Jouer ne suffit pas. Il est aussi VITAL d’apprendre à l’enfant à travailler dès le plus jeune âge.
C’est plus facile de faire le travail soi-même que de le demander à son enfant. Courage. C’est un service qu’on lui rend, à lui, à sa future famille et à la société.
Parler avec un adulte de référence, c’est un besoin de l’enfant.
Aborder ce qui touche à la sexualité, le désir de changer de sexe. En parler à la lumière de ceux qui ont vécu ces changements.
Apporter une formation chrétienne à la jeunesse, c’est donner sens à la vie.
L’enfance laisse parfois de profondes blessures. Il est bon de les présenter à Jésus. Il guérit les cœurs. Avec l’aide de frères et sœurs aimants, équipés de charismes, les blessures du passé sont soignées.
Pour donner de la saveur à la vie: Les belles histoires de saints abondent et que de miracles à raconter !
10 Vous êtes mes témoins – oracle du Seigneur –, vous êtes mon serviteur, celui que j’ai choisi pour que vous sachiez, que vous croyiez en moi et compreniez que moi, Je suis. Avant moi aucun dieu n’a été façonné, et après moi il n’y en aura pas.11 C’est moi, oui, c’est moi qui suis le Seigneur ; en dehors de moi, pas de sauveur.12 C’est moi qui annonce, qui sauve et qui proclame, et non un dieu étranger parmi vous. Vous êtes mes témoins – oracle du Seigneur –, et moi, je suis Dieu.
Qui est assuré de ne pas perdre tous ses biens du jour au lendemain ? Et si c’était moi dans la rue ? Si c’était moi qui devais émigrer? Puissions-nous avoir un coeur d’enfant, tout simple, qui ne calcule pas …
Faits pour s’entendre : une grand-mère qui aime les enfants et des sans-papiers qui trouvent un foyer. « Ce qui manque à l’un, l’autre l’a. »
Se nourrir et avoir un toit pour sa famille, c’est primordial.
Quand l’Etat est défaillant, quand il ne subvient pas aux besoins élémentaires, l’AUTOGESTION SOLIDAIRE est bouée de secours.
Solidarité à l’égard de ceux qui restent là où ils sont nés.
Témoignage de père Pedro Opeka, Argentin missionnaire à Madagascar.
Ce prêtre de la congrégation de Saint Vincent de Paul fait connaitre son association Akamasoa (= Les Bons Amis) afin de récolter des fonds. Madagascar est un pays très riche, mais l’Etat est défaillant. Heureusement qu’il y a des personnes qui se dévouent au service des plus pauvres. Cette aide les encourage à ne pas émigrer mais à oeuvrer pour le relèvement de leur pays. Rester là où l’on a ses racines, c’est quand même mieux, non?
Tout homme est un frère, toute femme, une soeur. Les chrétiens le disent, le chantent, et ils essaient de mettre en pratique les paroles de Jésus!
12 Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. 13 Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.
Pape François avait du respect et de la compassion à l’égard des migrants.
Certains « sont passés par les mains des trafiquants, ceux qui exploitent la pauvreté des autres, ceux pour qui la pauvreté des autres est un revenu. » Comment peut-on le lui reprocher ?
Non, le bras du Seigneur n’est pas trop court pour sauver, ni son oreille, trop dure pour entendre.
01 Non, le bras du Seigneur n’est pas trop court pour sauver, ni son oreille, trop dure pour entendre. 02 Mais ce sont vos crimes qui font la séparation entre vous et votre Dieu : vos péchés vous cachent son visage et l’empêchent de vous entendre. 03 Car vos mains sont souillées par le sang, vos doigts, par le crime ; vos lèvres ont proféré le mensonge, votre langue murmure la perfidie. 08 Ils ne connaissent pas le chemin de la paix, sur leur passage ne se trouve pas le droit, ils rendent leurs sentiers tortueux. Qui prend ce chemin ne connaît pas la paix. 09 Voilà pourquoi le droit reste loin de nous, et pourquoi la justice n’arrive pas jusqu’à nous. Nous attendons la lumière, et voici les ténèbres ; la clarté, et nous marchons dans l’obscurité. 10 Nous tâtonnons comme des aveugles le long d’un mur, nous tâtonnons comme des gens qui ont perdu la vue. En plein midi nous trébuchons comme au crépuscule ; en pleine santé, nous voilà comme des morts. 11 Nous grognons tous comme des ours, nous gémissons sans trêve comme des colombes. Nous attendons le droit : il n’y en a pas ; le salut : il reste loin de nous ! 12 Car nos révoltes se multiplient devant toi, nos péchés ont témoigné contre nous. Oui, notre révolte nous tient, et nos crimes, nous les connaissons :
13 se révolter, renier le Seigneur, abandonner notre Dieu, prêcher l’oppression, la rébellion, concevoir le mensonge et le ruminer dans son cœur. 14 Le jugement a été repoussé, la justice se tient à l’écart, car la vérité a trébuché sur la place, et la droiture ne peut y accéder.
15 La vérité est portée disparue ; qui se détourne du mal se fait dépouiller. Le Seigneur l’a vu, et c’est mal à ses yeux : il n’y a plus de droit. 16 Il a vu qu’il n’y avait personne, il s’est désolé que personne n’intervienne. Alors c’est son bras qui l’a sauvé, sa justice elle-même fut son appui.
17 Il a revêtu la justice comme cuirasse, et mis, sur sa tête, le casque du salut ; il a revêtu les vêtements de la vengeance, il s’est drapé de son ardeur jalouse comme d’un manteau.
18 Il rendra à chacun selon ses œuvres : fureur pour ses adversaires, représailles pour ses ennemis ; il rendra aux îles lointaines ce qui leur est dû. 19 Et l’on craindra depuis l’occident le nom du Seigneur, et depuis l’orient, sa gloire, car il viendra comme un cours d’eau encaissé, que précipite le souffle du Seigneur.
20 Alors il viendra en rédempteur pour Sion, pour ceux de Jacob revenus de leur révolte, – oracle du Seigneur. 21 Quant à moi, dit le Seigneur, voici mon alliance avec eux : Mon esprit qui repose sur toi et mes paroles que j’ai mises dans ta bouche ne quitteront plus ta bouche, ni celle de tes descendants, ni celle des descendants de tes descendants, – dit le Seigneur – dès maintenant et pour toujours.