Marguerite éprouve une grande compassion pour les femmes en prison. Elle quitte le couvent pour se consacrer entièrement à cette mission.
Elle devient vierge consacrée, ce qui lui permet de ne pas renier ses vœux religieux, tout en lui accordant l’indépendance nécessaire à accomplir sa mission.
Par Laurence Gagnon 9 avril 2025 Crédit photo : Laurence Gagnon
« Une fleur derrière les barreaux »
Ce livre (Novalis, 2022) recueille les entretiens entre Mathieu Lavigne et Sœur Marguerite Rivard, bénévole dans les pénitenciers pour femmes de la Maison Tanguay et de Joliette depuis plus de trente ans. En 2016, elle remporte le prix Reneault-Tremblay, de l’Association des services de réhabilitation du Québec, pour son engagement auprès des femmes détenues.
La mission d’une vie
Marguerite Rivard est adolescente lorsqu’elle sent l’appel de sa vocation religieuse. Au monastère, sa voix s’élève parfois en dissonance contre les hautes instances. C’est que sœur Marguerite a en elle ce fort besoin d’être utile et d’aider ceux et celles qui en ont besoin. C’est pourquoi elle quitte le monastère pour devenir vierge consacrée, ce qui lui permet de ne pas renier ses vœux religieux, tout en lui accordant l’indépendance nécessaire à accomplir sa mission : aider les femmes détenues.
En cherchant à développer en elles une vie intérieure, en se servant du catholicisme comme cadre, sœur Marguerite cherche à réconforter les détenues au meilleur de sa capacité.
Grâce à la proximité qu’elle ressent face à ces femmes, qui lui vient de son propre vécu et de ses propres traumatismes d’enfance, elle s’efforce d’apporter du réconfort à celles chez qui les expériences ont causé une méfiance des hommes ; celles qui ont surtout besoin d’être écoutées attentivement, de sentir qu’on les comprend, qu’on se soucie d’elles et de leurs expériences ; celles qui ont besoin d’apprendre à s’aimer avant de pouvoir avancer et sortir de leur douleur ; celles que la société et l’institution carcérale ont abandonnées à leurs souffrances.
Le système crée l’injustice. Des politiciens mériteraient la prison.
Des personnes accumulent l’argent non mérité au vu de tous. Détournements de fonds, paradis fiscaux … REAGISSONS à ces genres de crime!
En toute légalité des politiciens deviennent de plus en plus riches au détriment de la population. N’est-ce pas criminel?
C’est une situation injuste parmi d’autres que dénonce le journal. Jérôme de Warzée aussi dénonce.
Puissent les politiciens refuser des salaires injustifiés! Qu’ils disent NON!
Comment ne pas penser à l’abbé Pierre quand il était député ?
Quand il était député, l’abbé Pierre utilisait son salaire pour aider les pauvres afin qu’ils puissent être re-logés, nourris, …
Oui, il a fait beaucoup du mal, oui, il aurait mérité la prison, mais, de grâce, ne limitons pas une personne au mal qu’elle a commis. L’abbé Pierre a aussi fait beaucoup de bien.
Justement, Emmaüs est né de sa bonne entente avec un homme qui sortait de prison. Sa femme ne l’avait pas attendu. Il pensait au suicide. Heureusement il a accepté d’œuvrer avec l’abbé Pierre. A deux, c’était plus facile de se lancer dans l’aventure. Nous devons beaucoup à cet ancien prisonnier et à l’abbé Pierre.
A Emmaüs, d’anciens prisonniers et autres personnes en détresse trouvent refuge et travail.
L’oeuvre de l’abbé Pierre est magnifique, mais son grave péché lié à la sexualité est comme un mouche dans une verre de vin délicieux …
Tous sont pécheurs.
Qui sommes-nous pour condamner les autres ?
A chaque messe, les chrétiens demandent pardon pour leurs péchés « en paroles, en pensée, par action et par omission ».
Le riche qui n’utilise pas son argent pour faire le bien commet un grave péché par omission. Jésus est tranchant à ce sujet. Quand on sait que chaque jour, en France, un courageux agriculteur se donne la mort par manque de soutien matériel … parfois à deux pas d’un voisin très riche. C’est choquant!
N’est-ce pas grave de laisser de rester indifférent face à la misère quand on a plus qu’il ne faut pour se loger, se nourrir?
Jésus raconte cette parabole :
Prière/Cantique/Méditation.
Et si on pensait à l’éternité, au salut de notre âme ?
Ici-bas, nous ne sommes que de passage.
Le « pays » dans lequel Dieu nous invite à VIVRE, c’est son CŒUR pas une terre.« Choisis donc la vie! »
L’abbé Jean-Yves Pollet a ouvert sa maison à des personnes sans-abris et/ou en quête de fraternité.
La Ferme abrite quinze pensionnaires pour un hébergement de longue durée. Elle accueille aussi des personnes pour des travaux en journée. “Ce sont des personnes qui ont été sans-abri ou qui sont encore trop fragiles pour vivre seules, nous confie l’abbé Pollet. C’est souvent pour briser une terrible solitude qu’on reste ici”.
J’ai eu l’occasion de rencontrer Jean-Yves Pollet chez moi. Il venait inviter Claude, un réfugié désorienté, à vivre dans sa communauté. Ce dernier a décliné l’invitation préférant vivre seul. Hélas, Claude s’est un jour retrouvé dans la rue. Après cette triste expérience, il revint me voir et dit ceci : « Le propriétaire de mon appart m’a mis dehors. J’ai acheté une tente pour dormir dans la rue, mais la police m’a interdit de m’en servir. Je dormais entre deux cartons et je voyais la neige tomber … »
Il est resté quelques jours chez nous en attendant de pouvoir entrer dans un centre d’accueil, là où il recevrait l’aide nécessaire pour retrouver ses droits. Il y est resté à peine … une demi-journée !
Quand on dit qu’il manque de lieux d’accueil, c’est vrai et en même temps, il faut savoir que des personnes refusent d’y vivre, préférant leur liberté !
Néanmoins il est nécessaire de multiplier les lieux d’accueil à dimension humaine où chacun puisse se trouver en sécurité. Chez nous, Claude se plaisait bien mais il ne nous était pas possible à cette époque de l’héberger chez nous à long terme.
C’est un exemple que l’abbé Pollet nous a donné.
Tant de maisons pourraient devenir lieux d’accueil communautaires, de colocation. Qu’on se le dise ! Même une toute petite maison peut servir à une colocation.
Je m’adresse particulièrement aux personnes âgées qui un jour ou l’autre laisseront leurs biens à leur famille proche ou éloignée qui peut-être n’en a aucun besoin.
C’est une question de justice de partager avec les plus démunis. Que des gens déjà nantis héritent de grands biens, c’est injuste!
Les plus riches deviennent toujours plus riches et la pauvreté gagne du terrain. REAGISSONS!
« Si les chrétiens vivaient leur vie de chrétien, il n’y aurait plus un seul Hindou en Inde. » (Gandhi)
Louise de Marillac et Vincent de Paul ont VECU ce qu’ils enseignaient et ils fondèrent l’oeuvre des « Filles de la Charité ».
Le contre-témoignage est fréquent. Et moi, suis-je cohérent-e ?
Mère Teresa est allée jusqu’au bout de l’amour. Et moi ? « A bout de force, ne m’est-il pas arrivé de lâcher la main d’une personne qui comptait sur moi ? » « Si! et je l’ai amèrement regretté. » Un autre dira: « N’ai-je pas refusé de louer mon gite rural à un étranger ? » « Si! j’ai préféré l’argent et la tranquillité. » Un autre encore: « J’ai légué tous mes biens à ma famille qui n’en avait pas besoin or la pauvreté grandit et les oeuvres caritatives manquent de fonds. » …
En ce temps de carême, remettons-nous en question. Soyons cohérents et le monde changera en bien, ainsi que Jésus nous le commande. « AIMEZ-VOUS lES UNS LES AUTRES. »
Notons bien que Joseph est un modèle pour nous. Il n’a pas laché la main de Marie alors qu’elle dérangeait ses plans. Il eut FOI en la Parole de Dieu et le courage de répondre à l’appel reçu. CHACUN A UN APPEL à DISCERNER.
Jacques Pineault 18-19 mars 2025 sur facebook
Témoignage d’un réfugié politique angolais.
Il témoigne de la chance qu’il a eue de trouver une famille d’accueil en Belgique. Chance aussi de pouvoir louer un logement mis à la disposition des réfugiés. Il avait 26 ans, il avait l’avenir devant lui, mais, sans sa famille, quel sens donner à sa vie?
Jésus reproche aux religieux leur hypocrisie.
Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples, et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse. Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas. Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. https://www.aelf.org/2025-03-18/romain/messe
« Si tous les chrétiens agissaient comme le Christ, le monde entier serait chrétien. » (Gandhi)
L’heure est au partage.
Kto enseigne la vraie foi, celle qui est mise en œuvre. Allons-nous soutenir KTO? Soutenir les œuvres caritatives qui appellent aux dons ? Faire un leg ? Tant de riches lèguent leur fortune à leur famille même si elle n’en a pas besoin. Quelle bêtise de rendre les riches toujours plus riches!
Revue KTO février 2025
Pour nous aider à être VRAIS, Marie est là. Que dit-elle à Medjugorje? Une des voyantes raconte:
Les enfants de Medjugorje n°55 de « La lettre d’information ».
Mon Dieu, que veux-tu que je fasse? Esprit-Saint, éclaire-moi!
Afrique du Nord: Simon*, originaire d’Afrique du Nord, a vu Dieu répondre à sa prière et à son jeûne, mais pas de la manière dont il le pensait.
Simon raconte: «Il y a toujours des phases dans ma vie où je jeûne. Lorsque je le fais, je ressens une grande force en moi et je sais que Dieu est à mes côtés. Je me sens heureux, je suis moins alourdi et je me consacre à la prière.
»Il y a quelques années, j’ai traversé une période difficile: je savais que la police secrète était à mes trousses. J’avais construit une affaire prospère en travaillant dur, mais, si je devais aller en détention, ils confisqueraient tout.
»J’étais désespéré, car je m’attendais à tout moment à être arrêté et emprisonné. En pleine nuit, j’ai alors emmené tous les documents et l’équipement de mon entreprise tels que des papiers et des machines coûteuses et les ai entreposés dans un endroit secret. C’était très fatigant, et de plus je pouvais être surveillé.
»Quand je suis rentré chez moi, j’ai prié: ‹Voilà, je suis prêt à aller en prison.› Des larmes ont coulé sur mon visage et j’ai supplié Dieu: ‹Je ne peux plus supporter cela. Chaque fois que je me remets sur pied, je suis frappé et détruit.› Dans ces moments de prière, j’ai répandu mon âme devant Dieu avec ferveur.
»Quelques mois plus tard, il s’est passé une chose inimaginable: le gouvernement qui me harcelait a été destitué. Avec lui, les services secrets et mon dossier. Mes persécuteurs n’étaient soudainement plus au pouvoir. Dans le tumulte des bouleversements, de nombreux bâtiments ont été détruits, y compris à l’endroit où j’avais caché mes machines. Les bâtiments voisins n’étaient plus debout, mais mes biens avaient été épargnés. Pour moi, c’était un miracle absolu.»
Simon est un partenaire de l’AÉM originaire d’Afrique du Nord. Malgré toutes les difficultés, il s’engage pour le Seigneur dans sa région, encourage les jeunes disciples et œuvre pour les droits de l’homme.
*Image symbolique, prénom modifié par la rédaction
Je suis originaire du Togo, pays d’Afrique de l’Ouest, devenu indépendant en 1960. Dans ma région, le christianisme est peu répandu car il est lié au colonialisme et donc mal perçu. La religion la plus courante est l’animisme. Ma famille pratique le culte vaudou.
Le vaudou, qu’est-ce que c’est ? C’est une manière d’entrer en contact avec les esprits des morts. Les vaudous sont représentés en statuettes, en terre battue ou en fer. Ces statues contiennent des morceaux de squelettes humains. C’est la nuit que les squelettes sont déterrés. Moi-même, j’ai dû faire ce sale boulot ! Certains esprits sont dangereux. Il y a de nombreux morts à cause du vaudou.
Cette pratique se transmet de génération en génération. A chaque naissance, on fait une cérémonie obligatoire de réincarnation sur le nouveau-né (djoto). Les esprits ont décidé que je devrais un jour remplacer mon oncle comme grand-prêtre vaudou, quand il serait décédé. Mon père me l’a dit quand j’avais dix ans.
Un jour, je suis tombé malade, je ne guérissais pas mais mon père ne voulait pas m’envoyer à l’hôpital, puisqu’il est guérisseur. Je me suis mis à saigner de plus en plus par le nez et à cracher du sang, alors mon père a accepté. J’avais la tuberculose. Quand je suis arrivé, les médecins m’ont dit que c’était très grave, que j’arrivais fort tard. Il y avait peu de chance que je m’en sorte. Beaucoup de patients autour de moi mouraient.
A l’hôpital, j’ai reçu la visite de chrétiens d’un groupe de prière du Renouveau Charismatique. Ils m’ont parlé de Dieu, de Jésus. Ils ont prié pour moi et j’ai été guéri en suivant bien mon traitement. Ma guérison est une bénédiction de Dieu ! J’aurais pu mourir tant ma maladie était grave ! J’ai demandé à devenir chrétien. J’ai reçu le baptême quelques mois plus tard.
J’ai passé deux mois à l’hôpital. Quand je suis rentré chez moi, vu que mes parents ne sont pas chrétiens, mais animistes, je me suis rendu à l’église en cachette. Finalement, ils l’ont appris et ils m’ont convoqué, car chez les animistes, pour tout ce qu’on fait, on doit consulter les dieux vaudous. Ils m’ont interdit de retourner à l’église et ils m’ont menacé.
Je ne suis plus allé à l’Eglise pendant quelque temps, mais les chrétiens sont venus me parler à nouveau et j’y suis retourné. Mes parents sont alors devenus violents avec moi.
Un 18 février, mon oncle que je devais remplacer comme grand-prêtre vaudou est décédé. Ce soir-là, ma famille est venue m’enlever et ils m’ont enfermé dans un couvent vaudou.
Là, j’ai demandé à une personne de prévenir le prêtre chrétien. Grâce à l’Eglise, j’ai pu fuir car j’étais vraiment en danger. En effet, chaque année, on sacrifie une personne pour le vaudou, en cachette. Comme j’avais refusé de devenir le grand-prêtre, je risquais bien d’être leur prochaine victime. J’ai fui précipitamment mon pays.
Je suis en Belgique depuis 3 ans. J’ai laissé au pays ma femme enceinte de 3 mois et notre fille, qui hélas est décédée l’an dernier.
Je suis maintenant papa d’une garçon, mais je ne l’ai pas encore vu ! Ma famille me manque tellement!
J’ai été régularisé, c’est un très grand bonheur pour moi, mais il y a eu longtemps une ombre au décor. J’aurais pu faire venir ma famille mais ce n’était pas possible. Je reçois 830 € par mois. Or je loue un studio 450 €, électricité non comprise et je dois rembourser 75 € par mois au CPAS qui a avancé la caution. Les billets d’avion coûtent cher ainsi que les frais de dossier au Togo et les tests ADN. Ma femme ne peut pas les payer.
J’étais parti à Charleroi dans l’espoir d’y trouver du travail mais je ne trouvais rien. Le CPAS me promettait du travail dans le cadre du passage 45. J’ai attendu longtemps avant de pouvoir travailler et intervenir dans les frais liés à la venue de ma famille en Belgique. Finalement, je recevrai de l’aide de Caritas et d’un prêtre, ami de la famille qui m’épaule depuis le début de mon arrivée en Belgique.
Je craignais pour la santé de ma femme, fragile elle aussi. Elle a dû parcourir de grandes distances pour obtenir des visas. En effet, comme il n’y a pas d’ambassade de Belgique dans mon pays, les autorités lui avaient demandé de se rendre en compagnie de notre second enfant, âgé de deux ans, d’abord à Lagos, ensuite à Abuja, capitale du Nigéria. C’est à plus de mille kilomètres de leur village ! La capitale nigériane a déjà été le théâtre d’attaques terroristes de la secte islamiste Boko Haram* ! Ça fait peur.
Désormais, après avoir suivi une formation de cuisiner, j’ai trouvé du travail. Quelle chance ! Merci à Dieu, merci à la Belgique, merci aux personnes qui m’ont aidé à m’ intégrer.
Cette famille réunie souhaite vivre dans la paix, la sécurité. C’est pourquoi des détails ont été modifiés par souci de discrétion.
La parole de Dieu défend de chercher à entrer en contact avec les morts.
10Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien,11d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts.… Deutéronome 18
« 11 Ne prenez aucune part aux activités des ténèbres, elles ne produisent rien de bon ; démasquez-les plutôt. » https://www.aelf.org/bible/Ep/5
La France est exsangue. A coups de lois insensées. D’autres pays, d’autres populations sont aussi écrasées.
C’est quand le blé est moulu qu’il devient farine, c’est quand le raisin est pressé qu’il devient un bon jus, voire du bon vin qui réjouit le coeur.
Toute cette souffrance provoquée par la politique presse des personnes de tout bord à s’exprimer. Et c’est une chance !
Une chaine de télévision disparait et c’est une avalanche de contestations qui surgit.
Lors du covid, beaucoup de personnes avaient manifesté leur indignation. On les appelait à tort « complotistes ». La pensée unique continua à se répandre. Donald Trump dénonce l’état profond. L’avenir nous apprendra s’il est vrai.
Les yeux s’ouvrent et la parole se libère de toute part. Ouf !
Voici pêle-mêle quelques pistes de réflexion hors mainstreams et quelques élans d’espérance aussi.
Le combat pour la reconnaissance de la valeur de la femme prend de l’ampleur.
Des chrétiens se réveillent et ils se mettent avec d’autres à marcher sur les eaux.
PRIONS!
Prions pour les dirigeants de ce monde.
Que les présidents, ministres, députés, … prennent conscience qu’ils ont été élus pour servir le peuple et non pour se servir eux-mêmes. Qu’ils aient le courage de faire volte-face quand c’est pour le bien commun.
Puissent les Musulmans prendre la décision de dire la vérité quant à l’engagement des nouveaux convertis.
… et reconnaitre que les miracles que Jésus accomplit dans leur vie est un appel à le suivre.
De même pour les Juifs. Jésus en a tant guéris il y a 2000 ans et il continue de le faire. Lui seul, Jésus peut obtenir un changement des mentalités.
Chrétiens, Jésus nous donne sa force dans ce sacrement : la Sainte Messe.
Parce que les demandeurs d’asile, les immigrés, les sans-papiers font partie des personnes que je rencontre volontiers, j’ai écrit cet article publié en 2012 à partir des rencontres que j’ai faites en centres d’accueil ou dans des familles issues de l’immigration.
« La règle d’or » : « Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse. »
« On la retrouve sous des formulations voisines dans la plupart des religions, philosophies ou cultures du monde. C’est la barrière que la morale dresse contre l’égoïsme et contre ceux qui pensent ne pouvoir réaliser pleinement leur liberté qu’en piétinant celle des autres ».
Une musulmane me disait: « Je ne veux pas que tu dises du mal de ma religion mais tu peux me parler de la tienne. » C’est ce que j’essaie de faire. Je remarque que bien souvent les immigrés aiment entendre parler de Jésus. Je le fais avec le plus de modestie possible.
Quand une association nous confie une personne en difficulté, il ne faut pas agir seul mais en lien avec d’autres.
Quand on ne connait pas la personne qui va venir partager notre vie de famille, il y a un lâcher-prise qui fait peur. C’est par la confiance en Dieu que l’on marche mais la vigilance reste de mise.
-Il faut être plusieurs pour bien encadrer la personne. Ne pas agir seul. Lors d’une maladie sérieuse, mon mari ne trouvant pas le temps d’intervenir, j’ai lâché la main de la personne accueillie. J’aurais dû demander conseil auprès de l’association qui nous l’avait confiée. Celle-ci aurait pu faire passer le relais.
-Dans le cas de Sandrine, quand elle a quitté notre maison, elle a fait sa vie mais tout en boitant. Nous n’avions plus de contact avec elle et quand j’ai appris qu’elle avait mis fin à ses jours, j’ai éprouvé une grand regret de ne pas l’avoir gardée chez nous ainsi qu’elle me l’avait demandé : « Je voudrais que vous m’adoptiez ». Elle était vraiment sans famille. Elle se plaisait tellement bien chez nous. C’était un plaisir de la voir heureuse. Elle apportait de la joie à notre maisonnée. Bon, voilà, les regrets ne servent à rien mais je partage ce témoignage afin d’encourager les personnes qui accueillent à « aimer jusqu’au bout » en se mettant vraiment à l’écoute des personnes. Ne pas décider à leur place.
Le Souffle de Vie souhaite être tenu au courant de ce que vit la (future) maman qu’il place en famille. Ainsi, quand l’une d’elles a eu son bébé, elle est repartie vers la ville et là, à nouveau grâce au Souffle de Vie, elle a reçu le soutien d’une autre famille, une famille de parrainage. 30 ans plus tard, nous sommes toujours en contact étroit avec cette maman.
Un jour, par l’intermédiaire d’une visiteuse de malades à l’hôpital, nous avons accueilli une maman qui venait d’accoucher et ses enfants, une famille en décrochage de la société, SDF. Chez nous, la dame ne voulait pas du tout participer aux petits travaux de la vie quotidienne : « Je ne suis pas votre esclave ». Elle passait son temps à fumer et boire du café. Ça ne pouvait pas durer. Le CPAS ne leur cherchait pas de logement à la famille. Que faire ? Grâce à l’aide financière d’un bon prêtre, nous les avons installés dans un gite rural et avons prévenu le CPAS que nous ne les reprendrions pas chez nous. Malgré les rouspétances du CPAS, la décision était prise, la page était tournée.
NB : Les problèmes liés à la grossesse n’arrivent pas qu’aux autres. Le Souffle de Vie intervient aussi pour éclairer les futures mères en difficulté des familles d’accueil.
Merci à Jacques et Micheline Philippe pour leur vie toute donnée à cette belle cause.
Par la bouche de Bernadette Soubirous, Marie demande la construction d’une chapelle pour qu’ on y vienne en pèlerinage.
… et qu’on rencontre ainsi plus intimement Jésus, comme les disciples d’Emmaüs qui sont entrés en union de coeur avec Jésus croisé sur leur chemin.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
… Le pèlerinage donne aussi l’occasion de vivre des moments forts avec d’autres personnes en recherche d’un « mieux vivre sa foi», en Eglise .
… Le pèlerinage donne l’occasion de se reposer, de reprendre souffle, méditer, prier. NB. Sur le plan spirituel, j’ai de meilleurs souvenirs de mon pèlerinage avec le diocèse que de celui que j’ai vécu en famille, car plus nourrissant vu le bon accompagnement des guides et … plus de temps pour moi.
L’Eucharistie est au cœur du pèlerinage.
Cfr fin de chapitre : Messe de Notre-Dame de Lourdes le 11 février.
Que ce soit à Lourdes ou dans une simple église de village, la messe, c’est un festin auquel Jésus nous invite tous.
A la messe, Jésus nous nourrit de sa Parole et de son Corps !
51 Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Ecouter attentivement les paroles de Jésus, c’est comme ouvrir une lumière pour y voir clair sur notre route. Il faut prendre le temps de « goûter » combien Dieu est bon afin de profiter pleinement d’une Eucharistie. C’est comme pour la nourriture du corps, on ne l’avale pas sans d’abord l’avoir mâchée.
Voici quelques moments d’une telle célébration filmés dans une abbaye toute simple, celle des Trappistines de Chimay.
Partout, la Parole de Dieu est la même et le pain consacré est aussi le Corps de Jésus et le vin consacré est aussi son Sang.
Le prophète Isaïe parle de l’appel que Dieu lui a lancé. C’est Isabelle qui lit ce passage de l’Ancien Testament.
L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ; les pans de son manteau remplissaient le Temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Ils se criaient l’un à l’autre : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
« Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » Soeur Agnès.
Lecture de l’Evangile et homélie, prières.
Et voilà le moment où, par les mains du prêtre, le pain et le vin deviennent Corps et Sang de Jésus.
MEDITATION – Miracle eucharistique.
Lourdes, l’eau, les miracles …
La dernière miraculée de Lourdes ! (du moins recensée)
Ce sont des milliers de miracles qui ont lieu à Lourdes mais beaucoup ne sont pas répertoriés, la personne guérie n’ayant pas envie de retourner à des milliers de kilomètres de chez elle pour témoigner et commencer des examens médicaux … Un paroissien me raconta qu’il avait été guéri lors du passage du Saint Sacrement auprès de lui. Il avait environ 4 ans. Il ne fait pas partie des miraculés que l’Eglise reconnait.
Des guérisons et miracles se multiplient partout on l’on prie.
Dans notre vie quotidienne, combien de nos prières sont exaucées sans même qu’on y pense !
MIRACLE A LONDRES.
PRIONS MARIE, « L’IMMACULEE CONCEPTION » d’INTERCEDER POUR NOUS.
Nous pouvons même nous consacrer à elle, c’est-à-dire lui permettre de nous tenir la main tout au long de notre journée, comme le fait une maman qui aime son petit enfant et souhaite le protéger dans les moments dangereux.
« Passe devant moi, Marie »: Telle était la prière journalière d’une jeune dame qui un jour échappa à un viol grâce à cette présence protectrice de Marie.
Lors d’un procès pour viols, un homme avoua qu’il n’avait pas pu approcher la proie convoitée: quelque chose le repoussait. Une médaille miraculeuse portée avec foi ou un scapulaire … fait des miracles. « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
Rappelons-nous aussi comment un réseau de pédophilie en Belgique avait été démantelé: grâce à la prière de la petite Marie-A. qui avait été enlevée mais qui avait réussi à s’échapper. Elle priait des « Je vous salue Marie » comme ses parents le lui avaient appris, ce qui avait agacé son prédateur ….
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! » Marie appelle Bernadette à prier pour les pécheurs et à se sacrifier pour eux.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs. »
Prions donc pour les personnes qui souffrent de la violence et celles qui la provoquent.
Avant de penser divorce, il est bon de penser à prier fidèlement Marie … pour la CONVERSION de chacun. La fierté de l’homme machiste crée bien des problèmes au sein d’un couple. Quand à cela s’ajoute la violence liée à la religion ou à la drogue, la souffrance est inimaginable et inacceptable.
Il y a une puissante neuvaine de prières à « Marie qui défait les noeuds ».
Prions pour le peuple juif et le peuple musulman.
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole. Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Ne serait-ce pas en vue de l’œuvre de Dieu à Lourdes que cette région a été libérée du joug islamique qui nous guette plus que jamais vu la perte de nos racines chrétiennes?
Prions le Rosaire, comme Marie le demande instamment.
Marie avait toujours le chapelet en mains lors de ses apparitions pour montrer combien cette simple prière est bonne. C’est lorsque Bernadette égrenait son chapelet que Marie lui apparaissait.
SUPPLEMENTS
L’appel de Marie à construire une chapelle a été entendu! Et ce sont des basiliques qui ont été contruites à Lourdes.
La Basilique de l’Immaculée Conception est le premier bâtiment à être construit. Toutefois, la Basilique se révèle rapidement être trop petite pour accueillir l’afflux des pèlerins. On construit alors une deuxième basilique. Là encore, la Basilique Notre-Dame du Rosaire ne peut accueillir tous les pèlerins venus à Lourdes. Une troisième basilique est alors construite sous terre Consacrée en 1958 lors du centenaire des apparitions, la Basilique Saint-Pie X devient le lieu de célébrations des messes internationales, de l’adoration du Saint-Sacrement et de la bénédiction des malades. En effet, sa superficie de 12 000 m2 lui permet d’accueillir près de 25 000 personnes et sa forme rappelle l’arche de Noé.
Le signe de la Croix rappelle l’humanité à l’ordre : Dieu est Maître du ciel et de la terre. Quand nous nous soumettrons-nous à son autorité ? Dieu appelle !
Le 6 janvier 2025, une mystérieuse croix lumineuse est apparue au-dessus de la Cathédrale de la Transfiguration à Rybinsk, laissant des milliers de témoins sans voix ! 📸 Ce phénomène incroyable a été capturé et a suscité des interrogations dans le monde entier : Dieu envoie-t-Il un signe à l’humanité ? Est-ce un avertissement sur les temps que nous vivons ?
Dieu ou l’argent : c’est le terrible choix toujours actuel. Bernadette était affreusement pauvre et elle a refusé tout don. Judas par contre a livré Jésus à la mort, pour de l’argent.
La Vierge Marie a reconnu la dignité d’une pauvre fille, Bernadette. Dans certains pays, les femmes sont méprisées.
CANTIQUES
« Pourquoi Moi? » Bien avant l’ère chrétienne, Jérémie, Amos, Isaïe, .. avaient été appelés. Puis il y a eu Jean-Baptiste, la Vierge Marie, saint Joseph et chacun des apôtres… A Lourdes, Bernadette Soubirous a été choisie pour délivrer un message au monde. A l’heure actuelle, chacun de nous est appelé à être un chainon entre le ciel et la terre. Entendons-nous l’appel de Dieu : « Qui enverrais-je ? »
Here I am Lord: « Moi, le Seigneur de la mer et du ciel, j’ai entendu mon peuple crier. Tous ceux qui habitent dans les ténèbres et le péché, ma main les sauvera. Moi qui ai fait les étoiles de la nuit, je rendrai leurs ténèbres lumineuses. Qui leur apportera ma lumière ? Qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. Moi, le Seigneur du vent et de la flamme, je prendrai soin des pauvres et des boiteux. Je leur préparerai un festin, ma main les sauvera je leur fournirai le meilleur pain, jusqu’à ce que leur cœur soit satisfait. je leur donnerai ma vie, qui enverrai-je ? Me voici, Seigneur, est-ce moi, Seigneur ? Je t’ai entendu appeler dans la nuit. J’irai, Seigneur, si tu me conduis. Je garderai ton peuple dans mon cœur. »
Les chrétiens sont des gens ordinaires qui, quand ils vivent des choses difficiles, puisent leur énergie dans la foi en Jésus-Christ.
Parce que Dieu les a consolés dans leur détresse, les disciples de Jésus ont le désir d’aider les autres à faire face eux aussi aux grands défis de la vie avec ESPERANCE.
Pape François: « Je vois l’Eglise comme un hôpital de campagne après une bataille. Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol ou si son taux de sucre est trop haut! Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. »https://www.cathobel.be/2024/04/francois-le-pape-qui-aimait-lhopital/
Jésus frappe à la porte de notre cœur. Allons-nous l’inviter à entrer:
« Jésus j’ai besoin de toi. »
Témoignage : d’une triste vie enfantine à une vie en paroisse épanouie.
J’ai toujours eu une vie un peu triste.
Mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée chez les sœurs et puis je me suis mariée et j’ai eu des enfants, et puis mon mari est parti, on s’est séparé, et j’ai été un peu par-ci, par-là chercher le bonheur… que je croyais trouver mais je ne l’ai jamais trouvé avec les hommes.
Charleroi, église des Jésuites.
Mathilde me disait toujours : « Viens à Charleroi, à la prière » mais c’était loin et je n’y allais pas, et puis un jour, il a bien fallu dix ans, j’ai dit : « Oui j’y vais ! » Mathilde me dit encore bien : « Si tu t’ennuies, tu iras fumer ta cigarette ! »
Et là, j’ai vraiment été frappée par le chant : « N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ. » Moi, j’ai toujours cru que le Seigneur m’en voulait de ma vie –je ne vais pas dire de débauche- mais quand même, je cherchais maladroitement après le bonheur, et voilà ! Je croyais que le Seigneur m’en voulait à cause de tout cela. Je croyais que le Seigneur ne me regardait déjà plus puisque j’avais péché. Je savais que j’avais péché !
Pourquoi cette chanson-là m’a-t-elle frappée ? C’était ma vie qui se déroulait ! C’est comme si le Seigneur me disait dans cette parole-là : « N’aie pas peur, je suis là ! » Mais c’est la confession qui me sauvera.
Pendant le chant, j’ai commencé à pleurer et j’ai compris que le Seigneur m’aimait telle que j’étais, mais il me demandait, à moi, de me renouveler, de devenir propre. Je suis allée à la confession –j’ai eu dur, hein !- et quand je suis revenue à ma place j’ai senti que j’étais légère, libérée d’un poids qui était resté là depuis des années. Je me suis sentie renouvelée. J’ai compris à ce moment-là que la vie que j’avais avant n’avait plus de sens, que c’était le Seigneur qui rentrait quelque part dans ma vie et qu’il prenait la place d’autres rencontres que j’aurais pu encore faire.
Je me compare toujours à Marie-Madeleine, depuis que je suis allée à Charleroi… On ne sait pas tout. Dans la religion on nous a dit tellement de choses, que le péché c’était grave ! Mais on n’a pas assez insisté sur le fait que, du péché, on peut être pardonné et que tout devient nouveau en nous. C’est à Charleroi que je l’ai appris.
Il y avait bien dix ans que je n’ étais plus allée à la confession, parce que je ne m’en sentais plus digne. C’est comme quand quelqu’un doit aller demander pardon, il lui faut du courage, eh bien avec le Seigneur, c’est pareil !
Grâce à la confession, j’ai aussi compris qu’il faut pardonner ! Pardonner de la vie qu’on a eue car il y a des gens qui ne sont pas gentils. Grâce au fait que j’ai été pardonnée à la confession, j’ai pu moi-même pardonner. Je ne dis pas que je pardonne tout le temps ! Grâce au fait que le Seigneur m’avait pardonné, là aussi je pouvais pardonner. Je connais beaucoup de gens qui ne savent pas pardonner. Et j’ai mal pour eux ! Dans mes prières je leur dis : « Vous seriez si légers si vous pardonniez ! »
Le Seigneur, je le connaissais déjà avant la réunion de prière à Charleroi, mais je l’avais un peu oublié. Maintenant je suis contente de l’avoir rencontré. Je ne dis pas que la vie est devenue facile, mais j’ai compris beaucoup de choses et quand on a le Seigneur dans sa vie, on est heureux, on n’est plus tout seul. C’est surtout ça !
Ce qui m’aide beaucoup c’est que le Seigneur est vivant. Il m’aide toujours. Il est près de moi. Bien-sûr, il est pour tout le monde, il sait se donner à tous ! Il ne demande que ça !
Dans le passé, on a été malheureux, mais peut-être qu’il a fallu passer par là pour être ce qu’on est aujourd’hui. Si j’avais eu une belle vie, si j’avais tout eu, peut-être que je n’aurais pas ce que j’ai aujourd’hui. Il a fallu que je passe par tout ça ! Et ensuite pour te remettre sur le bon chemin, il faut que tu rencontres quelqu’un qui t’y mette sur le bon chemin. J’ai eu cette chance-là ! Ou alors parfois tu restes toujours sur le mauvais chemin. Je pense à la vie de saint Augustin. Il s’est beaucoup amusé et puis après il est devenu un saint.
Un jour, avant une réunion de prière charismatique à Beaumont, Brigitte est venue vers moi, quand j’étais encore dans la voiture, et elle m’a dit : « Eliane, comme tu aimes le Seigneur ! » Or on se s’était plus vue depuis des années, longtemps avant ma conversion et la sienne! Je lui ai dit : « Pourquoi ? Comment le sais-tu ? » Elle me répondit : « Je sens l’amour que tu as pour le Seigneur ! » Je t’assure que j’ai été étonnée ! Pendant la prière, j’ai compris qu’elle avait l’Esprit de Dieu en elle ! Elle est envoyée… J’ai alors compris que l’amour de Dieu peut transparaitre dans les autres.
Quand j’étais jeune, Je voulais être religieuse.
Quand j’étais au home, j’allais à des retraites, par exemple. La sœur ne m’a jamais poussée à la vie religieuse ; elle me disait : « quand tu rencontreras quelqu’un, tu verras… ». Quelque part elle a eu raison car quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, là, comme j’étais dans un home et qu’on n’était pas fort aimé, je me suis sentie aimée par lui et l’on s’est marié. Mais je pense que si la religieuse m’avait poussée vers la vie religieuse, j’y serais allée, car j’ai toujours eu un regret. Ca m’a toujours suivi. Quand j’étais petite, on a toujours eu beaucoup de problèmes dans ma famille, et j’avais dit : « Seigneur, si tu me sors de là, je t’offre ma vie. » Il m’a sorti d’un pas très difficile quand nous sommes entrés au home mais je n’ai pas fait ce que j’avais promis. Quand j’ai revu ma belle-mère longtemps plus tard, elle m’a dit : « J’avais toujours cru que vous auriez été une nonette ! » A cette époque ; quand j’étais enfant, j’étais un peu comme maintenant, j’aimais le Seigneur.
Et puis il y a eu la vie ! C’est comme les jeunes maintenant. On ne vit pas avec le Seigneur même si on est marié chrétiennement. Maintenant avec le temps je me dis que je n’étais peut être pas faite pour me marier. Bon j’ai mes enfants, je les aime très fort, mais je me dis que ma vie ce n’était pas ça ! Je suis née sous une mauvaise étoile et j’ai toujours pensé que je ne m’en sortirais pas. Or je me suis toujours sortie de choses très difficiles. On a revendu deux fois ma maison. Le Seigneur m’a beaucoup comblée. J’ai beaucoup de grâces. Je dois beaucoup le remercier. C’est pourquoi j’accepte de témoigner aujourd’hui.
Grâce au Seigneur j’ai su arrêter de fumer. Voilà comment.
J’ai une petite fille qui est née fort avant terme et il me semblait que je n’aurais jamais la garde de la petite si je continuais à fumer car elle était fragile et sa maman ne voudrait pas qu’elle respire l’odeur de la fumée de ma maison. Je m’étais dit dans ma tête : je vais arrêter de fumer. J’avais déjà essayé plusieurs fois mais je n’y arrivais pas. Alors j’ai eu l’idée de cacher ma cigarette derrière le Sacré-Cœur dans ma chambre. Chaque fois que j’y allais, -et j’y allais souvent car j’avais besoin de ma cigarette-, je disais au Seigneur : « Non, Seigneur, je ne fume pas, je te fais plaisir, je ne fume pas, … » Mais je n’y arrivais pas. Ma dernière cigarette, ce fut un moment spécial, (car la cigarette c’était important pour moi), je dis au Seigneur : « Cette fois c’est la dernière, tu vas m’aider ! » Et il s’est passé quelque chose, comme si le Seigneur entrait en moi ! Et maintenant je ne fume plus. Ça fait deux ans et demi que je ne fume plus !
Pour moi, l’Eglise a toujours été ma famille.
J’y ai rencontré Marie-Louise. C’est une dame que j’ai prise en amitié comme une grand-mère puisque je n’ai jamais connu mes grands-mères. Le jour où j’ai appris qu’elle était décédée, justement il y avait une réunion paroissiale et on avait prié pour Marie-Louise, et j’ai commencé à pleurer, car là j’avais perdu quelqu’un de fort cher à mon cœur. C’était une grande dame ! Pour moi, l’Eglise, c’est ma famille.
Et puis il y a Thérèse. Pour moi, c’est une sainte ! Je n’ai jamais vu Thérèse en colère. Je n’ai jamais vu Thérèse élever le ton. C’est rare, hein ? Elle est un exemple !
Il y a maintenant beaucoup moins de gens à l’église, l’Eglise est beaucoup plus petite, mais je crois que c’est plus vrai. J’y sens l’amour. Le dimanche je vais à la messe, j’y vais pour le Christ mais j’y vais aussi pour voir mes frères et sœurs de l’Eglise. Le Seigneur l’a quand-même dit : « Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. »
J’ai reçu une statue de la sainte Vierge qui appartenait à Marie-Louise. Et je pense à elle en la regardant. Avant j’avais sa photo mais ça me faisait trop mal. J’ai retiré la photo. Maintenant quand je vois la statue, je vois Marie-Louise, heureuse au paradis !
Lourdes.
Un jour, j’ai eu l’occasion d’aller à Lourdes parce qu’une amie, Mireille, avait gagné un voyage avec « Les amis de Lourdes » et elle me donnait son billet, mais je ne me sentais pas la permission d’y aller car je ne faisais pas partie de la famille des « Amis de Lourdes » J’ai demandé à monsieur l’abbé Moreau ce qu’il en pensait. Il m’a retourné la question. Je lui ai dit que Mireille faisant partie de la famille de l’Eglise, il me semblait que j’avais le droit d’y aller à sa place. Il m’a répondu que si je le prenais comme ça, je pouvais y aller. Et donc, grâce à Lourdes, j’ai compris que la famille chrétienne était encore beaucoup plus grande que je le pensais.
Avant Lourdes, je ne connaissais pas bien la Vierge Marie. J’ai appris à la connaitre grâce à Mireille. Avant je ne la connaissais que comme maman de Jésus et je ne lui demandais jamais de grâces. C’est grâce à Mireille qui m’a donné beaucoup de documentations sur Marie que tout doucement j’ai appris à mieux connaitre Marie, qu’elle avait un cœur d’or et qu’on pouvait lui parler comme à une maman. Mais quand je suis allée à Lourdes je ne savais pas ça. Si j’ai encore l’occasion d’aller à Lourdes, j’irai avec un autre cœur.
A Lourdes j’y suis allée avec mon copain,
…mais je dois dire que je n’ai pas ressenti les choses comme si j’y étais allée toute seule. Je ne peux pas le certifier, mais je pense que j’ai été aidée à quitter mon copain. J’ai compris qu’il n’était pas heureux, il rouspétait tout le temps, moi, je n’étais pas heureuse non plus, or le Seigneur ne demande qu’une chose, c’est que les gens soient heureux. Si on n’est pas heureux avec quelqu’un (qui n’est même pas son mari), il ne faut pas rester avec lui pour être malheureux. Tout le monde me disait : « Il vaut mieux être seule que mal accompagnée », mais je me voyais partie pour toute la vie avec ce monsieur-là. Mais le Seigneur le voyait autrement. J’ai dit à mon copain : « Il est temps de s’arrêter un moment et de voir ce qu’on fait de nos vies. » Je voyais que je ne le rendais pas heureux alors qu’il y avait tant de gens à aider dans la paroisse et depuis que j’étais avec lui, je ne savais plus m’absenter. D’avoir eu le courage de dire à cette personne que c’était fini, c’est peut-être une grâce de Lourdes. Et maintenant, grâce à ça, je m’occupe du catéchisme, j’essaie de faire tout ce que je peux pour la chorale, …. C’est surtout pour le Seigneur que je le fais. Le Seigneur a pris une très grande place dans ma vie et je ne saurais plus vivre sans lui.
Quand on fait entrer Jésus dans notre vie, on ne sait plus le faire partir.
Moi je ne saurais plus vivre sans le Christ. Il a tellement pris une place importante ! Lui s’est mis aussi dans ma vie. Si tous les gens pouvaient croire que Jésus est tellement vivant aujourd’hui, comme le monde serait beau ! Parce que le monde, il va mal ! Mais il va mal aussi parce qu’on s’éloigne de plus en plus de Jésus. A cause du manque d’amour ! L’argent a tellement pris un pouvoir ! Ce qui est gratuit n’est jamais accepté. Quand on achète quelque chose, il est à nous. Mais l’amour, comme il est gratuit, ça n’intéresse pas ! Mais je sais que l’amour de Dieu est immense.
Je n’arrive pas à témoigner auprès de mes enfants. Je parle de ma foi, ils comprennent que l’Eglise c’est ma famille aussi. Ils ne se moquent plus de moi. Je suis comblée par la foi que le Seigneur m’a donnée.
Les sept semaines du Renouveau Charismatique.
Quand il y avait eu les 7 semaines, Mathilde m’y avait invitée avec mon mari qui venait de revenir à la maison. Elle me disait : « Viens ! ça te fera du bien et à ton mari aussi ». On y est allé trois fois, mais ça n’a pas été. Je n’ai rien ressenti. On attendait peut-être quelque chose trop vite et on n’a rien eu. Il y a un temps pour tout. Moi, c’est à Charleroi que Jésus est vraiment entré dans ma vie et maintenant il est toujours près de moi.
03 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. 04 Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. https://www.aelf.org/bible/2Co/1
Frères, … Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, car vous aussi, vous avez un corps. Que le mariage soit honoré de tous, que l’union conjugale ne soit pas profanée, car les débauchés et les adultères seront jugés par Dieu. (…) Le Seigneur est mon secours, je n’ai rien à craindre ! Que pourrait me faire un homme ?https://www.aelf.org/2025-02-07/romain/messe
TEMOIGNONS TANT QUE C’EST POSSIBLE. En terre d’islam, c’est souvent passible de persécution, voire de mort.
Et si on priait avec la fraternité NDML …
ANNEXE.
Pape François: «La famille est le premier lieu où l’on apprend à aimer»
N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ Laisse-toi regarder car il t’aime (bis).
1.Il a posé sur moi son regard, un regard plein de tendresse Il a posé sur moi son regard, un regard long de promesses.
2. Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens et suis-moi « . Il a posé sur moi son regard, et m’a dit : » viens, ne crains pas « .
3. Il a posé sur moi son regard, et ses yeux en disaient long Il a posé sur moi son regard, c’était celui du pardon.
4. Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il pleurait Il a posé sur moi son regard, alors j’ai vu qu’Il m’aimait.
Tellement de fois Tu m’as tendu la main Mais j’ai tourné le dos Parce que je ne pensais pas que tu avais ce dont j’avais besoin Et maintenant tu es tout Tu es tout pour moi Et je ne peux pas être sans toi, Dieu Tu es tout Et je veux dire merci J’étais perdu et tu m’as trouvé j’étais mort à l’intérieur Et tu m’as insufflé Et tu as donné vie à ces os je veux te dire merci Merci de m’avoir sauvé Merci de m’aimer inconditionnellement, Dieu Tu es resté les bras ouverts Mais je me suis enfui Parce que j’avais peur de la douleur qui venait avec la confiance Mais je suis revenu en courant Dans ton étreinte Parce que je savais que tu serais toujours là Tu ne me quitterais jamais, Dieu Et je veux dire merci