La France est exsangue. A coups de lois insensées. D’autres pays, d’autres populations sont aussi écrasées.
C’est quand le blé est moulu qu’il devient farine, c’est quand le raisin est pressé qu’il devient un bon jus, voire du bon vin qui réjouit le coeur.
Toute cette souffrance provoquée par la politique presse des personnes de tout bord à s’exprimer. Et c’est une chance !
Une chaine de télévision disparait et c’est une avalanche de contestations qui surgit.
Lors du covid, beaucoup de personnes avaient manifesté leur indignation. On les appelait à tort « complotistes ». La pensée unique continua à se répandre. Donald Trump dénonce l’état profond. L’avenir nous apprendra s’il est vrai.
Les yeux s’ouvrent et la parole se libère de toute part. Ouf !
Voici pêle-mêle quelques pistes de réflexion hors mainstreams et quelques élans d’espérance aussi.
Fabrice Di Vizio a une vision sur l’avenir. Très intéressant! Prenons-en tous de la graine!
Au lieu de nous plaindre sans cesse de l’évolution du monde, il est préférable de mettre en lumière les signes d’ESPERANCE que nous découvrons. Et CRÉER nous-mêmes les moyens de faire face aux grands défis actuels : l’éducation des enfants, la santé, l’instruction, la production alimentaire, une information véritable, sérieuse…
Contre la suppression de la liberté d’expression : Cyril Hanouna et Jordan Bardella se mobilisent.
Quand TicToc est au service de la paix, c’est génial !
Abdul Sitar Edhi et son épouse, Bilquis Edhi, des humanitaires au grand cœur !
Ils ont créé et développé la fondation Edhi, un réseau d’assistance sociale et médicale qui vient en aide à tous les Pakistanais sans distinction de communauté ou de religion.
Dans un tel pays où la femme trouve difficilement sa place, c’est un fameux défi qu’ils ont relevé, ce qui n’a pas manqué de leur amener de la persécution.
A la suite de son père, Malala Yousafsay a relevé un fameux défi dans ce pays : permettre aux filles l’accès à l’instruction.
02 Qui élève bien son fils en retirera des satisfactions ; devant ses relations, il en sera fier. https://www.aelf.org/bible/Si/30
21 Ne te laisse pas aller à la tristesse, ne te tourmente pas pour tes projets. 22 La joie du cœur fait vivre l’homme, et la gaieté prolonge la durée de ses jours. 23 Divertis-toi, réconforte ton cœur, et chasse loin de toi la tristesse ; car la tristesse en a perdu beaucoup, elle ne sert à rien. 24 Jalousie et colère abrègent la vie, les soucis font vieillir avant l’heure. https://www.aelf.org/bible/Si/30
Parce que les demandeurs d’asile, les immigrés, les sans-papiers font partie des personnes que je rencontre volontiers, j’ai écrit cet article publié en 2012 à partir des rencontres que j’ai faites en centres d’accueil ou dans des familles issues de l’immigration.
« La règle d’or » : « Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse. »
« On la retrouve sous des formulations voisines dans la plupart des religions, philosophies ou cultures du monde. C’est la barrière que la morale dresse contre l’égoïsme et contre ceux qui pensent ne pouvoir réaliser pleinement leur liberté qu’en piétinant celle des autres ».
Une musulmane me disait: « Je ne veux pas que tu dises du mal de ma religion mais tu peux me parler de la tienne. » C’est ce que j’essaie de faire. Je remarque que bien souvent les immigrés aiment entendre parler de Jésus. Je le fais avec le plus de modestie possible.
Quand une association nous confie une personne en difficulté, il ne faut pas agir seul mais en lien avec d’autres.
Quand on ne connait pas la personne qui va venir partager notre vie de famille, il y a un lâcher-prise qui fait peur. C’est par la confiance en Dieu que l’on marche mais la vigilance reste de mise.
-Il faut être plusieurs pour bien encadrer la personne. Ne pas agir seul. Lors d’une maladie sérieuse, mon mari ne trouvant pas le temps d’intervenir, j’ai lâché la main de la personne accueillie. J’aurais dû demander conseil auprès de l’association qui nous l’avait confiée. Celle-ci aurait pu faire passer le relais.
-Dans le cas de Sandrine, quand elle a quitté notre maison, elle a fait sa vie mais tout en boitant. Nous n’avions plus de contact avec elle et quand j’ai appris qu’elle avait mis fin à ses jours, j’ai éprouvé une grand regret de ne pas l’avoir gardée chez nous ainsi qu’elle me l’avait demandé : « Je voudrais que vous m’adoptiez ». Elle était vraiment sans famille. Elle se plaisait tellement bien chez nous. C’était un plaisir de la voir heureuse. Elle apportait de la joie à notre maisonnée. Bon, voilà, les regrets ne servent à rien mais je partage ce témoignage afin d’encourager les personnes qui accueillent à « aimer jusqu’au bout » en se mettant vraiment à l’écoute des personnes. Ne pas décider à leur place.
Le Souffle de Vie souhaite être tenu au courant de ce que vit la (future) maman qu’il place en famille. Ainsi, quand l’une d’elles a eu son bébé, elle est repartie vers la ville et là, à nouveau grâce au Souffle de Vie, elle a reçu le soutien d’une autre famille, une famille de parrainage. 30 ans plus tard, nous sommes toujours en contact étroit avec cette maman.
Un jour, par l’intermédiaire d’une visiteuse de malades à l’hôpital, nous avons accueilli une maman qui venait d’accoucher et ses enfants, une famille en décrochage de la société, SDF. Chez nous, la dame ne voulait pas du tout participer aux petits travaux de la vie quotidienne : « Je ne suis pas votre esclave ». Elle passait son temps à fumer et boire du café. Ça ne pouvait pas durer. Le CPAS ne leur cherchait pas de logement à la famille. Que faire ? Grâce à l’aide financière d’un bon prêtre, nous les avons installés dans un gite rural et avons prévenu le CPAS que nous ne les reprendrions pas chez nous. Malgré les rouspétances du CPAS, la décision était prise, la page était tournée.
NB : Les problèmes liés à la grossesse n’arrivent pas qu’aux autres. Le Souffle de Vie intervient aussi pour éclairer les futures mères en difficulté des familles d’accueil.
Merci à Jacques et Micheline Philippe pour leur vie toute donnée à cette belle cause.
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ».
NB : C’est moi qui mets en relief certaines phrases et j’ajoute les hyperliens, les images.
Frères et sœurs, les textes bibliques de ce dimanche résument ce qu’il y a de plus important dans le christianisme. Tout repose sur la confiance que nous mettons en Jésus. Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie : « Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7). Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion.
Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie :
« Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7).
Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion. C’est en nous appuyant sur Dieu que nous trouverons le vrai bonheur. C’est en fermant le parapluie de nos résistances à Dieu que nous lui permettons de venir jusqu’à nous, de faire sa demeure en nous et de nous faire bénéficier des fruits de son Esprit Saint, de ses bénédictions.
L’homme, pour la Bible, est mis devant ce choix : la mort ou la vie, la malédiction ou la bénédiction.
La mort, c’est le salaire de celui qui a misé sur lui-même, sur des garanties humaines ; la vie, c’est le salaire de celui qui a misé sur Dieu dans un abandon total et joyeux. Sur ces deux routes, les hommes seront aux prises avec les mêmes difficultés, la même sécheresse parfois aride. Qui s’est confié en Dieu éprouvera alors qu’il est le courant de vie qui ne manquera jamais. Qui d’entre nous n’a jamais découvert qu’au milieu de ses épreuves le Seigneur était pour lui comme un ruisseau d’eau vive ? Le Christ ressuscité est notre espérance pour cette vie et pour toujours.
Dans l’Évangile, Jésus nous montre le chemin du vrai bonheur.
Son message n’est pas adressé à quelques personnes seulement mais à un auditoire extrêmement large. Il y avait là les « douze apôtres » mais aussi un grand nombre de ses disciples. Il y avait également une foule de gens venus de différentes régions. C’est une manière de rappeler que le message du Christ est offert à tous ceux qui veulent être ses disciples. C’est aussi à chacun de nous qu’il est personnellement adressé.
En écoutant cet Évangile, nous avons pu remarquer que ce message du Christ se présente en deux volets :
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ». D’un côté, ceux à qui le bonheur est promis, de l’autre, ceux sur lesquels Jésus s’apitoie. Pauvres de vous qui êtes repus ; un jour viendra où vous manquerez des biens essentiels, de ce qui rassasie vraiment pour toujours. Mais heureux êtes-vous, vous qui, aujourd’hui, êtes pauvres. Dieu s’occupe de vous : vous êtes ses privilégiés ; son Royaume est pour vous. Heureux êtes-vous, vous qui n’êtes pas emprisonnés dans vos richesses, vous qui vous tournez vers Dieu et qui l’implorez avec confiance ; il viendra vers vous ; il vous enrichira de sa vie et de sa paix.
Il est important de lire ces béatitudes en pensant aux petites gens qui sont devenues disciples du Christ.
Beaucoup vivaient une existence souvent difficile à supporter. Jésus les invite à ne pas perdre courage. Lui-même veille sur eux et un jour viendra où il les comblera. Ils seront rassasiés ; ils sauteront de joie. Comment le Christ aurait-il pu dire : « Heureux, vous les pauvres », s’il ne s’était pas compromis avec eux ! S’il n’était pas pauvre lui-même !
Mais cela pose question aux sceptiques que nous sommes.
Faut-il se réjouir d’être pauvre, de pleurer, d’être détesté, d’avoir faim ?
Quelle triste perspective que cette vie sans joie ! Dieu serait-il cruel, lui qui après nous avoir donné la vie, nous laisserait croupir dans la vase de nos malheurs pendant qu’on le supplie, à longueur de prière, de nous donner ceci ou cela ? Adorons-nous un Dieu sadique qui ne réserverait le bonheur que pour un lointain « plus tard » ? Un Dieu que certains imaginent, du haut de sa toute-puissance, dans son Ciel merveilleux ; lui dont on croit qu’il ne saurait avoir faim, ne manquer de rien, ne pas connaître la peine ou les larmes, puisqu’il est adoré et aimé par des millions d’anges qu’il a créés pour le louer éternellement !
Avec les béatitudes, Jésus remet les choses au point. En son Fils, Dieu a éprouvé le cortège de nos souffrances, et dans l’ordre ! Il est né pauvre et sans abri ; sa vie a été menacée bien des fois ; il a eu faim ; il a pleuré avec ses amis ; il a été fait prisonnier et condamné injustement ; il a été torturé ; et il a été haï jusqu’à en mourir ! Mais il a été délivré du mal.
En marchant à sa suite, avec la même espérance et dans la foi, il en sera de même pour nous, promet-il. Non pas une joie accommodante pour tenir, vaille que vaille, avant la prochaine épreuve de la vie, mais le bonheur de la consolation définitive, que seul Dieu peut apporter, cette plénitude que lui seul peut délivrer.
Ce bonheur dont Jésus nous parle est pour aujourd’hui.
Le Royaume de Dieu qu’il promet, il est déjà venu l’instaurer. Il a donné des signes de sa présence en consolant, en guérissant et en libérant ceux qui étaient accablés par le malheur. Et il a invité ses disciples à faire de même. La réalisation des béatitudes n’est pas de la seule responsabilité de Dieu et du Christ ; elle est aussi la nôtre. Nous avons tous la responsabilité de veiller sur les pauvres qui sont nos voisins, mais aussi sur tous ceux du monde entier. Quand un homme ou un enfant meurt de faim, nous sommes tous responsables que la nourriture ne soit pas arrivée jusqu’à lui.
Jésus enseigne que deux voies s’offrent à nous : celle qui conduit au bonheur et celle qui conduit au malheur.
Ce choix implique de renoncer à la satisfaction des besoins humains que sont le désir de richesse, de satiété, de frivolité, de notoriété. Rien ne semble manquer à l’homme qui s’en satisfait. La vie est close sur elle-même et dans cette perspective, le point final est la mort elle-même. En d’autres termes, le risque est de mettre sa foi dans ce qui est mortel.
La voie exigeante de la confiance et de l’espérance demande de consentir à la faim, aux larmes et à l’exclusion, non comme une finalité mais comme le point de passage d’un dépassement, de consentir à la condition humaine dans la confiance. La confiance est une bénédiction de Dieu. Elle permet de traverser les épreuves de toute vie humaine. Ainsi nous ne mettons pas « notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement » (1 Co 15,19). https://www.aelf.org/bible/1co/15
uand nous traversons des temps incertains, troublés par la maladie, le chômage et d’autres choses encore, Dieu nous appelle à la confiance et nous bénit dès cette vie. Souvenez-vous des paroles de Job : « Je suis sorti nu du ventre de ma mère, je retournerai nu au ventre de la terre. Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Il faut continuer de remercier le Seigneur » (Jb 1,20-21).
Il nous appartient de rendre crédible cet Évangile des béatitudes.
Quand nous croisons un mendiant en ville, nous pensons sans doute à la petite pièce qu’il attend. Mais ce qui est bien plus important, c’est la manière dont nous le regardons. Il a surtout besoin d’être reconnu dans sa dignité. Ce regard que nous portons sur lui doit dire quelque chose de celui du Christ, un regard plein d’amour et de compassion. Tout ce que nous aurons fait au plus petit d’entre les siens, c’est à Jésus que nous l’aurons fait (Mt 25,40). https://www.aelf.org/bible/Mt/25
C’est à l’amour et à la miséricorde que nous serons reconnus comme disciples du Christ. Supplions-le qu’il nous donne force et courage pour rester fidèles au témoignage qu’il attend de nous, puisqu’Il nous a choisis pour être ses disciples.
Méditons encore.
Jésus combat la misère. Il nourrit les foules. C’est un exemple qu’il nous donne.
Heureux les petits qui mettent leur confiance en Marie. Ils prient le chapelet/rosaire comme Marie le demande.
Eté 2006 N°77
Heureux les « petits » qui croient au merveilleux de Dieu, par exemple à l’action des anges dans leur vie. L’ange Raphaël intervient dans des guérisons. C’est ce que nous lisons dans le 1er Testament.
06 Alors l’ange les prit tous deux à part et leur dit : « Bénissez Dieu et célébrez-le devant tous les vivants pour le bien qu’il vous a fait. Bénissez-le et chantez son nom. Annoncez à tous les hommes les actions de Dieu comme elles le méritent, et n’hésitez pas à le célébrer. 08 Mieux vaut prier avec vérité et faire l’aumône avec justice, qu’être riche avec injustice. Mieux vaut faire l’aumône qu’amasser de l’or.
09 L’aumône délivre de la mort et purifie de tout péché. Ceux qui font l’aumône seront rassasiés de vie, 10 tandis que le pécheur et l’homme injuste sont leurs propres ennemis. 14 mais Dieu m’a aussi envoyé pour te guérir, ainsi que Sarra, ta belle-fille.
15 Moi, je suis Raphaël, l’un des sept anges qui se tiennent ou se présentent devant la gloire du Seigneur. » 16 Les deux hommes furent alors bouleversés et ils tombèrent face contre terre, saisis de crainte. 17 Mais Raphaël leur dit : « Ne craignez pas ! La paix soit avec vous ! Bénissez Dieu à jamais !
20 Et maintenant, bénissez le Seigneur sur la terre ! Célébrez Dieu ! Voici que je remonte auprès de celui qui m’a envoyé. Mettez par écrit tout ce qui vous est arrivé. » Alors l’ange remonta au ciel. 21 Ils se relevèrent, mais ils ne pouvaient plus le voir. 22 Ils bénirent Dieu, chantèrent pour lui et le célébrèrent pour la grandeur de ses œuvres : un ange de Dieu leur était apparu ! https://www.aelf.org/bible/Tb/12
PRIONS POUR le CONGO et PARTAGEONS avec ces frères et soeurs en grande détresse.
Qui est donc Jésus ? Il est temps de faire sa connaissance !
et il est urgent de témoigner de Jésus autour de nous, sans attendre.
« Musulmans en Belgique, France, et ailleurs, pourquoi vous radicalisez-vous ? » JESUS EST le CHEMIN , la VERITE et la VIE.
« Pas de contrainte en religion » dit le Coran!
L’islam pacifique, beaucoup de monde l’accepte. Par contre, l’islam politique est en aversion même aux Musulmans pacifiques qui le fuient.
01 D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces désirs qui mènent leur combat en vous-mêmes ? … Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu.
07 Soumettez-vous donc à Dieu, et résistez au diable : il s’enfuira loin de vous.08 Approchez-vous de Dieu, et lui s’approchera de vous. Pécheurs, enlevez la souillure de vos mains ; esprits doubles, purifiez vos cœurs.
Que de discussions, conférences et blablas concernant l’aide aux pauvres, SDF, réfugiés, femmes battues, enfants abandonnés, abusés, … !
Oui, il manque de lieux d’accueil, oui, il manque cruellement de cœurs qui écoutent, de toits, de nourriture, de cours d’alphabétisation, de tout. On le sait. A quoi bon faire un tas de discours ? Assez parlé, passons à l’action.
« Vous ne comprenez pas encore ? »
Jésus a vu la foule affamée. Il a agi sans plus attendre. Un jeune garçon lui a donné ce qu’il avait emporté avec lui : quelques pains et du poisson. Jésus a béni ce don et la nourriture s’est multipliée. Tous ont mangé à leur faim.
De même, Jésus a besoin de chacun de nous pour agir, pour évangéliser… Il ne prend pas notre place, il nous responsabilise. Pour partager notre foi , Dieu nous donne des idées !!!
Pour répondre aux besoins autour de nous, c’est l’engagement qu’il faut. S’engager nous-mêmes, là où Dieu nous envoie. D’abord, prier davantage pour être solidement greffé à lui. Donner ce qu’on a. Du temps pour les autres. Des biens matériels aussi : peut-être une maison, si l’on en a deux ! Pourquoi pas ? Il faut être concret ! Tant d’œuvres sont en recherche d’habitations pour en faire des lieux d’accueil communautaire. Partager. Donner son temps, donner sa vie à Dieu et à ses frères et sœurs. Rentrer au couvent, dans une abbaye, pourquoi pas ? C’est ce qu’a fait Bernadette de Lourdes. Et quelle fécondité est la sienne !
10 Les foules lui demandaient : « Que devons-nous donc faire ? » 11 Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu’il partage avec celui qui n’en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu’il fasse de même ! » https://www.aelf.org/bible/Lc/3
08 Produisez donc des fruits qui expriment votre conversion. Ne commencez pas à vous dire : “Nous avons Abraham pour père”, car je vous dis que, de ces pierres, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham.
Les partages miraculeux sont nombreux et diffèrents selon les appels de Dieu.
A Lourdes, Bernadette a PARTAGE les paroles de la Vierge Marie. Et ce ne fut pas de tout repos : que d’interrogatoires, de persécution ! Elle a tenu bon et depuis 1858, ce sont des millions de pélerins qui vont à Lourdes recharger leurs batteries spirituelles.
A la messe ce samedi 15 février, le prêtre commenta l’Evangile concernant la multiplication des pains. Il nous a parlé d’un missionnaire qui, en Afrique, célèbre 17 messes par jour, en circulant d’un village à l’autre. Et les gens lui apportent de la nourriture en retour : quelques œufs, des patates douces, etc. et avec tous ces dons que le prêtre rassemble, c’est plein d’enfants en institution qui sont nourris. Donc un seul prêtre réussit à nourrir de nombreuses personnes sur le plan spirituel et aussi sur le plan matériel. C’est aussi ce que Jésus faisait : « C’est un exemple que je vous ai donné. » a-t-il dit.
En Inde, Dieu appelle un pasteur à partager la Parole à des milliers et des milliers de personnes.
Découvrez l’histoire incroyable de la plus grande église d’Inde qui compte plus de 300 000 membres ! Suivez le parcours inspirant du pasteur Satish Kumar, qui a transformé une petite congrégation de 25 fidèles en un mouvement spirituel massif.
Au Pakistan, Marilyn Hickey démontre la miséricorde de Jésus pour TOUS ses enfants, de TOUTE religion.
Des gens sont guéris lors de la réunion de guérison de Marilyn Hickey au Pakistan !!
A Madagascar, Père Pedro nourrit des milliers de famille.
A partir des dons qu’il reçoit lors de ses voyages à l’étranger, père Pedro loge, nourrit et donne du travail à tant de familles. A travers lui, c’est JESUS qui agit, qui soulage ce peuple malgache.
Chrétiens, nous avons le même Seigneur qui nous envoie en mission. Le moteur indispensable qui nous propulse: la FOI en l’action de Dieu à travers son Esprit.
Où est notre foi ?Jésus ne peut nous utiliser que si nous grandissons dans la foi et l’AMOUR.
06 Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant. 07 Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, 08 et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. 09 « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. » 10 Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. 11 Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. » 12 Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir. 13 Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient. https://www.aelf.org/bible/Mc/6
JESUS EST SAUVEUR. TEMOIGNONS de Lui à travers toute notre vie afin de freiner le wokisme et l’extension du califat islamique, sources de mille misères !
Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom, 10 afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers, 11 et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la gloire de Dieu le Père. https://www.aelf.org/bible/ph/2
L’AMOUR VAINCRA.
Merci aux grands saints qui nous entrainent dans leur sillon. Priez pour nous !
Le chapelet médité malgré sa simplicité est une arme très puissante.
C’est la seule prière que Bernadette Soubirous connaissait au moment des apparitions.
Cantiques
Tu es jeune, tu veux partir et rendre service? En route avec FIDESCO!
Par la bouche de Bernadette Soubirous, Marie demande la construction d’une chapelle pour qu’ on y vienne en pèlerinage.
… et qu’on rencontre ainsi plus intimement Jésus, comme les disciples d’Emmaüs qui sont entrés en union de coeur avec Jésus croisé sur leur chemin.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
… Le pèlerinage donne aussi l’occasion de vivre des moments forts avec d’autres personnes en recherche d’un « mieux vivre sa foi», en Eglise .
… Le pèlerinage donne l’occasion de se reposer, de reprendre souffle, méditer, prier. NB. Sur le plan spirituel, j’ai de meilleurs souvenirs de mon pèlerinage avec le diocèse que de celui que j’ai vécu en famille, car plus nourrissant vu le bon accompagnement des guides et … plus de temps pour moi.
L’Eucharistie est au cœur du pèlerinage.
Cfr fin de chapitre : Messe de Notre-Dame de Lourdes le 11 février.
Que ce soit à Lourdes ou dans une simple église de village, la messe, c’est un festin auquel Jésus nous invite tous.
A la messe, Jésus nous nourrit de sa Parole et de son Corps !
51 Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Ecouter attentivement les paroles de Jésus, c’est comme ouvrir une lumière pour y voir clair sur notre route. Il faut prendre le temps de « goûter » combien Dieu est bon afin de profiter pleinement d’une Eucharistie. C’est comme pour la nourriture du corps, on ne l’avale pas sans d’abord l’avoir mâchée.
Voici quelques moments d’une telle célébration filmés dans une abbaye toute simple, celle des Trappistines de Chimay.
Partout, la Parole de Dieu est la même et le pain consacré est aussi le Corps de Jésus et le vin consacré est aussi son Sang.
Le prophète Isaïe parle de l’appel que Dieu lui a lancé. C’est Isabelle qui lit ce passage de l’Ancien Testament.
L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
« Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » Soeur Agnès.
Lecture de l’Evangile et homélie, prières.
Et voilà le moment où, par les mains du prêtre, le pain et le vin deviennent Corps et Sang de Jésus.
MEDITATION – Miracle eucharistique.
Lourdes, l’eau, les miracles …
La dernière miraculée de Lourdes ! (du moins recensée)
Ce sont des milliers de miracles qui ont lieu à Lourdes mais beaucoup ne sont pas répertoriés, la personne guérie n’ayant pas envie de retourner à des milliers de kilomètres de chez elle pour témoigner et commencer des examens médicaux … Un paroissien me raconta qu’il avait été guéri lors du passage du Saint Sacrement auprès de lui. Il avait environ 4 ans. Il ne fait pas partie des miraculés que l’Eglise reconnait.
Des guérisons et miracles se multiplient partout on l’on prie.
Dans notre vie quotidienne, combien de nos prières sont exaucées sans même qu’on y pense !
MIRACLE A LONDRES.
PRIONS MARIE, « L’IMMACULEE CONCEPTION » d’INTERCEDER POUR NOUS.
Nous pouvons même nous consacrer à elle, c’est-à-dire lui permettre de nous tenir la main tout au long de notre journée, comme le fait une maman qui aime son petit enfant et souhaite le protéger dans les moments dangereux.
« Passe devant moi, Marie »: Telle était la prière journalière d’une jeune dame qui un jour échappa à un viol grâce à cette présence protectrice de Marie.
Lors d’un procès pour viols, un homme avoua qu’il n’avait pas pu approcher la proie convoitée: quelque chose le repoussait. Une médaille miraculeuse portée avec foi ou un scapulaire … fait des miracles. « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
Rappelons-nous aussi comment un réseau de pédophilie en Belgique avait été démantelé: grâce à la prière de la petite Marie-A. qui avait été enlevée mais qui avait réussi à s’échapper. Elle priait des « Je vous salue Marie » comme ses parents le lui avaient appris, ce qui avait agacé son prédateur ….
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Marie appelle Bernadette à prier pour les pécheurs et à se sacrifier pour eux.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Prions donc pour les personnes qui souffrent de la violence et celles qui la provoquent.
Avant de penser divorce, il est bon de penser à prier fidèlement Marie … pour la CONVERSION de chacun. La fierté de l’homme machiste crée bien des problèmes au sein d’un couple. Quand à cela s’ajoute la violence liée à la religion ou à la drogue, la souffrance est inimaginable et inacceptable.
Il y a une puissante neuvaine de prières à « Marie qui défait les noeuds ».
Prions pour le peuple juif et le peuple musulman.
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole. Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Ne serait-ce pas en vue de l’œuvre de Dieu à Lourdes que cette région a été libérée du joug islamique qui nous guette plus que jamais vu la perte de nos racines chrétiennes?
Prions le Rosaire, comme Marie le demande instamment.
Marie avait toujours le chapelet en mains lors de ses apparitions pour montrer combien cette simple prière est bonne. C’est lorsque Bernadette égrenait son chapelet que Marie lui apparaissait.
SUPPLEMENTS
L’appel de Marie à construire une chapelle a été entendu! Et ce sont des basiliques qui ont été contruites à Lourdes.
La Basilique de l’Immaculée Conception est le premier bâtiment à être construit. Toutefois, la Basilique se révèle rapidement être trop petite pour accueillir l’afflux des pèlerins. On construit alors une deuxième basilique. Là encore, la Basilique Notre-Dame du Rosaire ne peut accueillir tous les pèlerins venus à Lourdes. Une troisième basilique est alors construite sous terre Consacrée en 1958 lors du centenaire des apparitions, la Basilique Saint-Pie X devient le lieu de célébrations des messes internationales, de l’adoration du Saint-Sacrement et de la bénédiction des malades. En effet, sa superficie de 12 000 m2 lui permet d’accueillir près de 25 000 personnes et sa forme rappelle l’arche de Noé.
Le signe de la Croix rappelle l’humanité à l’ordre : Dieu est Maître du ciel et de la terre. Quand nous nous soumettrons-nous à son autorité ? Dieu appelle !
Le 6 janvier 2025, une mystérieuse croix lumineuse est apparue au-dessus de la Cathédrale de la Transfiguration à Rybinsk, laissant des milliers de témoins sans voix ! 📸 Ce phénomène incroyable a été capturé et a suscité des interrogations dans le monde entier : Dieu envoie-t-Il un signe à l’humanité ? Est-ce un avertissement sur les temps que nous vivons ?
Dieu ou l’argent : c’est le terrible choix toujours actuel. Bernadette était affreusement pauvre et elle a refusé tout don. Judas par contre a livré Jésus à la mort, pour de l’argent.
La Vierge Marie a reconnu la dignité d’une pauvre fille, Bernadette. Dans certains pays, les femmes sont méprisées.
CANTIQUES
« Pourquoi Moi? » Bien avant l’ère chrétienne, Jérémie, Amos, Isaïe, .. avaient été appelés. Puis il y a eu Jean-Baptiste, la Vierge Marie, saint Joseph et chacun des apôtres… A Lourdes, Bernadette Soubirous a été choisie pour délivrer un message au monde. A l’heure actuelle, chacun de nous est appelé à être un chainon entre le ciel et la terre. Entendons-nous l’appel de Dieu : « Qui enverrais-je ? »
Here I am Lord: « Moi, le Seigneur de la mer et du ciel, j’ai entendu mon peuple crier. Tous ceux qui habitent dans les ténèbres et le péché, ma main les sauvera. Moi qui ai fait les étoiles de la nuit, je rendrai leurs ténèbres lumineuses. Qui leur apportera ma lumière ? Qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. Moi, le Seigneur du vent et de la flamme, je prendrai soin des pauvres et des boiteux. Je leur préparerai un festin, ma main les sauvera je leur fournirai le meilleur pain, jusqu’à ce que leur cœur soit satisfait. je leur donnerai ma vie, qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. »
Les chrétiens sont des gens ordinaires qui, quand ils vivent des choses difficiles, puisent leur énergie dans la foi en Jésus-Christ.
Parce que Dieu les a consolés dans leur détresse, les disciples de Jésus ont le désir d’aider les autres à faire face eux aussi aux grands défis de la vie avec ESPERANCE.
Pape François: « Je vois l’Eglise comme un hôpital de campagne après une bataille. Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol ou si son taux de sucre est trop haut! Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. »https://www.cathobel.be/2024/04/francois-le-pape-qui-aimait-lhopital/
Jésus frappe à la porte de notre cœur. Allons-nous l’inviter à entrer:
« Jésus j’ai besoin de toi. »
Témoignage : d’une triste vie enfantine à une vie en paroisse épanouie.
J’ai toujours eu une vie un peu triste.
Mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée chez les sœurs et puis je me suis mariée et j’ai eu des enfants, et puis mon mari est parti, on s’est séparé, et j’ai été un peu par-ci, par-là chercher le bonheur… que je croyais trouver mais je ne l’ai jamais trouvé avec les hommes.
Charleroi, église des Jésuites.
Mathilde me disait toujours : « Viens à Charleroi, à la prière » mais c’était loin et je n’y allais pas, et puis un jour, il a bien fallu dix ans, j’ai dit : « Oui j’y vais ! » Mathilde me dit encore bien : « Si tu t’ennuies, tu iras fumer ta cigarette ! »
Et là, j’ai vraiment été frappée par le chant : « N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ. » Moi, j’ai toujours cru que le Seigneur m’en voulait de ma vie –je ne vais pas dire de débauche- mais quand même, je cherchais maladroitement après le bonheur, et voilà ! Je croyais que le Seigneur m’en voulait à cause de tout cela. Je croyais que le Seigneur ne me regardait déjà plus puisque j’avais péché. Je savais que j’avais péché !
Pourquoi cette chanson-là m’a-t-elle frappée ? C’était ma vie qui se déroulait ! C’est comme si le Seigneur me disait dans cette parole-là : « N’aie pas peur, je suis là ! » Mais c’est la confession qui me sauvera.
Pendant le chant, j’ai commencé à pleurer et j’ai compris que le Seigneur m’aimait telle que j’étais, mais il me demandait, à moi, de me renouveler, de devenir propre. Je suis allée à la confession –j’ai eu dur, hein !- et quand je suis revenue à ma place j’ai senti que j’étais légère, libérée d’un poids qui était resté là depuis des années. Je me suis sentie renouvelée. J’ai compris à ce moment-là que la vie que j’avais avant n’avait plus de sens, que c’était le Seigneur qui rentrait quelque part dans ma vie et qu’il prenait la place d’autres rencontres que j’aurais pu encore faire.
Je me compare toujours à Marie-Madeleine, depuis que je suis allée à Charleroi… On ne sait pas tout. Dans la religion on nous a dit tellement de choses, que le péché c’était grave ! Mais on n’a pas assez insisté sur le fait que, du péché, on peut être pardonné et que tout devient nouveau en nous. C’est à Charleroi que je l’ai appris.
Il y avait bien dix ans que je n’ étais plus allée à la confession, parce que je ne m’en sentais plus digne. C’est comme quand quelqu’un doit aller demander pardon, il lui faut du courage, eh bien avec le Seigneur, c’est pareil !
Grâce à la confession, j’ai aussi compris qu’il faut pardonner ! Pardonner de la vie qu’on a eue car il y a des gens qui ne sont pas gentils. Grâce au fait que j’ai été pardonnée à la confession, j’ai pu moi-même pardonner. Je ne dis pas que je pardonne tout le temps ! Grâce au fait que le Seigneur m’avait pardonné, là aussi je pouvais pardonner. Je connais beaucoup de gens qui ne savent pas pardonner. Et j’ai mal pour eux ! Dans mes prières je leur dis : « Vous seriez si légers si vous pardonniez ! »
Le Seigneur, je le connaissais déjà avant la réunion de prière à Charleroi, mais je l’avais un peu oublié. Maintenant je suis contente de l’avoir rencontré. Je ne dis pas que la vie est devenue facile, mais j’ai compris beaucoup de choses et quand on a le Seigneur dans sa vie, on est heureux, on n’est plus tout seul. C’est surtout ça !
Ce qui m’aide beaucoup c’est que le Seigneur est vivant. Il m’aide toujours. Il est près de moi. Bien-sûr, il est pour tout le monde, il sait se donner à tous ! Il ne demande que ça !
Dans le passé, on a été malheureux, mais peut-être qu’il a fallu passer par là pour être ce qu’on est aujourd’hui. Si j’avais eu une belle vie, si j’avais tout eu, peut-être que je n’aurais pas ce que j’ai aujourd’hui. Il a fallu que je passe par tout ça ! Et ensuite pour te remettre sur le bon chemin, il faut que tu rencontres quelqu’un qui t’y mette sur le bon chemin. J’ai eu cette chance-là ! Ou alors parfois tu restes toujours sur le mauvais chemin. Je pense à la vie de saint Augustin. Il s’est beaucoup amusé et puis après il est devenu un saint.
Un jour, avant une réunion de prière charismatique à Beaumont, Brigitte est venue vers moi, quand j’étais encore dans la voiture, et elle m’a dit : « Eliane, comme tu aimes le Seigneur ! » Or on se s’était plus vue depuis des années, longtemps avant ma conversion et la sienne! Je lui ai dit : « Pourquoi ? Comment le sais-tu ? » Elle me répondit : « Je sens l’amour que tu as pour le Seigneur ! » Je t’assure que j’ai été étonnée ! Pendant la prière, j’ai compris qu’elle avait l’Esprit de Dieu en elle ! Elle est envoyée… J’ai alors compris que l’amour de Dieu peut transparaitre dans les autres.
Quand j’étais jeune, Je voulais être religieuse.
Quand j’étais au home, j’allais à des retraites, par exemple. La sœur ne m’a jamais poussée à la vie religieuse ; elle me disait : « quand tu rencontreras quelqu’un, tu verras… ». Quelque part elle a eu raison car quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, là, comme j’étais dans un home et qu’on n’était pas fort aimé, je me suis sentie aimée par lui et l’on s’est marié. Mais je pense que si la religieuse m’avait poussée vers la vie religieuse, j’y serais allée, car j’ai toujours eu un regret. Ca m’a toujours suivi. Quand j’étais petite, on a toujours eu beaucoup de problèmes dans ma famille, et j’avais dit : « Seigneur, si tu me sors de là, je t’offre ma vie. » Il m’a sorti d’un pas très difficile quand nous sommes entrés au home mais je n’ai pas fait ce que j’avais promis. Quand j’ai revu ma belle-mère longtemps plus tard, elle m’a dit : « J’avais toujours cru que vous auriez été une nonette ! » A cette époque ; quand j’étais enfant, j’étais un peu comme maintenant, j’aimais le Seigneur.
Et puis il y a eu la vie ! C’est comme les jeunes maintenant. On ne vit pas avec le Seigneur même si on est marié chrétiennement. Maintenant avec le temps je me dis que je n’étais peut être pas faite pour me marier. Bon j’ai mes enfants, je les aime très fort, mais je me dis que ma vie ce n’était pas ça ! Je suis née sous une mauvaise étoile et j’ai toujours pensé que je ne m’en sortirais pas. Or je me suis toujours sortie de choses très difficiles. On a revendu deux fois ma maison. Le Seigneur m’a beaucoup comblée. J’ai beaucoup de grâces. Je dois beaucoup le remercier. C’est pourquoi j’accepte de témoigner aujourd’hui.
Grâce au Seigneur j’ai su arrêter de fumer. Voilà comment.
J’ai une petite fille qui est née fort avant terme et il me semblait que je n’aurais jamais la garde de la petite si je continuais à fumer car elle était fragile et sa maman ne voudrait pas qu’elle respire l’odeur de la fumée de ma maison. Je m’étais dit dans ma tête : je vais arrêter de fumer. J’avais déjà essayé plusieurs fois mais je n’y arrivais pas. Alors j’ai eu l’idée de cacher ma cigarette derrière le Sacré-Cœur dans ma chambre. Chaque fois que j’y allais, -et j’y allais souvent car j’avais besoin de ma cigarette-, je disais au Seigneur : « Non, Seigneur, je ne fume pas, je te fais plaisir, je ne fume pas, … » Mais je n’y arrivais pas. Ma dernière cigarette, ce fut un moment spécial, (car la cigarette c’était important pour moi), je dis au Seigneur : « Cette fois c’est la dernière, tu vas m’aider ! » Et il s’est passé quelque chose, comme si le Seigneur entrait en moi ! Et maintenant je ne fume plus. Ça fait deux ans et demi que je ne fume plus !
Pour moi, l’Eglise a toujours été ma famille.
J’y ai rencontré Marie-Louise. C’est une dame que j’ai prise en amitié comme une grand-mère puisque je n’ai jamais connu mes grands-mères. Le jour où j’ai appris qu’elle était décédée, justement il y avait une réunion paroissiale et on avait prié pour Marie-Louise, et j’ai commencé à pleurer, car là j’avais perdu quelqu’un de fort cher à mon cœur. C’était une grande dame ! Pour moi, l’Eglise, c’est ma famille.
Et puis il y a Thérèse. Pour moi, c’est une sainte ! Je n’ai jamais vu Thérèse en colère. Je n’ai jamais vu Thérèse élever le ton. C’est rare, hein ? Elle est un exemple !
Il y a maintenant beaucoup moins de gens à l’église, l’Eglise est beaucoup plus petite, mais je crois que c’est plus vrai. J’y sens l’amour. Le dimanche je vais à la messe, j’y vais pour le Christ mais j’y vais aussi pour voir mes frères et sœurs de l’Eglise. Le Seigneur l’a quand-même dit : « Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. »
J’ai reçu une statue de la sainte Vierge qui appartenait à Marie-Louise. Et je pense à elle en la regardant. Avant j’avais sa photo mais ça me faisait trop mal. J’ai retiré la photo. Maintenant quand je vois la statue, je vois Marie-Louise, heureuse au paradis !
Lourdes.
Un jour, j’ai eu l’occasion d’aller à Lourdes parce qu’une amie, Mireille, avait gagné un voyage avec « Les amis de Lourdes » et elle me donnait son billet, mais je ne me sentais pas la permission d’y aller car je ne faisais pas partie de la famille des « Amis de Lourdes » J’ai demandé à monsieur l’abbé Moreau ce qu’il en pensait. Il m’a retourné la question. Je lui ai dit que Mireille faisant partie de la famille de l’Eglise, il me semblait que j’avais le droit d’y aller à sa place. Il m’a répondu que si je le prenais comme ça, je pouvais y aller. Et donc, grâce à Lourdes, j’ai compris que la famille chrétienne était encore beaucoup plus grande que je le pensais.
Avant Lourdes, je ne connaissais pas bien la Vierge Marie. J’ai appris à la connaitre grâce à Mireille. Avant je ne la connaissais que comme maman de Jésus et je ne lui demandais jamais de grâces. C’est grâce à Mireille qui m’a donné beaucoup de documentations sur Marie que tout doucement j’ai appris à mieux connaitre Marie, qu’elle avait un cœur d’or et qu’on pouvait lui parler comme à une maman. Mais quand je suis allée à Lourdes je ne savais pas ça. Si j’ai encore l’occasion d’aller à Lourdes, j’irai avec un autre cœur.
A Lourdes j’y suis allée avec mon copain,
…mais je dois dire que je n’ai pas ressenti les choses comme si j’y étais allée toute seule. Je ne peux pas le certifier, mais je pense que j’ai été aidée à quitter mon copain. J’ai compris qu’il n’était pas heureux, il rouspétait tout le temps, moi, je n’étais pas heureuse non plus, or le Seigneur ne demande qu’une chose, c’est que les gens soient heureux. Si on n’est pas heureux avec quelqu’un (qui n’est même pas son mari), il ne faut pas rester avec lui pour être malheureux. Tout le monde me disait : « Il vaut mieux être seule que mal accompagnée », mais je me voyais partie pour toute la vie avec ce monsieur-là. Mais le Seigneur le voyait autrement. J’ai dit à mon copain : « Il est temps de s’arrêter un moment et de voir ce qu’on fait de nos vies. » Je voyais que je ne le rendais pas heureux alors qu’il y avait tant de gens à aider dans la paroisse et depuis que j’étais avec lui, je ne savais plus m’absenter. D’avoir eu le courage de dire à cette personne que c’était fini, c’est peut-être une grâce de Lourdes. Et maintenant, grâce à ça, je m’occupe du catéchisme, j’essaie de faire tout ce que je peux pour la chorale, …. C’est surtout pour le Seigneur que je le fais. Le Seigneur a pris une très grande place dans ma vie et je ne saurais plus vivre sans lui.
Quand on fait entrer Jésus dans notre vie, on ne sait plus le faire partir.
Moi je ne saurais plus vivre sans le Christ. Il a tellement pris une place importante ! Lui s’est mis aussi dans ma vie. Si tous les gens pouvaient croire que Jésus est tellement vivant aujourd’hui, comme le monde serait beau ! Parce que le monde, il va mal ! Mais il va mal aussi parce qu’on s’éloigne de plus en plus de Jésus. A cause du manque d’amour ! L’argent a tellement pris un pouvoir ! Ce qui est gratuit n’est jamais accepté. Quand on achète quelque chose, il est à nous. Mais l’amour, comme il est gratuit, ça n’intéresse pas ! Mais je sais que l’amour de Dieu est immense.
Je n’arrive pas à témoigner auprès de mes enfants. Je parle de ma foi, ils comprennent que l’Eglise c’est ma famille aussi. Ils ne se moquent plus de moi. Je suis comblée par la foi que le Seigneur m’a donnée.
Les sept semaines du Renouveau Charismatique.
Quand il y avait eu les 7 semaines, Mathilde m’y avait invitée avec mon mari qui venait de revenir à la maison. Elle me disait : « Viens ! ça te fera du bien et à ton mari aussi ». On y est allé trois fois, mais ça n’a pas été. Je n’ai rien ressenti. On attendait peut-être quelque chose trop vite et on n’a rien eu. Il y a un temps pour tout. Moi, c’est à Charleroi que Jésus est vraiment entré dans ma vie et maintenant il est toujours près de moi.
03 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. 04 Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. https://www.aelf.org/bible/2Co/1
Frères, … Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, car vous aussi, vous avez un corps. Que le mariage soit honoré de tous, que l’union conjugale ne soit pas profanée, car les débauchés et les adultères seront jugés par Dieu. (…) Le Seigneur est mon secours, je n’ai rien à craindre ! Que pourrait me faire un homme ?https://www.aelf.org/2025-02-07/romain/messe
TEMOIGNONS TANT QUE C’EST POSSIBLE. En terre d’islam, c’est souvent passible de persécution, voire de mort.
Et si on priait avec la fraternité NDML …
ANNEXE.
Pape François: «La famille est le premier lieu où l’on apprend à aimer»
N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ Laisse-toi regarder car il t’aime (bis).
1.Il a posé sur moi son regard, un regard plein de tendresse Il a posé sur moi son regard, un regard long de promesses.
2. Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens et suis-moi « . Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens, ne crains pas « .
3. Il a posé sur moi son regard, et ses yeux en disaient long Il a posé sur moi son regard, c’était celui du pardon.
4. Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il pleurait Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il m’aimait.
Tellement de fois Tu m’as tendu la main Mais j’ai tourné le dos Parce que je ne pensais pas que tu avais ce dont j’avais besoin Et maintenant tu es tout Tu es tout pour moi Et je ne peux pas être sans toi, Dieu Tu es tout Et je veux dire merci J’étais perdu et tu m’as trouvé j’étais mort à l’intérieur Et tu m’as insufflé Et tu as donné vie à ces os je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvé Merci de m’aimer inconditionnellement, Dieu Tu es resté les bras ouverts Mais je me suis enfui Parce que j’avais peur de la douleur qui venait avec la confiance Mais je suis revenu en courant Dans ton étreinte Parce que je savais que tu serais toujours là Tu ne me quitterais jamais, Dieu Et je veux dire merci
Une grand-mère raconte : « Quand je préparais* mon petits-fils de 7 ans à son baptême et sa première communion, il y éprouvait tant de joie ! Il me dit : «Mamy, tu fais le plus beau métier du monde! Plus tard, je ferai comme toi. » Aujourd’hui, il est adulte et je prie pour que la petite semence puisse trouver le bon terrain pour se développer.
*à partir du livret que la paroisse m’avait prêté.
Pourquoi refuser aux enfants d’assister aux cours de religion, de catéchisme ? Et si on leur permettait de rencontrer des laïcs ou des religieux pleins de l’amour de Dieu, respectueux de chacun?
« La foi ne s’impose pas. On la prêche par la paix, la douceur, la patience, la constance. » (Maria Valtorta)
13 Des gens présentaient à Jésus des enfants pour qu’il pose la main sur eux ; mais les disciples les écartèrent vivement. 14 Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. 15 Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. » 16 Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains. https://www.aelf.org/bible/Mc/10
Jacques Pineault avait 2 ans et 1/2 quand il a été saisi par …
cfr annexe.
Que la jeunesse est belle quand elle est bien encadrée ! Elle a beaucoup à nous apprendre!
Floris: « Ton bonheur c’est Quelqu’un.«
Agée de 8 ans, Rose demande des explications à sa grand-mère lors du repas: « Bonne-Maman, tu ne fais pas de sacrifice aujourd’hui ? Tu ne fais pas carême ? Pourquoi ? »
Père Pedro soustrait des familles à la décharge, soigne les corps, les esprits, les cœurs et les âmes. Waouh!
“Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.” https://www.aelf.org/bible/Mt/25
Agée de 4 ans, Marie Rivier priait de la sorte :
« Sainte Vierge, guéris-moi et je te ramasserai des petites, je leur ferai l’école et je leur dirai de bien t’aimer. »
Magnificat Février 2025, N°387
À 9 ans, le futur Don Bosco a fait un rêve marquant qui orientera toute sa vie.
« Il voit un champ rempli de jeunes bagarreurs, insultant Dieu. • Un homme lumineux lui apparaît et lui dit : « Ce n’est pas avec la violence, mais avec la douceur et l’amour que tu les ramèneras à Dieu. » • La Vierge Marie lui est confiée comme guide et lui promet de lui montrer comment accomplir cette mission. Ce rêve reste gravé dans son cœur et deviendra la base de son œuvre future auprès des jeunes.
Saint Jean Bosco : Père et Maître de la Jeunesse, un Apôtre de l’Éducation
« Saint Jean Bosco fonde alors son premier oratoire dans le quartier de Valdocco, ou il ouvre avec sa mère une école et centre de jeunes en 1846 : les enfants y trouvent refuge et éducation. Son activité continue de croître au fil des ans, et Jean Bosco donne à ses jeunes et autres membres de l’organisation le nom de “salésiens”, en l’honneur de Saint François de Sales. »
NB : Don BOSCO est le premier à associer formation intellectuelle et pratique professionnelle pour prévenir la délinquance. Il est le précurseur du CEFA.
Dominique Savio a eu la chance de rencontrer Don Bosco sur sa route.
C’est à trois enfants de Fatima que la Vierge Marie a annoncé un grand signe dans le ciel pour le 13 octobre 1917.
A 15 ans, Eufranio choisit d’entrer chez les Capucins.
Magnificat
Cet enfant turc aime Jésus et il est persécuté.
En Turquie, des enfants sont battus par leurs camarades et leurs professeurs quand ils sont chrétiens, jusqu’à ce qu’ils récitent la Chahada, la Profession de foi musulmane. Des enfants résistent à l’endoctrinement!
Âgée de 15 ans, Leah Sharibu a été enlevée de son école par des islamistes de Boko Haram. « Leah n’a pas été libérée alors que tous ses camarades de classe l’ont été parce qu’elle était restée ferme dans sa foi et avait refusé de se convertir à l’islam. Elle est un symbole de la fidélité des chrétiens nigérians face à la violence et à l’adversité extrêmes. »
🌟 Pourquoi Sainte Agathe est-elle un modèle pour nous ? 🌟 • Elle choisit Dieu avant tout, refusant les avances d’un gouverneur puissant. • Elle endure de terribles tortures, mais ne renie jamais sa foi. • Elle meurt en martyr en 251, après avoir confié son âme au Seigneur. • Un an après sa mort, son voile arrête miraculeusement une coulée de lave, protégeant la ville de Catane.
Jean-Paul II s’adresse avec force à la jeunesse (en anglais)
« Ma vocation remonte à l’âge de 4 ans. »
« Ma vocation remonte à l’âge de 4 ans. Je suis certaine, car entre 4 et 5 ans, j’ai eu cette certitude que je serais consacrée à Dieu. » (Sœur Catherine Pagano)
À 17 ans, il évangélise sur Instagram : le témoignage poignant de Karol
HEIDI BAKER entend l’appel de Dieu à 16 ans.
Après s’être convertie à l’âge de 16 ans, Heidi a une vision de plusieurs heures durant laquelle le Seigneur lui explique qu’elle sera missionnaire en Afrique, en Asie et en Angleterre. Quelques années plus tard, elle rencontre Rolland. Découvrant qu’ils ont le même appel, ils décident de se marier, et fondent le Ministère IRIS en 1980.
Comment sa vocation a-t-elle éclos dans un milieu tout à fait indifférent à Dieu ? C’est de façon très simple. Il a visionné un film sur l’histoire de Lourdes qui le toucha. Il entra alors dans une vie de prière profonde. A partir de sa première communion, il est allé à la messe chaque jour et il mis sur pied un site pour faire connaitre les miracles liés à l’Eucharistie!
Actuellement, l’exposition est diffusée dans les cinq continents. Rien qu’aux États-Unis, elle a été accueillie dans une multitude de paroisses et dans des campus universitaires.
Oser dire sa foi permet à certains de « sentir » quelque chose de Dieu. L’image parle.
Lors de la prière du soir, Samuel, 3 ou 4 ans, est tout recueilli. Il dit à Jésus : « Faites que je moure bientôt ! » « Pourquoi dis-tu ? » demande sa maman inquiète. « Parce-que je veux voir Dieu. » Prière non exaucée!
Les jeunes se sentent généralement bien chez les Franciscains de Bruxelles.
Les enfants savent ADORER Dieu. Le Coeur à coeur forme les saints.
Un gamin de 12 ans avait apporté ses 5 pains et ses 2 poissons et Jésus les avait multipliés.
Et si, comme Zacharie, on demandait à Dieu quel nom donner à l’enfant attendu ?
11 L’ange du Seigneur lui apparut, debout à droite de l’autel de l’encens. 12 À sa vue, Zacharie fut bouleversé et la crainte le saisit. 13 L’ange lui dit : « Sois sans crainte, Zacharie, car ta supplication a été exaucée : ta femme Élisabeth mettra au monde pour toi un fils, et tu lui donneras le nom de Jean. https://www.aelf.org/bible/Lc/1
Une foi d’enfant, n’est-ce pas mieux que le doute d’un adulte ?
Prions donc en toute simplicité de coeur, comme Marie le demande dans ses apparitions.
Annexes.
Pour nos enfants, soyons ARTISANS de PAIX. Prions tout en ne laissant pas le mal s’étendre ! REAGISSONS !
» Une parole humaine est un son, un signe conventionnel, grâce auquel nous désignons une réalité. La Parole de Dieu, c’est Dieu qui exprime ce qu’Il est lui-même : la Parole de Dieu, c’est le Christ, Dieu fait homme pour révéler à l’homme qui est Dieu. »
Attention aux paroles humaines qui peuvent conduire sur des chemins de mort.
Gare aux idées toutes faites véhiculées sur les réseaux sociaux : télévision, tik-tok, etc… Au temps du covid, par exemple, toute personne qui dénonçait les dangers de la distanciation sociale ou qui refusait la vaccination était traitée de « complotiste ». Il s’avère aujourd’hui que les soi-disant « vaccins » ont des effets dévastateurs. Qui donc était complotiste ? Ah ! Si chacun avait pris le temps d’ECOUTER les professeurs tels Luc Montagnier, dr. Raoult, … et des avocats tels Fabrice Di Vizio, Carlo Brusa … ! (annexe)
Bref, afin de VIVRE, il est vraiment nécessaire de confronter nos idées avec celles des personnes qui ne pensent pas comme l’ensemble de la population.
Revenons à la parole divine, parce qu’elle est primordiale.
« Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu. (Jn 1.1)
Pour faciliter la compréhension de son enseignement, Jésus exprimait beaucoup de choses en paraboles, c’est-à-dire de façon imagée. La parabole du semeur est particulièrement intéressante. Jésus dit d’ailleurs à ses disciples que s’ils ne comprennent pas cette parabole, ils ne comprendront pas les autres paraboles non plus.
Réflexion du père Jacques Pineault : « Jésus s’adresse à la foule avec la célèbre parabole du semeur. C’est une page en quelque sorte « autobiographique », parce qu’elle reflète l’expérience même de Jésus, de sa prédication : il s’identifie au semeur, qui sème la bonne semence de la Parole de Dieu, et il se rend compte des différents effets obtenus, selon le type d’accueil qui est réservé à cette annonce. Il y a ceux qui écoutent la Parole de façon superficielle mais ne l’accueillent pas ; il y a ceux qui l’accueillent sur le moment, mais qui ne sont pas constants et perdent tout ; il y a ceux qui se laissent dominer par les préoccupations et les séductions du monde ; et il y a ceux qui écoutent de façon réceptive comme la bonne terre : là, la Parole porte du fruit en abondance. »
Je vous souhaite donc à tous d’être particulièrement attentifs pour bien comprendre l’enseignement de Jésus.
«… Écoutez ! Voici que le semeur sortit pour semer. Comme il semait, du grain est tombé au bord du chemin ; les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé. Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux, où il n’avait pas beaucoup de terre ; il a levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde ; et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé et, faute de racines, il a séché. Du grain est tombé aussi dans les ronces, les ronces ont poussé, l’ont étouffé, et il n’a pas donné de fruit. Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ; ils ont donné du fruit en poussant et en se développant, et ils ont produit trente, soixante, cent, pour un. » Et Jésus disait : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
( ….) « Vous ne saisissez pas cette parabole ? Alors, comment comprendrez-vous toutes les paraboles ?….. https://www.aelf.org/bible/Mc/4
Voici la parabole à la portée des enfants … et de ceux qui leur ressemblent.
ECOUTONS-nous les cris de détresse de nos frères et sœurs en humanité ? Dieu parle à travers eux ! REAGISSONS pardi !
Un collégien et son ami réagissent pour sauver une mère des griffes du mari. Un exemple à suivre!
A Mayotte, la population est abandonnée de la France. Disons-le pour que ça finisse par changer!!
Esther Senot , rescapée du camp d’Auschwitz, raconte.
Ecouter Esther devrait permettre de ne pas sombrer dans l’extrême-droite. Notez que je pense vraiment que Bardella, par exemple, ne fait pas partie de l’extrême-droite. Marion Maréchal non plus. Dans son message ci-joint, Marion ne cherche pas à faire peur pour le plaisir d’effrayer la population mais pour nous faire réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Droit de parole ou omerta. Il faut choisir dans quel type de société nous voulons vivre.
Des Musulmans eux-mêmes sont conscients du danger que représente la radicalisation d’une partie de la jeunesse immigrée. Des Algériens disaient que, pour éviter les extrémistes musulmans, ils avaient quitté la ville afin de protéger leurs enfants.
Fabrice Di Vizio est écarté du débat car il est « controversé. »
Sans vouloir faire de politique, je relève quand même les propos de ce président du PTB. Il dénonce l’injustice : Pourquoi les politiciens qui prennent leur retraite reçoivent-ils des centaines de milliers d’euros alors que les gens ordinaires ont des difficultés à joindre les deux bouts?
Revenons une nouvelle fois à la Parole de Dieu.
Entre Mohamed et Jésus, il faut choisir en toute connaissance de cause.
Semer en tout lieu, même dans les cailloux, même sur le bord du chemin, car …
13 En effet, quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. 14 Or, comment l’invoquer, si on n’a pas mis sa foi en lui ? Comment mettre sa foi en lui, si on ne l’a pas entendu ? Comment entendre si personne ne proclame ? 15 Comment proclamer sans être envoyé ? Il est écrit : Comme ils sont beaux, les pas des messagers qui annoncent les bonnes nouvelles! 16 Et pourtant, tous n’ont pas obéi à la Bonne Nouvelle. Isaïe demande en effet : Qui a cru, Seigneur, en nous entendant parler ? 17 Or la foi naît de ce que l’on entend ; et ce que l’on entend, c’est la parole du Christ. https://www.aelf.org/bible/Rm/10
« Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous. »
Discernons: Que penser des propos du pape concernant l’homosexualité ?
Il est des personnes qui préfèrent écouter des « voyants »
Ces mediums se mettent eux-mêmes à l’écoute des esprits tout en ayant des statues de Jésus et des saints chez eux. Ils se trompent eux-mêmes et trompent les autres.
Ils lisent dans les mains, dans les cartes, dans les astres, … Alberto nous met en garde.
09 En effet, si de ta bouche, tu affirmes que Jésus est Seigneur, si, dans ton cœur, tu crois que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, alors tu seras sauvé. 10 Car c’est avec le cœur que l’on croit pour devenir juste, c’est avec la bouche que l’on affirme sa foi pour parvenir au salut.11 En effet, l’Écriture dit : Quiconque met en lui sa foi ne connaîtra pas la honte.12 Ainsi, entre les Juifs et les païens, il n’y a pas de différence : tous ont le même Seigneur, généreux envers tous ceux qui l’invoquent.
Dénoncer les situations injustes ne suffit pas; il faut AIDER concrètement.
APPEL A PRIER!
Le ministère d’Heidi Baker, Iris Global, est menacé d’attaque par des terroristes au Mozambique. Le fondateur du ministère Iris Global évacuerait des centaines d’enfants.
Dans cette vidéo, Frère Daniel Marie nous invite à découvrir et méditer sur la force intérieure de Marie, mère de Jésus, au-delà des images traditionnelles. Femme humble et simple, Marie est aussi une figure d’une extraordinaire puissance spirituelle, ancrée dans la foi et l’écoute de la Parole de Dieu. À travers les Évangiles, de l’Annonciation à la Croix, en passant par les Noces de Cana et la Visitation, nous explorons comment Marie incarne la force dans l’épreuve, la fidélité dans le quotidien, et la joie dans l’espérance. Elle nous apprend à mémoriser, à méditer, et à transformer nos épreuves en sources de croissance et de foi. Avec Marie comme modèle et guide, proclamons ensemble ces paroles de force et engageons-nous à vivre avec courage et fidélité à la Parole de Dieu. 🙏 Regarde, médite, et laisse-toi transformer.
Que soit faite la sainte volonté de Dieu, pour notre bien à tous car Dieu est grand d’amour!
Avant de juger, essayons de comprendre. Si le latin est encore parlé à Rome, c’est qu’il est une langue universelle de l’Eglise, comprise par bien des chrétiens du monde entier. Prier ensemble rapproche les coeurs les uns des autres.
Annexes
Maître Brusa n’est pas croyant mais il est profondément humain. Il dénonce les effets dévastateurs de la distanciation sociale au temps du Covid.« Quelqu’un a quitté mon cabinet il y a quelques heures en disant: « Maitre Brusa, on m’a empêché de voir ma grand-mère pendant des mois, maintenant elle est morte sans que je puisse lui faire un bisou. J’aurais préféré passer du temps avec elle au lieu de suivre les conseils du gouvernement pour la protéger, j’aurais dû l’embrasser tous les jours, … C’est d’amour dont nous avons besoin! Où est-il l’amour? Les valeurs qui nous unissent? … » Maitre Brusa.
On peut ne pas aimer Trump, mais tout de même, reconnaissons-le : il y a du bon en lui.
Ce nouveau président ne fera pas que du bien, mais pourquoi le casser systématiquement ? Encore une fois, c’est la faute des réseaux sociaux et de notre manque de discernement. Alors, faisons circuler les bonnes intentions du nouveau président. Nous avons tellement besoin d’espérance !