ATD Quart Monde – créé par les pauvres encadrés par l’abbé Joseph Wrezinski.
Né de parents immigrés, Wresinski a grandi dans la pauvreté et a connu l’exclusion sociale. Il a posé tout au long de sa vie des jalons majeurs dans la lutte contre les pires formes de pauvreté, en collaboration avec les plus pauvres eux-mêmes et d’autres partenaires. Il a également élaboré un projet de civilisation sans exclusion basé sur ses travaux dans le domaine de l’activité humaine, une civilisation avec les contributions de tous et pour le bénéfice de tous.
Wresinski fut ordonné prêtre catholique en 1946. En conséquence, en 1956, il fut chargé par son évêque d’être aumônier de 250 familles placées dans des logements d’urgence à Noisy-le-Grand . Un an plus tard, en réponse à cela, il fonde le Mouvement international ATD Quart Monde en 1957.
En 1957, Wresinski rencontra pour la première fois des familles privées de droits dans un grand camp d’hébergement d’urgence à Noisy-le-Grand, en France. Cela a catalysé son expérience personnelle en une vision d’un mouvement de personnes vainquant la pauvreté et façonnant une société sans exclusion.
Comme il le dira plus tard : « Les familles que j’ai rencontrées [à Noisy-le-Grand] m’ont fait penser à la pauvreté de ma mère. Les enfants là-bas auraient pu être mes frères, ma sœur ou moi, quarante ans plus tôt. »
Dès lors, Wresinski et ceux qui l’ont aidé ont consacré leur vie à faire reconnaître la dignité des personnes en situation de pauvreté, des personnes dont les connaissances et l’expérience apportent une contribution inestimable à la société.
Né dans un bidonville en France dans les années 50
ATD Quart Monde a fait évoluer la lutte contre la grande pauvreté en faisant reconnaître la misère comme une violation des droits de l’homme.
La lecture biblique du 12 mai 24 est une invitation à AIMER.
« Angoisse sur angoisse, c’est ce que j’ai vécu. J’ai commencé à avoir des problèmes de santé, la spondylarthrite. Il ne fallait plus que j’anticipe ce qui allait m’arriver… La confiance est entrée dans ma vie, la confiance physique… » Johannes de Habsbourg raconte son changement de cap.
« Quel chemin dois-je vivre pour que ma vie devienne lourde de sens, qu’elle devienne vraiment ce qu’elle est appelée à être ? J’avais cette idole du travail, j’avais cette idole de la frénésie de l’excitation qui m’obscurcissait l’esprit. J’ai découvert que cette excitation cachait un vide. … Quand t’es riche, t’as toujours peur qu’on te dépasse donc tu vis toujours dans un monde de concurrence au lieu d’être dans la louange, dans l’émerveillement pour les autres. »
La génération Y – WHY? – POURQUOI? Ce questionnement est une chance pour notre temps.
Beaucoup de gens vivent dans ce faux monde et ils ont une écharde en eux qui dit : « A quoi bon ? » Un jour ils arrivent au bout de cette consommation, une sorte de boulimie, et ils disent : « Je suis rempli et je suis vide. » (vidéo vers 23 minutes)
WHY ? Pourquoi Johannes de Habsbourg a-t-il changé de cap ?
« Tu es quand même issu d’une famille royale, impériale, t’étais assez brillant intellectuellement, qu’est-ce qui a fait que tu as changé de cap ? Tu pouvais avoir la fortune, et tu te retrouves dans une communauté de ploucs ! (rires) »
C’est Nicolas Buttet qui a fondé la Fraternité Eucharistein.
« On m’a parlé souvent du burn-out, syndrome d’épuisement professionnel, qui a fait son apparition dans les années 80 et qui a été un grand problème de santé sociale, puis on s’est rendu compte qu’il y avait une autre pathologie qui apparaissait maintenant, le bore out ou ennui au travail avec un état psychique dévasté par la situation de ne rien faire au travail, l’impression d’être inutile, … ensuite le brown out, épuisement dû au manque de sens donné au travail, son apparence absurde… » Voir la vidéo vers la 17ème minute.
« Depuis ses débuts, Eucharistein attire des jeunes « blessés de la vie ». Certains ont touché à la drogue, tel Aymeric, Belge de 17 ans. Arrivé à Epinassey l’an dernier à sa sortie de cure, il a décidé d’y rester en constatant « l’attention humaine et gratuite de Sœur Véronique ».
D’autres ont séjourné en psychiatrie, comme Julien, Valaisan de 19 ans, qui a fait un « burn-out » (crise d’épuisement) en troisième année d’école d’art et trouve ici « ce qu’aucun hôpital ne peut t’offrir : le sens spirituel et la confiance ». « On fait partie de la vie des frères et sœurs, tandis qu’à l’hôpital psychiatrique on fait partie du travail des salariés », distingue-t-il.
Sœur Esther, 37 ans, qui a travaillé comme éducatrice spécialisée avant de s’engager à Eucharistein, confirme :
« Dans les institutions, on est dans le faire, avec des protocoles à respecter. Ici on est dans l’être et c’est l’amour qui agit. On manque de lieux comme ça en Europe ! »
« Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle »
Le travail donne sens à notre vie. Confions-nous à Dieu, il nous conduira et nous trouverons le travail qui nous convient, travail qui sera source de joie.
Joie pour les cœurs qui cherchent Dieu. Recherchez Yahvé et sa force, sans relâche, poursuivez sa face. (ps 105)
Cherchez le Seigneur en simplicité de cœur, parce qu’il se laisse trouver. (Sg.1 :1-2)
L’évangélisation est source de VIE pour beaucoup de frères et sœurs qui soufrent, qui n’en peuvent plus de porter leurs fardeaux. Belle façon de leur venir en aide, s’ils acceptent le témoignage chrétien.
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau et moi je vous donnerai le repos. Prenez sur vous mon joug et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes. Oui mon joug est facile à porter et mon fardeau léger ». https://resurgences.be/14eme-dimanche-annee-a-5-juillet-2020-evangile-de-matthieu-11-25-30/
Un beau travail (qu’on ne choisit pas): être « le porte-plume de Dieu ».
Matthieu, Marc, Luc et Jean ont raconté la vie de Jésus en plusieurs livres regroupés dans la Bible. Mais ils n’ont pas pu tout dire de la vie de Jésus, évidemment. « Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu’on écrirait. » (Jn 21 : 25) https://topbible.topchretien.com/matthieu.1.17/S21/
Maria Valtorta n’a pas apporté un nouvel Évangile mais Jésus lui a montré comment il vivait il y a 2000 ans. De quoi nous édifier, vraiment.
Maria Valtorta a écrit « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé », à la demande de Jésus lui-même.
Clouée au lit depuis de nombreuses années déjà, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l’Évangile. Cette vie de Jésus, étonnante de précisions, a été lue, à titre personnel, par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans.
L’œuvre de Maria Valtorta, du surnaturel reconnu par l’Eglise.
Écrites sans aucunes ratures, les milliers de pages manuscrites relatent, dans un style vivant et passionnant, les actes et les enseignements de Jésus au cours de ses trois années de vie publique, et les scènes de son enfance.
Plus surprenant : l’authenticité des milliers de détails historiques, botaniques, archéologiques, astronomiques, … ont été vérifiés par différents travaux d’experts.
Maria Valtorta fut « le porte-plume de Dieu » selon l’expression de Don Massimo Cuofano. Comme tous les porte-parole, elle obtint ce privilège en laissant le Christ vivre en elle, selon la phrase de saint Paul[1].
Ce dépouillement d’elle-même est raconté par Maria Valtorta dans son Autobiographie. L’œuvre, qui inaugure le don des visions, se termine par cette phrase :
« Et à cause de mon sacrifice caché de chaque instant, ô Père, donne-moi des foules d’âmes à t’offrir. Fais-les avancer et moi aussi dans la lumière, dans ta lumière, et, lorsque pour nous le temps sera accompli, ouvre-nous, ô Dieu, les portes de ton royaume et les portes de ton cœur en sorte que pour l’éternité on se délecte de toi, tout puissant, éternel, et Dieu trine. » http://www.maria-valtorta.org/Travaux/Instructions.htm
Travaille comme si tu n’avais pas besoin d’argent Danse juste pour le plaisir et simplement Donne comme si personne ne te regardait Chante comme si personne, là, ne t’écoutait VIS COMME SI, ICI, C’ETAIT LE PARADIS SUR TERRE VIS COMME SI, ICI, C’ETAIT LE PARADIS Aime comme si personne ne t’avait blessé Marche comme si tu n’avais jamais trébuché Vois comme si plus rien ne pouvait t’aveugler Rêve comme si tes rêves tenaient éveillés Crie comme si ton cri pouvait tenir longtemps Bâtis comme l’oiseau le fait chaque printemps Grandis comme, seuls, savent le faire les enfants Ecris ces lettres que tu livreras au vent https://www.facebook.com/pg/Patrick-Richard-324548804595140/posts/?ref=page_internal