Témoignage personnel : Je me promenais dans le cimetière quand j’ai aperçu le nom d’une personne que j’aimais bien : Angèle. Mon cœur a débordé de joie, une joie surnaturelle. J’ai ressenti dans ma chair ce qu’on appelle « La communion des saints ».
Me sont revenues à l’esprit les qualités de cette personne. Jamais Angèle ne disait du mal de quelqu’un, elle n’était pas bavarde d’ailleurs. C’était une grande priante. A l’église du village, je la voyais toujours chapelet en mains. Quelle bonne terre fertile que le cœur de cette femme ! Elle nous a donné un fils prêtre, l’abbé Emile Champenois que beaucoup aimaient et continuent d’aimer au-delà de la mort.
A côté de la tombe d’Angèle, il y a maintenant celle de l’abbé Emile. Que de bons souvenirs il me laisse lui aussi. Ses nombreuses visites aux pauvres, aux malades. Sa participation aux temps de prière organisés par les laïcs, à l’église ou à la maison. Il m’avait aussi raconté sa guérison, quand il était bébé ainsi que celle de sa sœur jumelle. Les deux bébés étaient atteints de pneumonie à une époque où l’on ne connaissait pas encore les antibiotiques et le médecin avait annoncé que les bébés ne survivraient pas. Le lendemain de cette funeste prédiction, les enfants étaient guéris. « Qu’avez-vous fait ? » demanda le médecin. « Nous avons prié. » répondit Angèle.
En reconnaissance, Notre-Dame de Lourdes fut davantage vénérée dans cette famille. Une fois prêtre, l’abbé Emile allait volontiers à Lourdes pour y entendre les confessions et rendre l’espérance aux pécheurs.
La confession est le sacrement de la réconciliation de l’homme et de la femme avec Dieu et avec leurs frères et sœurs … et même avec les animaux.
L’abbé Champenois allait à la rencontre des gens, il aimait beaucoup aider les personnes à se convertir. Il pratiquait volontiers le sacrement de la réconciliation et le sacrement des malades. Ecoutons-le raconter une de ses histoires édifiantes. (NB: il avait quelque tic …) Non, les saintes personnes ne meurent pas, elles restent bien présentes dans nos souvenirs.
« Je ne meurs pas, j’entre dans la vie. » (Thérèse de Lisieux)
25 Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; 26 quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
Dans ce petit extrait de ses Derniers entretiens, la foi de la petite Thérèse apparaît dans tout son éclat : elle sait qu’après sa mort, elle sera encore plus proche de toutes les personnes qu’elle a connues et aimées : « Monsieur l’abbé m’a dit : ‘Vous aurez un grand sacrifice à faire en quittant vos sœurs…’ Je lui ai répondu : ‘Mais, mon Père, je trouve que je ne les quitterai pas ; au contraire, je serai encore plus près d’elles après ma mort.’ «
Nous prions pour les défunts ainsi que la Bible nous y invite.
Sans doute cela ne sert-il à rien de prier pour les âmes qui ont choisi l’enfer, mais pour celles qui sont dans le purgatoire, notre prière sert à écourter leurs souffrances. Et comme nous ne sommes pas juges des personnes et que des prostitués repentis prendront place avant nous dans le royaume de Dieu (C’est Jésus qui le dit : Mt 21 :31), PRIONS pour les âmes du PURGATOIRE.
C’est là une pensée sainte et pieuse. Voilà pourquoi il fait ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leurs péchés.
Pape Léon XIV évoque la fête des défunts, fixée par l’Eglise au 2 novembre.
Prière de l’abbé Champenois.
L’abbé Champenois laisse le bon souvenir et le bon exemple de l’amour désintéressé. Chaque soir il rendait visite à mes parents, priait avec eux et mettait au lit mon papa devenu grabataire. Il les a longuement préparés à la Rencontre avec Dieu. Il a veillé à leur donner le sacrement des malades à plusieurs reprises.
Que les âmes des fidèles défunts reposent en paix par la miséricorde de Dieu. Amen.
Rosaire pour nos défunts 🙏❤️🌹
Philippe de Villiers favorise notre réflexion concernant notre héritage chrétien.
C’est Mirât qui aurait appelé Lourdes du nom de Louerda, ou “Rose” en langue arabe.
Il propose à Mirât de se rendre, non pas au souverain, mais à la Reine des cieux !
Tilpin négocia avec le chef musulman et lui dit: – Je comprends bien que tu ne veuilles pas te soumettre à un roi de la terre, mais je te propose de te soumettre à la Suzeraine des cieux, qui est aussi celle de la France, la Très Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu. Ainsi tu pourras garder la ville de Lourdes, mais en rendant tes armes et en devenant un prince pacifique de la Très sainte Vierge Marie.
… qu’il se convertit et transforma Lourdes en ville mariale. C’est lui qui, l’aurait appelée Louerda, ou “Rose” en langue arabe.
Mirat serait même allé jusqu’à la Vierge Noire, Notre Dame des Roses, au Puy, pour rendre hommage et se soumettre à la Suzeraine de France, la Vierge Marie. C’est ce nom qu’il aurait choisi lors de son propre baptême !
Le 11 février 1858, Notre Dame apparaît à Sainte Bernadette et demande à être vénérée à Lourdes.
25 il doit reprendre avec douceur les opposants, car Dieu leur donnera peut-être de se convertir, de connaître pleinement la vérité : 26 ils retrouveront alors leur bon sens et se dégageront des pièges du diable qui les retient captifs, soumis à sa volonté.
L’islam aujourd’hui. Bruno Guillot raconte comment il est devenu musulman et puis chrétien.
« Je partage mon parcours unique : de l’islam salafiste à ma rencontre avec le Christ. 🎙️ J’interviens dans différents médias pour raconter mon histoire, dénoncer les dangers du salafisme pour l’Occident et témoigner de la liberté et de la paix que j’ai trouvées dans la foi chrétienne. »
A Lourdes, la Vierge Marie s’est présentée avec un chapelet.
Bel encouragement à prier sans cesse avec Marie. Le chapelet est une arme spirituelle très simple à la portée de tous. Chaque jour nous pouvons prier en union avec les pélerins de Lourdes, avec NDML aussi …
CANTIQUES.
Marie conduit à Jésus, présent dans la sainte Hostie. A Lourdes, nous participons à la messe, nous confessons nos fautes et nous prions devant le Saint Sacrement.
En quête d’amitié vraie, j’ai accepté l’invitation à entrer dans un groupe de prière des Equipes Notre-Dame. Ce n’était que du bonheur de pouvoir partager quelque chose de spirituel avec mon mari. Un baby-sitter veillait sur nos enfants pendant ce temps. Puis il y a eu les groupes de prières du renouveau, puis du chapelet, puis la lectio divina, … Ce sont des endroits où l’on goûte l’amour de Dieu, où l’on peut partager sa foi avec d’autres tout en créant de vrais liens d’amitié. Bref, ce sont des endroits de BENEDICTION!
Fait de vie. L’Eglise en état de veille permanent.
Mon beau-frère J.M. étant très malade, ma sœur m’invite à passer quelques jours chez eux. Dès le premier jour, elle m’amène à la messe à l’église du village. Nous sommes 5 seulement. L’abbé Patrick déclare qu’il peut aller célébrer l’Eucharistie dans les maisons, comme cela se pratiquait au début du christianisme. Cela ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd.
Le surlendemain, à l’heure habituelle de la messe dans cette paroisse, quelques parents, voisins, amis et fidèles se réunissent, non pas à l’église, mais dans la maison de J.M. et nous sommes 11 cette fois. Nous prions pour JM et aussi aux intentions libres des uns des autres et bien sûr pour la PAIX. Plusieurs participants à la messe profitent de ce moment de prière intense pour recevoir le SACREMENT des MALADES. Je le reçois moi-même. Mon beau-frère est visiblement réconforté, il est souriant. « Merci Seigneur : Dans cette église de maison, je sens battre ton cœur de Père. » L’Eglise y est en état de veille. Rien à voir avec l’éveil des religiosités à la mode.
Jésus nous a laissé l’Eglise, bien vivante mais toujours en danger. Mgr André Dupuy veut nous réveiller !
Dans notre groupe de prière, on est parfois peu nombreux mais on tient bon.
On crée des liens entre nous, on médite la Bible, on reçoit aussi de petits enseignements en lien avec les apparitions mariales. Dans ce short, Marie-Chantal nous livre un message de +père Slavko Barbaric.
« Pour apprendre à prier, dit le père Slavko, il faut prier avec les autres et pour bien prier avec les autres, il faut prier seul. … Le groupe de prière devrait avant tout être un groupe d’amis. En famille, on parle, on chante, on se tait, on pleure, on rit, on se réjouit, … Un groupe de prière ce sont les amis qui se retrouvent parce qu’ils sont croyants, ce sont les croyants qui se retrouvent parce qu’ils sont amis. … »
« La prière est une langue et pensez à ce qui se passerait si nous décidions de parler une langue uniquement lorsque nous l’avons bien apprise. De cette façon, nous ne serions jamais en mesure de parler cette langue particulière, car toute personne qui commence à parler une langue étrangère commence par dire les choses les plus simples, pratiquer, répéter plusieurs fois et faire des erreurs et finalement apprendre vraiment cette langue . Nous devons être courageux et commencer de toutes les manières possibles et ensuite, avec la prière quotidienne, nous apprendrons également à prier avec le cœur. »https://www.ioamogesu.com/fr/pregare-cuore-risposta-padre-slavko-barbaric/
Dans les groupes de prière, divers charismes sont pratiqués.
Nous prions pour que notre groupe s’ouvre davantage à l’action de l’Esprit Saint. Il est bien normal qu’il y ait des guérisons lorsque l’on prie pour les malades. NDML en raconte régulièrement.
Dans nos maisons, on prie beaucoup pour les prêtres, pour la guérison de l’institution et par là-même, pour la guérison du monde.
… et on prie pour nos frères séparés afin que « Tous soient Un ».
La méconnaissance de la place de Marie dans les mieux protestants, évangéliques nous fait mal. Nous croyons ce que Marie a dit elle-même : « A la fin, mon cœur triomphera. » Charlie Kirk en semble convaincu (si ce que l’on dit de lui est vrai.)
Marie compatissante, Notre-Dame des Douleurs, donne-nous de ressentir la souffrance des autres afin de les aider à porter leur croix.
Outre les groupes de prière dans les maisons, il y a aussi les Lectio Divina en petits comités.
Chez nous, la Lectio Divina est animée par une religieuse. Elle invite chacun à s’exprimer, sous la motion de l’Esprit Saint. La dernière fois, nous avons médité les noces de Cana. « C’est une des pages d’Evangile que je préfère, ai-je dit, car elle est pleine d’espérance. L’Eglise, épouse du Christ, ne va pas bien pour le moment, mais, comme aux noces de Cana, le bon vin est pour la fin. Nous vivons l’aurore d’un jour nouveau. Le rôle de Marie va aller en grandissant et c’est une bien bonne chose car elle conduit au Christ : « Faites tout ce qu’Il vous dira ». Encore faut-il discerner ce que Dieu nous demande. Le groupe est très important pour discerner ce que Dieu attend de nous.»
Cela dit en passant, le parler en langues pratiqué dans les groupes de prière charismatique permet de mieux capter la volonté de Dieu. C’est un charisme à demander. Vraiment.
Partage d’idées de lecture lors de la Lectio Divina.
L’une de nous présente un livre qu’elle a dévoré. Elle le fait circuler avec le petit mot : « Livre pèlerin. Après l’avoir lu, passe-le à quelqu’un d’autre. » Quant à la religieuse, elle propose de jeter un coup d’œil sur une autre présentation des Evangiles.
Prions en union de coeur avec les pélerins de Lourdes. Dans les groupes de prière de maison, on demande l’intercession des saints, spécialement celle de la Vierge Marie, l’Immaculée.
Plusieurs frères et soeurs du groupe de prière sont déjà allés à Lourdes.
L’Etat ordonne l’abattage de cheptels complets de vaches alors qu’il existe un vaccin pour enrayer la propagation de l’ épidémie de dermatoses. Les éleveurs sont les mieux placés pour protéger leur bétail qu’ils chérissent. Qu’on les aide à soigner leurs animaux, à faire de la prévention, au lieu de tout abattre !
C’est un drame humanitaire énorme qui frappe les familles: perte d’emploi, impossibilité de rembourser les emprunts, grande détresse psychologique de chaque membre de la famille.
Plus de factures payées, c’est la faillite et qui dit faillite dit vente de la maison, de la ferme !!! C’est inadmissible ! Que chacun fasse ce qui est en son pouvoir pour aider les familles concernées.
Tous nous sommes concernés. Une pénurie alimentaire peut conduire nos pays à la famine. S’il n’y a plus de vaches, il n’y a plus non plus de beurre, de lait, plus de yaourts, de fromages, …
NB: Certaines personnes ont bien du mal à se séparer d’un chat, d’un chien, … Comprenons donc que les éleveurs aussi aiment leurs animaux. Ils donnent même un nom à chacun d’eux. Et voilà qu’ils se retrouvent dans des étables vides, des prairies laissées à l’abandon … Quelle souffrance atroce aussi pour les enfants! C’est inadmissible.
Des dizaines de vaches abattues en France, les éleveurs suisses en panique.
🦠 Une épidémie virale frappe les bovins en Europe, causée par des insectes piqueurs. Détecté récemment en Italie et en France, le virus menace les troupeaux, incitant les autorités françaises à ordonner l’abattage des bêtes infectées. En Suisse, une vaccination d’urgence est en cours dans les cantons proches de la frontière pour protéger le cheptel. La situation est particulièrement préoccupante pour les éleveurs, dont certains ont déjà perdu leurs troupeaux.
Dermatose nodulaire: « L’ABATTAGE total, je suis CONTRE »
« Je pense très honnêtement que c’est une manœuvre de l’Etat pour dépeupler nos pays de ses traditions agricoles familiales pour favoriser l’agro-business. »
Si ça continue « dans 5 à 10 ans, les gens ne mangeront que de l’industriel. »
Quelle honte! Sacrifier notre agriculture, notre élevage, nos paysages, pour donner la place à l’agro-business! Je ressens profondément la souffrance de tous ces gens de la terre. Tenez bon, s’il vous plait, nous avons tous besoin de vous, pas de mercosur! La SOLIDARITE est indispensable! Aidons les travailleurs de la terre!
Nathalie de la Ferme Du Moulin Dubois a subi 3 contrôles AFSCA en 6 mois. Elle dénonce la pression subie par les petits agriculteurs.
Chapelet quotidien de 15h30 à Lourdes ou sur YouTube à toute heure.
Propos prophétiques de Mgr. André Dupuis. A méditer sérieusement. (extraits)
« Frères et sœurs, l’avenir n’est pas au repos parce que la foi au Christ passe par un choix inéluctable : ou nous croyons en lui ou nous lui jetons des pierres. … La foi est un combat spirituel plus dur qu’une bataille d’hommes. C’est un choix qui marque toute une vie humaine ….Nous pensons que nous avons droit à la paix sans chercher à la construire. La paix n’est jamais un acquis mais un combat continu contre les égoïsmes et les violences, contre notre égoïsme et nos propres violences.
Seuls des témoins courageux, libres, qui n’hésitent pas à descendre sur la pelouse plutôt que de rester sur les gradins accepterons (que) le feu que le Christ est venu allumer au cœur du monde. Que notre oui soit franc, sans faux fuyant. …
Les yeux fixés sur Jésus …. venons en aide à nos frères et sœurs en proie aux difficultés de la vie, à l’hostilité, au mépris. … N’hésitons pas à intervenir qui que nous soyons, devenons des Samaritains … il n’y a pas lieu de tergiverser, … Seules les oreilles qui ne veulent pas l’entendre ne l’entendront pas.
Ou nous nous sauverons ensemble, ou nous périrons ensemble.
NB : Cette année, tombe le même jour que la fête du Cœur Immaculé de Marie, celle des apôtres Pierre et Paul dont l’amour pour le Christ a fait des saints. Ils ont connu Marie présente à leurs côtés au Cénacle dans l’attente de l’Esprit Saint qui les a fortifiés pour la mission.
MARIE NOUS COMPREND: Quand les Catholiques évoquent la vie des saints, ils ont à l’esprit que ces derniers ont souvent vécu des situations très douloureuses. Marie elle-même a beaucoup souffert parce que son Fils était persécuté. Elle l’a suivi lors du chemin de croix, jusqu’à sa mort sur la croix ! Il était défiguré ! Comment a-t-elle pu tenir le coup ?
Marie nous aime du même amour qu’elle a aimé Jésus et elle est à nos côtés dans nos épreuves. Pas besoin d’être un grand mystique pour expérimenter la présence de Marie à nos côtés. Il suffit de la prier.
NB: Les apôtres aussi ont beaucoup souffert et les chrétiens ne cessent d’être persécutés. Paul écrit :
Tous m’ont abandonné. Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent. J’ai été arraché à la gueule du lion ; le Seigneur m’arrachera encore à tout ce qu’on fait pour me nuire. Il me sauvera et me fera entrer dans son Royaume céleste. À lui la gloire pour les siècles des siècles. Amen.
Bon à savoir : Marie apparait encore de nos jours : à Medjugorje, en Bosnie-Herzégovine.
A Medjugorje, Marie délivre des messages à destination du monde entier. Il est bon de s’informer sur ces événements. Ce sont les dernière apparitions de Marie et elles auront une fin… Marie nous prépare aux temps nouveaux qui arrivent.
19 Voici que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert, des fleuves dans les lieux arides. https://www.aelf.org/bible/Is/43
Marie est précieuse: elle nous aide à entrer en prière, en « oraison ». Jean Lafrance écrit ceci :
Saint Louis-Marie Grignon de Montfort invite à se consacrer à Marie.
Se consacrer à Marie, c’est accepter de lui « donner la main » parce qu’on est sûr qu’elle nous conduit à Jésus. Personnellement, j’aime commencer ma journée de cette manière. Dommage que je ne l’ai pas fait plus tôt !
Personnellement, j’aime le prier en tout temps, (en m’éveillant la nuit, en voiture, en ballade, …) sans toutefois faire l’ensemble de ce qui est dit ici. Les « petits » ne connaissent sans doute pas toutes ces prières. Ce qui compte c’est de prier avec le cœur, comme en « cœur à Cœur » avec Dieu, avec Marie.
Marie aime les enfants. Il est bon de lui confier nos petits et de leur apprendre à prier. Leurs prières sont si profondes ! Elles touchent le Cœur de Dieu!
Le chapelet est prié dans toutes les langues !Le Notre Père vient de Jésus lui-même.
Comme « la montagne qui accouche d’une souris », bien des réunions en paroisse sont improductives. Elles sont même occasion de disputes. Avant toute réunion, il est donc bon de méditer les versets bibliques suivants afin d’en VIVRE.
Si nous ne cherchons pas à mettre l’Evangile en pratique, nous sommes des hypocrites !
13 Supportez-vous les uns les autres, et pardonnez-vous mutuellement si vous avez des reproches à vous faire. Le Seigneur vous a pardonnés : faites de même. 14 Par-dessus tout cela, ayez l’amour, qui est le lien le plus parfait. 15 Et que, dans vos cœurs, règne la paix du Christ à laquelle vous avez été appelés, vous qui formez un seul corps. Vivez dans l’action de grâce.
16 Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et reprenez-vous les uns les autres en toute sagesse ; par des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez à Dieu, dans vos cœurs, votre reconnaissance. 17 Et tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, en offrant par lui votre action de grâce à Dieu le Père.
Des laïcs organisent des activités auxquelles les prêtres sont invités.
Vu la participation de plus en plus importante des laïcs en paroisse, les prêtres ont du temps à consacrer aux choses qu’eux seuls peuvent réaliser : l’Eucharistie, le sacrement des malades, la confession.
Activité en paroisse. C’est simple: une réunion de 4 personnes pour organiser le « Souper bol de riz » annuel, ça suffit.
Deux membres de l’association « Enfants de Madagascar », une femme de l’ACRF et deux priants du groupe de prière organisent cette rencontre « Souper Bol de Riz » . Quelques mails et une réunion suffisent à s’organiser.
C’est dans la JOIE que nous vivrons cette rencontre entre frères et sœurs en humanité, chrétiens ou pas !
Inutile de discuter du lieu où le souper a lieu. Il faut occuper les églises , dignement, pour que les fabriques d’église continuent à les subsidier. Et c’est un beau symbole: Jésus nourrit non seulement les âmes mais aussi les corps.
En Eglise, les pèlerinages occupent une grande place. C’est joyeux, pleins de vie! Ils rendent l’Eglise visible. Ils sont des invitations lancées tous azimuts à se tourner vers Jésus. Marie est souvent en tête de cortège, ou bien c’est saint Joseph qui met des hommes, des familles en route pour suivre le Christ de plus près.
Une action qui se répand : Les Vierges pélerines.
Elles circulent d’un village à l’autre, d’une maison à l’autre, d’un pays à l’autre. Si le prêtre est partant, tant mieux. S’il ne l’est pas, on prie pour lui.
La Vierge pélerine de Medjugorje donne l’occasion de nous pencher davantage sur les appels de notre bonne mère par le biais des voyants.
Marie et Joseph sont unis autour de Jésus qui est au centre de leur famille. De nombreuses « Marches des hommes » sont organisées. Et elles portent de bons fruits en renforçant la vie de couple, en fortifiant les célibataires, les divorcés, … Dieu rejoint chacun là où il est.
Il y a quelques années, sur Kto, j’ai entendu de beaux témoignages : Grâce à ces marches, des hommes acquièrent plus de maturité. Ils cessent d’être des copains pour leurs enfants, ils deviennent vraiment des éducateurs.
Dommage que de si beaux reportages ne soient pas sur YouTube.
Jésus invite chacun personnellement à se mettre en marche, parfois seul, sans le soutien de la famille. Comprenne qui pourra.
24 Alors Jésus dit à ses disciples : « Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive. 25 Car celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie à cause de moi la trouvera. 26 Quel avantage, en effet, un homme aura-t-il à gagner le monde entier, si c’est au prix de sa vie ? Et que pourra-t-il donner en échange de sa vie ? 27 Car le Fils de l’homme va venir avec ses anges dans la gloire de son Père ; alors il rendra à chacun selon sa conduite. https://www.aelf.org/bible/Mt/16
Hommes de paix, cheminons ensemble, unissons-nous contre le mal que représente si bien Daesh.
En Eglise: méditer la Parole ensemble pour mieux la comprendre, et grandir dans la foi.
Des hommes et des femmes se sont mis en route vers la terre promise. La terre promise, pour les Chrétiens, c’est le Royaume de Dieu vers lequel nous conduit Jésus, le nouveau Moïse. C’en est fini une bonne fois des guerres de conquête! Depuis Jésus, c’est l’AMOUR, le moteur de toute évangélisation.
NB: le califat auquel s’acharnent les islamistes est une conquête violente de territoires. Rien de divin!
La vie est un pèlerinage vers le Ciel, à faire ensemble en Eglise, avec nos bons prêtres.
Même si cette vidéo est peut-être un montage, elle exprime la réalité sur le terrain : l’Eglise marche au milieu du peuple qui souffre. Là est la place du prêtre. ¨
Calme et souriante, Kimberley raconte son histoire. Une mère athée, un père catholique qui ne pratique pas et reste très discret sur sa foi, des grands-parents musulmans. Avant sa naissance, ils ont fait le choix de ne pas lui donner d’éducation religieuse, la laissant libre de faire son chemin une fois qu’elle serait majeure.
C’était sans compter les rencontres providentielles arrivées bien avant ses 18 ans. « Mes parents m’ont inscrite dans un collège catholique pour que j’ai un bon niveau scolaire » explique la jeune femme.
L’organisation familiale conduit Kimberley à arriver au collège tous les matins à 7h30 bien avant le début des cours. « Un matin, la responsable de la pastorale m’a proposé de venir à la chapelle où des temps de prière étaient organisés. Je lui ai dit que je n’y connaissais rien, que je ne savais même pas si Dieu existait. Elle m’a dit : “Viens, il fait chaud dans la chapelle.” Curieuse, je l’ai suivie. L’ambiance était toute particulière, très apaisante, très calme. On y lisait des passages de l’Évangile. La vie de Jésus semblait assez intéressante. Je me suis laissée interpeller et j’y suis retournée régulièrement. »
De fil en aiguille, Kimberley s’inscrit au catéchisme et, en classe de 3ème, demande à ses parents l’autorisation de participer au pèlerinage à Lourdes, une étape décisive dans son cheminement spirituel : « J’ai été très frappée par la foi immense de tous ces malades qui priaient le chapelet en continu et n’attendaient qu’une chose : toucher le rocher de la grotte. A travers cette foi en Marie, j’ai compris que Dieu existait. » Au retour, convaincue que Dieu existe, Kimberley demande à ses parents le baptême.
Ayant eu l’occasion de se rendre à Lourdes, cette dernière, touchée par la Vierge Marie décide de se faire baptiser, mais ses parents s’y opposent. Premier refus.
L’année suivante, elle retourne à Lourdes, où Marie vient enraciner sa foi : « En regardant la Vierge Marie, je ressens un apaisement total, une absence complète de doute. » Au retour, nouvelle demande de baptême, nouveau refus. En classe de première, lors de la fête de l’Épiphanie, elle entend une motion intérieure : « Au fond de mon cœur, j’ai entendu le Seigneur me dire : « Vas-y ! » A la fin de la messe, je suis allée voir le prêtre pour lui demander le baptême. Mes parents ne l’ont pas très bien pris mais je savais que Dieu était avec moi. » Quelques mois plus tard, la lycéenne retourne une troisième fois à Lourdes : « C’était la veille de mon baptême. J’ai ramené de l’eau de Lourdes dont j’ai versé quelques gouttes dans l’eau du baptême. » raconte-t-elle, encore émue. C’était le 10 juin 2018.
Depuis, Kim, comme elle aime se faire appeler, continue son chemin de foi et découvre le doute : « Ces derniers temps, j’ai eu beaucoup de doutes mais je n’ai jamais remis en question ni l’existence, ni la présence de Marie. Même quand je ne « sentais » plus rien avec Dieu, que j’avais l’impression de traverser le désert, Marie était là comme un pilier impossible à déraciner. Marie me fait toujours revenir à l’essentiel. Elle me ramène en permanence à Dieu. »
Kimberley le confesse bien volontiers, Marie est plus qu’une mère : « Quand ça ne va pas, il me suffit de regarder Marie et je sens qu’elle me prend dans ses bras. » Une proximité que Kim entretient quotidiennement avec Marie en priant le chapelet – « Si Marie nous demande de la prier à travers le chapelet, il n’y a pas 50 questions à se poser, il faut le faire » – mais aussi le Salve Regina : « Quand je l’entends, j’ai toujours une petite larme qui coule car ce chant rend vraiment hommage à la beauté de Marie. »
La France est exsangue. A coups de lois insensées. D’autres pays, d’autres populations sont aussi écrasées.
C’est quand le blé est moulu qu’il devient farine, c’est quand le raisin est pressé qu’il devient un bon jus, voire du bon vin qui réjouit le coeur.
Toute cette souffrance provoquée par la politique presse des personnes de tout bord à s’exprimer. Et c’est une chance !
Une chaine de télévision disparait et c’est une avalanche de contestations qui surgit.
Lors du covid, beaucoup de personnes avaient manifesté leur indignation. On les appelait à tort « complotistes ». La pensée unique continua à se répandre. Donald Trump dénonce l’état profond. L’avenir nous apprendra s’il est vrai.
Les yeux s’ouvrent et la parole se libère de toute part. Ouf !
Voici pêle-mêle quelques pistes de réflexion hors mainstreams et quelques élans d’espérance aussi.
Le combat pour la reconnaissance de la valeur de la femme prend de l’ampleur.
Des chrétiens se réveillent et ils se mettent avec d’autres à marcher sur les eaux.
PRIONS!
Prions pour les dirigeants de ce monde.
Que les présidents, ministres, députés, … prennent conscience qu’ils ont été élus pour servir le peuple et non pour se servir eux-mêmes. Qu’ils aient le courage de faire volte-face quand c’est pour le bien commun.
Puissent les Musulmans prendre la décision de dire la vérité quant à l’engagement des nouveaux convertis.
… et reconnaitre que les miracles que Jésus accomplit dans leur vie est un appel à le suivre.
De même pour les Juifs. Jésus en a tant guéris il y a 2000 ans et il continue de le faire. Lui seul, Jésus peut obtenir un changement des mentalités.
Chrétiens, Jésus nous donne sa force dans ce sacrement : la Sainte Messe.
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ».
NB : C’est moi qui mets en relief certaines phrases et j’ajoute les hyperliens, les images.
Frères et sœurs, les textes bibliques de ce dimanche résument ce qu’il y a de plus important dans le christianisme. Tout repose sur la confiance que nous mettons en Jésus. Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie : « Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7). Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion.
Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie :
« Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7).
Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion. C’est en nous appuyant sur Dieu que nous trouverons le vrai bonheur. C’est en fermant le parapluie de nos résistances à Dieu que nous lui permettons de venir jusqu’à nous, de faire sa demeure en nous et de nous faire bénéficier des fruits de son Esprit Saint, de ses bénédictions.
L’homme, pour la Bible, est mis devant ce choix : la mort ou la vie, la malédiction ou la bénédiction.
La mort, c’est le salaire de celui qui a misé sur lui-même, sur des garanties humaines ; la vie, c’est le salaire de celui qui a misé sur Dieu dans un abandon total et joyeux. Sur ces deux routes, les hommes seront aux prises avec les mêmes difficultés, la même sécheresse parfois aride. Qui s’est confié en Dieu éprouvera alors qu’il est le courant de vie qui ne manquera jamais. Qui d’entre nous n’a jamais découvert qu’au milieu de ses épreuves le Seigneur était pour lui comme un ruisseau d’eau vive ? Le Christ ressuscité est notre espérance pour cette vie et pour toujours.
Dans l’Évangile, Jésus nous montre le chemin du vrai bonheur.
Son message n’est pas adressé à quelques personnes seulement mais à un auditoire extrêmement large. Il y avait là les « douze apôtres » mais aussi un grand nombre de ses disciples. Il y avait également une foule de gens venus de différentes régions. C’est une manière de rappeler que le message du Christ est offert à tous ceux qui veulent être ses disciples. C’est aussi à chacun de nous qu’il est personnellement adressé.
En écoutant cet Évangile, nous avons pu remarquer que ce message du Christ se présente en deux volets :
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ». D’un côté, ceux à qui le bonheur est promis, de l’autre, ceux sur lesquels Jésus s’apitoie. Pauvres de vous qui êtes repus ; un jour viendra où vous manquerez des biens essentiels, de ce qui rassasie vraiment pour toujours. Mais heureux êtes-vous, vous qui, aujourd’hui, êtes pauvres. Dieu s’occupe de vous : vous êtes ses privilégiés ; son Royaume est pour vous. Heureux êtes-vous, vous qui n’êtes pas emprisonnés dans vos richesses, vous qui vous tournez vers Dieu et qui l’implorez avec confiance ; il viendra vers vous ; il vous enrichira de sa vie et de sa paix.
Il est important de lire ces béatitudes en pensant aux petites gens qui sont devenues disciples du Christ.
Beaucoup vivaient une existence souvent difficile à supporter. Jésus les invite à ne pas perdre courage. Lui-même veille sur eux et un jour viendra où il les comblera. Ils seront rassasiés ; ils sauteront de joie. Comment le Christ aurait-il pu dire : « Heureux, vous les pauvres », s’il ne s’était pas compromis avec eux ! S’il n’était pas pauvre lui-même !
Mais cela pose question aux sceptiques que nous sommes.
Faut-il se réjouir d’être pauvre, de pleurer, d’être détesté, d’avoir faim ?
Quelle triste perspective que cette vie sans joie ! Dieu serait-il cruel, lui qui après nous avoir donné la vie, nous laisserait croupir dans la vase de nos malheurs pendant qu’on le supplie, à longueur de prière, de nous donner ceci ou cela ? Adorons-nous un Dieu sadique qui ne réserverait le bonheur que pour un lointain « plus tard » ? Un Dieu que certains imaginent, du haut de sa toute-puissance, dans son Ciel merveilleux ; lui dont on croit qu’il ne saurait avoir faim, ne manquer de rien, ne pas connaître la peine ou les larmes, puisqu’il est adoré et aimé par des millions d’anges qu’il a créés pour le louer éternellement !
Avec les béatitudes, Jésus remet les choses au point. En son Fils, Dieu a éprouvé le cortège de nos souffrances, et dans l’ordre ! Il est né pauvre et sans abri ; sa vie a été menacée bien des fois ; il a eu faim ; il a pleuré avec ses amis ; il a été fait prisonnier et condamné injustement ; il a été torturé ; et il a été haï jusqu’à en mourir ! Mais il a été délivré du mal.
En marchant à sa suite, avec la même espérance et dans la foi, il en sera de même pour nous, promet-il. Non pas une joie accommodante pour tenir, vaille que vaille, avant la prochaine épreuve de la vie, mais le bonheur de la consolation définitive, que seul Dieu peut apporter, cette plénitude que lui seul peut délivrer.
Ce bonheur dont Jésus nous parle est pour aujourd’hui.
Le Royaume de Dieu qu’il promet, il est déjà venu l’instaurer. Il a donné des signes de sa présence en consolant, en guérissant et en libérant ceux qui étaient accablés par le malheur. Et il a invité ses disciples à faire de même. La réalisation des béatitudes n’est pas de la seule responsabilité de Dieu et du Christ ; elle est aussi la nôtre. Nous avons tous la responsabilité de veiller sur les pauvres qui sont nos voisins, mais aussi sur tous ceux du monde entier. Quand un homme ou un enfant meurt de faim, nous sommes tous responsables que la nourriture ne soit pas arrivée jusqu’à lui.
Jésus enseigne que deux voies s’offrent à nous : celle qui conduit au bonheur et celle qui conduit au malheur.
Ce choix implique de renoncer à la satisfaction des besoins humains que sont le désir de richesse, de satiété, de frivolité, de notoriété. Rien ne semble manquer à l’homme qui s’en satisfait. La vie est close sur elle-même et dans cette perspective, le point final est la mort elle-même. En d’autres termes, le risque est de mettre sa foi dans ce qui est mortel.
La voie exigeante de la confiance et de l’espérance demande de consentir à la faim, aux larmes et à l’exclusion, non comme une finalité mais comme le point de passage d’un dépassement, de consentir à la condition humaine dans la confiance. La confiance est une bénédiction de Dieu. Elle permet de traverser les épreuves de toute vie humaine. Ainsi nous ne mettons pas « notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement » (1 Co 15,19). https://www.aelf.org/bible/1co/15
uand nous traversons des temps incertains, troublés par la maladie, le chômage et d’autres choses encore, Dieu nous appelle à la confiance et nous bénit dès cette vie. Souvenez-vous des paroles de Job : « Je suis sorti nu du ventre de ma mère, je retournerai nu au ventre de la terre. Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Il faut continuer de remercier le Seigneur » (Jb 1,20-21).
Il nous appartient de rendre crédible cet Évangile des béatitudes.
Quand nous croisons un mendiant en ville, nous pensons sans doute à la petite pièce qu’il attend. Mais ce qui est bien plus important, c’est la manière dont nous le regardons. Il a surtout besoin d’être reconnu dans sa dignité. Ce regard que nous portons sur lui doit dire quelque chose de celui du Christ, un regard plein d’amour et de compassion. Tout ce que nous aurons fait au plus petit d’entre les siens, c’est à Jésus que nous l’aurons fait (Mt 25,40). https://www.aelf.org/bible/Mt/25
C’est à l’amour et à la miséricorde que nous serons reconnus comme disciples du Christ. Supplions-le qu’il nous donne force et courage pour rester fidèles au témoignage qu’il attend de nous, puisqu’Il nous a choisis pour être ses disciples.
Méditons encore.
Jésus combat la misère. Il nourrit les foules. C’est un exemple qu’il nous donne.
Heureux les petits qui mettent leur confiance en Marie. Ils prient le chapelet/rosaire comme Marie le demande.
Eté 2006 N°77
Heureux les « petits » qui croient au merveilleux de Dieu, par exemple à l’action des anges dans leur vie. L’ange Raphaël intervient dans des guérisons. C’est ce que nous lisons dans le 1er Testament.
06 Alors l’ange les prit tous deux à part et leur dit : « Bénissez Dieu et célébrez-le devant tous les vivants pour le bien qu’il vous a fait. Bénissez-le et chantez son nom. Annoncez à tous les hommes les actions de Dieu comme elles le méritent, et n’hésitez pas à le célébrer. 08 Mieux vaut prier avec vérité et faire l’aumône avec justice, qu’être riche avec injustice. Mieux vaut faire l’aumône qu’amasser de l’or.
09 L’aumône délivre de la mort et purifie de tout péché. Ceux qui font l’aumône seront rassasiés de vie, 10 tandis que le pécheur et l’homme injuste sont leurs propres ennemis. 14 mais Dieu m’a aussi envoyé pour te guérir, ainsi que Sarra, ta belle-fille.
15 Moi, je suis Raphaël, l’un des sept anges qui se tiennent ou se présentent devant la gloire du Seigneur. » 16 Les deux hommes furent alors bouleversés et ils tombèrent face contre terre, saisis de crainte. 17 Mais Raphaël leur dit : « Ne craignez pas ! La paix soit avec vous ! Bénissez Dieu à jamais !
20 Et maintenant, bénissez le Seigneur sur la terre ! Célébrez Dieu ! Voici que je remonte auprès de celui qui m’a envoyé. Mettez par écrit tout ce qui vous est arrivé. » Alors l’ange remonta au ciel. 21 Ils se relevèrent, mais ils ne pouvaient plus le voir. 22 Ils bénirent Dieu, chantèrent pour lui et le célébrèrent pour la grandeur de ses œuvres : un ange de Dieu leur était apparu ! https://www.aelf.org/bible/Tb/12
PRIONS POUR le CONGO et PARTAGEONS avec ces frères et soeurs en grande détresse.
Qui est donc Jésus ? Il est temps de faire sa connaissance !
et il est urgent de témoigner de Jésus autour de nous, sans attendre.
« Musulmans en Belgique, France, et ailleurs, pourquoi vous radicalisez-vous ? » JESUS EST le CHEMIN , la VERITE et la VIE.
« Pas de contrainte en religion » dit le Coran!
L’islam pacifique, beaucoup de monde l’accepte. Par contre, l’islam politique est en aversion même aux Musulmans pacifiques qui le fuient.
01 D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces désirs qui mènent leur combat en vous-mêmes ? … Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu.
07 Soumettez-vous donc à Dieu, et résistez au diable : il s’enfuira loin de vous.08 Approchez-vous de Dieu, et lui s’approchera de vous. Pécheurs, enlevez la souillure de vos mains ; esprits doubles, purifiez vos cœurs.
Par la bouche de Bernadette Soubirous, Marie demande la construction d’une chapelle pour qu’ on y vienne en pèlerinage.
… et qu’on rencontre ainsi plus intimement Jésus, comme les disciples d’Emmaüs qui sont entrés en union de coeur avec Jésus croisé sur leur chemin.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
… Le pèlerinage donne aussi l’occasion de vivre des moments forts avec d’autres personnes en recherche d’un « mieux vivre sa foi», en Eglise .
… Le pèlerinage donne l’occasion de se reposer, de reprendre souffle, méditer, prier. NB. Sur le plan spirituel, j’ai de meilleurs souvenirs de mon pèlerinage avec le diocèse que de celui que j’ai vécu en famille, car plus nourrissant vu le bon accompagnement des guides et … plus de temps pour moi.
L’Eucharistie est au cœur du pèlerinage.
Cfr fin de chapitre : Messe de Notre-Dame de Lourdes le 11 février.
Que ce soit à Lourdes ou dans une simple église de village, la messe, c’est un festin auquel Jésus nous invite tous.
A la messe, Jésus nous nourrit de sa Parole et de son Corps !
51 Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Ecouter attentivement les paroles de Jésus, c’est comme ouvrir une lumière pour y voir clair sur notre route. Il faut prendre le temps de « goûter » combien Dieu est bon afin de profiter pleinement d’une Eucharistie. C’est comme pour la nourriture du corps, on ne l’avale pas sans d’abord l’avoir mâchée.
Voici quelques moments d’une telle célébration filmés dans une abbaye toute simple, celle des Trappistines de Chimay.
Partout, la Parole de Dieu est la même et le pain consacré est aussi le Corps de Jésus et le vin consacré est aussi son Sang.
Le prophète Isaïe parle de l’appel que Dieu lui a lancé. C’est Isabelle qui lit ce passage de l’Ancien Testament.
L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
« Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » Soeur Agnès.
Lecture de l’Evangile et homélie, prières.
Et voilà le moment où, par les mains du prêtre, le pain et le vin deviennent Corps et Sang de Jésus.
MEDITATION – Miracle eucharistique.
Lourdes, l’eau, les miracles …
La dernière miraculée de Lourdes ! (du moins recensée)
Ce sont des milliers de miracles qui ont lieu à Lourdes mais beaucoup ne sont pas répertoriés, la personne guérie n’ayant pas envie de retourner à des milliers de kilomètres de chez elle pour témoigner et commencer des examens médicaux … Un paroissien me raconta qu’il avait été guéri lors du passage du Saint Sacrement auprès de lui. Il avait environ 4 ans. Il ne fait pas partie des miraculés que l’Eglise reconnait.
Des guérisons et miracles se multiplient partout on l’on prie.
Dans notre vie quotidienne, combien de nos prières sont exaucées sans même qu’on y pense !
MIRACLE A LONDRES.
PRIONS MARIE, « L’IMMACULEE CONCEPTION » d’INTERCEDER POUR NOUS.
Nous pouvons même nous consacrer à elle, c’est-à-dire lui permettre de nous tenir la main tout au long de notre journée, comme le fait une maman qui aime son petit enfant et souhaite le protéger dans les moments dangereux.
« Passe devant moi, Marie »: Telle était la prière journalière d’une jeune dame qui un jour échappa à un viol grâce à cette présence protectrice de Marie.
Lors d’un procès pour viols, un homme avoua qu’il n’avait pas pu approcher la proie convoitée: quelque chose le repoussait. Une médaille miraculeuse portée avec foi ou un scapulaire … fait des miracles. « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
Rappelons-nous aussi comment un réseau de pédophilie en Belgique avait été démantelé: grâce à la prière de la petite Marie-A. qui avait été enlevée mais qui avait réussi à s’échapper. Elle priait des « Je vous salue Marie » comme ses parents le lui avaient appris, ce qui avait agacé son prédateur ….
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Marie appelle Bernadette à prier pour les pécheurs et à se sacrifier pour eux.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Prions donc pour les personnes qui souffrent de la violence et celles qui la provoquent.
Avant de penser divorce, il est bon de penser à prier fidèlement Marie … pour la CONVERSION de chacun. La fierté de l’homme machiste crée bien des problèmes au sein d’un couple. Quand à cela s’ajoute la violence liée à la religion ou à la drogue, la souffrance est inimaginable et inacceptable.
Il y a une puissante neuvaine de prières à « Marie qui défait les noeuds ».
Prions pour le peuple juif et le peuple musulman.
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole. Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Ne serait-ce pas en vue de l’œuvre de Dieu à Lourdes que cette région a été libérée du joug islamique qui nous guette plus que jamais vu la perte de nos racines chrétiennes?
Prions le Rosaire, comme Marie le demande instamment.
Marie avait toujours le chapelet en mains lors de ses apparitions pour montrer combien cette simple prière est bonne. C’est lorsque Bernadette égrenait son chapelet que Marie lui apparaissait.
SUPPLEMENTS
L’appel de Marie à construire une chapelle a été entendu! Et ce sont des basiliques qui ont été contruites à Lourdes.
La Basilique de l’Immaculée Conception est le premier bâtiment à être construit. Toutefois, la Basilique se révèle rapidement être trop petite pour accueillir l’afflux des pèlerins. On construit alors une deuxième basilique. Là encore, la Basilique Notre-Dame du Rosaire ne peut accueillir tous les pèlerins venus à Lourdes. Une troisième basilique est alors construite sous terre Consacrée en 1958 lors du centenaire des apparitions, la Basilique Saint-Pie X devient le lieu de célébrations des messes internationales, de l’adoration du Saint-Sacrement et de la bénédiction des malades. En effet, sa superficie de 12 000 m2 lui permet d’accueillir près de 25 000 personnes et sa forme rappelle l’arche de Noé.
Le signe de la Croix rappelle l’humanité à l’ordre : Dieu est Maître du ciel et de la terre. Quand nous nous soumettrons-nous à son autorité ? Dieu appelle !
Le 6 janvier 2025, une mystérieuse croix lumineuse est apparue au-dessus de la Cathédrale de la Transfiguration à Rybinsk, laissant des milliers de témoins sans voix ! 📸 Ce phénomène incroyable a été capturé et a suscité des interrogations dans le monde entier : Dieu envoie-t-Il un signe à l’humanité ? Est-ce un avertissement sur les temps que nous vivons ?
Dieu ou l’argent : c’est le terrible choix toujours actuel. Bernadette était affreusement pauvre et elle a refusé tout don. Judas par contre a livré Jésus à la mort, pour de l’argent.
La Vierge Marie a reconnu la dignité d’une pauvre fille, Bernadette. Dans certains pays, les femmes sont méprisées.
CANTIQUES
« Pourquoi Moi? » Bien avant l’ère chrétienne, Jérémie, Amos, Isaïe, .. avaient été appelés. Puis il y a eu Jean-Baptiste, la Vierge Marie, saint Joseph et chacun des apôtres… A Lourdes, Bernadette Soubirous a été choisie pour délivrer un message au monde. A l’heure actuelle, chacun de nous est appelé à être un chainon entre le ciel et la terre. Entendons-nous l’appel de Dieu : « Qui enverrais-je ? »
Here I am Lord: « Moi, le Seigneur de la mer et du ciel, j’ai entendu mon peuple crier. Tous ceux qui habitent dans les ténèbres et le péché, ma main les sauvera. Moi qui ai fait les étoiles de la nuit, je rendrai leurs ténèbres lumineuses. Qui leur apportera ma lumière ? Qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. Moi, le Seigneur du vent et de la flamme, je prendrai soin des pauvres et des boiteux. Je leur préparerai un festin, ma main les sauvera je leur fournirai le meilleur pain, jusqu’à ce que leur cœur soit satisfait. je leur donnerai ma vie, qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. »