Au début du XXe siècle, un quart des habitants du Moyen-Orient étaient chrétiens. Ils sont à peine 3% aujourd’hui (10 millions de chrétiens pour 320 millions de musulmans). Une disparition programmée pour cette communauté pourtant présente depuis l’origine du christianisme. Ces dernières années, avec les guerres en Irak et en Syrie, leur situation s’est encore aggravée. Leurs jours sont en danger à moins qu’ils ne se convertissent à l’Islam. Exclus du débat politique, ils sont en danger permanent. Alors que faire ? Partir ou rester ?
Découvrez plusieurs initiatives pour soutenir les chrétiens d’Orient lors de leur Journée Internationale, ce dimanche.
La journée des chrétiens d’Orient est une journée internationale en communion de prière entre chrétiens des différentes Églises catholiques, organisée par l’Œuvre d’Orient, association française fondée en 1856. Cette journée de rencontre permet de mettre en lumière les différentes communautés orientales : syriaques, coptes, maronites, grec-melkites, gréco-catholiques, roumains et ukrainiens, éthiopiens, érythréens, syro-malabares, chaldéens, arméniens et latins rassemblés dans la prière.
Prière proposée pour la Journée internationale des chrétiens d’Orient :
« Seigneur, en cette journée des chrétiens d’Orient, tourne ton visage vers la jeunesse d’Orient et d’Occident. Que les jeunes grandissent en artisans de paix et en germes d’espérance pour leurs pays et pour le monde. Donne à la jeunesse des Églises d’Orient et d’Occident de t’invoquer d’une seule voix comme leur Père, et suscite en elle la soif de communion fraternelle. »
La présence chrétienne à Gaza remonte au IVe siècle après JC. Elle est aujourd’hui menacée de disparaître.
A Gaza, la fête de Pâques a été célébrée à la lueur des bougies, dans un paysage de désolation. Avant la guerre, la communauté chrétienne de l’enclave comptait un bon millier de fidèles, sur un total de 2,1 millions d’habitants. Mais tout est bouleversé depuis la sanglante attaque du Hamas sur Israël, le 7 octobre 2023, et l’impitoyable réponse qui s’est abattue sur la…
Comment de nos jours une religion peut-elle encore utiliser la force pour s’étendre?
Nous sommes tous frères et sœurs.
Des réfugiés et des sans-papiers, qu’ils soient chrétiens ou musulmans, ont besoin de soutien. Ils souffrent énormément dans nos pays d’accueil.
Bonne nouvelle pour ce Syrien. Après environ 7 ans, il a quitté notre pays et a trouvé refuge ailleurs. Il est régularisé, il a du travail et … son épouse l’a rejoint ! Quel bonheur!
Cantiques.
Notre Père » (Abba) en Araméen et la Passion du Christ
« C’est vraiment extraordinaire ce qu’un mourant peut nous laisser comme témoignage ».
Prêtre diocésain, curé de campagne, Jacques Pineault est ensuite devenu moine, avant de mener une vie de prière à l’abbaye Notre-Dame de Scourmont. Un parcours plutôt inhabituel qu’il commente avec bonhomie. Il le reconnaît volontiers : jamais, il n’avait envisagé de venir vivre en Belgique, même s’il affectionnait les chansons de Jacques Brel ! Une fois devenu moine, c’est grâce à dom Armand Veilleux qu’il est envoyé à l’abbaye Notre-Dame de Scourmont pour une durée indéterminée. Lorsqu’il a renouvelé sa stabilité pour cette abbaye, il reconnaît avoir eu « l’impression, l’intuition et la conviction » que sa place était en Belgique. « Cela fait partie des surprises de Dieu et aussi d’une certaine écoute, parce que la présence de Dieu, il faut la saisir par les yeux, par les oreilles, par le goûter, par le toucher. Et si on est attentif aux événements de notre vie, on va être appelé à se dépasser », nous confie-t-il.
Comment avez-vous choisi d’étudier la théologie ?
À un moment donné, j’avais le choix entre entrer à la faculté de Lettres ou à celle de Théologie. Alors j’ai fait des demandes aux deux facultés, me disant que j’irais à celle qui répondrait en premier. La faculté de Théologie a répondu la première, le lendemain celle de Lettres. Alors, je suis allé en théologie! Mais, j’avais toujours aimé écrire, les compositions, toutes ces choses-là. J’avais déjà écrit beaucoup de choses. J’ai continué à le faire, même si je n’étais pas en faculté de Lettres.
Quand vous êtes-vous orienté vers la prêtrise ?
J’ai pensé au sacerdoce à la fin de mon bac en théologie, mais j’avais une grande crainte. J’étais capable de lire et de composer. Mais, comme les prêtres doivent prêcher, j’avais peur de n’avoir rien à dire, parce que prêcher c’est autre chose que de parler ! Cela a été une grande crainte, jusqu’au jour où on m’a fait faire une première prédication. J’ai énormément apprécié cet exercice. Alors, j’ai fait ma maîtrise comme séminariste et j’ai commencé deux ans de stage en paroisse. Et puis, j’ai été vicaire quelques mois, et rapidement curé de plusieurs paroisses. Et dans l’exercice de ce ministère-là, j’étais heureux comme prêtre, avec les confrères et avec les paroissiens. J’aimais beaucoup les visiter, j’ai d’ailleurs pris du poids, parce que je multipliais les repas pour satisfaire tout le monde! Il fallait même que j’aille prendre des petits-déjeuners !
Quelles rencontres vous ont le plus marqué ?
L’accompagnement des mourants ou des personnes malades m’a amené à réfléchir à ma vie, parce que l’exercice du ministère, vivre des événements… tout cela a son importance. Mais quand vous rencontrez des personnes en fin de vie qui se demandent s’il y a quelque chose de l’autre côté, qui regardent ce qu’elles ont vécu et là où elles aboutissent, ce n’est pas sans nous faire réfléchir. J’avais commencé à les fréquenter, parce qu’on m’avait confié ce ministère-là auprès des personnes malades ou mourantes. Il y en a avec lesquelles c’était facile, mais d’autres avec lesquelles je craignais de ne pas être à la hauteur. C’est d’ailleurs souvent avec ces personnes-là que j’ai vécu les choses les plus profondes…
Pourquoi ?
Si vous rencontrez des gens qui ont toujours été pieux, c’est vite fait. Cela manque même parfois de profondeur. Mais quand vous allez chez des gens qui ont vécu toute leur vie sans religion ou sans conviction et que vous leur proposez de prier et qu’ils vous répondent : « Priez, je vais vous regarder faire ». Et puis, progressivement, ils se mettent à prier avec vous et se transforment. Ils vivent comme une espèce de conversion, une ouverture au spirituel, une ouverture à Dieu. La mort n’est plus une fin de tout, mais une occasion d’action de grâce. Ils s’en vont rencontrer Dieu.
Une telle conversion peut-elle arriver à tout âge ?
Je n’ai pas cheminé avec autant de jeunes en agonie qu’avec des personnes de 50 ans ou plus, atteintes par un cancer ou dont la carrière était bousculée. Il y a toutes sortes de gens, même ceux de la rue, les SDF, qui ont des choses à nous dire. C’est vraiment extraordinaire ce qu’un mourant peut nous laisser comme témoignage, simplement par sa parole ou par sa présence. Plusieurs personnes ont été pour moi des témoins. A un point tel que je me suis demandé ce qui est l’essentiel à vivre. Est-il nécessaire de courir partout, de faire toutes les célébrations, de participer à toutes les fêtes ou bien d’aller vraiment directement au plus important, c’est-à-dire la prière et la Parole de Dieu ? C’est à ce moment-là que j’ai mis mes pas dans ceux du Christ. Ces personnes-là m’ont pratiquement aidé à me convertir et à faire des choix qui correspondent au risque de mes convictions. J’ai reconnu la puissance de la prière et de la fréquentation de la Parole de Dieu auprès des mourants et dans ma vie.
Quand vous étiez enfant, votre grand-mère a-t-elle joué un rôle dans votre cheminement ?
Elle m’a éveillé spirituellement. Lorsque j’étais tout jeune, elle tricotait dans la pièce où on était. A un moment donné, un orage s’est déclaré avec des éclairs et le tonnerre. Elle s’est alors mise à prier le chapelet, après avoir allumé une chandelle qu’elle avait mise sur le bord de la fenêtre. Je lui ai alors demandé : « Grand-mère, qu’est-ce que tu fais là ? » Elle m’a répondu : « Je prie le bon Dieu ». Et moi je suis resté avec « bon Dieu ». C’est une question qu’on peut porter toute sa vie… Qu’est-ce que Dieu? Que suis-je pour Lui? Qu’est-il pour moi ? Un autre jour, je devais aller à la messe du dimanche avec elle, mais j’ai choisi de ne pas y aller. Comme on était au cœur du village et que l’église était tout proche, il y avait un haut-parleur qui transmettait la prédication du curé. Le sermon avait commencé par une citation de l’évangile de saint Matthieu : « A quoi sert à l’homme de gagner l’univers s’il vient à perdre son âme ? » Et moi, à l’époque, je ne savais ni lire ni écrire, mais cette parole-là m’est restée imprimée. J’avais l’impression d’avoir compris ce qu’elle signifiait. Avec ma capacité enfantine, j’avais saisi le sens de cette phrase-là.
Y a-t-il beaucoup de paroles divines qui vous ont marqué ?
Un jour, je me suis amusé à relever les paroles de Dieu qui m’avait interpellé, tout au long de ma vie. Il y a une série de paroles qui nous marquent, qui influencent notre comportement ou notre compréhension, et qui échelonnent notre vie spirituelle ou chrétienne.
Selon saint Jean, rien ne ferme plus le chemin de la croissance spirituelle que la satisfaction de soi…
Bien sûr, parce que si vous êtes satisfait de vous-même, vous n’avez besoin de personne, ni d’amis, ni de compagne ou de compagnon, ni encore moins de Dieu, puisque vous avez tout ce qu’il vous faut. Mais peut-être êtes-vous complètement aveugle sur l’authenticité de votre vie. J’ai eu affaire à des gens qui avaient eu une carrière brillante, intéressante… Mais tout ce qui leur restait le matin, c’était le soleil qui se lève. Quand tout vous échappe, vous en revenez à l’essentiel. Et si vous vous prenez pour le nombril du monde, tant pis ! Mais si vous vous découvrez enfant de Dieu, vous entrez alors dans l’éternité.
Connaître les apôtres aide-t-il à comprendre ce que signifie suivre Jésus ?
Les apôtres sont pour nous, pas toujours des modèles, mais des exemples, parce que notre foi, notre démarche chrétienne est toujours un peu hésitante et en quête… Le doute est proche de la foi, parce qu’il nous permet de réfléchir puis d’éclaircir notre foi. Et finalement, après avoir reçu l’Esprit saint, les apôtres sont devenus des missionnaires, des gens plus convaincus. Ils ont manifesté leur conviction en se livrant totalement au Christ et à l’ensemble de l’univers pour lui faire connaître la lumière. Nous devrions être comme eux : partir de rien et devenir de véritables missionnaires qui transmettent leur foi et la lumière qu’ils ont obtenues. Autrement, nous passons toute notre vie sous l’abat-jour !
Finalement, aviez-vous imaginé d’accéder à une fonction de prieur ?
Ce n’est pas du tout un choix personnel ! En fait, dans ma vie, j’ai été prieur dans deux monastères. Le prieur est le second de l’abbé. Pendant les absences de celui-ci, qui peuvent être de plusieurs mois par année, le prieur gère au mieux de sa connaissance. Cela peut quelquefois être préoccupant, parce que je continue à accomplir tout le travail que j’avais déjà à réaliser. Parfois, le supplément est impressionnant !
✐Propos recueillis par Angélique TASIAUX Retrouvez l’interview du père Jacques Pineault dans l’émission Pleins feux sur www.cathobel.be
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NB. Père Jacques Pineault célèbre la messe chez les sœurs Trappistines de Chimay tous les dimanches à 10h15. Ses homélies sont percutantes et en lien avec la vie des hommes et des femmes de notre temps.
J’apprécie beaucoup que, sur son compte facebook, père Jacques laisse de belles photos de ses followers. Elles nous font goûter à la Beauté, à la Grandeur de Dieu à travers ses œuvres.
Me vient à l’esprit cette éloge de la sagesse.
01 De nature, ils sont inconsistants, tous ces gens qui restent dans l’ignorance de Dieu : à partir de ce qu’ils voient de bon, ils n’ont pas été capables de connaître Celui qui est ; en examinant ses œuvres, ils n’ont pas reconnu l’Artisan. 02 Mais c’est le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles, la violence des flots, les luminaires du ciel gouvernant le cours du monde, qu’ils ont regardés comme des dieux.
03 S’ils les ont pris pour des dieux, sous le charme de leur beauté, ils doivent savoir combien le Maître de ces choses leur est supérieur, car l’Auteur même de la beauté est leur créateur. 04 Et si c’est leur puissance et leur efficacité qui les ont frappés, ils doivent comprendre, à partir de ces choses, combien est plus puissant Celui qui les a faites.
Es-tu mal informé concernant le christianisme? Mar Mari Emmanuel, ce rescapé d’une attaque terroriste peut t’éclairer.
Les apôtres ne savaient pas comment prier. Ils ont ECOUTE Jésus.
Cette prière de Jésus se transmet de génération en génération parmi les chrétiens et des personnes d’autres religiosités. Priée avec le coeur, elle fait des merveilles.
Ecoute Isaïe, VIIIe siècle av. J.-C.,Il prophétisait que le Messie rassasierait ceux qui ont SOIF D’ABSOLU !
01 Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau !
03 Prêtez l’oreille ! Venez à moi ! Écoutez, et vous vivrez.
05 Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. 06 J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Ecouter … c’est le maitre-mot , le sésame, pour entrer dans le Royaume de Dieu. « Ephata : ouvre-toi !«
Que prophétisait encore Isaïe ?
01 Un rameau sortira de la souche de Jessé, père de David, un rejeton jaillira de ses racines. 02 Sur lui reposera l’esprit du Seigneur : esprit de sagesse et de discernement, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte du Seigneur 03 – qui lui inspirera la crainte du Seigneur. Il ne jugera pas sur l’apparence ; il ne se prononcera pas sur des rumeurs. 04 Il jugera les petits avec justice ; avec droiture, il se prononcera en faveur des humbles du pays.
De qui pouvait parler Isaïe si ce n’est de Jésus ? Ecoutons bien l’Esprit Saint. C’est lui qui souffle en nous la vérité. « Viens, ESPRIT SAINT, Esprit de Lumière, Esprit de Vérité, Esprit d’Amour, Esprit de Paix, … »
01 L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, 02 proclamer une année de bienfaits accordée par le Seigneur, et un jour de vengeance pour notre Dieu, consoler tous ceux qui sont en deuil,
Jésus s’est reconnu dans le passage d’Isaïe qu’il a lu à la synagogue :
16 Il vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.17 On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :18 L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,19 annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.
Le ciel s’ouvre pour confirmer les annonces prophétiques.
Aujourd’hui, l’Eglise, fondée par Jésus, est gardienne de « la vigne » du Seigneur. Demandons la compréhension de cette parabole.
Ecouter, comme les prophètes, comme saint Joseph.
Les prophètes sont des personnes qui ECOUTENT. Joseph, époux de Marie et père nourricier de Jésus savait écouter. C’est ce qui sauva sa famille de la mort programmée par Hérode.
La Bible ne cite pas les paroles de saint Joseph et pourtant il est précieux dans le plan de Dieu. Apprenons de lui que l’écoute est vraiment essentielle dans le Royaume de Dieu.
Il y a une grosse pierre sur ton chemin ? Tourne-toi vers saint Joseph.
Nous le savons: « Celui qui croit en moi même mort vivra. » (Jésus)
Saint Joseph ne chome pas. Voici ce qui s’est passé à Cotignac.
Dans une émission télévisée, un éleveur de rennes en Laponie, vantait le haut degré d’écoute de ses animaux. Ils ne font pas de bruit afin d’entendre venir le danger et ils tendent constamment l’oreille.
Nous humains, devrions faire pareil pour éviter de tomber dans des pièges subtils du démon et découvrir ce que Dieu attend de nous afin de le réaliser au mieux.
« Ecoutez et vous vivrez, vous et vos enfants, vos amis, … »
Aujourd’hui, âgée de 71 ans, la chose que je regrette le plus, c’est le manque d’écoute des personnes avec qui je vis – ou avec qui j’ai vécu. Il m’est douloureux de relire mon passé. Je le faisà la lumière de l’Esprit Saint. Faute de pouvoir réparer, je demande pardon à toutes les personnes que j’ai blessées en les conseillant mal, par manque d’écoute de leurs problèmes et par manque de prière. Mieux vaut se taire et ne pas se lancer dans l’action que de parler et agir mal.
30 Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Jésus invite à venir à lui pour recevoir le repos et en même temps il nous invite à prendre sur nous son joug. Y a-t-il contradiction ? Veut-il nous charger ?
La vie nous fait porter beaucoup de souffrances, morales, physiques, spirituelles. Jésus nous invite à nous atteler à lui pour qu’ensemble, avec lui, nous portions nos fardeaux. Avec lui, c’est plus facile.
Parait qu’il y a un des deux bœufs qui démarre premier et entraine l’autre.
Pour nous aider les uns les autres, témoignons de notre foi !
Les bien-aimés de Dieu ne sont pas à l’abri des difficultés. Quid des martyrs pour la foi ?
Dieu permet de grandes souffrances mais elles sont porteuses de vie et donc de consolation. Ainsi Paul, après avoir souffert de la lapidation, a eu la joie de faire beaucoup de disciples.
Aujourd’hui, des chrétiens en terre musulmane souffrent de la persécution. Mais Dieu tire parti de leur vie donnée.
Parce que le Royaume de Dieu n’est pas encore établi sur terre, Dieu permet que des chrétiens soient tués. Il en préserve d’autres, comme Joseph Fadelle, comme Saul de Tarse pour qu’ils témoignent de la nécessité de suivre Jésus. Les épreuves sont nombreuses dans leur vie.
Une fois en terre étrangère, ils témoignent de leur conversion et ils stimulent la foi endormie des pays sécularisés. Cependant, où qu’ils soient, ils sont traqués par les fondamentalistes ennemis de la liberté de culte.
Parlant de Paul à Ananie, le Seigneur Jésus ressuscité lui demande de l’accueillir :
Comme Paul cité ci-dessus, Joseph Fadelle (né Mohammed al-Sayyid al-Moussawi) a connu la persécution, il a été abandonné comme mort. Parce que Dieu l’avait choisi et appelé à témoigner, il a survécu et a réussi à gagner un pays où existe (pour l’instant) la liberté religieuse. Aujourd’hui il témoigne.
Rappelons-nous les chrétiens Shahbaz Bhatti, Salman Taseer.
Ministre pakistanais des Minorités religieuses et l’un des principaux défenseurs de l’amendement de la loi contre le blasphème, Shahbaz Bhatti a été assassiné à Islamabad. Salman Taseer a été assassiné lui aussi car il défendait Asia Bibi. Dieu merci, Asia Bibi a été libérée …
Nous sommes devant un choix : Ou bien le Royaume de Dieu, ou bien le Califat.
Les Musulmans souhaitent étendre le califat qui a pour loi la charia. Horrible programme ! Réveillons-nous !
Plus de 1 000 personnes ont manifesté dans cette ville du nord de l’Allemagne, certaines brandissant des affiches appelant à l’imposition de la charia et à l’établissement d’un califat.
« Trop tard pour Merah, dit Hassem Chalghoumi. Trop tard pour les attaques sur des militaires à Londres et Paris. Trop tard face à la montée des intégristes. Trop tard pour nos jeunes Belges et Français qui apprennent à manier des armes et à se battre avec les intégristes en Syrie. Trop tard pour ceux qui se battent contre l’armée française au Mali,… On commence à en voir 100, 200, 300,… je crains que demain, ils soient 100.000 ! »