Face à l’incertitude du lendemain, bien des gens préfèrent fermer les yeux que de résister. « Je ne regarde plus la télévision, ça me déprime. » Je comprends cette position et en même temps j’affirme haut et fort que c’est irresponsable. Cela veut dire qu’on ne réagira pas, même face à l’inacceptable … Mais que vont devenir nos enfants si nous laissons faire ?
Pour l’instant, en France, il y a de grands débats niveau politique, niveau sociétal. D’un côté, il y a Macron, qui défend le wokisme et ne veut plus entendre parler des racines chrétiennes de la France, il y a aussi Mélanchon, le communiste, mais on sait que le communisme a fait des millions et des millions de victimes et il y a Bardela qui parle bien mais on ne voudrait pas qu’il tombe dans l’extrême.
Sur le plan religieux, c’est pareil, il y a de grands débats. Certains veulent revenir au passé, d’autres veulent tout changer. Informons-nous là aussi, A LA LUMIERE DE L’ESPRIT-SAINT !
Stop à la paresse intellectuelle ! Nous ne pouvons pas (ou plus) être des moutons accrochés à nos certitudes non éclairées !
Président Macron signe son adhésion au wokisme. Bardela réagit.
Quand on ne sait que faire, demandons à l’Esprit Saint de nous éclairer.
J’étais encore très jeune quand je me suis trouvée face à une situation intolérable. L’idée de suicide m’est venue à l’esprit et je l’ai repoussée. Chapelet en mains, j’ai alors goûté une très grande paix. Malheureusement, j’en suis restée là, je n’ai pas prié pour avoir la force nécessaire afin de réagir adéquatement. 50 ans plus tard, je regrette encore cette « lâcheté » et d’autres encore.
Nous sommes dans un tournant de civilisation. Ne laissons pas les dirigeants du nouvel ordre mondial prendre définitivement le contrôle de notre société. Au niveau de la foi, c’est pareil : Ne laissons pas les opposants au pape créer une nouvelle scission dans l’Eglise. Prions, prions l’Esprit Saint de nous éclairer et qu’il nous donne la force d’agir en conséquence, la paix dans l’âme.
Dès le début de l’Eglise, Jésus appela au changement d’idées, de mentalité; il appela à la « conversion ».
Pour Jésus, ce ne fut pas sans difficulté qu’il fit passer son message. Pour les apôtres qui prolongèrent son œuvre, ce fut aussi un combat spirituel, notamment concernant l’alimentation : Peut-on manger de tout ?
Peut-on manger de tout ? Cfr : Les « Actes des apôtres »
Posons-nous la bonne question : « Est-ce que je résiste à Dieu qui inspire l’Eglise ou bien est-ce que je résiste à mes caprices ? »
Père Jacques Pineault à l’abbaye Notre-Dame de la Paix à Chimay interroge notre conscience.
Quelques réflexions personnelles.
Des personnes, des mouvements voudraient tout rénover dans l’Eglise tandis que d’autres regrettent le temps passé, mais le Corps du Christ, l’Eglise, a grandi et il s’est élargi aux nations ! Il est bien normal qu’il change de « vêtements ». Mais SVP : ne touchons pas à l’ADN de l’Eglise, la Pierre sur laquelle elle a été édifiée tout comme nous devrions nous opposer à l’ARN messager qui vise à modifier l’ADN humain!!!
La structure de l’Eglise est sa colonne vertébrale. On peut modifier des choses de peu d’importance, mais pas l’essentiel, pas ses racines. Le pape est le successeur de Pierre, il est le berger que Jésus a choisi. Comment ne pas voir un signe de Dieu dans l’élection du nouveau pape?
L’Eglise est comme un bateau qui tangue d’un côté et de l’autre. Heureusement, on sait que cette embarcation arrivera au port, la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. Rassurons-nous : Jésus veille sur son épouse qui lui donne tant de frères et sœurs.
Oui, il y a des choses à changer, c’est certain mais il ne faut pas toucher à l’essentiel : la structure de l’Eglise.
Fait de vie : A la sortie de la messe où des enfants faisaient leur première communion, une maman immigrée venue d’un pays traditionaliste me dit à peu près ceci : « On ne se croirait dans pas une cérémonie religieuse. » Tout comme cette personne, j’étais très attristée : « Il y a trop de bruit, la sonorisation est mauvaise, ca ne favorise pas la méditation! … » Une ancienne me dit: « C’était mieux dans le temps quand on faisait les communions dans les villages. » « Je le pense aussi. »
Oui, il y a des « détails » à changer en l’Eglise, mais avec ce qui fait sa colonne : le pape, les évêques, … il faut être prudent pour ne pas amener une nouvelle scission dans l’Eglise. D’ailleurs chacun le sait : « Ensemble, on est plus fort. »
Voici une petite vidéo, un « short » du « catho de service » dont j’apprécie la sagesse.
Cantiques
ANNEXES
Lors de la guerre d’Algérie, les moines de Tibhirine ont dû DISCERNER et prendre une grande décision: quitter le pays ou rester auprès de la population pour continuer à l’aider. Même chose aujourd’hui à Gaza : des religieux ont le choix entre fuir le pays ou rester auprès de la population en détresse.
En écoutant le témoignage du père Elias Maalouf, lors de la guerre au Liban, je vois combien il a fallu de la réflexion pour qu’il échappe à l’ennemi.
Toute grande décision nécessite beaucoup de prière pour en arriver à discerner ce que Dieu, notre Maître, attend de nous.
Ce que j’aime en l’Eglise, ce sont ses appels incessants, pressants pour la paix.
Il y a une douzaine d’années, un Syrien demandeur d’asile m’a dit : « Au moins, le pape, il fait quelque chose pour la paix ! Les politiciens, ils ne font rien et la guerre dans mon pays ne s’arrêtera jamais» La guerre en Syrie a aujourd’hui 14 ans d’âge et il est impensable que le djihadiste arrivé au pouvoir n’amène la paix, sauf conversion à l’AMOUR! Pauvres gens !
Lors des apparitions de Marie à Fatima du 13 mai au 13 octobre 1917 …
Comme dans d’autres lieux d’apparitions (Medjugorje, Pontmain, …) la Vierge demande prières et sacrifices pour la PAIX. Les enfants ont répondu à cet appel et les foules ont suivi.
Qui veut, sans plus attendre, prier le Rosaire comme Marie nous le demande?
Une « bonne guerre », ça n’existe pas !
En quelques images et interviews, voici ce que fut celle de 39-45.
Vous dites : « je n’ai pas le temps de regarder une aussi longue vidéo. » Réfléchissez : Si la guerre arrive chez nous, vous aurez le temps de vivre en direct les horreurs de la guerre. Et c’est des années qu’il vous faudra patienter dans l’angoisse. Alors prenez le temps aujourd’hui de découvrir ce qu’est vraiment la guerre et , ensemble, faisons notre possible pour tenter de mettre fin à celle qui s’étend de nos jours comme les métastases d’un cancer. Unissons nos prières pour la PAIX!
Le travail des journalistes est évidemment essentiel! Gare aux mainstreams qui arrivent à manipuler les gens.
Le pape a, aussi, demandé aux journalistes de choisir la « communication de la paix ». « Désarmons la communication de tout préjugé, de toute rancœur, de tout fanatisme et de toute haine », a demandé Léon XIV. Il a rejeté les communications « tonitruantes et musclées », leur préférant celles capables « de recueillir la voix des faibles qui n’ont pas de voix ».
Jésus est Prince de la Paix. Tous sont appelés à se rassembler autour de lui afin que vienne la PAIX.
14 C’est lui, le Christ, qui est notre paix : des deux, le Juif et le païen, il a fait une seule réalité ; par sa chair crucifiée, il a détruit ce qui les séparait, le mur de la haine ; 15 il a supprimé les prescriptions juridiques de la loi de Moïse. Ainsi, à partir des deux, le Juif et le païen, il a voulu créer en lui un seul Homme nouveau en faisant la paix, 16 et réconcilier avec Dieu les uns et les autres en un seul corps par le moyen de la croix ; en sa personne, il a tué la haine.
21 En lui, toute la construction s’élève harmonieusement pour devenir un temple saint dans le Seigneur. 22 En lui, vous êtes, vous aussi, les éléments d’une même construction pour devenir une demeure de Dieu par l’Esprit Saint.
Les prisonniers, des fauteurs de troubles ont besoin de conversion pour remonter la pente. Jésus les accueille, les bras grands ouverts.
Notez que, chez les chrétiens, existent le libre-arbitre et la capacité de changer de vie, de « se convertir » et ainsi d’aller au paradis. Les Musulmans ne voient pas ça de la même manière.
On critiquait pape François pour ses contacts avec des chefs d’état musulmans, mais …
… mais n’est-ce pas le rôle du chrétien de tendre la main à toute personne? Il y a d’ailleurs une source d’eau vive (l’Esprit Saint) en chacun de nous.
Une amie musulmane m’envoie cette vidéo… Quand le régime de Vichy aux ordres de Pétain a demandé au roi du Maroc l’arrestation des Juifs, celui-ci s’y est fermement opposé.
13 mai : souvenir de la 1ère apparition de Notre-Dame à Fatima. FILM.
Prions pour un renouveau de la foi chrétienne: que les chrétiens reviennent dans leurs églises!
13 « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens. 14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. 15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
Frères et sœurs, ce deuxième dimanche de Pâques est pour nous celui de la divine miséricorde. Les lectures bibliques nous montrent à quel point notre Dieu est miséricordieux.
La première lecture est extraite du livre des Actes des Apôtres (Ac 5,12-16)*. Elle nous montre des communautés chrétiennes qui ont accueilli cette miséricorde du Seigneur. Leur rencontre avec lui a totalement changé la vie de ces gens. Ils comprennent qu’ils sont appelés à devenir une communauté de partage, de prière et de découverte de Dieu. L’unanimité des premiers chrétiens faisait l’admiration de tous et entraînait des conversions. Cette miséricorde dont nous bénéficions aussi est offerte à tous les hommes du monde entier.
Dans la seconde lecture (Ap 1,1-19)*, saint Jean veut nous ramener au cœur de la foi au Christ. Car la foi renouvelle radicalement notre vision du monde. Elle nous fait tout voir à la lumière de cette miséricorde qui s’est manifestée en Jésus. Ce monde que Dieu a tant aimé, nous sommes invités à l’aimer nous aussi. Si nous aimons Dieu, nous devons aimer aussi tous nos frères. C’est un combat de tous les jours contre les forces du mal et de division. Mais le Seigneur ne nous abandonne pas. Saint Paul nous dit que « rien ne peut nous séparer de son amour » (Rm 8,35)*.
Il se peut que certaines personnes jugent qu’une vie bénie de Dieu implique richesse, santé et longévité. Dans l’épreuve, elles risquent donc de se demander si Dieu les aime encore. Saint Paul nous rappelle toutefois que « rien ne peut nous séparer de l’amour de Jésus – ni la tribulation, ni l’angoisse, ni la persécution, ni la faim » (Rm 8,35)*. Voici le fondement d’une vie véritablement bénie : Dieu nous a manifesté son amour en envoyant son Fils Jésus nous révéler sa miséricorde pour le monde.
Avec l’Évangile, nous sommes plus que jamais dans la miséricorde de Jésus. En ce premier jour de la semaine, il rejoint ses disciples. Il les trouve calfeutrés, verrouillés, enfermés à double tour. Ils s’attendent maintenant à subir le même sort que leur Maître. Ils cherchent donc à se faire oublier. En raison du danger qui les menace, ils évitent d’aller se promener en ville.
Ce danger est toujours actuel : comment affronter les moqueries d’un monde qui se croit intelligent, d’un monde qui attaque Dieu, l’Église, le pape, les chrétiens ? Nous voyons bien qu’il n’est pas facile de vivre sa foi dans le monde d’aujourd’hui. La tentation est grande de se replier dans de petits ghettos et de rester entre nous. C’est ainsi qu’on essaie de tenir devant l’orage. Comment ne pas penser que dans cet océan d’indifférence, il n’y a plus rien à faire ?
Mais en ce jour de Pâques, le Christ nous rejoint pour nous libérer de cette peur. Il invite ses apôtres à sortir et à partir en mission : « Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie » (Jn 20,21)*. Ses premières paroles sont un message de paix. Cette paix du Christ, le chrétien en est porteur pour ses frères : « Allez dans le monde : devenez l’espérance des hommes », disait saint Jean Chrysostome. Nous sommes également appelés à devenir des porteurs d’amour. Cet amour va jusqu’au pardon. Tout chrétien est instrument de la miséricorde de Dieu. S’adressant aux Éphésiens, saint Paul écrivait : « Pardonnez-vous mutuellement comme Dieu vous a pardonné dans le Christ » (Ep 4,32)*.
Il nous reste le cas de l’apôtre Thomas le retardataire. Ce n’est pas à lui qu’on fera croire ce qu’il n’a pas vu. Ce qu’il a vu, c’est Jésus crucifié et enfermé dans un tombeau. Je connais quelques Thomas. L’un d’eux fut mon professeur de philosophie. Un homme fort inspirant, qui a poursuivi sa mission de stimuler chez ses étudiants le goût du questionnement et de la recherche du vrai. Un autre est un ami. Son père étant mort avant sa naissance, il a dû se fier au témoignage des autres pour le connaître et l’aimer. J’ajoute les grands Curie, Edison, Becket, Merton, Moore rencontrés au fil de mes lectures, sans oublier Albinoni, Bach, Beethoven, Mozart. Tous des gens qui ont été des chercheurs de vérité. Mais à mes yeux, le Thomas de l’Évangile incarne à lui seul la passion, la détermination, le réalisme et la sincérité des autres.
Le disciple est tout aussi bouleversé que les autres par la mort de Jésus. Mais alors que ses amis se terrent dans la peur, lui est dehors, dans les rues de Jérusalem. Lucide et entier, il n’accepte pas d’emblée ce que les autres lui rapportent. Jésus est vivant ? Thomas croira quand il aura mis ses mains dans ses blessures ! Le récit ne dit pas qu’il l’a fait. Saint Jean rapporte plutôt sa réaction à la vue du Seigneur. Comme il est heureux de s’être trompé ! Sa joie s’exprime dans la plus belle profession de foi : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »
En effet, le Christ ressuscité ne manque pas d’humour. Pour répondre à sa demande, il invite Thomas à s’approcher et à toucher ses plaies. Mais ce dernier n’en a pas eu besoin. Il va même plus loin que ses amis car il a été le premier à reconnaître en Jésus « Son Seigneur et son Dieu » (Jn 20,28)*. C’est la rencontre et la Parole de Jésus qui provoquent la profession de foi de l’incrédule. Les doutes de l’apôtre Thomas deviennent pour lui un chemin de foi. En est-il de même pour nous ?
Ce qui arrive au pauvre Thomas, qui est absent au moment crucial, c’est un peu l’histoire de chacun de nous. Il n’est pas tant le symbole de ceux qui doutent trop que celui de ceux qui cherchent à croire comme ils sont et comme ils peuvent en assumant d’avoir été absents au moment où, pour d’autres, la foi était une évidence. Nous aussi, comme ce disciple, nous aimerions avoir des preuves. Mais le Seigneur ne cesse de nous rappeler ces paroles : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jn 20,29). Alors, quitte à être comme l’apôtre Thomas, soyons-le jusqu’au bout ; et que son aventure soit la nôtre.
« Mon Seigneur et mon Dieu… » C’est la prière que nous pouvons faire chaque fois que nous rencontrons quelqu’un sur notre route. C’est une manière de reconnaître la présence de Dieu en lui. Cet acte de foi va changer notre regard sur les autres. Nous apprendrons à les voir avec le regard miséricordieux du Christ. Nous sommes envoyés dans le monde auprès des enfants, des jeunes, des adultes, des malades et des bien portants. N’oublions pas ceux qui sont enfermés dans la violence, la haine, l’exclusion. Comme les apôtres, ils sont tous appelés à se laisser transformer par la miséricorde du Seigneur.
C’est tous les jours que le Seigneur fait le premier pas vers nous. Son grand projet c’est de libérer tous les hommes et de les combler de son amour. A travers nous, c’est lui qui est là et qui agit pour donner sa paix. Ils sont nombreux, autour de nous, ceux et celles qui vivent dans l’angoisse et la peur. Ils ont besoin de rencontrer autour d’eux des témoins de cette joie et de cette espérance que le Seigneur met en nous.
En ce dimanche, nous nous tournons vers le Seigneur : qu’il nous rende plus disponibles à la force de la foi. Qu’il soit avec nous pour que nous soyons plus courageux dans le témoignage. Qu’il nous garde plus généreux dans la pratique de la charité fraternelle.
A l’occasion de la fête de Pâques, à Liège, des Musulmans ont distribué des corans. Ils mettent leur foi en action. Les Chrétiens expriment leur foi eux aussi, de façon différente, à Liège notamment où la communauté Sant’Egidio est bien établie. Fidesco aussi (communauté de l’Emmanuel) témoigne fortement partout dans le monde.
Les paroisses gagnent à maintenir les bonnes traditions.A Virelles procession des pénitents chaque Vendredi-Saint.
Sant’Egidio est au service de tous, car, pour les chrétiens, tout homme est un frère, toute femme est une sœur à aimer.
L’apôtre Paul insiste : Aucune partialité n’est permise.
01 Mes frères, dans votre foi en Jésus Christ, notre Seigneur de gloire, n’ayez aucune partialité envers les personnes. 02 Imaginons que, dans votre assemblée, arrivent en même temps un homme au vêtement rutilant, portant une bague en or, et un pauvre au vêtement sale. 03 Vous tournez vos regards vers celui qui porte le vêtement rutilant et vous lui dites : « Assieds-toi ici, en bonne place » ; et vous dites au pauvre : « Toi, reste là debout », ou bien : « Assieds-toi au bas de mon marchepied ». 04 Cela, n’est-ce pas faire des différences entre vous, et juger selon de faux critères ?
Aucune partialité: Hommes et femmes sont égaux en dignité devant Dieu.
Paul insiste encore: la foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte.
14 Mes frères, si quelqu’un prétend avoir la foi, sans la mettre en œuvre, à quoi cela sert-il ? Sa foi peut-elle le sauver ? 15 Supposons qu’un frère ou une sœur n’ait pas de quoi s’habiller, ni de quoi manger tous les jours ; 16 si l’un de vous leur dit : « Allez en paix ! Mettez-vous au chaud, et mangez à votre faim ! » sans leur donner le nécessaire pour vivre, à quoi cela sert-il ? 17 Ainsi donc, la foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte.
L’homme n’est pas seul sur son chemin de foi. Jésus s’interesse à chacun: « De quoi discutez-vous en marchant ? »
« Nous expérimentons tous des moments où la croix se fait particulièrement présente, des moments de souffrance, de douleurs, voire de désespoir, où ce qui était important dans notre vie semble ne plus avoir de sens. Mais Jésus ne nous abandonne jamais. Il est là, même si nous ne le voyons pas. Dans ces moments, sachons aller le trouver là où il est présent, de manière spéciale, dans la Parole de Dieu et dans l’Eucharistie. Nous pouvons faire la même expérience que les disciples d’Emmaüs, reconnaître Jésus dans l’Écriture et la fraction du pain. Par sa mort sur la croix et sa résurrection, Jésus donne un sens à nos souffrances, à notre douleur, et il est le seul à pouvoir le faire. Ne nous détournons donc jamais de lui. » https://www.facebook.com/photo/?fbid=4445691372344640&set=a.1861319930781810
Depuis 2000 ans, le Seigneur Jésus confirme sa Parole par des signes divers.
20 Quant à eux, ils s’en allèrent proclamer partout l’Évangile. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les signes qui l’accompagnaient.
19 Toi, tu crois qu’il y a un seul Dieu. Fort bien ! Mais les démons, eux aussi, le croient et ils tremblent. https://www.aelf.org/bible/Jc/2
La foi est un merveilleux trésor à partager, prière à l’appui, malgré la persécution.
FIDESCO, c’est la foi en paroles et en actions, comme SANT’EGIDIO, comme NDML et tant d’autres associations.
44 Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”45 Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”46 Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
FIDESCO: “Par le don et l’engagement, vivre la compassion, se découvrir frères et sœurs, faire changer les cœurs pour changer le monde, prendre soin les uns des autres et bâtir la paix” 🕊️
La foi chrétienne est vraie. Difficile de rester athée.
Voici le témoignage incroyable d’Olivier Bonnassies. C’est l’histoire d’un scientifique athée, diplômé de Polytechnique, qui, voulant prouver scientifiquement que Dieu n’existe pas, s’est rendu compte du contraire et cela, grâce aux dernières découvertes scientifiques ! Si vous êtes athée et aimez la science, cette vidéo est pour vous ! Oui, accrochez-vous car les clichés qui opposent Dieu et la science vont tomber !
La foi chrétienne est vraie : A travers leur vie, en témoignent les saints qui marchent sur ses pas.
« Un saint triste est un triste saint. » Rions un peu !
Carlos Acutis, canonisé cette année 2025! Son histoire est formidable et son rayonnement ne fait que commencer!
La foi chrétienne est vraie. Les mensonges à ce sujet ne tiennent pas. La vérité est mise en lumière.
La foi chrétienne est vraie. En témoignent les baptisés du monde entier qui célèbrent la Résurrection du Christ.
…La foi se transmet par la PAROLE de JESUS. Elle se transmet par séduction au message de Jésus, jamais par les armes.
Homélie du jour de Pâques par le père Jacques Pineault. (entièreté en fin de chapitre)
Frères et sœurs, en ce dimanche de Pâques, nous célébrons avec tous les chrétiens le Christ ressuscité. Il s’agit de sa victoire sur la mort et le péché, de notre victoire sur la mort et sur le péché. Cet événement s’est produit sans que personne ne puisse le voir ni le décrire. Du plus grand mystère de l’histoire, il n’y a pas de témoins directs, ni de caméras cachées pour nous le faire voir en rétro-vision. (…)
L’Évangile d’aujourd’hui nous montre que Marie-Madeleine a fait preuve d’un plus grand courage. Elle n’a pas eu peur des menaces qui pesaient sur les disciples de Jésus. De bon matin, elle se rend au tombeau. Mais quand elle y arrive, elle voit qu’il est ouvert et vide. Elle en déduit qu’on a enlevé le corps de Jésus ; elle court prévenir Pierre et Jean ; tous deux arrivent devant le tombeau vide ; ils voient les linges restés sur place et bien rangés ; Pierre est perplexe. Mais pour Jean, c’est différent. Quelques mots disent sa foi : « Il vit et il crut » (Jn 20,8).
Nous n’aurons jamais d’autre preuve de la résurrection de Jésus que le tombeau vide et le témoignage des disciples qui s’est transmis de génération en génération. Bien sûr, il y a les apparitions du Christ. Les quatre Évangiles nous en donnent le récit. Mais aucune de ces preuves n’est vraiment contraignante. Si nous croyons au Christ ressuscité, c’est parce que nous faisons confiance au témoignage des apôtres et à celui des communautés chrétiennes qui nous a été transmis de génération en génération. (…)
Nous chrétiens d’aujourd’hui, nous avons à rendre compte de nos raisons de croire. Sur notre route, nous rencontrons des jeunes et des moins jeunes qui doutent. Ils ont besoin de notre témoignage. Mais n’oublions pas : pour témoigner de l’espérance qui nous anime, il nous faut puiser à la Source, rencontrer le Seigneur dans la prière, nous nourrir de sa Parole et de son Eucharistie. Ce témoignage que nous avons à donner n’est pas le nôtre mais celui du Christ vivant en nous.
En ce jour de Pâques, de nombreux baptêmes sont célébrés dans beaucoup d’églises du monde entier. Des enfants, des jeunes et des adultes entrent dans la grande famille des chrétiens. Pour eux aussi, c’est un nouveau départ. Toutes ces personnes qui sont baptisées s’engagent sur la même route que nous. Sur cette route, ce n’est pas toujours facile. Comme nous, ils connaîtront le doute et le découragement. Ils auront besoin de sentir que Jésus ressuscité, c’est quelqu’un d’important, qu’il est vraiment la Lumière de notre vie. (…)
La résurrection n’est pas un événement qui concerne Jésus seul. Elle est aussi notre joie de retrouver le Christ après l’épreuve de la mort ou la trahison de nos péchés. Jésus s’est livré pour nous une fois pour toutes. Conformément aux Écritures, le Père l’a ressuscité d’entre les morts. Désormais, la vie du ressuscité éclate en chacun de nous. Aujourd’hui, nos églises rayonnent de cette foi. La résurrection bouleverse notre actualité. Vivant, le Christ nous offre un avenir.
La foi chrétienne est vraie. En témoigne le linceul de Turin.
Chez les Trappistines, lors de son homélie, père Jacques évoquait les personnes qui mettent en doute le fait que Jésus soit ressuscité : ses disciples auraient volé son corps. C’est impossible que le corps ait été enlevé, disait-il, car le vêtement qui l’entourait était resté sur place. Il est vrai que les voleurs n’auraient pas dévêtu le corps pour l’emmener! Ce vêtement, le « LINCEUL » travaille les esprits: Il n’est pas du à la main de l’homme … et il a une puissance extraordinaire de VIE en lui.
Témoignage personnel: Jeune femme, ma foi était faible, j’étais indécise. Le Seigneur m’attendait à Beauraing. Devant des images grandeur nature d’une copie du Linceul de Turin, j’ai été touchée. Oui, la foi peut passer par les sens. J’ai alors fait un acte de foi : « Je crois que tu es venu sur terre, oui je crois que tu souffert pour nous et que tu es mort sur la croix…. » La foi, héritée de mes parents, est devenue personnelle. lls ont eu raison de me l’enseigner. Je leur dois beaucoup et je prie pour eux: Que Dieu les accueille en son paradis d’amour!
Face au linceul, j’étais comme Marie-Madeleine devant le tombeau vide. Elle a posé un acte de foi. Je l’ai fait moi aussi. Quelle est grande la JOIE de CROIRE que JESUS est VIVANT! JE CROIS!
La foi chrétienne est vraie. Elle nous propulse, désarmés, dans le monde incertain où nous vivons.
La foi chrétienne est vraie. Le courage des chrétiens persécutés, le martyr accepté, c’est une preuve que Jésus est vivant.
La foi chrétienne mérite d’être partagée dans le monde entier. On ne meurt pas dans d’atroces souffrances pour une idée mais pour LA VERITE.
La foi chrétienne est vraie. Elle s’exprime lors du baptême.
La foi chrétienne est vraie. Christ est VIVANT ! Il est VRAIMENT RESSUSCITE.
CANTIQUES
HOMELIE
Frères et sœurs, en ce dimanche de Pâques, nous célébrons avec tous les chrétiens le Christ ressuscité. Il s’agit de sa victoire sur la mort et le péché, de notre victoire sur la mort et sur le péché. Cet événement s’est produit sans que personne ne puisse le voir ni le décrire. Du plus grand mystère de l’histoire, il n’y a pas de témoins directs, ni de caméras cachées pour nous le faire voir en rétro-vision.
Après la mort de Jésus, deux hommes s’étaient occupés de son corps : Joseph d’Arimathie et Nicodème : « Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate d’enlever le corps de Jésus, et Pilate le permit. Il vint donc et enleva son corps. Nicodème, qui précédemment était venu vers lui de nuit, vint aussi, apportant un mélange de myrrhe et d’aloès, environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et l’entourèrent de bandelettes avec les aromates, selon la manière d’ensevelir en usage chez les Juifs. Or, au lieu où il avait été crucifié, il y avait un jardin, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne n’avait encore été mis. C’est là, le sépulcre étant proche, qu’ils mirent Jésus » (Jn 19,38-42).
Pendant ce temps-là, les apôtres s’étaient cachés. Ils avaient peur d’être poursuivis et mis à mort comme leur Maître. Nous n’avons pas à les juger. Nous, chrétiens, nous savons bien que dans un monde hostile ou indifférent, nous avons du mal à affirmer notre foi. Devant le Seigneur, nous sommes sans doute invités à reconnaître nos erreurs et nos lâchetés. C’est la raison de la monition pénitentielle au début de la messe : « Préparons-nous à la célébration de l’eucharistie en reconnaissant que nous sommes pécheurs ».
L’Évangile d’aujourd’hui nous montre que Marie-Madeleine a fait preuve d’un plus grand courage. Elle n’a pas eu peur des menaces qui pesaient sur les disciples de Jésus. De bon matin, elle se rend au tombeau. Mais quand elle y arrive, elle voit qu’il est ouvert et vide. Elle en déduit qu’on a enlevé le corps de Jésus ; elle court prévenir Pierre et Jean ; tous deux arrivent devant le tombeau vide ; ils voient les linges restés sur place et bien rangés ; Pierre est perplexe. Mais pour Jean, c’est différent. Quelques mots disent sa foi : « Il vit et il crut » (Jn 20,8).
Nous n’aurons jamais d’autre preuve de la résurrection de Jésus que le tombeau vide et le témoignage des disciples qui s’est transmis de génération en génération. Bien sûr, il y a les apparitions du Christ. Les quatre Évangiles nous en donnent le récit. Mais aucune de ces preuves n’est vraiment contraignante. Si nous croyons au Christ ressuscité, c’est parce que nous faisons confiance au témoignage des apôtres et à celui des communautés chrétiennes qui nous a été transmis de génération en génération.
C’est ce témoignage que nous trouvons dans le livre des Actes des Apôtres lu aujourd’hui (Ac 10,34-43). Il s’agit d’un discours de Pierre chez un centurion de l’armée romaine. Nous nous rappelons qu’au moment de la Passion, Pierre avait renié son Maître devant de simples domestiques. Or aujourd’hui, il se trouve à Césarée qui est le lieu de résidence de Pilate et de ses légions. C’est là qu’il ose proclamer la Bonne Nouvelle de la résurrection de Jésus. Les mots de son discours sont audacieux : « Celui qu’ils ont supprimé en le suspendant au bois de la croix, Dieu l’a ressuscité le troisième jour » (Ac 10,39-40). C’est dire que les apôtres, spectateurs désemparés de la mort de Jésus, deviennent désormais pour tous les hommes les témoins convaincus de sa résurrection. Ils n’ont plus peur. La réception de l’Esprit Saint les a transformés.
Tout cela se passe chez un centurion de l’armée romaine, donc un païen et un membre de l’armée d’occupation de la Palestine. C’est une manière de dire que le salut offert en Jésus Christ est proposé à tous, même à ceux qui sont très loin de la foi. Dieu n’exclut personne. Quelle que soit sa nation ou sa langue, chacun peut recevoir le salut dans la mesure où il accueille l’Évangile. La Bonne Nouvelle doit être proclamée au monde entier. C’est pour tous que le Christ a donné sa vie sur une croix.
Nous chrétiens d’aujourd’hui, nous avons à rendre compte de nos raisons de croire. Sur notre route, nous rencontrons des jeunes et des moins jeunes qui doutent. Ils ont besoin de notre témoignage. Mais n’oublions pas : pour témoigner de l’espérance qui nous anime, il nous faut puiser à la Source, rencontrer le Seigneur dans la prière, nous nourrir de sa Parole et de son Eucharistie. Ce témoignage que nous avons à donner n’est pas le nôtre mais celui du Christ vivant en nous.
Dans l’épître aux Colossiens (3,1-4), l’apôtre Paul nous recommande d’enlever de nos cœurs le vieux levain, c’est-à-dire tous les ferments mauvais de pourriture. Cela ne veut pas dire qu’il faut abandonner le monde, ni passer sa journée à regarder vers le ciel. Il s’agit pour nous de fixer notre regard vers le Christ. C’est un appel à lui manifester chaque jour notre amour. Cette manifestation, nous pourrons la vivre dans la prière, dans les sacrements, dans la charité et dans notre témoignage. Alors, comme saint Paul, nous pourrons dire fièrement : « Pour moi, vivre, c’est le Christ et mourir est un avantage » (Ph 1,21).
En ce jour de Pâques, de nombreux baptêmes sont célébrés dans beaucoup d’églises du monde entier. Des enfants, des jeunes et des adultes entrent dans la grande famille des chrétiens. Pour eux aussi, c’est un nouveau départ. Toutes ces personnes qui sont baptisées s’engagent sur la même route que nous. Sur cette route, ce n’est pas toujours facile. Comme nous, ils connaîtront le doute et le découragement. Ils auront besoin de sentir que Jésus ressuscité, c’est quelqu’un d’important, qu’il est vraiment la Lumière de notre vie.
Le Seigneur ressuscité ne demande qu’à enlever de nos cœurs la pierre qui nous enferme dans les ténèbres. Il veut que la lumière de Pâques brille dans le cœur de chacun. Si nous voulons que nos communautés chrétiennes soient vivantes, il faut qu’elles soient missionnaires. Le Christ ressuscité compte sur notre témoignage à la place qui est la nôtre.
Submergé par la peur, Pierre a renié trois fois le Maître. Au pied de la Croix avec la Vierge Marie, Jean a vécu la mort du Seigneur. L’un et l’autre ont quelques raisons de penser à Jésus au passé. Alors que le Christ a été enseveli, ils pourraient enterrer aussi leur espérance et oublier la joie que Jésus faisait naître en eux. Tourner la page et reprendre le chemin de leur vie, comme feront momentanément les disciples d’Emmaüs (Lc 24,13-35).
Mais lorsque Marie Madeleine les réveille ce matin-là, ce choix n’est plus possible. En un instant, ils retrouvent l’énergie de courir au tombeau. Il y a peut-être l’envie d’y croire encore mais surtout ce besoin de voir ce qui reste de Jésus. Pierre et Jean ne trouvent qu’un linceul et le suaire posé d’une manière bien curieuse. Comment relier le vide de ce tombeau à la présence qui a rempli leur cœur et bouleversé leur vie durant trois ans ? Jean le premier a la lucidité de se rappeler tout ce que Jésus leur avait annoncé : « Il vit et il crut » (Jn 20,8).
La résurrection n’est pas un événement qui concerne Jésus seul. Elle est aussi notre joie de retrouver le Christ après l’épreuve de la mort ou la trahison de nos péchés. Jésus s’est livré pour nous une fois pour toutes. Conformément aux Écritures, le Père l’a ressuscité d’entre les morts. Désormais, la vie du ressuscité éclate en chacun de nous. Aujourd’hui, nos églises rayonnent de cette foi. La résurrection bouleverse notre actualité. Vivant, le Christ nous offre un avenir.
Comme « la montagne qui accouche d’une souris », bien des réunions en paroisse sont improductives. Elles sont même occasion de disputes. Avant toute réunion, il est donc bon de méditer les versets bibliques suivants afin d’en VIVRE.
Si nous ne cherchons pas à mettre l’Evangile en pratique, nous sommes des hypocrites !
13 Supportez-vous les uns les autres, et pardonnez-vous mutuellement si vous avez des reproches à vous faire. Le Seigneur vous a pardonnés : faites de même. 14 Par-dessus tout cela, ayez l’amour, qui est le lien le plus parfait. 15 Et que, dans vos cœurs, règne la paix du Christ à laquelle vous avez été appelés, vous qui formez un seul corps. Vivez dans l’action de grâce.
16 Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et reprenez-vous les uns les autres en toute sagesse ; par des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez à Dieu, dans vos cœurs, votre reconnaissance. 17 Et tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, en offrant par lui votre action de grâce à Dieu le Père.
Des laïcs organisent des activités auxquelles les prêtres sont invités.
Vu la participation de plus en plus importante des laïcs en paroisse, les prêtres ont du temps à consacrer aux choses qu’eux seuls peuvent réaliser : l’Eucharistie, le sacrement des malades, la confession.
Activité en paroisse. C’est simple: une réunion de 4 personnes pour organiser le « Souper bol de riz » annuel, ça suffit.
Deux membres de l’association « Enfants de Madagascar », une femme de l’ACRF et deux priants du groupe de prière organisent cette rencontre « Souper Bol de Riz » . Quelques mails et une réunion suffisent à s’organiser.
C’est dans la JOIE que nous vivrons cette rencontre entre frères et sœurs en humanité, chrétiens ou pas !
Inutile de discuter du lieu où le souper a lieu. Il faut occuper les églises , dignement, pour que les fabriques d’église continuent à les subsidier. Et c’est un beau symbole: Jésus nourrit non seulement les âmes mais aussi les corps.
En Eglise, les pèlerinages occupent une grande place. C’est joyeux, pleins de vie! Ils rendent l’Eglise visible. Ils sont des invitations lancées tous azimuts à se tourner vers Jésus. Marie est souvent en tête de cortège, ou bien c’est saint Joseph qui met des hommes, des familles en route pour suivre le Christ de plus près.
Une action qui se répand : Les Vierges pélerines.
Elles circulent d’un village à l’autre, d’une maison à l’autre, d’un pays à l’autre. Si le prêtre est partant, tant mieux. S’il ne l’est pas, on prie pour lui.
La Vierge pélerine de Medjugorje donne l’occasion de nous pencher davantage sur les appels de notre bonne mère par le biais des voyants.
Marie et Joseph sont unis autour de Jésus qui est au centre de leur famille. De nombreuses « Marches des hommes » sont organisées. Et elles portent de bons fruits en renforçant la vie de couple, en fortifiant les célibataires, les divorcés, … Dieu rejoint chacun là où il est.
Il y a quelques années, sur Kto, j’ai entendu de beaux témoignages : Grâce à ces marches, des hommes acquièrent plus de maturité. Ils cessent d’être des copains pour leurs enfants, ils deviennent vraiment des éducateurs.
Dommage que de si beaux reportages ne soient pas sur YouTube.
Jésus invite chacun personnellement à se mettre en marche, parfois seul, sans le soutien de la famille. Comprenne qui pourra.
24 Alors Jésus dit à ses disciples : « Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive. 25 Car celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie à cause de moi la trouvera. 26 Quel avantage, en effet, un homme aura-t-il à gagner le monde entier, si c’est au prix de sa vie ? Et que pourra-t-il donner en échange de sa vie ? 27 Car le Fils de l’homme va venir avec ses anges dans la gloire de son Père ; alors il rendra à chacun selon sa conduite. https://www.aelf.org/bible/Mt/16
Hommes de paix, cheminons ensemble, unissons-nous contre le mal que représente si bien Daesh.
En Eglise: méditer la Parole ensemble pour mieux la comprendre, et grandir dans la foi.
Des hommes et des femmes se sont mis en route vers la terre promise. La terre promise, pour les Chrétiens, c’est le Royaume de Dieu vers lequel nous conduit Jésus, le nouveau Moïse. C’en est fini une bonne fois des guerres de conquête! Depuis Jésus, c’est l’AMOUR, le moteur de toute évangélisation.
NB: le califat auquel s’acharnent les islamistes est une conquête violente de territoires. Rien de divin!
La vie est un pèlerinage vers le Ciel, à faire ensemble en Eglise, avec nos bons prêtres.
Même si cette vidéo est peut-être un montage, elle exprime la réalité sur le terrain : l’Eglise marche au milieu du peuple qui souffre. Là est la place du prêtre. ¨
« Si les chrétiens vivaient leur vie de chrétien, il n’y aurait plus un seul Hindou en Inde. » (Gandhi)
Louise de Marillac et Vincent de Paul ont VECU ce qu’ils enseignaient et ils fondèrent l’oeuvre des « Filles de la Charité ».
Le contre-témoignage est fréquent. Et moi, suis-je cohérent-e ?
Mère Teresa est allée jusqu’au bout de l’amour. Et moi ? « A bout de force, ne m’est-il pas arrivé de lâcher la main d’une personne qui comptait sur moi ? » « Si! et je l’ai amèrement regretté. » Un autre dira: « N’ai-je pas refusé de louer mon gite rural à un étranger ? » « Si! j’ai préféré l’argent et la tranquillité. » Un autre encore: « J’ai légué tous mes biens à ma famille qui n’en avait pas besoin or la pauvreté grandit et les oeuvres caritatives manquent de fonds. » …
En ce temps de carême, remettons-nous en question. Soyons cohérents et le monde changera en bien, ainsi que Jésus nous le commande. « AIMEZ-VOUS lES UNS LES AUTRES. »
Notons bien que Joseph est un modèle pour nous. Il n’a pas laché la main de Marie alors qu’elle dérangeait ses plans. Il eut FOI en la Parole de Dieu et le courage de répondre à l’appel reçu. CHACUN A UN APPEL à DISCERNER.
Jacques Pineault 18-19 mars 2025 sur facebook
Témoignage d’un réfugié politique angolais.
Il témoigne de la chance qu’il a eue de trouver une famille d’accueil en Belgique. Chance aussi de pouvoir louer un logement mis à la disposition des réfugiés. Il avait 26 ans, il avait l’avenir devant lui, mais, sans sa famille, quel sens donner à sa vie?
Jésus reproche aux religieux leur hypocrisie.
Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples, et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse. Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas. Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. https://www.aelf.org/2025-03-18/romain/messe
« Si tous les chrétiens agissaient comme le Christ, le monde entier serait chrétien. » (Gandhi)
L’heure est au partage.
Kto enseigne la vraie foi, celle qui est mise en œuvre. Allons-nous soutenir KTO? Soutenir les œuvres caritatives qui appellent aux dons ? Faire un leg ? Tant de riches lèguent leur fortune à leur famille même si elle n’en a pas besoin. Quelle bêtise de rendre les riches toujours plus riches!
Revue KTO février 2025
Pour nous aider à être VRAIS, Marie est là. Que dit-elle à Medjugorje? Une des voyantes raconte:
Les enfants de Medjugorje n°55 de « La lettre d’information ».
Mon Dieu, que veux-tu que je fasse? Esprit-Saint, éclaire-moi!
En avant, vous tous ceux qui cherchez à construire la paix, car…
L’Evangile propose un modèle de vie révolutionnaire. C’est unique dans l’histoire humaine.
« Je vous le dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent.
Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient.
À celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue.
À celui qui te prend ton manteau, ne refuse pas ta tunique.
Donne à quiconque te demande, et à qui prend ton bien, ne le réclame pas.
Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux.
Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ?
Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien à ceux qui vous en font, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs en font autant.
Si vous prêtez à ceux dont vous espérez recevoir en retour, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu’on leur rende l’équivalent.
Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, car lui, il est bon pour les ingrats et les méchants.
Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés.
Donnez, et l’on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous. »
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ».
NB : C’est moi qui mets en relief certaines phrases et j’ajoute les hyperliens, les images.
Frères et sœurs, les textes bibliques de ce dimanche résument ce qu’il y a de plus important dans le christianisme. Tout repose sur la confiance que nous mettons en Jésus. Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie : « Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7). Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion.
Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie :
« Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7).
Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion. C’est en nous appuyant sur Dieu que nous trouverons le vrai bonheur. C’est en fermant le parapluie de nos résistances à Dieu que nous lui permettons de venir jusqu’à nous, de faire sa demeure en nous et de nous faire bénéficier des fruits de son Esprit Saint, de ses bénédictions.
L’homme, pour la Bible, est mis devant ce choix : la mort ou la vie, la malédiction ou la bénédiction.
La mort, c’est le salaire de celui qui a misé sur lui-même, sur des garanties humaines ; la vie, c’est le salaire de celui qui a misé sur Dieu dans un abandon total et joyeux. Sur ces deux routes, les hommes seront aux prises avec les mêmes difficultés, la même sécheresse parfois aride. Qui s’est confié en Dieu éprouvera alors qu’il est le courant de vie qui ne manquera jamais. Qui d’entre nous n’a jamais découvert qu’au milieu de ses épreuves le Seigneur était pour lui comme un ruisseau d’eau vive ? Le Christ ressuscité est notre espérance pour cette vie et pour toujours.
Dans l’Évangile, Jésus nous montre le chemin du vrai bonheur.
Son message n’est pas adressé à quelques personnes seulement mais à un auditoire extrêmement large. Il y avait là les « douze apôtres » mais aussi un grand nombre de ses disciples. Il y avait également une foule de gens venus de différentes régions. C’est une manière de rappeler que le message du Christ est offert à tous ceux qui veulent être ses disciples. C’est aussi à chacun de nous qu’il est personnellement adressé.
En écoutant cet Évangile, nous avons pu remarquer que ce message du Christ se présente en deux volets :
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ». D’un côté, ceux à qui le bonheur est promis, de l’autre, ceux sur lesquels Jésus s’apitoie. Pauvres de vous qui êtes repus ; un jour viendra où vous manquerez des biens essentiels, de ce qui rassasie vraiment pour toujours. Mais heureux êtes-vous, vous qui, aujourd’hui, êtes pauvres. Dieu s’occupe de vous : vous êtes ses privilégiés ; son Royaume est pour vous. Heureux êtes-vous, vous qui n’êtes pas emprisonnés dans vos richesses, vous qui vous tournez vers Dieu et qui l’implorez avec confiance ; il viendra vers vous ; il vous enrichira de sa vie et de sa paix.
Il est important de lire ces béatitudes en pensant aux petites gens qui sont devenues disciples du Christ.
Beaucoup vivaient une existence souvent difficile à supporter. Jésus les invite à ne pas perdre courage. Lui-même veille sur eux et un jour viendra où il les comblera. Ils seront rassasiés ; ils sauteront de joie. Comment le Christ aurait-il pu dire : « Heureux, vous les pauvres », s’il ne s’était pas compromis avec eux ! S’il n’était pas pauvre lui-même !
Mais cela pose question aux sceptiques que nous sommes.
Faut-il se réjouir d’être pauvre, de pleurer, d’être détesté, d’avoir faim ?
Quelle triste perspective que cette vie sans joie ! Dieu serait-il cruel, lui qui après nous avoir donné la vie, nous laisserait croupir dans la vase de nos malheurs pendant qu’on le supplie, à longueur de prière, de nous donner ceci ou cela ? Adorons-nous un Dieu sadique qui ne réserverait le bonheur que pour un lointain « plus tard » ? Un Dieu que certains imaginent, du haut de sa toute-puissance, dans son Ciel merveilleux ; lui dont on croit qu’il ne saurait avoir faim, ne manquer de rien, ne pas connaître la peine ou les larmes, puisqu’il est adoré et aimé par des millions d’anges qu’il a créés pour le louer éternellement !
Avec les béatitudes, Jésus remet les choses au point. En son Fils, Dieu a éprouvé le cortège de nos souffrances, et dans l’ordre ! Il est né pauvre et sans abri ; sa vie a été menacée bien des fois ; il a eu faim ; il a pleuré avec ses amis ; il a été fait prisonnier et condamné injustement ; il a été torturé ; et il a été haï jusqu’à en mourir ! Mais il a été délivré du mal.
En marchant à sa suite, avec la même espérance et dans la foi, il en sera de même pour nous, promet-il. Non pas une joie accommodante pour tenir, vaille que vaille, avant la prochaine épreuve de la vie, mais le bonheur de la consolation définitive, que seul Dieu peut apporter, cette plénitude que lui seul peut délivrer.
Ce bonheur dont Jésus nous parle est pour aujourd’hui.
Le Royaume de Dieu qu’il promet, il est déjà venu l’instaurer. Il a donné des signes de sa présence en consolant, en guérissant et en libérant ceux qui étaient accablés par le malheur. Et il a invité ses disciples à faire de même. La réalisation des béatitudes n’est pas de la seule responsabilité de Dieu et du Christ ; elle est aussi la nôtre. Nous avons tous la responsabilité de veiller sur les pauvres qui sont nos voisins, mais aussi sur tous ceux du monde entier. Quand un homme ou un enfant meurt de faim, nous sommes tous responsables que la nourriture ne soit pas arrivée jusqu’à lui.
Jésus enseigne que deux voies s’offrent à nous : celle qui conduit au bonheur et celle qui conduit au malheur.
Ce choix implique de renoncer à la satisfaction des besoins humains que sont le désir de richesse, de satiété, de frivolité, de notoriété. Rien ne semble manquer à l’homme qui s’en satisfait. La vie est close sur elle-même et dans cette perspective, le point final est la mort elle-même. En d’autres termes, le risque est de mettre sa foi dans ce qui est mortel.
La voie exigeante de la confiance et de l’espérance demande de consentir à la faim, aux larmes et à l’exclusion, non comme une finalité mais comme le point de passage d’un dépassement, de consentir à la condition humaine dans la confiance. La confiance est une bénédiction de Dieu. Elle permet de traverser les épreuves de toute vie humaine. Ainsi nous ne mettons pas « notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement » (1 Co 15,19). https://www.aelf.org/bible/1co/15
uand nous traversons des temps incertains, troublés par la maladie, le chômage et d’autres choses encore, Dieu nous appelle à la confiance et nous bénit dès cette vie. Souvenez-vous des paroles de Job : « Je suis sorti nu du ventre de ma mère, je retournerai nu au ventre de la terre. Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Il faut continuer de remercier le Seigneur » (Jb 1,20-21).
Il nous appartient de rendre crédible cet Évangile des béatitudes.
Quand nous croisons un mendiant en ville, nous pensons sans doute à la petite pièce qu’il attend. Mais ce qui est bien plus important, c’est la manière dont nous le regardons. Il a surtout besoin d’être reconnu dans sa dignité. Ce regard que nous portons sur lui doit dire quelque chose de celui du Christ, un regard plein d’amour et de compassion. Tout ce que nous aurons fait au plus petit d’entre les siens, c’est à Jésus que nous l’aurons fait (Mt 25,40). https://www.aelf.org/bible/Mt/25
C’est à l’amour et à la miséricorde que nous serons reconnus comme disciples du Christ. Supplions-le qu’il nous donne force et courage pour rester fidèles au témoignage qu’il attend de nous, puisqu’Il nous a choisis pour être ses disciples.
Méditons encore.
Jésus combat la misère. Il nourrit les foules. C’est un exemple qu’il nous donne.
Heureux les petits qui mettent leur confiance en Marie. Ils prient le chapelet/rosaire comme Marie le demande.
Eté 2006 N°77
Heureux les « petits » qui croient au merveilleux de Dieu, par exemple à l’action des anges dans leur vie. L’ange Raphaël intervient dans des guérisons. C’est ce que nous lisons dans le 1er Testament.
06 Alors l’ange les prit tous deux à part et leur dit : « Bénissez Dieu et célébrez-le devant tous les vivants pour le bien qu’il vous a fait. Bénissez-le et chantez son nom. Annoncez à tous les hommes les actions de Dieu comme elles le méritent, et n’hésitez pas à le célébrer. 08 Mieux vaut prier avec vérité et faire l’aumône avec justice, qu’être riche avec injustice. Mieux vaut faire l’aumône qu’amasser de l’or.
09 L’aumône délivre de la mort et purifie de tout péché. Ceux qui font l’aumône seront rassasiés de vie, 10 tandis que le pécheur et l’homme injuste sont leurs propres ennemis. 14 mais Dieu m’a aussi envoyé pour te guérir, ainsi que Sarra, ta belle-fille.
15 Moi, je suis Raphaël, l’un des sept anges qui se tiennent ou se présentent devant la gloire du Seigneur. » 16 Les deux hommes furent alors bouleversés et ils tombèrent face contre terre, saisis de crainte. 17 Mais Raphaël leur dit : « Ne craignez pas ! La paix soit avec vous ! Bénissez Dieu à jamais !
20 Et maintenant, bénissez le Seigneur sur la terre ! Célébrez Dieu ! Voici que je remonte auprès de celui qui m’a envoyé. Mettez par écrit tout ce qui vous est arrivé. » Alors l’ange remonta au ciel. 21 Ils se relevèrent, mais ils ne pouvaient plus le voir. 22 Ils bénirent Dieu, chantèrent pour lui et le célébrèrent pour la grandeur de ses œuvres : un ange de Dieu leur était apparu ! https://www.aelf.org/bible/Tb/12
PRIONS POUR le CONGO et PARTAGEONS avec ces frères et soeurs en grande détresse.
Qui est donc Jésus ? Il est temps de faire sa connaissance !
et il est urgent de témoigner de Jésus autour de nous, sans attendre.
« Musulmans en Belgique, France, et ailleurs, pourquoi vous radicalisez-vous ? » JESUS EST le CHEMIN , la VERITE et la VIE.
« Pas de contrainte en religion » dit le Coran!
L’islam pacifique, beaucoup de monde l’accepte. Par contre, l’islam politique est en aversion même aux Musulmans pacifiques qui le fuient.
01 D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces désirs qui mènent leur combat en vous-mêmes ? … Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu.
07 Soumettez-vous donc à Dieu, et résistez au diable : il s’enfuira loin de vous.08 Approchez-vous de Dieu, et lui s’approchera de vous. Pécheurs, enlevez la souillure de vos mains ; esprits doubles, purifiez vos cœurs.
Par la bouche de Bernadette Soubirous, Marie demande la construction d’une chapelle pour qu’ on y vienne en pèlerinage.
… et qu’on rencontre ainsi plus intimement Jésus, comme les disciples d’Emmaüs qui sont entrés en union de coeur avec Jésus croisé sur leur chemin.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
… Le pèlerinage donne aussi l’occasion de vivre des moments forts avec d’autres personnes en recherche d’un « mieux vivre sa foi», en Eglise .
… Le pèlerinage donne l’occasion de se reposer, de reprendre souffle, méditer, prier. NB. Sur le plan spirituel, j’ai de meilleurs souvenirs de mon pèlerinage avec le diocèse que de celui que j’ai vécu en famille, car plus nourrissant vu le bon accompagnement des guides et … plus de temps pour moi.
L’Eucharistie est au cœur du pèlerinage.
Cfr fin de chapitre : Messe de Notre-Dame de Lourdes le 11 février.
Que ce soit à Lourdes ou dans une simple église de village, la messe, c’est un festin auquel Jésus nous invite tous.
A la messe, Jésus nous nourrit de sa Parole et de son Corps !
51 Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Ecouter attentivement les paroles de Jésus, c’est comme ouvrir une lumière pour y voir clair sur notre route. Il faut prendre le temps de « goûter » combien Dieu est bon afin de profiter pleinement d’une Eucharistie. C’est comme pour la nourriture du corps, on ne l’avale pas sans d’abord l’avoir mâchée.
Voici quelques moments d’une telle célébration filmés dans une abbaye toute simple, celle des Trappistines de Chimay.
Partout, la Parole de Dieu est la même et le pain consacré est aussi le Corps de Jésus et le vin consacré est aussi son Sang.
Le prophète Isaïe parle de l’appel que Dieu lui a lancé. C’est Isabelle qui lit ce passage de l’Ancien Testament.
L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
« Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » Soeur Agnès.
Lecture de l’Evangile et homélie, prières.
Et voilà le moment où, par les mains du prêtre, le pain et le vin deviennent Corps et Sang de Jésus.
MEDITATION – Miracle eucharistique.
Lourdes, l’eau, les miracles …
La dernière miraculée de Lourdes ! (du moins recensée)
Ce sont des milliers de miracles qui ont lieu à Lourdes mais beaucoup ne sont pas répertoriés, la personne guérie n’ayant pas envie de retourner à des milliers de kilomètres de chez elle pour témoigner et commencer des examens médicaux … Un paroissien me raconta qu’il avait été guéri lors du passage du Saint Sacrement auprès de lui. Il avait environ 4 ans. Il ne fait pas partie des miraculés que l’Eglise reconnait.
Des guérisons et miracles se multiplient partout on l’on prie.
Dans notre vie quotidienne, combien de nos prières sont exaucées sans même qu’on y pense !
MIRACLE A LONDRES.
PRIONS MARIE, « L’IMMACULEE CONCEPTION » d’INTERCEDER POUR NOUS.
Nous pouvons même nous consacrer à elle, c’est-à-dire lui permettre de nous tenir la main tout au long de notre journée, comme le fait une maman qui aime son petit enfant et souhaite le protéger dans les moments dangereux.
« Passe devant moi, Marie »: Telle était la prière journalière d’une jeune dame qui un jour échappa à un viol grâce à cette présence protectrice de Marie.
Lors d’un procès pour viols, un homme avoua qu’il n’avait pas pu approcher la proie convoitée: quelque chose le repoussait. Une médaille miraculeuse portée avec foi ou un scapulaire … fait des miracles. « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
Rappelons-nous aussi comment un réseau de pédophilie en Belgique avait été démantelé: grâce à la prière de la petite Marie-A. qui avait été enlevée mais qui avait réussi à s’échapper. Elle priait des « Je vous salue Marie » comme ses parents le lui avaient appris, ce qui avait agacé son prédateur ….
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Marie appelle Bernadette à prier pour les pécheurs et à se sacrifier pour eux.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Prions donc pour les personnes qui souffrent de la violence et celles qui la provoquent.
Avant de penser divorce, il est bon de penser à prier fidèlement Marie … pour la CONVERSION de chacun. La fierté de l’homme machiste crée bien des problèmes au sein d’un couple. Quand à cela s’ajoute la violence liée à la religion ou à la drogue, la souffrance est inimaginable et inacceptable.
Il y a une puissante neuvaine de prières à « Marie qui défait les noeuds ».
Prions pour le peuple juif et le peuple musulman.
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole. Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Ne serait-ce pas en vue de l’œuvre de Dieu à Lourdes que cette région a été libérée du joug islamique qui nous guette plus que jamais vu la perte de nos racines chrétiennes?
Prions le Rosaire, comme Marie le demande instamment.
Marie avait toujours le chapelet en mains lors de ses apparitions pour montrer combien cette simple prière est bonne. C’est lorsque Bernadette égrenait son chapelet que Marie lui apparaissait.
SUPPLEMENTS
L’appel de Marie à construire une chapelle a été entendu! Et ce sont des basiliques qui ont été contruites à Lourdes.
La Basilique de l’Immaculée Conception est le premier bâtiment à être construit. Toutefois, la Basilique se révèle rapidement être trop petite pour accueillir l’afflux des pèlerins. On construit alors une deuxième basilique. Là encore, la Basilique Notre-Dame du Rosaire ne peut accueillir tous les pèlerins venus à Lourdes. Une troisième basilique est alors construite sous terre Consacrée en 1958 lors du centenaire des apparitions, la Basilique Saint-Pie X devient le lieu de célébrations des messes internationales, de l’adoration du Saint-Sacrement et de la bénédiction des malades. En effet, sa superficie de 12 000 m2 lui permet d’accueillir près de 25 000 personnes et sa forme rappelle l’arche de Noé.
Le signe de la Croix rappelle l’humanité à l’ordre : Dieu est Maître du ciel et de la terre. Quand nous nous soumettrons-nous à son autorité ? Dieu appelle !
Le 6 janvier 2025, une mystérieuse croix lumineuse est apparue au-dessus de la Cathédrale de la Transfiguration à Rybinsk, laissant des milliers de témoins sans voix ! 📸 Ce phénomène incroyable a été capturé et a suscité des interrogations dans le monde entier : Dieu envoie-t-Il un signe à l’humanité ? Est-ce un avertissement sur les temps que nous vivons ?
Dieu ou l’argent : c’est le terrible choix toujours actuel. Bernadette était affreusement pauvre et elle a refusé tout don. Judas par contre a livré Jésus à la mort, pour de l’argent.
La Vierge Marie a reconnu la dignité d’une pauvre fille, Bernadette. Dans certains pays, les femmes sont méprisées.
CANTIQUES
« Pourquoi Moi? » Bien avant l’ère chrétienne, Jérémie, Amos, Isaïe, .. avaient été appelés. Puis il y a eu Jean-Baptiste, la Vierge Marie, saint Joseph et chacun des apôtres… A Lourdes, Bernadette Soubirous a été choisie pour délivrer un message au monde. A l’heure actuelle, chacun de nous est appelé à être un chainon entre le ciel et la terre. Entendons-nous l’appel de Dieu : « Qui enverrais-je ? »
Here I am Lord: « Moi, le Seigneur de la mer et du ciel, j’ai entendu mon peuple crier. Tous ceux qui habitent dans les ténèbres et le péché, ma main les sauvera. Moi qui ai fait les étoiles de la nuit, je rendrai leurs ténèbres lumineuses. Qui leur apportera ma lumière ? Qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. Moi, le Seigneur du vent et de la flamme, je prendrai soin des pauvres et des boiteux. Je leur préparerai un festin, ma main les sauvera je leur fournirai le meilleur pain, jusqu’à ce que leur cœur soit satisfait. je leur donnerai ma vie, qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. »