Médecin, Alberto a prêté le serment d’Hippocrate, celui de ne jamais provoquer la mort sciemment. Aujourd’hui, on voudrait l’obliger à faire des avortements ? Jamais, jamais il n’en fera.
A l’ère des droits humains universels, il ne peut y avoir de ‘droit’ à supprimer une vie humaine.
Témoignage bouleversant d’une infirmière pratiquant les avortements
Prière de réparation avec la fraternité Notre-Dame de la Lumière.
Il y a des alternatives à l’avortement: l’aide concrète aux mamans, aux familles et le soutien moral et spirituel.
En France: Mère de Miséricorde, en Belgique et en Afrique: « Le Souffle de Vie, Levensadem » et « SOS Emmanuel Adoption »
Quand la vie d’un tout-petit visite le corps d’une femme, plus rien n’est pareil. Que ce passage ait duré quelques jours ou plusieurs mois, que la mort ait été accidentelle (fausse-couche, grossesse extra-utérine) ou décidée (IVG, IMG), la femme a subi une transformation corporelle et psychique.
Face à ce constat, Mère de Miséricorde propose une écoute bienveillante et anonyme, un accompagnement des personnes qui se posent la question de l’avortement, avec un profond respect pour leur histoire et pour ce qu’elles vivent (solitude, angoisse, peur de l’avenir…). Des rencontres ou une aide peuvent être proposées.
Pour l’adoption d’enfants porteurs d’un handicap, s’adresser à SOS Emmanuel Adoption.
Notre-Dame de Guadalupe est enceinte.
Le 24 avril 2007, à la fin de la messe offerte pour les enfants avortés non nés, l’assistance de la Basilique se demandait ce qu’attendait d’elle la Très Sainte Vierge de Guadalupe : le conseil municipal de Mexico venait de légaliser l’avortement à la demande jusque là interdit.
Tandis que beaucoup de fidèles prenaient des photographies de l’ayate de Tepeyac, exposé et vénéré dans le Basilique et au pied duquel la foule des pèlerins défile sur un tapis roulant, l’image de la Vierge a commencé à s’effacer, pour donner place à une lumière intense qui émanait de son ventre, constituant un halo brillant ayant la forme d’un embryon.
Avec un cadrage et un grossissement important il est possible d’apprécier la position de la lumière qui provient réellement du ventre de l’image de la Sainte Vierge et n’est ni un reflet, ni un artéfact.
L’ingénieur Luis Girault qui a étudié l’image ainsi réalisée a confirmé l’authenticité du négatif et a pu préciser qu’il n’avait été ni modifié ni altéré, par superposition d’un autre image par exemple. Il a découvert que l’image ne provient d’aucun reflet, mais sort littéralement de l’intérieur de l’image de la Vierge.
La lumière produite est très blanche, pure et intense, différente des lueurs photographiques habituelles produites par les flashes. Cette lumière est entourée d’un halo et paraît flotter à l’intérieur de l’abdomen de la Vierge.
Ce halo possède la forme et les mesures d’un embryon. En effet si on examine plus précisément encore cette image en la faisant tourner dans un plan sagittal, on distingue à l’intérieur du halo certaines zones d’ombre qui ont les caractéristiques d’un embryon humain dans le sein maternel.
« Voici que je fais toutes choses nouvelles. » Isaïe 21 :5
Pour repartir à zéro, rien de tel qu’une bonne révision de vie, une confession
sincère.
Les Jésuites ont une longue expérience d’accompagnement spirituel. Ils peuvent vraiment aider à cheminer vers Dieu. Egalement les Franciscains, Dominicains, Cisterciens, …
Notre pape François a reçu une formation de Jésuite tout comme le père Bernard de Give (Michel de Give) qui fut moine à Scourmont.
Parce qu’elle se pose des questions sur Jésus qu’elle a vu en rêve, une dame musulmane me dit : -Quand j’étais jeune, de ma chambre, je voyais une église et cela me donnait l’envie d’aller me confesser. Je ne l’ai pas fait car je ne faisais pas de péché.
-Tu sais, on fait tous des péchés ! Quand on prie, l’Esprit Saint nous éclaire. Même si ce ne sont pas de gros péchés, il est bon de se nettoyer l’âme de temps en temps. Pour aller au ciel, notre âme devra être propre ! Et comme on ne sait pas quand on va mourir, mieux vaut prendre ses précautions, ne pas attendre pour se confesser.
NB : Cela ne m’a pas étonnée qu’une musulmane cherche à se confesser car les musulmans aiment Marie, or Marie nous pousse dans les bras de son Fils Jésus. Je n’ai donc pas répondu à cette femme que l’Eglise réserve ce sacrement de la confession aux baptisés parce qu’en fait Jésus est venu pour tout le monde. Il se laisse toucher par toute personne qui veut mieux le connaitre. Que le Seigneur éclaire le prêtre qui reçoit une personne non baptisée.
01 …. je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchaient pas.
Est-ce que je dénonce parfois les abominations ? Amnesty International ne cesse de nous solliciter ! A.E.D. également. Portes Ouvertes, aussi … Est-ce que je cherche à entrer en dialogue avec des femmes voilées? A regarder au-delà des apparences?
UN FOULARD POUR SE PENDRE – Eric-Emmanuel Schmitt
Il y a des jours où j’ai honte d’être un homme. Non seulement honte d’être un humain, mais honte
d’être un humain de sexe masculin.
En ce moment, dans plusieurs pays, Syrie, Irak,
Nigéria, Somalie, Mali, Yémen, des fanatiques réduisent des femmes à
l’esclavage. Dans les villages conquis, on exécute les garçons de plus de 14
ans et l’on se sert des femmes comme d’objets sur lesquels vont pouvoir
s’exercer sadisme et concupiscence. Toutes sont humiliées, les plus jeunes et
les plus jolies sont vendues, violées, revendues, reviolées… Certaines
s’entraident pour s’enfuir, d’autres avalent de la mort aux rats, d’autres
utilisent leur foulard pour se pendre…
Zainab Bangoura, représentante spéciale des Nations
Unies, a produit cette semaine un rapport dont je ne peux même pas rapporter
les détails ici.
Cette brutalité constitue un système. L’asservissement
des femmes sert la politique des terroristes : il effraie les populations à
conquérir, il finance les actions par la vente et revente des femmes, et il
permet de recruter des combattants en leur promettant la satisfaction !
Quelle violence, quelle arrogance, quel mépris se tapissent dans le mâle pour l’amener à se conduire ainsi ? Les femmes ont-elles, une seule fois dans l’histoire, agressé les hommes à ce point ? J’ai honte. Certes, je n’ai rien fait de tel et ne le ferai jamais, mais en tant qu’homme, j’ai honte. Eric-Emmanuel Schmitt
Est-ce que je respecte le travail des autres? Notre mère-nature?
… et la liberté de l’autre, sa liberté de pensée, je la respecte?
Suis-je libre ? Ou bien, par facilité, par tradition, je me conformise ?
Est-ce que je sais écouter
d’autres avis que le mien ?
Les
uns disent : c’est bien qu’il y ait internet partout. D’autres disent : Il vaut mieux mettre l’argent
pour servir les pauvres qui, avant toute autre chose, ont besoin d’eau
et de pain.
Me permettez-vous de partager mes opinions ? Oui, je soutiens les êtres qui ne tirent pas d’avantages financiers mais … qui sont sans cesse persécutés!
Est-ce que je soutiens les personnes ordinaires et courageuses? Ou bien j’engraisse les ogres qui mangent nos enfants ?
Tant d’argent en jeu, c’est très douteux! D’autant plus que la liberté disparait: « Vous devez vous faire vacciner!!!! »
Suis-je
paresseux ?
Tant d’emplois sont disponibles. Il manque de travailleurs !
Est-ce que je dis un vrai merci à Jésus? Comment le remercier du fond du coeur?
C’est par amour que Jésus dévoile nos péchés. Il nous sauve !
Comme il l’a fait avec la Samaritaine, Jésus nous
révèle nos péchés quand nous venons vers Lui. Cette opération est
intérieure. Si nous prenons du temps
avec Jésus, il nous parle intérieurement ou à travers des personnes sur notre
chemin.
« Va appeler ton mari, lui dit Jésus, et reviens ici. » 17La femme répondit : « Je n’ai pas de mari. » Jésus lui dit : « Tu as bien fait de dire : ‘Je n’ai pas de mari’, 18car tu as eu cinq maris et l’homme que tu as maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit la vérité. » 19« Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es un prophète.
L’abbé Champenois arrive au bon moment chez une dame qui souhaitait la visite d’un prêtre.
La comm-union, fruit de la réconciliation.
Comment
rester ensemble sans vivre la réconciliation ? Impossible ! Les moines sont un exemple des bienfaits du
vivre-ensemble. C’est leur unité qui permet leur fécondité. Que de bienfaits
pour tous ! Si les « gens dans le monde » pouvaient s’entendre
eux aussi, la paix viendrait vite.
Maya, Noël Colombier – Aimez-vous les uns les autres
Regarde l’étoile
Glorious – Saint-Esprit (Voici mon coeur)
SUPPLEMENTS
Découvrir les sacrements (2/7) : À quoi sert la confession ?
Le consumérisme.
Le consumérisme est en train de dévorer et surchauffer la
Terre. Et nous avec. Si ce système de démesure résiste si bien à toutes les
crises, c’est qu’il vit en nous. Il colonise nos âmes, façonne nos modes de vie
et devient addictif par ses mécanismes. Pour en sortir, une mutation intérieure
est nécessaire, à travers notamment trois questions essentielles : qui
suis-je ? quel est mon désir ? de quoi ai-je peur ? Bio Michel
Maxime Egger est sociologue et écothéologien.
La pandémie n’est pas qu’un problème sanitaire, soluble par un
vaccin. Elle révèle l’impasse d’un système productiviste et consumériste
globalisé qui épuise et donne la fièvre à la Terre par sa démesure. Qu’on le
veuille ou non, la sobriété est la seule alternative crédible à ce système
incompatible avec les limites de la planète.
Dans son inspirante encyclique Laudato si’, le pape François en
fait l’éloge comme un nouveau mode de vie « prophétique et contemplatif,
capable d’aider à apprécier profondément les choses sans être obsédé par la
consommation ».
Et si le moins de biens, de shopping, de voyages ou de
sports d’hiver était une chance pour plus de
liens, de temps pour soi et pour les autres, d’intériorité et de spiritualité ?
Le pape François décrit la sobriété comme la « capacité de
jouir et de vivre intensément avec peu ». Rien à voir donc avec
l’abstinence, qui revient à nier la bonté des choses créées. La sobriété n’est
pas une privation, mais une libération. Elle n’est pas lourde, mais source de
légèreté. Non seulement elle désencombre nos existences, mais elle nous apprend
à marcher légèrement sur la terre, en réduisant notre empreinte et notre
emprise sur la nature. Elle est, en ce sens, indissociable du respect de la
finitude de la Terre et de l’impératif de justice.
Le pape François décrit la sobriété comme la « capacité de
jouir et de vivre intensément avec peu ». Rien à voir donc avec
l’abstinence, qui revient à nier la bonté des choses créées. La sobriété n’est
pas une privation, mais une libération. Elle n’est pas lourde, mais source de
légèreté. Non seulement elle désencombre nos existences, mais elle nous apprend
à marcher légèrement sur la terre, en réduisant notre empreinte et notre
emprise sur la nature. Elle est, en ce sens, indissociable du respect de la
finitude de la Terre et de l’impératif de justice.
Ils regarderont vers Celui qu’ils ont transpercé. (Za 12 :10)
Abbaye Notre-Dame de Scourmont. C’est le bon moment pour y venir : les magnolias sont en fleurs: De quoi rendre grâce à notre Père des cieux!