La France est exsangue. A coups de lois insensées. D’autres pays, d’autres populations sont aussi écrasées.
C’est quand le blé est moulu qu’il devient farine, c’est quand le raisin est pressé qu’il devient un bon jus, voire du bon vin qui réjouit le coeur.
Toute cette souffrance provoquée par la politique presse des personnes de tout bord à s’exprimer. Et c’est une chance !
Une chaine de télévision disparait et c’est une avalanche de contestations qui surgit.
Lors du covid, beaucoup de personnes avaient manifesté leur indignation. On les appelait à tort « complotistes ». La pensée unique continua à se répandre. Donald Trump dénonce l’état profond. L’avenir nous apprendra s’il est vrai.
Les yeux s’ouvrent et la parole se libère de toute part. Ouf !
Voici pêle-mêle quelques pistes de réflexion hors mainstreams et quelques élans d’espérance aussi.
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ».
NB : C’est moi qui mets en relief certaines phrases et j’ajoute les hyperliens, les images.
Frères et sœurs, les textes bibliques de ce dimanche résument ce qu’il y a de plus important dans le christianisme. Tout repose sur la confiance que nous mettons en Jésus. Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie : « Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7). Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion.
Être chrétien c’est s’engager derrière lui. C’était déjà, bien avant Jésus, le message du prophète Jérémie :
« Heureux l’homme qui met sa confiance dans le Seigneur » (Jr 17,7).
Il nous faut recevoir cet appel du prophète comme un avertissement et une invitation urgente à la conversion. C’est en nous appuyant sur Dieu que nous trouverons le vrai bonheur. C’est en fermant le parapluie de nos résistances à Dieu que nous lui permettons de venir jusqu’à nous, de faire sa demeure en nous et de nous faire bénéficier des fruits de son Esprit Saint, de ses bénédictions.
L’homme, pour la Bible, est mis devant ce choix : la mort ou la vie, la malédiction ou la bénédiction.
La mort, c’est le salaire de celui qui a misé sur lui-même, sur des garanties humaines ; la vie, c’est le salaire de celui qui a misé sur Dieu dans un abandon total et joyeux. Sur ces deux routes, les hommes seront aux prises avec les mêmes difficultés, la même sécheresse parfois aride. Qui s’est confié en Dieu éprouvera alors qu’il est le courant de vie qui ne manquera jamais. Qui d’entre nous n’a jamais découvert qu’au milieu de ses épreuves le Seigneur était pour lui comme un ruisseau d’eau vive ? Le Christ ressuscité est notre espérance pour cette vie et pour toujours.
Dans l’Évangile, Jésus nous montre le chemin du vrai bonheur.
Son message n’est pas adressé à quelques personnes seulement mais à un auditoire extrêmement large. Il y avait là les « douze apôtres » mais aussi un grand nombre de ses disciples. Il y avait également une foule de gens venus de différentes régions. C’est une manière de rappeler que le message du Christ est offert à tous ceux qui veulent être ses disciples. C’est aussi à chacun de nous qu’il est personnellement adressé.
En écoutant cet Évangile, nous avons pu remarquer que ce message du Christ se présente en deux volets :
« Heureux vous les pauvres… Malheureux vous les riches… Heureux vous qui avez faim… Malheureux vous qui êtes repus… Heureux vous qui pleurez… Malheureux vous qui riez ». D’un côté, ceux à qui le bonheur est promis, de l’autre, ceux sur lesquels Jésus s’apitoie. Pauvres de vous qui êtes repus ; un jour viendra où vous manquerez des biens essentiels, de ce qui rassasie vraiment pour toujours. Mais heureux êtes-vous, vous qui, aujourd’hui, êtes pauvres. Dieu s’occupe de vous : vous êtes ses privilégiés ; son Royaume est pour vous. Heureux êtes-vous, vous qui n’êtes pas emprisonnés dans vos richesses, vous qui vous tournez vers Dieu et qui l’implorez avec confiance ; il viendra vers vous ; il vous enrichira de sa vie et de sa paix.
Il est important de lire ces béatitudes en pensant aux petites gens qui sont devenues disciples du Christ.
Beaucoup vivaient une existence souvent difficile à supporter. Jésus les invite à ne pas perdre courage. Lui-même veille sur eux et un jour viendra où il les comblera. Ils seront rassasiés ; ils sauteront de joie. Comment le Christ aurait-il pu dire : « Heureux, vous les pauvres », s’il ne s’était pas compromis avec eux ! S’il n’était pas pauvre lui-même !
Mais cela pose question aux sceptiques que nous sommes.
Faut-il se réjouir d’être pauvre, de pleurer, d’être détesté, d’avoir faim ?
Quelle triste perspective que cette vie sans joie ! Dieu serait-il cruel, lui qui après nous avoir donné la vie, nous laisserait croupir dans la vase de nos malheurs pendant qu’on le supplie, à longueur de prière, de nous donner ceci ou cela ? Adorons-nous un Dieu sadique qui ne réserverait le bonheur que pour un lointain « plus tard » ? Un Dieu que certains imaginent, du haut de sa toute-puissance, dans son Ciel merveilleux ; lui dont on croit qu’il ne saurait avoir faim, ne manquer de rien, ne pas connaître la peine ou les larmes, puisqu’il est adoré et aimé par des millions d’anges qu’il a créés pour le louer éternellement !
Avec les béatitudes, Jésus remet les choses au point. En son Fils, Dieu a éprouvé le cortège de nos souffrances, et dans l’ordre ! Il est né pauvre et sans abri ; sa vie a été menacée bien des fois ; il a eu faim ; il a pleuré avec ses amis ; il a été fait prisonnier et condamné injustement ; il a été torturé ; et il a été haï jusqu’à en mourir ! Mais il a été délivré du mal.
En marchant à sa suite, avec la même espérance et dans la foi, il en sera de même pour nous, promet-il. Non pas une joie accommodante pour tenir, vaille que vaille, avant la prochaine épreuve de la vie, mais le bonheur de la consolation définitive, que seul Dieu peut apporter, cette plénitude que lui seul peut délivrer.
Ce bonheur dont Jésus nous parle est pour aujourd’hui.
Le Royaume de Dieu qu’il promet, il est déjà venu l’instaurer. Il a donné des signes de sa présence en consolant, en guérissant et en libérant ceux qui étaient accablés par le malheur. Et il a invité ses disciples à faire de même. La réalisation des béatitudes n’est pas de la seule responsabilité de Dieu et du Christ ; elle est aussi la nôtre. Nous avons tous la responsabilité de veiller sur les pauvres qui sont nos voisins, mais aussi sur tous ceux du monde entier. Quand un homme ou un enfant meurt de faim, nous sommes tous responsables que la nourriture ne soit pas arrivée jusqu’à lui.
Jésus enseigne que deux voies s’offrent à nous : celle qui conduit au bonheur et celle qui conduit au malheur.
Ce choix implique de renoncer à la satisfaction des besoins humains que sont le désir de richesse, de satiété, de frivolité, de notoriété. Rien ne semble manquer à l’homme qui s’en satisfait. La vie est close sur elle-même et dans cette perspective, le point final est la mort elle-même. En d’autres termes, le risque est de mettre sa foi dans ce qui est mortel.
La voie exigeante de la confiance et de l’espérance demande de consentir à la faim, aux larmes et à l’exclusion, non comme une finalité mais comme le point de passage d’un dépassement, de consentir à la condition humaine dans la confiance. La confiance est une bénédiction de Dieu. Elle permet de traverser les épreuves de toute vie humaine. Ainsi nous ne mettons pas « notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement » (1 Co 15,19). https://www.aelf.org/bible/1co/15
uand nous traversons des temps incertains, troublés par la maladie, le chômage et d’autres choses encore, Dieu nous appelle à la confiance et nous bénit dès cette vie. Souvenez-vous des paroles de Job : « Je suis sorti nu du ventre de ma mère, je retournerai nu au ventre de la terre. Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Il faut continuer de remercier le Seigneur » (Jb 1,20-21).
Il nous appartient de rendre crédible cet Évangile des béatitudes.
Quand nous croisons un mendiant en ville, nous pensons sans doute à la petite pièce qu’il attend. Mais ce qui est bien plus important, c’est la manière dont nous le regardons. Il a surtout besoin d’être reconnu dans sa dignité. Ce regard que nous portons sur lui doit dire quelque chose de celui du Christ, un regard plein d’amour et de compassion. Tout ce que nous aurons fait au plus petit d’entre les siens, c’est à Jésus que nous l’aurons fait (Mt 25,40). https://www.aelf.org/bible/Mt/25
C’est à l’amour et à la miséricorde que nous serons reconnus comme disciples du Christ. Supplions-le qu’il nous donne force et courage pour rester fidèles au témoignage qu’il attend de nous, puisqu’Il nous a choisis pour être ses disciples.
Méditons encore.
Jésus combat la misère. Il nourrit les foules. C’est un exemple qu’il nous donne.
Heureux les petits qui mettent leur confiance en Marie. Ils prient le chapelet/rosaire comme Marie le demande.
Eté 2006 N°77
Heureux les « petits » qui croient au merveilleux de Dieu, par exemple à l’action des anges dans leur vie. L’ange Raphaël intervient dans des guérisons. C’est ce que nous lisons dans le 1er Testament.
06 Alors l’ange les prit tous deux à part et leur dit : « Bénissez Dieu et célébrez-le devant tous les vivants pour le bien qu’il vous a fait. Bénissez-le et chantez son nom. Annoncez à tous les hommes les actions de Dieu comme elles le méritent, et n’hésitez pas à le célébrer. 08 Mieux vaut prier avec vérité et faire l’aumône avec justice, qu’être riche avec injustice. Mieux vaut faire l’aumône qu’amasser de l’or.
09 L’aumône délivre de la mort et purifie de tout péché. Ceux qui font l’aumône seront rassasiés de vie, 10 tandis que le pécheur et l’homme injuste sont leurs propres ennemis. 14 mais Dieu m’a aussi envoyé pour te guérir, ainsi que Sarra, ta belle-fille.
15 Moi, je suis Raphaël, l’un des sept anges qui se tiennent ou se présentent devant la gloire du Seigneur. » 16 Les deux hommes furent alors bouleversés et ils tombèrent face contre terre, saisis de crainte. 17 Mais Raphaël leur dit : « Ne craignez pas ! La paix soit avec vous ! Bénissez Dieu à jamais !
20 Et maintenant, bénissez le Seigneur sur la terre ! Célébrez Dieu ! Voici que je remonte auprès de celui qui m’a envoyé. Mettez par écrit tout ce qui vous est arrivé. » Alors l’ange remonta au ciel. 21 Ils se relevèrent, mais ils ne pouvaient plus le voir. 22 Ils bénirent Dieu, chantèrent pour lui et le célébrèrent pour la grandeur de ses œuvres : un ange de Dieu leur était apparu ! https://www.aelf.org/bible/Tb/12
PRIONS POUR le CONGO et PARTAGEONS avec ces frères et soeurs en grande détresse.
Qui est donc Jésus ? Il est temps de faire sa connaissance !
et il est urgent de témoigner de Jésus autour de nous, sans attendre.
« Musulmans en Belgique, France, et ailleurs, pourquoi vous radicalisez-vous ? » JESUS EST le CHEMIN , la VERITE et la VIE.
« Pas de contrainte en religion » dit le Coran!
L’islam pacifique, beaucoup de monde l’accepte. Par contre, l’islam politique est en aversion même aux Musulmans pacifiques qui le fuient.
01 D’où viennent les guerres, d’où viennent les conflits entre vous ? N’est-ce pas justement de tous ces désirs qui mènent leur combat en vous-mêmes ? … Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu.
07 Soumettez-vous donc à Dieu, et résistez au diable : il s’enfuira loin de vous.08 Approchez-vous de Dieu, et lui s’approchera de vous. Pécheurs, enlevez la souillure de vos mains ; esprits doubles, purifiez vos cœurs.
Par la bouche de Bernadette Soubirous, Marie demande la construction d’une chapelle pour qu’ on y vienne en pèlerinage.
… et qu’on rencontre ainsi plus intimement Jésus, comme les disciples d’Emmaüs qui sont entrés en union de coeur avec Jésus croisé sur leur chemin.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
… Le pèlerinage donne aussi l’occasion de vivre des moments forts avec d’autres personnes en recherche d’un « mieux vivre sa foi», en Eglise .
… Le pèlerinage donne l’occasion de se reposer, de reprendre souffle, méditer, prier. NB. Sur le plan spirituel, j’ai de meilleurs souvenirs de mon pèlerinage avec le diocèse que de celui que j’ai vécu en famille, car plus nourrissant vu le bon accompagnement des guides et … plus de temps pour moi.
L’Eucharistie est au cœur du pèlerinage.
Cfr fin de chapitre : Messe de Notre-Dame de Lourdes le 11 février.
Que ce soit à Lourdes ou dans une simple église de village, la messe, c’est un festin auquel Jésus nous invite tous.
A la messe, Jésus nous nourrit de sa Parole et de son Corps !
51 Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Ecouter attentivement les paroles de Jésus, c’est comme ouvrir une lumière pour y voir clair sur notre route. Il faut prendre le temps de « goûter » combien Dieu est bon afin de profiter pleinement d’une Eucharistie. C’est comme pour la nourriture du corps, on ne l’avale pas sans d’abord l’avoir mâchée.
Voici quelques moments d’une telle célébration filmés dans une abbaye toute simple, celle des Trappistines de Chimay.
Partout, la Parole de Dieu est la même et le pain consacré est aussi le Corps de Jésus et le vin consacré est aussi son Sang.
Le prophète Isaïe parle de l’appel que Dieu lui a lancé. C’est Isabelle qui lit ce passage de l’Ancien Testament.
L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
« Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » Soeur Agnès.
Lecture de l’Evangile et homélie, prières.
Et voilà le moment où, par les mains du prêtre, le pain et le vin deviennent Corps et Sang de Jésus.
MEDITATION – Miracle eucharistique.
Lourdes, l’eau, les miracles …
La dernière miraculée de Lourdes ! (du moins recensée)
Ce sont des milliers de miracles qui ont lieu à Lourdes mais beaucoup ne sont pas répertoriés, la personne guérie n’ayant pas envie de retourner à des milliers de kilomètres de chez elle pour témoigner et commencer des examens médicaux … Un paroissien me raconta qu’il avait été guéri lors du passage du Saint Sacrement auprès de lui. Il avait environ 4 ans. Il ne fait pas partie des miraculés que l’Eglise reconnait.
Des guérisons et miracles se multiplient partout on l’on prie.
Dans notre vie quotidienne, combien de nos prières sont exaucées sans même qu’on y pense !
MIRACLE A LONDRES.
PRIONS MARIE, « L’IMMACULEE CONCEPTION » d’INTERCEDER POUR NOUS.
Nous pouvons même nous consacrer à elle, c’est-à-dire lui permettre de nous tenir la main tout au long de notre journée, comme le fait une maman qui aime son petit enfant et souhaite le protéger dans les moments dangereux.
« Passe devant moi, Marie »: Telle était la prière journalière d’une jeune dame qui un jour échappa à un viol grâce à cette présence protectrice de Marie.
Lors d’un procès pour viols, un homme avoua qu’il n’avait pas pu approcher la proie convoitée: quelque chose le repoussait. Une médaille miraculeuse portée avec foi ou un scapulaire … fait des miracles. « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
Rappelons-nous aussi comment un réseau de pédophilie en Belgique avait été démantelé: grâce à la prière de la petite Marie-A. qui avait été enlevée mais qui avait réussi à s’échapper. Elle priait des « Je vous salue Marie » comme ses parents le lui avaient appris, ce qui avait agacé son prédateur ….
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Marie appelle Bernadette à prier pour les pécheurs et à se sacrifier pour eux.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Prions donc pour les personnes qui souffrent de la violence et celles qui la provoquent.
Avant de penser divorce, il est bon de penser à prier fidèlement Marie … pour la CONVERSION de chacun. La fierté de l’homme machiste crée bien des problèmes au sein d’un couple. Quand à cela s’ajoute la violence liée à la religion ou à la drogue, la souffrance est inimaginable et inacceptable.
Il y a une puissante neuvaine de prières à « Marie qui défait les noeuds ».
Prions pour le peuple juif et le peuple musulman.
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole. Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Ne serait-ce pas en vue de l’œuvre de Dieu à Lourdes que cette région a été libérée du joug islamique qui nous guette plus que jamais vu la perte de nos racines chrétiennes?
Prions le Rosaire, comme Marie le demande instamment.
Marie avait toujours le chapelet en mains lors de ses apparitions pour montrer combien cette simple prière est bonne. C’est lorsque Bernadette égrenait son chapelet que Marie lui apparaissait.
SUPPLEMENTS
L’appel de Marie à construire une chapelle a été entendu! Et ce sont des basiliques qui ont été contruites à Lourdes.
La Basilique de l’Immaculée Conception est le premier bâtiment à être construit. Toutefois, la Basilique se révèle rapidement être trop petite pour accueillir l’afflux des pèlerins. On construit alors une deuxième basilique. Là encore, la Basilique Notre-Dame du Rosaire ne peut accueillir tous les pèlerins venus à Lourdes. Une troisième basilique est alors construite sous terre Consacrée en 1958 lors du centenaire des apparitions, la Basilique Saint-Pie X devient le lieu de célébrations des messes internationales, de l’adoration du Saint-Sacrement et de la bénédiction des malades. En effet, sa superficie de 12 000 m2 lui permet d’accueillir près de 25 000 personnes et sa forme rappelle l’arche de Noé.
Le signe de la Croix rappelle l’humanité à l’ordre : Dieu est Maître du ciel et de la terre. Quand nous nous soumettrons-nous à son autorité ? Dieu appelle !
Le 6 janvier 2025, une mystérieuse croix lumineuse est apparue au-dessus de la Cathédrale de la Transfiguration à Rybinsk, laissant des milliers de témoins sans voix ! 📸 Ce phénomène incroyable a été capturé et a suscité des interrogations dans le monde entier : Dieu envoie-t-Il un signe à l’humanité ? Est-ce un avertissement sur les temps que nous vivons ?
Dieu ou l’argent : c’est le terrible choix toujours actuel. Bernadette était affreusement pauvre et elle a refusé tout don. Judas par contre a livré Jésus à la mort, pour de l’argent.
La Vierge Marie a reconnu la dignité d’une pauvre fille, Bernadette. Dans certains pays, les femmes sont méprisées.
CANTIQUES
« Pourquoi Moi? » Bien avant l’ère chrétienne, Jérémie, Amos, Isaïe, .. avaient été appelés. Puis il y a eu Jean-Baptiste, la Vierge Marie, saint Joseph et chacun des apôtres… A Lourdes, Bernadette Soubirous a été choisie pour délivrer un message au monde. A l’heure actuelle, chacun de nous est appelé à être un chainon entre le ciel et la terre. Entendons-nous l’appel de Dieu : « Qui enverrais-je ? »
Here I am Lord: « Moi, le Seigneur de la mer et du ciel, j’ai entendu mon peuple crier. Tous ceux qui habitent dans les ténèbres et le péché, ma main les sauvera. Moi qui ai fait les étoiles de la nuit, je rendrai leurs ténèbres lumineuses. Qui leur apportera ma lumière ? Qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. Moi, le Seigneur du vent et de la flamme, je prendrai soin des pauvres et des boiteux. Je leur préparerai un festin, ma main les sauvera je leur fournirai le meilleur pain, jusqu’à ce que leur cœur soit satisfait. je leur donnerai ma vie, qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. »
Les chrétiens sont des gens ordinaires qui, quand ils vivent des choses difficiles, puisent leur énergie dans la foi en Jésus-Christ.
Parce que Dieu les a consolés dans leur détresse, les disciples de Jésus ont le désir d’aider les autres à faire face eux aussi aux grands défis de la vie avec ESPERANCE.
Pape François: « Je vois l’Eglise comme un hôpital de campagne après une bataille. Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol ou si son taux de sucre est trop haut! Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. »https://www.cathobel.be/2024/04/francois-le-pape-qui-aimait-lhopital/
Jésus frappe à la porte de notre cœur. Allons-nous l’inviter à entrer:
« Jésus j’ai besoin de toi. »
Témoignage : d’une triste vie enfantine à une vie en paroisse épanouie.
J’ai toujours eu une vie un peu triste.
Mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée chez les sœurs et puis je me suis mariée et j’ai eu des enfants, et puis mon mari est parti, on s’est séparé, et j’ai été un peu par-ci, par-là chercher le bonheur… que je croyais trouver mais je ne l’ai jamais trouvé avec les hommes.
Charleroi, église des Jésuites.
Mathilde me disait toujours : « Viens à Charleroi, à la prière » mais c’était loin et je n’y allais pas, et puis un jour, il a bien fallu dix ans, j’ai dit : « Oui j’y vais ! » Mathilde me dit encore bien : « Si tu t’ennuies, tu iras fumer ta cigarette ! »
Et là, j’ai vraiment été frappée par le chant : « N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ. » Moi, j’ai toujours cru que le Seigneur m’en voulait de ma vie –je ne vais pas dire de débauche- mais quand même, je cherchais maladroitement après le bonheur, et voilà ! Je croyais que le Seigneur m’en voulait à cause de tout cela. Je croyais que le Seigneur ne me regardait déjà plus puisque j’avais péché. Je savais que j’avais péché !
Pourquoi cette chanson-là m’a-t-elle frappée ? C’était ma vie qui se déroulait ! C’est comme si le Seigneur me disait dans cette parole-là : « N’aie pas peur, je suis là ! » Mais c’est la confession qui me sauvera.
Pendant le chant, j’ai commencé à pleurer et j’ai compris que le Seigneur m’aimait telle que j’étais, mais il me demandait, à moi, de me renouveler, de devenir propre. Je suis allée à la confession –j’ai eu dur, hein !- et quand je suis revenue à ma place j’ai senti que j’étais légère, libérée d’un poids qui était resté là depuis des années. Je me suis sentie renouvelée. J’ai compris à ce moment-là que la vie que j’avais avant n’avait plus de sens, que c’était le Seigneur qui rentrait quelque part dans ma vie et qu’il prenait la place d’autres rencontres que j’aurais pu encore faire.
Je me compare toujours à Marie-Madeleine, depuis que je suis allée à Charleroi… On ne sait pas tout. Dans la religion on nous a dit tellement de choses, que le péché c’était grave ! Mais on n’a pas assez insisté sur le fait que, du péché, on peut être pardonné et que tout devient nouveau en nous. C’est à Charleroi que je l’ai appris.
Il y avait bien dix ans que je n’ étais plus allée à la confession, parce que je ne m’en sentais plus digne. C’est comme quand quelqu’un doit aller demander pardon, il lui faut du courage, eh bien avec le Seigneur, c’est pareil !
Grâce à la confession, j’ai aussi compris qu’il faut pardonner ! Pardonner de la vie qu’on a eue car il y a des gens qui ne sont pas gentils. Grâce au fait que j’ai été pardonnée à la confession, j’ai pu moi-même pardonner. Je ne dis pas que je pardonne tout le temps ! Grâce au fait que le Seigneur m’avait pardonné, là aussi je pouvais pardonner. Je connais beaucoup de gens qui ne savent pas pardonner. Et j’ai mal pour eux ! Dans mes prières je leur dis : « Vous seriez si légers si vous pardonniez ! »
Le Seigneur, je le connaissais déjà avant la réunion de prière à Charleroi, mais je l’avais un peu oublié. Maintenant je suis contente de l’avoir rencontré. Je ne dis pas que la vie est devenue facile, mais j’ai compris beaucoup de choses et quand on a le Seigneur dans sa vie, on est heureux, on n’est plus tout seul. C’est surtout ça !
Ce qui m’aide beaucoup c’est que le Seigneur est vivant. Il m’aide toujours. Il est près de moi. Bien-sûr, il est pour tout le monde, il sait se donner à tous ! Il ne demande que ça !
Dans le passé, on a été malheureux, mais peut-être qu’il a fallu passer par là pour être ce qu’on est aujourd’hui. Si j’avais eu une belle vie, si j’avais tout eu, peut-être que je n’aurais pas ce que j’ai aujourd’hui. Il a fallu que je passe par tout ça ! Et ensuite pour te remettre sur le bon chemin, il faut que tu rencontres quelqu’un qui t’y mette sur le bon chemin. J’ai eu cette chance-là ! Ou alors parfois tu restes toujours sur le mauvais chemin. Je pense à la vie de saint Augustin. Il s’est beaucoup amusé et puis après il est devenu un saint.
Un jour, avant une réunion de prière charismatique à Beaumont, Brigitte est venue vers moi, quand j’étais encore dans la voiture, et elle m’a dit : « Eliane, comme tu aimes le Seigneur ! » Or on se s’était plus vue depuis des années, longtemps avant ma conversion et la sienne! Je lui ai dit : « Pourquoi ? Comment le sais-tu ? » Elle me répondit : « Je sens l’amour que tu as pour le Seigneur ! » Je t’assure que j’ai été étonnée ! Pendant la prière, j’ai compris qu’elle avait l’Esprit de Dieu en elle ! Elle est envoyée… J’ai alors compris que l’amour de Dieu peut transparaitre dans les autres.
Quand j’étais jeune, Je voulais être religieuse.
Quand j’étais au home, j’allais à des retraites, par exemple. La sœur ne m’a jamais poussée à la vie religieuse ; elle me disait : « quand tu rencontreras quelqu’un, tu verras… ». Quelque part elle a eu raison car quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, là, comme j’étais dans un home et qu’on n’était pas fort aimé, je me suis sentie aimée par lui et l’on s’est marié. Mais je pense que si la religieuse m’avait poussée vers la vie religieuse, j’y serais allée, car j’ai toujours eu un regret. Ca m’a toujours suivi. Quand j’étais petite, on a toujours eu beaucoup de problèmes dans ma famille, et j’avais dit : « Seigneur, si tu me sors de là, je t’offre ma vie. » Il m’a sorti d’un pas très difficile quand nous sommes entrés au home mais je n’ai pas fait ce que j’avais promis. Quand j’ai revu ma belle-mère longtemps plus tard, elle m’a dit : « J’avais toujours cru que vous auriez été une nonette ! » A cette époque ; quand j’étais enfant, j’étais un peu comme maintenant, j’aimais le Seigneur.
Et puis il y a eu la vie ! C’est comme les jeunes maintenant. On ne vit pas avec le Seigneur même si on est marié chrétiennement. Maintenant avec le temps je me dis que je n’étais peut être pas faite pour me marier. Bon j’ai mes enfants, je les aime très fort, mais je me dis que ma vie ce n’était pas ça ! Je suis née sous une mauvaise étoile et j’ai toujours pensé que je ne m’en sortirais pas. Or je me suis toujours sortie de choses très difficiles. On a revendu deux fois ma maison. Le Seigneur m’a beaucoup comblée. J’ai beaucoup de grâces. Je dois beaucoup le remercier. C’est pourquoi j’accepte de témoigner aujourd’hui.
Grâce au Seigneur j’ai su arrêter de fumer. Voilà comment.
J’ai une petite fille qui est née fort avant terme et il me semblait que je n’aurais jamais la garde de la petite si je continuais à fumer car elle était fragile et sa maman ne voudrait pas qu’elle respire l’odeur de la fumée de ma maison. Je m’étais dit dans ma tête : je vais arrêter de fumer. J’avais déjà essayé plusieurs fois mais je n’y arrivais pas. Alors j’ai eu l’idée de cacher ma cigarette derrière le Sacré-Cœur dans ma chambre. Chaque fois que j’y allais, -et j’y allais souvent car j’avais besoin de ma cigarette-, je disais au Seigneur : « Non, Seigneur, je ne fume pas, je te fais plaisir, je ne fume pas, … » Mais je n’y arrivais pas. Ma dernière cigarette, ce fut un moment spécial, (car la cigarette c’était important pour moi), je dis au Seigneur : « Cette fois c’est la dernière, tu vas m’aider ! » Et il s’est passé quelque chose, comme si le Seigneur entrait en moi ! Et maintenant je ne fume plus. Ça fait deux ans et demi que je ne fume plus !
Pour moi, l’Eglise a toujours été ma famille.
J’y ai rencontré Marie-Louise. C’est une dame que j’ai prise en amitié comme une grand-mère puisque je n’ai jamais connu mes grands-mères. Le jour où j’ai appris qu’elle était décédée, justement il y avait une réunion paroissiale et on avait prié pour Marie-Louise, et j’ai commencé à pleurer, car là j’avais perdu quelqu’un de fort cher à mon cœur. C’était une grande dame ! Pour moi, l’Eglise, c’est ma famille.
Et puis il y a Thérèse. Pour moi, c’est une sainte ! Je n’ai jamais vu Thérèse en colère. Je n’ai jamais vu Thérèse élever le ton. C’est rare, hein ? Elle est un exemple !
Il y a maintenant beaucoup moins de gens à l’église, l’Eglise est beaucoup plus petite, mais je crois que c’est plus vrai. J’y sens l’amour. Le dimanche je vais à la messe, j’y vais pour le Christ mais j’y vais aussi pour voir mes frères et sœurs de l’Eglise. Le Seigneur l’a quand-même dit : « Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. »
J’ai reçu une statue de la sainte Vierge qui appartenait à Marie-Louise. Et je pense à elle en la regardant. Avant j’avais sa photo mais ça me faisait trop mal. J’ai retiré la photo. Maintenant quand je vois la statue, je vois Marie-Louise, heureuse au paradis !
Lourdes.
Un jour, j’ai eu l’occasion d’aller à Lourdes parce qu’une amie, Mireille, avait gagné un voyage avec « Les amis de Lourdes » et elle me donnait son billet, mais je ne me sentais pas la permission d’y aller car je ne faisais pas partie de la famille des « Amis de Lourdes » J’ai demandé à monsieur l’abbé Moreau ce qu’il en pensait. Il m’a retourné la question. Je lui ai dit que Mireille faisant partie de la famille de l’Eglise, il me semblait que j’avais le droit d’y aller à sa place. Il m’a répondu que si je le prenais comme ça, je pouvais y aller. Et donc, grâce à Lourdes, j’ai compris que la famille chrétienne était encore beaucoup plus grande que je le pensais.
Avant Lourdes, je ne connaissais pas bien la Vierge Marie. J’ai appris à la connaitre grâce à Mireille. Avant je ne la connaissais que comme maman de Jésus et je ne lui demandais jamais de grâces. C’est grâce à Mireille qui m’a donné beaucoup de documentations sur Marie que tout doucement j’ai appris à mieux connaitre Marie, qu’elle avait un cœur d’or et qu’on pouvait lui parler comme à une maman. Mais quand je suis allée à Lourdes je ne savais pas ça. Si j’ai encore l’occasion d’aller à Lourdes, j’irai avec un autre cœur.
A Lourdes j’y suis allée avec mon copain,
…mais je dois dire que je n’ai pas ressenti les choses comme si j’y étais allée toute seule. Je ne peux pas le certifier, mais je pense que j’ai été aidée à quitter mon copain. J’ai compris qu’il n’était pas heureux, il rouspétait tout le temps, moi, je n’étais pas heureuse non plus, or le Seigneur ne demande qu’une chose, c’est que les gens soient heureux. Si on n’est pas heureux avec quelqu’un (qui n’est même pas son mari), il ne faut pas rester avec lui pour être malheureux. Tout le monde me disait : « Il vaut mieux être seule que mal accompagnée », mais je me voyais partie pour toute la vie avec ce monsieur-là. Mais le Seigneur le voyait autrement. J’ai dit à mon copain : « Il est temps de s’arrêter un moment et de voir ce qu’on fait de nos vies. » Je voyais que je ne le rendais pas heureux alors qu’il y avait tant de gens à aider dans la paroisse et depuis que j’étais avec lui, je ne savais plus m’absenter. D’avoir eu le courage de dire à cette personne que c’était fini, c’est peut-être une grâce de Lourdes. Et maintenant, grâce à ça, je m’occupe du catéchisme, j’essaie de faire tout ce que je peux pour la chorale, …. C’est surtout pour le Seigneur que je le fais. Le Seigneur a pris une très grande place dans ma vie et je ne saurais plus vivre sans lui.
Quand on fait entrer Jésus dans notre vie, on ne sait plus le faire partir.
Moi je ne saurais plus vivre sans le Christ. Il a tellement pris une place importante ! Lui s’est mis aussi dans ma vie. Si tous les gens pouvaient croire que Jésus est tellement vivant aujourd’hui, comme le monde serait beau ! Parce que le monde, il va mal ! Mais il va mal aussi parce qu’on s’éloigne de plus en plus de Jésus. A cause du manque d’amour ! L’argent a tellement pris un pouvoir ! Ce qui est gratuit n’est jamais accepté. Quand on achète quelque chose, il est à nous. Mais l’amour, comme il est gratuit, ça n’intéresse pas ! Mais je sais que l’amour de Dieu est immense.
Je n’arrive pas à témoigner auprès de mes enfants. Je parle de ma foi, ils comprennent que l’Eglise c’est ma famille aussi. Ils ne se moquent plus de moi. Je suis comblée par la foi que le Seigneur m’a donnée.
Les sept semaines du Renouveau Charismatique.
Quand il y avait eu les 7 semaines, Mathilde m’y avait invitée avec mon mari qui venait de revenir à la maison. Elle me disait : « Viens ! ça te fera du bien et à ton mari aussi ». On y est allé trois fois, mais ça n’a pas été. Je n’ai rien ressenti. On attendait peut-être quelque chose trop vite et on n’a rien eu. Il y a un temps pour tout. Moi, c’est à Charleroi que Jésus est vraiment entré dans ma vie et maintenant il est toujours près de moi.
03 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. 04 Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. https://www.aelf.org/bible/2Co/1
Frères, … Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, car vous aussi, vous avez un corps. Que le mariage soit honoré de tous, que l’union conjugale ne soit pas profanée, car les débauchés et les adultères seront jugés par Dieu. (…) Le Seigneur est mon secours, je n’ai rien à craindre ! Que pourrait me faire un homme ?https://www.aelf.org/2025-02-07/romain/messe
TEMOIGNONS TANT QUE C’EST POSSIBLE. En terre d’islam, c’est souvent passible de persécution, voire de mort.
Et si on priait avec la fraternité NDML …
ANNEXE.
Pape François: «La famille est le premier lieu où l’on apprend à aimer»
N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ Laisse-toi regarder car il t’aime (bis).
1.Il a posé sur moi son regard, un regard plein de tendresse Il a posé sur moi son regard, un regard long de promesses.
2. Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens et suis-moi « . Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens, ne crains pas « .
3. Il a posé sur moi son regard, et ses yeux en disaient long Il a posé sur moi son regard, c’était celui du pardon.
4. Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il pleurait Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il m’aimait.
Tellement de fois Tu m’as tendu la main Mais j’ai tourné le dos Parce que je ne pensais pas que tu avais ce dont j’avais besoin Et maintenant tu es tout Tu es tout pour moi Et je ne peux pas être sans toi, Dieu Tu es tout Et je veux dire merci J’étais perdu et tu m’as trouvé j’étais mort à l’intérieur Et tu m’as insufflé Et tu as donné vie à ces os je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvé Merci de m’aimer inconditionnellement, Dieu Tu es resté les bras ouverts Mais je me suis enfui Parce que j’avais peur de la douleur qui venait avec la confiance Mais je suis revenu en courant Dans ton étreinte Parce que je savais que tu serais toujours là Tu ne me quitterais jamais, Dieu Et je veux dire merci
Comme Jésus, avec Lui, elle est au ciel et elle aime visiter la terre. Que de visitations depuis 2000 ans! Evidemment, cela demande une certaine dose de foi en la personne qui nous parle de l’expérience qu’elle a faite. Quand c’est un tout petit enfant qui raconte ce qu’il a vu et parfois entendu lors d’une extase, c’est assez facile de le croire …
Plusieurs petits enfants de ma région l’ont vue et une adulte aussi, non chrétienne. C’est tout simplement qu’ils ont raconté ….
Un papa me disait : « Quand je suis entré dans la chambre de ma petite fille, j’ai senti qu’il s’était passé quelque chose et ma fille m’a alors dit : « La sainte Vierge est venue me voir et puis elle a dit qu’elle allait voir ma petite sœur. »
Une dame me racontait il y a peu de temps : « Pendant que je parlais de Marie avec ma fille (à sa demande), j’ai senti qu’elle entrait en moi… C’était merveilleux. »
Devant ses copines et copains, une fillette de 6 ans raconta ceci : « La dame dont vous parlez, je l’ai vue. Elle était enceinte. »
Moi-même, j’ai eu l’occasion de voir ma fille à un moment où la Vierge la visitait. Elle avait 4 ans à cette époque. Après cette apparition, elle me raconta tout et elle me dit notamment ceci : « Il y a une sainte Vierge dans mon cœur. Toi aussi, maman, tu as une sainte Vierge dans ton cœur ? »
Comment ne pas avoir envie de se blottir dans les bras d’une si bonne mère ?
Marie est apparue à des milliers de personnes à Zeithoun entrer 1968 à 1970
Quand Marie, « Notre-Dame de la Lumière » est apparue à Zeitoun en 1968, c’est d’abord à des Musulmans qu’elle est apparue. Anouar El Sadate était alors président de l’Egypte. A cette époque, il était extrémiste et voulait imposer la charia dans son pays. La femme d’Anouar El Sadate s’est convertie à Zeitoun et elle a convaincu son mari qu’il ne fallait pas imposer la charia contre les Coptes. Donc Sadate a évolué et il est devenu un homme de paix grâce à Zeitoun. Il a été assassiné par un ancien coreligionnaire car il avait changé: ancien intégriste, il était devenu homme de paix.
Le scientifique Olivier Bonnassies en parle dans son témoignage ci-dessous.
Depuis 1981, Marie apparait à Medjugorje, en Bosnie-Herzégovine.
Sous ses faux airs de prière rudimentaire, partout et à tous accessible, le rosaire « concentre en lui la profondeur de tout le message évangélique », écrit le pape saint Jean Paul II dans sa lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae (2002).
Le prier, c’est en effet faire mémoire – c’est-à-dire rendre présent et actuel – des principaux épisodes de la vie du Christ, et ce, à travers le cœur, le regard et les souvenirs de sa Mère. Soutenus par les Ave Maria, nous devenons contemporains des événements du salut accomplis par Jésus : son Incarnation et sa vie cachée (mystères joyeux), sa vie publique (mystères lumineux, ajoutés par Jean-Paul II en 2002), ses souffrances et sa Passion (mystères douloureux), le triomphe de sa Résurrection (mystères glorieux). Et nous entrons ainsi en communion vivante avec Lui, par Marie.
Afin que la répétition des Je vous salue Marie ne soit pas rabâchage ou superstition, mais « chemin d’assimilation du mystère », il est nécessaire de respecter sa dimension contemplative et christocentrique. Dans sa lettre, saint Jean-Paul II offre quelques conseils en ce sens. Il invite, notamment, à énoncer l’épisode médité en fixant son regard sur une image qui le représente. À laisser ensuite « parler Dieu » en proclamant un passage biblique correspondant. Puis, avant de commencer la dizaine, à rester un peu en silence. Pour donner du relief au nom de Jésus qui est le centre de gravité de l’Ave Maria, on peut inclure des paroles évocatrices du mystère (pour la Transfiguration, par exemple : « Et Jésus, dont le visage resplendit comme le soleil, est béni »). Le plus dur, c’est de se lancer !
(Une minute avec Marie)
Chaque jour, nous pouvons rejoindre les priants de Lourdes en direct à 15h30 Et la communauté Notre-Dame Mère de la Lumière (NDML) en direct à 19h30
MARIE CONDUIT TOUJOURS A JESUS.
Aux noces de Cana, elle dit : « Faites tout ce qu’Il vous dira ».
Jésus parle. La communauté Notre Dame Mère de la Lumière (NDML) nous invite à écouter Jésus, à méditer le Nouveau Testament (de la Bible) en un an et à faire « Tout ce que Jésus nous dit ».
De Medjugorje, soeur Emmanuel Maillard nous invite à accorder notre vie aux enseignements de Jésus.
Marie accomplit souvent des guérisons, mais …
Tout le monde ne guérit pas malgré les prières. Marthe parle de la façon dont elle vit sa foi alors qu’elle est souffrante.
Carlo Acutis et la Vierge Marie.
Carlo s’est mis à aimer Marie et Jésus grâce au film de Jean Delannoy « Bernadette ».
A Cana, Jésus n’a pas demandé des choses compliquées aux serviteurs. Il leur a demandé de remplir d’eau des outres et c’est Lui, Dieu, qui a changé l’eau en vin. Aujourd’hui encore Jésus nous demande de le servir en toute simplicité en nous mettant à son écoute, dans la prière assidue. Un film peut favoriser la foi. Internet bien utilisé sert la gloire de Dieu.
Philippe de Villiers, transmetteur de mémoire, amoureux de la France …
Père Pedro et père André-Marie, des saints d’aujourd’hui.
« Une rencontre dans un petit village appelé Croixrault dans le département de la Somme avec le Père André-Marie. Dans sa demeure, qui est également un monastère, il partage avec nous son regard sur la vie, l’au-delà, la foi, l’église, Dieu et la réincarnation. Le Père André-Marie, auteur de plus de 80 livres, est également conférencier, peintre, sculpteur, potier mais aussi collaborateur pour la revue de l’Au-delà. »
Quid de la réincarnation pour le père André-Marie?
En 1978, la naissance de notre quatrième enfant, une fille, après trois garçons et sept ans d’attente, nous comblait de joie. Pourtant, sans raison apparente, Jo, mon mari, s’enfonça alors dans une profonde dépression. Malgré le réconfort de la prière de communautés amies et du groupe de prière du Renouveau charismatique, les années passaient, sans amélioration de son état: il n’avait goût à rien. Devant ses nombreuses tentatives de suicide, le psychiatre en est venu à me demander d’accoutumer les enfants à la possibilité d’une issue fatale, car pour lui, la guérison était inenvisageable. Je ne l’ai pas fait.
C’est alors qu’un jour de mars 1983, une amie m’a invitée à participer au pélé-polios de Lourdes, car on manquait d’infirmières. Que faire ? Rester à la maison et veiller sur mon mari et nos enfants, ou partir, avec le sentiment d’abandonner ma famille ? Après avoir prié, j’ai proposé un pacte à la Vierge Marie : « J’ai besoin de souffler, je vais m’occuper de tes enfants malades, pendant que toi, tu veilleras sur Jo et nos enfants. »
Fin septembre, à Lourdes, tout allait bien. J’avais confiance en Marie, mais tous les soirs, au téléphone, j’avais droit au « bonjour tristesse » de la maison ! Le vendredi, cependant, la voix de Jo avait changé. J’ai pensé : « Il en a marre des enfants, il est content de me voir revenir. » Le samedi matin, de retour chez moi, je retrouvai un mari souriant ! Une première depuis cinq ans ! Il m’a dit : « Vendredi après-midi, j’ai perçu comme un voile qui se déchirait dans ma tête, une grande lumière a balayé les idées de tristesse et de mort et m’a enveloppé de paix. Je me suis senti vivre. J’avais envie de louer le Seigneur ! » Et moi, qu’avais-je fait ce vendredi après-midi ? Surmontant mon horreur de l’eau froide, j’étais allée aux piscines, y emmenant en pensée Jo et les enfants. Le pacte avec Marie m’est revenu en mémoire.
Mais cette amélioration allait-elle durer ? Nous restions discrets, tandis que Jo revenait à une foi vivante. Un peu plus tard, le père Christian, moine de Bellefontaine, a confirmé notre expérience : « Vous bénéficiez d’une guérison-conversion, c’est pour aider les autres. » Par la suite, il nous envoyait de nombreuses personnes mal dans leur peau. Qu’avions-nous à leur apporter sinon notre écoute ?
Finalement, à l’Ascension 2006, Jo a été ordonné diacre permanent.
Danièle, 79 ans, infirmière retraitée – Témoignage paru dans : www.lepelerin.
Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.
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