« Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. » Jésus-Christ.

Le Renouveau Charismatique a changé ma vie « en bien », malgré des dérapages.

Petit témoignage. En 1985, après la naissance de mon 4ème enfant, j’ai commencé à avoir bien mal au dos. Or durant l’été, ma sœur m’a invitée à une assemblée de prière où l’on pria pour les malades.  Je m’avançai et j’ai été guérie, quoi que le lendemain, j’éprouvai encore quelques douleurs que je repoussai par la foi : « Non, je n’ai plus mal, je suis guérie. » J’ai encore été enceinte  5 fois, sans ressentir de douleurs au niveau du dos sauf à la fin de la neuvième grossesse où le mal réapparut. Une fois l’enfant né, je consultai le médecin. La radio révélait une hernie discale. L’ostéopathe arrivait à calmer la douleur et j’étais tranquille pendant quelques semaines puis le mal réapparaissait. Après quelques séances, j’interpelai vivement le Seigneur et je fus guérie. Depuis 30 ans, mon dos ne me fait plus souffrir.  

08 Rendez grâce au Seigneur, proclamez son nom, annoncez parmi les peuples ses hauts faits ; 09 chantez et jouez pour lui, redites sans fin ses merveilles ; 10 glorifiez-vous de son nom très saint : joie pour les cœurs qui cherchent Dieu ! 11 Cherchez le Seigneur et sa puissance, recherchez sans trêve sa face ; 12 souvenez-vous des merveilles qu’il a faites, de ses prodiges, des jugements qu’il prononça,

https://www.aelf.org/bible/1Ch/16

https://www.aelf.org/bible/Jn/14

Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement.

https://www.aelf.org/bible/Mt/10

Dans l’Eglise, Corps du Christ, chacun a des dons à exploiter « en vue du bien ».

C’est une question d’AMOUR que de demander les dons de l’ESPRIT SAINT, de l’Esrit Saint seulement: gare aux contre-façons!

04 Les dons de la grâce sont variés, mais c’est le même Esprit. 05 Les services sont variés, mais c’est le même Seigneur. 06 Les activités sont variées, mais c’est le même Dieu qui agit en tout et en tous. 07 À chacun est donnée la manifestation de l’Esprit en vue du bien. 08 À celui-ci est donnée, par l’Esprit, une parole de sagesse ; à un autre, une parole de connaissance, selon le même Esprit ;

09 un autre reçoit, dans le même Esprit, un don de foi ; un autre encore, dans l’unique Esprit, des dons de guérison ; 10 à un autre est donné d’opérer des miracles, à un autre de prophétiser, à un autre de discerner les inspirations ; à l’un, de parler diverses langues mystérieuses ; à l’autre, de les interpréter. 11 Mais celui qui agit en tout cela, c’est l’unique et même Esprit : il distribue ses dons, comme il le veut, à chacun en particulier.  https://www.aelf.org/bible/1Co/12

« Le Renouveau Charismatique est une chance pour l’Église et pour le monde. »

 « Puisse le Renouveau charismatique disparaître en tant que tel et se transformer en une grâce de Pentecôte pour toute l’Église : pour être fidèle à son origine, le fleuve doit se perdre dans l’océan[12]. »

https://emmanuel.info/petite-histoire-du-renouveau-charismatique/

EN AVANT Grâce à internet, nous pouvons dès aujourd’hui, nous former à la PRATIQUE des CHARISMES.  

Inscrivez-vous à la formation express Encounter Ministres qui se déroule sur les 4 semaines du mois de juin, pour, vous aussi, apprendre à prier pour des guérisons et à interpréter les rêves ! Inscription à la formation en distanciel : https://fr.encounterschool.org/esmo-si Inscription en présentiel à Versailles pour ceux qui habitent en île de France : https://linktr.ee/encounterversailles

27 Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. »  https://www.aelf.org/bible/Jn/6

Les membres du Renouveau Charismatique sont des priants. Ainsi NDML.

Mieux vaut annoncer les merveilles de Dieu en son Eglise, prier pour elle et s’y engager que de la critiquer.

CANTIQUES

Annexe.

Le 5 mai 1895, poussé par sœur Elena Guerra, le pape Léon XIII[2] écrit une lettre intitulée Provida matris caritate. Dans cette courte lettre, le pape demande à toute l’Église de se préparer à la fête de Pentecôte par une neuvaine solennelle au Saint-Esprit. Il propose de prier spécialement cette prière : « Envoie ton Esprit créateur et tu renouvelleras la face de la terre. » Deux ans plus tard, en mai 1897, toujours à l’instigation d’Elena Guerra, Léon XIII continue son action en publiant cette fois une encyclique sur l’Esprit Saint intitulée Divinum illud munus. Le 1er janvier 1901, premier jour de la première année du siècle, le même Léon XIII chante le Veni Creator Spiritus, comme pour consacrer le nouveau siècle à l’Esprit Saint.

Le pentecôtisme

Malheureusement, il faut bien dire que ces appels sont restés sans grand écho dans le monde catholique. En tout cas, dans un premier temps. Pourtant – est-ce une coïncidence ? –, le jour même où le pape Léon XIII chantait le Veni Creator sur le monde commence à Topeka (Kansas), aux États-Unis, ce qu’il est convenu aujourd’hui d’appeler le pentecôtisme. Dans son école biblique, le pasteur méthodiste Charles Fox Parham a rassemblé ses étudiants. Ils lisent et travaillent les Actes des Apôtres. Pendant qu’ils sont en prière, ils font l’expérience du « baptême dans l’Esprit »[3]. Ils deviennent des chrétiens renouvelés qui exercent les charismes dont il est fait mention dans les épîtres de Paul et les Actes des Apôtres. Rapidement, bien que né au sein de l’Église méthodiste, cette nouvelle manière de vivre sa foi est rejeté par les Églises protestantes traditionnelles. Se crée donc une nouvelle Église, qui sera appelée l’Église pentecôtiste, et qui se répandra dans le monde entier. Ce n’est que cinquante ans plus tard que le mouvement pentecôtiste commence à s’implanter dans les Églises protestantes officielles aux États-Unis et qu’on trouve des protestants de différentes dénominations qui ont fait l’expérience du baptême dans l’Esprit.

Pape François a vécu lui-même une effusion de l’Esprit Saint dans une assemblée œcuménique.

https://emmanuel.info/petite-histoire-du-renouveau-charismatique/

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https://www.aelf.org/2025-05-06/romain/messe

Journée mondiale des malades, chaque 11 février.

Je crois qu’il y a une manière de vieillir heureux, qui parvient, au-delà de tous les aléas de la vie, à trouver encore la joie d’aimer. Je crois que, malgré le corps qui se délite, les maladies et les maux qui prennent de l’importance, malgré les possibilités qui se réduisent parfois drastiquement et même quand vient le sentiment d’approcher de la fin, il reste de la place pour l’espérance et la joie parce que, jusqu’au bout, nous gardons intacte notre capacité d’aimer.

Je crois qu’il reste dans la souffrance, au fond de la maladie ou de la dépendance, toujours la possibilité d’aimer de tout son cœur ; qu’il y a moyen que la douleur ne prenne pas toute la place, à force d’amour : l’amour pour l’époux ou l’épouse d’une vie, l’amour pour ses parents, pour ses enfants, l’amour pour Dieu. Il y a, même au fond d’un lit d’hôpital, invalide ou en grande fragilité, la possibilité intacte d’éprouver toujours de l’amour et donc, quelque part encore, la joie d’aimer.

Je me souviens d’une religieuse franciscaine, plus que centenaire. Elle vivait dans une maison de repos à Embourg. Elle avait le cœur tellement fragile, qu’il était interdit de frapper à sa porte avant d’entrer. On entrait à pas feutrés, attendant silencieusement qu’elle vous remarque. Je garde comme un trésor ce qu’elle m’a dit dans la pénombre de sa chambre : « Je suis prête, je n’ai pas peur. Au contraire, je suis pleine de joie. Je vais rejoindre l’Amour que toute ma vie j’ai espéré. ». Et elle s’est éteinte en paix quelques jours plus tard.

Je me souviens aussi de Véronique, au pèlerinage du Rosaire à Lourdes. Elle n’avait plus aucune force musculaire ; elle ne pouvait plus parler, ni manger, ni boire. Je l’accompagnais à la messe pour veiller sur elle, lui passer de temps en temps un linge humide sur le visage et prier ensemble, essentiellement en se tenant la main, et en se regardant profondément dans les yeux. C’est tout ce qu’il nous restait pour communiquer et, tous les deux nous avons pleuré. De tristesse, sans doute, mais le regard plein de joie. Je n’ai jamais entendu le son de sa voix, mais j’ai la certitude d’avoir été regardé du plus bel amour et d’en avoir eu le cœur bouleversé.

On comprend souvent négativement la notion de sacrifice – l’idée d’offrir à Dieu ses souffrances, par exemple – comme s’il s’agissait du désir pervers de souffrir pour expier ou pire d’aimer la douleur en soi, au fond comme un suicide sur l’autel de Dieu. C’est un peu vite oublier que le Christ en agonie a supplié : « Éloigne de moi cette coupe » (Lc 22, 42).

Mais, il y a une vision positive du sacrifice, non pas comme amour de la souffrance mais au contraire comme sacrifice de la souffrance pour se donner encore à l’amour, un amour qui précisément transcende la douleur, qui va au-delà ; un sacrifice qui trouve la force de détourner ses pensées de la souffrance, pour les maintenir dans l’amour.

En effet, ça demande une certaine force spirituelle. Qui parvient, pétri de douleur, à malgré tout centrer son cœur sur l’amour ? à penser à ceux qu’il aime plus fort qu’à son corps malade ? à rendre encore grâces à Dieu alors qu’il se sent dépérir ?

Les visiteurs qui les accompagnent vous rapporteront, comme je viens de le faire, quantité de témoignages de cette force qui émane de personnes malades, de la puissance d’amour qu’elles transmettent, parfois dans la plus grande fragilité. Beaucoup de visiteurs de malades vous diront qu’ils ont, dans bien des cas, infiniment plus reçu qu’ils ont donné. C’est de cette force dont je parle.

Aujourd’hui, alors que nous commémorons la Journée mondiale des malades, je voudrais simplement remercier toutes celles et ceux qui, dans la maladie, restent des petites lumières brillantes d’amour : les époux qui jusqu’à la fin s’embrassent, les vieilles mamans fatiguées qui ont encore des gestes tendres et le cœur brûlant, les vieux papys qui partagent leur tendresse par des regards affectueux, toutes celles et ceux qui, malades, restent épris d’amour.

Peut-être ne mesurez-vous pas à quel point votre affection, votre tendresse, vos paroles, vos regards pour vos proches sont précieux ? Ce sont pourtant des jalons d’éternité. Parce qu’ils portent en eux, avec force, l’espérance que, jusqu’au bout et malgré tout, l’amour peut triompher.

— Fr. Laurent Mathelot OP