieu en elle ! Elle est envoyée… J’ai alors compris que l’amour de Dieu peut transparaitre dans les autres.
Quand j’étais jeune, Je voulais être religieuse.
Quand j’étais au home, j’allais à des retraites, par exemple. La sœur ne m’a jamais poussée à la vie religieuse ; elle me disait : « quand tu rencontreras quelqu’un, tu verras… ». Quelque part elle a eu raison car quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, là, comme j’étais dans un home et qu’on n’était pas fort aimé, je me suis sentie aimée par lui et l’on s’est marié. Mais je pense que si la religieuse m’avait poussée vers la vie religieuse, j’y serais allée, car j’ai toujours eu un regret. Ca m’a toujours suivi. Quand j’étais petite, on a toujours eu beaucoup de problèmes dans ma famille, et j’avais dit : « Seigneur, si tu me sors de là, je t’offre ma vie. » Il m’a sorti d’un pas très difficile quand nous sommes entrés au home mais je n’ai pas fait ce que j’avais promis. Quand j’ai revu ma belle-mère longtemps plus tard, elle m’a dit : « J’avais toujours cru que vous auriez été une nonette ! » A cette époque ; quand j’étais enfant, j’étais un peu comme maintenant, j’aimais le Seigneur.
Et puis il y a eu la vie ! C’est comme les jeunes maintenant. On ne vit pas avec le Seigneur même si on est marié chrétiennement. Maintenant avec le temps je me dis que je n’étais peut être pas faite pour me marier. Bon j’ai mes enfants, je les aime très fort, mais je me dis que ma vie ce n’était pas ça ! Je suis née sous une mauvaise étoile et j’ai toujours pensé que je ne m’en sortirais pas. Or je me suis toujours sortie de choses très difficiles. On a revendu deux fois ma maison. Le Seigneur m’a beaucoup comblée. J’ai beaucoup de grâces. Je dois beaucoup le remercier. C’est pourquoi j’accepte de témoigner aujourd’hui.
Grâce au Seigneur j’ai su arrêter de fumer. Voilà comment.
J’ai une petite fille qui est née fort avant terme et il me semblait que je n’aurais jamais la garde de la petite si je continuais à fumer car elle était fragile et sa maman ne voudrait pas qu’elle respire l’odeur de la fumée de ma maison. Je m’étais dit dans ma tête : je vais arrêter de fumer. J’avais déjà essayé plusieurs fois mais je n’y arrivais pas. Alors j’ai eu l’idée de cacher ma cigarette derrière le Sacré-Cœur dans ma chambre. Chaque fois que j’y allais, -et j’y allais souvent car j’avais besoin de ma cigarette-, je disais au Seigneur : « Non, Seigneur, je ne fume pas, je te fais plaisir, je ne fume pas, … » Mais je n’y arrivais pas. Ma dernière cigarette, ce fut un moment spécial, (car la cigarette c’était important pour moi), je dis au Seigneur : « Cette fois c’est la dernière, tu vas m’aider ! » Et il s’est passé quelque chose, comme si le Seigneur entrait en moi ! Et maintenant je ne fume plus. Ça fait deux ans et demi que je ne fume plus !
Pour moi, l’Eglise a toujours été ma famille.
J’y ai rencontré Marie-Louise. C’est une dame que j’ai prise en amitié comme une grand-mère puisque je n’ai jamais connu mes grands-mères. Le jour où j’ai appris qu’elle était décédée, justement il y avait une réunion paroissiale et on avait prié pour Marie-Louise, et j’ai commencé à pleurer, car là j’avais perdu quelqu’un de fort cher à mon cœur. C’était une grande dame ! Pour moi, l’Eglise, c’est ma famille.
Et puis il y a Thérèse. Pour moi, c’est une sainte ! Je n’ai jamais vu Thérèse en colère. Je n’ai jamais vu Thérèse élever le ton. C’est rare, hein ? Elle est un exemple !
Il y a maintenant beaucoup moins de gens à l’église, l’Eglise est beaucoup plus petite, mais je crois que c’est plus vrai. J’y sens l’amour. Le dimanche je vais à la messe, j’y vais pour le Christ mais j’y vais aussi pour voir mes frères et sœurs de l’Eglise. Le Seigneur l’a quand-même dit : « Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. »
J’ai reçu une statue de la sainte Vierge qui appartenait à Marie-Louise. Et je pense à elle en la regardant. Avant j’avais sa photo mais ça me faisait trop mal. J’ai retiré la photo. Maintenant quand je vois la statue, je vois Marie-Louise, heureuse au paradis !
Lourdes.
Un jour, j’ai eu l’occasion d’aller à Lourdes parce qu’une amie, Mireille, avait gagné un voyage avec « Les amis de Lourdes » et elle me donnait son billet, mais je ne me sentais pas la permission d’y aller car je ne faisais pas partie de la famille des « Amis de Lourdes » J’ai demandé à monsieur l’abbé Moreau ce qu’il en pensait. Il m’a retourné la question. Je lui ai dit que Mireille faisant partie de la famille de l’Eglise, il me semblait que j’avais le droit d’y aller à sa place. Il m’a répondu que si je le prenais comme ça, je pouvais y aller. Et donc, grâce à Lourdes, j’ai compris que la famille chrétienne était encore beaucoup plus grande que je le pensais.
Avant Lourdes, je ne connaissais pas bien la Vierge Marie. J’ai appris à la connaitre grâce à Mireille. Avant je ne la connaissais que comme maman de Jésus et je ne lui demandais jamais de grâces. C’est grâce à Mireille qui m’a donné beaucoup de documentations sur Marie que tout doucement j’ai appris à mieux connaitre Marie, qu’elle avait un cœur d’or et qu’on pouvait lui parler comme à une maman. Mais quand je suis allée à Lourdes je ne savais pas ça. Si j’ai encore l’occasion d’aller à Lourdes, j’irai avec un autre cœur.
A Lourdes j’y suis allée avec mon copain,
…mais je dois dire que je n’ai pas ressenti les choses comme si j’y étais allée toute seule. Je ne peux pas le certifier, mais je pense que j’ai été aidée à quitter mon copain. J’ai compris qu’il n’était pas heureux, il rouspétait tout le temps, moi, je n’étais pas heureuse non plus, or le Seigneur ne demande qu’une chose, c’est que les gens soient heureux. Si on n’est pas heureux avec quelqu’un (qui n’est même pas son mari), il ne faut pas rester avec lui pour être malheureux. Tout le monde me disait : « Il vaut mieux être seule que mal accompagnée », mais je me voyais partie pour toute la vie avec ce monsieur-là. Mais le Seigneur le voyait autrement. J’ai dit à mon copain : « Il est temps de s’arrêter un moment et de voir ce qu’on fait de nos vies. » Je voyais que je ne le rendais pas heureux alors qu’il y avait tant de gens à aider dans la paroisse et depuis que j’étais avec lui, je ne savais plus m’absenter. D’avoir eu le courage de dire à cette personne que c’était fini, c’est peut-être une grâce de Lourdes. Et maintenant, grâce à ça, je m’occupe du catéchisme, j’essaie de faire tout ce que je peux pour la chorale, …. C’est surtout pour le Seigneur que je le fais. Le Seigneur a pris une très grande place dans ma vie et je ne saurais plus vivre sans lui.
Quand on fait entrer Jésus dans notre vie, on ne sait plus le faire partir.
Moi je ne saurais plus vivre sans le Christ. Il a tellement pris une place importante ! Lui s’est mis aussi dans ma vie. Si tous les gens pouvaient croire que Jésus est tellement vivant aujourd’hui, comme le monde serait beau ! Parce que le monde, il va mal ! Mais il va mal aussi parce qu’on s’éloigne de plus en plus de Jésus. A cause du manque d’amour ! L’argent a tellement pris un pouvoir ! Ce qui est gratuit n’est jamais accepté. Quand on achète quelque chose, il est à nous. Mais l’amour, comme il est gratuit, ça n’intéresse pas ! Mais je sais que l’amour de Dieu est immense.
Je n’arrive pas à témoigner auprès de mes enfants. Je parle de ma foi, ils comprennent que l’Eglise c’est ma famille aussi. Ils ne se moquent plus de moi. Je suis comblée par la foi que le Seigneur m’a donnée.
Les sept semaines du Renouveau Charismatique.
Quand il y avait eu les 7 semaines, Mathilde m’y avait invitée avec mon mari qui venait de revenir à la maison. Elle me disait : « Viens ! ça te fera du bien et à ton mari aussi ». On y est allé trois fois, mais ça n’a pas été. Je n’ai rien ressenti. On attendait peut-être quelque chose trop vite et on n’a rien eu. Il y a un temps pour tout. Moi, c’est à Charleroi que Jésus est vraiment entré dans ma vie et maintenant il est toujours près de moi.
03 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. 04 Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. https://www.aelf.org/bible/2Co/1
Frères, … Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, car vous aussi, vous avez un corps. Que le mariage soit honoré de tous, que l’union conjugale ne soit pas profanée, car les débauchés et les adultères seront jugés par Dieu. (…) Le Seigneur est mon secours, je n’ai rien à craindre ! Que pourrait me faire un homme ?https://www.aelf.org/2025-02-07/romain/messe
TEMOIGNONS TANT QUE C’EST POSSIBLE. En terre d’islam, c’est souvent passible de persécution, voire de mort.
Et si on priait avec la fraternité NDML …
ANNEXE.
Pape François: «La famille est le premier lieu où l’on apprend à aimer»
N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ Laisse-toi regarder car il t’aime (bis).
1.Il a posé sur moi son regard, un regard plein de tendresse Il a posé sur moi son regard, un regard long de promesses.
2. Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens et suis-moi « . Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens, ne crains pas « .
3. Il a posé sur moi son regard, et ses yeux en disaient long Il a posé sur moi son regard, c’était celui du pardon.
4. Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il pleurait Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il m’aimait.
Tellement de fois Tu m’as tendu la main Mais j’ai tourné le dos Parce que je ne pensais pas que tu avais ce dont j’avais besoin Et maintenant tu es tout Tu es tout pour moi Et je ne peux pas être sans toi, Dieu Tu es tout Et je veux dire merci J’étais perdu et tu m’as trouvé j’étais mort à l’intérieur Et tu m’as insufflé Et tu as donné vie à ces os je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvé Merci de m’aimer inconditionnellement, Dieu Tu es resté les bras ouverts Mais je me suis enfui Parce que j’avais peur de la douleur qui venait avec la confiance Mais je suis revenu en courant Dans ton étreinte Parce que je savais que tu serais toujours là Tu ne me quitterais jamais, Dieu Et je veux dire merci
Début décembre, une invitation a été lancée à fêter Noël, le vrai Noël. C’est de vive voix que l’appel s’est répercuté tous azimuts et aussi via les réseaux sociaux et les abonnés aux événements de l’Eglise locale.
Le 27 décembre, ce fut dans la joie que nous avons fêté Noël, pas celui du père Noël qui est une invention de marketing. C’est le vrai Noël qui nous a réunis, jeunes et vieux, le NOËL qui évoque la naissance de Jésus, avec Marie pour mère et Joseph comme père nourricier de Jésus.
Oui, il faut le dire : Marie a conçu Jésus tout en restant vierge grâce à l’action directe de Dieu. Même les Musulmans le reconnaissent. Non, Joseph n’est pas le père biologique de Jésus. Jésus est donc bien fils de Dieu puisqu’il n’est pas le fils d’un homme. Là, les Musulmans ne sont pas d’accord avec les Chrétiens. Comment peuvent-ils donc expliquer la naissance de Jésus ? D’autre part qui peut mieux parler de Jésus si ce ne sont les chrétiens qui le vénèrent depuis plus de 2000 ans?
Tout cela a été évoqué simplement. Pas de grand discours de théologien ni même de catéchiste, mais de simples évocations, de simples propos de mamans, grands-mamans pour qui la foi chrétienne est précieuse, une question de vie, de sur-vie !
Puisque les vacances nous donnent l’opportunité à nous, grands-parents, de transmettre notre foi de façon toute simple, (quand cela est permis par les parents de nos petits-enfants), saisissons l’occasion pour présenter la foi chrétienne, cette belle foi qui parle des merveilles du Seigneur, des beautés de la création et aussi des beautés du cœur humain quand Dieu y est présent: Oui, la foi chrétienne nous pousse à aimer Dieu ET nos frères et sœurs en humanité, quels qu’ils soient … ce qui n’est pas gagné d’avance, c’est un combat de tous les jours contre l’égoïsme, l’orgueil, la suffisance …
A Chimay, c’est dans un endroit privilégié (une abbaye) que nous nous sommes réunis, mais, quand on est peu nombreux, en famille, une simple maison fait l’affaire.
Une vidéo est censée faciliter la tâche. Aussi pour présenter le Noël chrétien, je me suis mise en recherche sur internet … mais quelle difficulté pour trouver ce qui convient!
« J’ai peut-être ce qu’il faut, le film « Nativité », me dit mon frère. « Je voudrais le visionner » » Il n’est pas sur YouTube », me dit mon frère. Nous regardons le film, il y a de belles scènes, c’est vrai, mais cette vidéo ne convient pas pour des enfants. Il y a trop de violence*. Mon frère y fera de nombreuses coupures. Entretemps, j’ai trouvé une autre histoire de Noël, cette fois en dessins animés. Il sera présenté chez les Trappistines. Quant au film « Nativité » il sera visionné quelques jours plus tard, à l’église du village.
*En effet, ce film évoque la réalité politique au temps de Jésus. Les Romains crucifiaient les opposants à leur politique colonialiste, et on voit çà! On voit aussi Hérode, le roi des Juifs qui veut se débarrasser de Jésus, le « Roi des rois ». Il ordonne le massacre de tous les petits enfants de Bethléem afin de se débarrasser d’un concurrent. (Il ne sait pas, Hérode, que le Royaume que Jésus vient installer sur terre n’est pas temporel mais spirituel.) On y voit des Nazaréens qui souhaitent que Marie soit mise à mort car enceinte hors mariage. C’est là une erreur historique. Cela ne s’est pas passé comme cela selon saint Luc. Ma sœur me fait aussi remarquer que Maria Valtorta* évoque la naissance de Jésus avec quelques différences par rapport au film.
*Cette mystique la décrit dans son œuvre : « L’Evangile tel qu’il m’a été raconté. ». Cette œuvre est contestée mais beaucoup de personnes en tirent un grand profit. A chacun de décider librement …
Déroulement de l’après-midi :
-Un chant de Noël, vidéo sous-titrée à l’appui.
-Une prière à l’Esprit Saint
… pour ouvrir notre cœur aux choses de Dieu : Oublier un peu les cadeaux, les marchés de Noël et ainsi plus facilement penser à Dieu.
« Viens Esprit de Dieu (Viens Esprit Saint), viens Esprit de Lumière (Viens Esprit de lumière…) , viens nous rassembler dans la fraternité. (…)
Deux courtes lectures bibliques :
Le prophète Isaïe a vu les choses à l’avance, environ 800 ans avant la naissance de Jésus. Il a annoncé la naissance de l’Emmanuel, Dieu-avec-nous. D’autres prophètes ont eux aussi prédit la venue d’un Messie.
14 C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici que la vierge est enceinte, elle enfantera un fils, qu’elle appellera Emmanuel (c’est-à-dire : Dieu-avec-nous). https://www.aelf.org/bible/Is/7
05 Oui, un enfant nous est né, un fils nous a été donné ! Sur son épaule est le signe du pouvoir ; son nom est proclamé : « Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort, Père-à-jamais, Prince-de-la-Paix ». https://www.aelf.org/bible/Is/9
La vie de Jésus parmi nous, ce sont des témoins, ce sont des apôtres qui en ont parlé. Ils ont rapporté ce qu’ils ont vu et entendu au sujet de Jésus. Lui-même n’a pas laissé d’écrits, préférant confier ce rôle à l’Eglise, épouse de l’Esprit Saint. Saint Jean raconte ceci:
Au commencement était le Verbe, la Parole de Dieu et le Verbe était Dieu … Dieu, personne ne l’a jamais vu ; c’est lui, Jésus, qui l’a fait connaître. https://www.aelf.org/bible/Jn/1
Oui, Jésus a toujours existé, dès le commencement du monde. Il est le VERBE fait chair. Même les Musulmans le reconnaissent.
Il est bon de prier pour comprendre la Trinité, Dieu à la fois « Père, Fils et Esprit-Saint » (Voir supplément)
58 Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : avant qu’Abraham fût, moi, JE SUIS. » https://www.aelf.org/bible/Jn/8
En route cette fois pour environ une 1 ½ heure de film!
Notez qu’un temps d’arrêt a été prévu pour rejoindre les religieuses à leur office. Cependant, une dame proposa alors : « Demandons aux enfants leur avis : qui veut aller prier à la chapelle avec les religieuses? Qui veut continuer le film ?» Un enfant lança : « Même au cinéma, il y a un entracte ! » D’un seul coeur, tout le monde s’est levé et s’est rendu à la chapelle … Erreur de ma part, les religieuses n’étaient pas là, la prière ayant été faite une demi-heure plus tôt !
Temps de prière à la chapelle.
Devant la crèche, nous avons prié simplement et chanté l’Ave Maria que certains connaissent déjà et un chant de Noël traditionnel. Nous avons aussi médité silencieusement.
Après la vidéo: temps de questions-réponses
Au sujet de ce que l’on vient de voir, un enfant ou un adulte pose une question ou fait une remarque, et un autre répond … C’est important de donner la parole à tout le monde. « Je n’aime pas d’aller à la messe, m’avait un jour dit une enfant de 5 ans, car on ne peut pas parler ! » Ici cette même fillette a saisi l’occasion pour s’exprimer. C’est génial.
Ensuite, nous avons partagé biscuits, petits gâteaux et boissons
Merci aux religieuses qui avaient préparé une petite restauration dans leur réfectoire et qui a complété ce que nous avions apporté.
De retour dans la salle,
… c’est le moment pour colorier, dessiner, papoter tout en écoutant ou en chantant des chants de Noël.
Pendant ce temps, deux personnes se sont mises d’elles-mêmes à faire le nettoyage de la vaisselle et des tables. Merci à elles !
Quid de l’avenir ? Va-t-on continuer de telles rencontres ?
« Pas trop souvent », me dit une maman, car les enfants pourraient se lasser. »
Je rejoins alors Jean-Michel, un catéchiste qui s’entretient depuis plusieurs minutes avec l’amie que j’ai amenée. Celle-ci me dit : « Il m’a parlé de Lourdes, il y a un film… » « Oui, Jean-Michel souhaite qu’on le passe, ce film ! » « Quand ? Tu viendras me chercher ? » « Bien sûr ! » Mon amie souhaite qu’il y ait une suite, sans tarder.
Oui, les gens ont soif de beau, de vrai. Soif de Dieu. Où trouver de belles choses qui donnent du sens à notre vie ? Pas dans les mille plaisirs du monde! Pas dans le bling-bling! Nous continuerons donc des après-midis comme celui-ci, lors de chaque vacance scolaire, tout en tenant compte que le dimanche ne convient pas à beaucoup de personnes: « C’est ce jour-là que nos enfants viennent nous rendre visite … et ils ne voudront pas venir avec nous. »
———————————-Conclusion———————————————————
Voilà, l’après-midi où l’on a fêté le VRAI NOËL s’est bien déroulé. Une dame de 89 ans est repartie le coeur en fête, une personne lourdement handicapée avait l’air heureuse elle aussi. Elle avait été amenée par une visiteuse de malades. Merci pour ce service rendu. Quant aux enfants, ils sont repartis avec leurs dessins. L’un d’eux, un « pas chrétien » me dit : «Je regrette qu’on ne soit pas allé à la chapelle prier avec les sœurs ! » « La prochaine fois, on ne manquera plus la prière ! »
De Bethléem à Zeithoun avec la famille de Jésus, Marie et Joseph.
Le film racontant la nativité de Jésus se termine par la fuite en Egypte de la Sainte Famille qui échappe ainsi à la persécution d’Hérode….
De retour chez moi, j’ouvre un livre trouvé il y a plusieurs années lors du déménagement de ma sœur ainée et que je n’ai jamais ouvert : « Les apparitions de la Vierge en Egypte 1968-1969 » de Michel Nil. Quelle aubaine! J’apprends que la Sainte Famille, dans sa fuite, s’est arrêtée à Zeitoun en Egypte pour y habiter. Et voilà qu’elle y revient ! C’est si beau !
Après une enquête sérieuse sur le lieu des apparitions, Michel Nil, un Français, raconte avec beaucoup de détails ce qui s’est passé à Zeitoun. Marie y est souvent apparue sur le dôme d’une église. Elle y a parfois été accompagnée de Jésus et même de Joseph. Michel Nil recueille de nombreux témoignage de personnes qui l’ont vue parfois pendant plusieurs heures! et de personnes qui ont été guéries.
Une question me taraude :
Pourquoi, après de telles manifestations surnaturelles, accompagnées de nombreuses guérisons, les Musulmans de ce pays n’ont-ils pas tous demandé à rejoindre l’Eglise copte catholique ou orthodoxe ? Ils ont supplié Marie de les guérir et beaucoup l’ont été, (NB: c’est Jésus qui guérit, à la demande de Marie!) or la plupart ne se sont pas remis en question; ils ont continué à mettre leur confiance en Mahomet, un personnage qui a fait de nombreuses guerres, épousé de nombreuses femmes … Quand on sait que « Zeithoun » signifie « olivier » et que cet arbre est symbole de paix, n’est-ce pas un signe du ciel appelant à la conversion en vue de construire la PAIX? Vraiment je me demande ce qu’il y a de beau dans le djihad, le califat … C’est de la violence au service des puissants, c’est tout!
Une parole de Jésus habite mon esprit :
« Quand il approcha de la ville et qu’il la vit, Jésus pleura sur elle et dit : si seulement tu avais toi aussi reconnu, aujourd’hui, ce qui peut te donner la paix ! Mais maintenant, cela est caché à tes yeux. Des jours viendront pour toi où tes ennemis t’entoureront d’ouvrages fortifiés, t’encercleront et te serreront de tous côtés. Ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où tu as été visitée. » Luc 19 : 41-44
Jésus pleura. Aujourd’hui, tous nous pleurons devant les dégâts que provoque l’installation du califat islamique qui dévaste le monde et les dégâts de l’état israélien en Palestine. Ha! Si toutes les personnes qui ont vu Jésus et/ou Marie en vision ou en songe, si ces personnnes donnaient leur vie à Jésus et décidaient de se mettre à son école en devenant chrétiennes, le ROYAUME d’AMOUR et de PAIX inauguré par Jésus grandirait rapidement.
Marie travaille pour son Fils Jésus et nous encourage à faire passer ses messages, à oeuvrer pour le Seigneur.
Remarquons que Marie a les mains jointes en direction de la Croix de son Fils.
C’est pour nous conduire à Lui qu’elle apparait çà et là. Et c’est par l’exemple qu’elle communique avec les humains, par ce qu’elle est. A Zeitoun, Marie n’a prononcé aucune parole et pourtant elle a conquis bien des coeurs de personnes de milieux différents, de religions différentes. Elle a guéri aussi bien des Musulmans que des Chrétiens. Quelle est notre réponse à tant de miséricorde?
Pourquoi le christianisme est-il tellement persécuté ?
Ne serait-ce pas parce qu’il met en lumière les vices des humains et qu’il appelle au changement, à la conversion ? La simplicité du coeur, l’amour de la pauvreté, de la dernière place, cette attitude ne plait pas aux faiseurs de guerre, aux gens assoiffés d’argent, de pouvoir, comme l’était le roi Hérode au temps de Jésus.
N’aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui. Tout ce qu’il y a dans le monde – la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, l’arrogance de la richesse –, tout cela ne vient pas du Père, mais du monde. Or, le monde passe, et sa convoitise avec lui. Mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure pour toujours.
Marie est elle-même signe de contradiction de l’esprit du monde
51 Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. 52 Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. 53 Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.