Aiguiser notre sens critique, notre sensibilité et CROIRE fermement que la PAIX est possible.
Quel est l’enfant qui aime voir son père partir à la guerre ? Qui souhaite la guerre ? Il est temps de retrouver notre cœur d’enfant. Demandons cette grâce à Notre-Seigneur.
Et toi, quelle est ta position?
Le pape mérite-t-il d’être critiqué alors qu’il appelle l’Ukraine à hisser le drapeau blanc face à Moscou ?
François invite l’Ukraine à réfléchir:
« ne pas avoir honte de négocier avant que la situation n’empire ». « Le plus fort est celui qui voit la situation, qui pense au peuple, et qui a le courage du drapeau blanc, c’est-à-dire de négocier ».« Le verbe « négocier » est un verbe courageux : Quand on voit qu’on est vaincu, que les choses vont mal, il faut avoir le courage de négocier ».
« Ça suffit de donner de l’argent à la guerre. Si on arrête la livraison d’armes, Zelinsky s’arrêtera à l’instant. Parce qu’il est porté à bout de bras par le contribuable. Il est possible d’échanger l’arrêt de livraisons contre un cessez-le-feu. »
Prenons conscience que si la guerre s’étend, nos hommes devront prendre les armes et … tuer leurs semblables. S’il refusent, ils seront lourdement pénalisés, eux et leurs familles. Vraiment, nous devons dire NON à la guerre !
Aiguisons notre sens critique face aux dérives de la médecine.
Tandis que Zelinsky est prêt à sacrifier les enfants de son peuple jusqu’au dernier, Jésus nous assure que :
Pas de temps à perdre : construisons un mur spirituel. Que Dieu éclaire chacun sur ses responsabilités.
Grandissons tous dans la foi et la paix viendra!
Ensemble, faisons face à l’ennemi spirituel, le diable. C’est lui qui attise la haine, qui pousse les dirigeants à faire la guerre, par gloriole, par amour de l’argent : la vente des armes, ça rapporte !
Prions avec un cœur d’enfant, prions AVEC nos enfants.
Que cessent les guerres en Ukraine, en Palestine, en Afrique, … et que les menaces de guerre s’éloignent de nos pays.
Seigneur, que nos enfants grandissent auprès de leurs parents, dans leur maison, leur pays.
Que nos dirigeants retrouvent un cœur d’enfant.
Que les prières pour la paix s’intensifient afin de former un véritable mur spirituel.
Que l’espérance nous fasse marcher.
Que notre foi en un avenir de PAIX grandisse.
Que nous débordions d’amour les uns pour les autres. …
Pour fortifier notre foi, méditons chaque jour la parole de Dieu.
Même les Musulmans sont invités à découvrir la Bible.
Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez y trouver la vie éternelle ; or, ce sont les Écritures qui me rendent témoignage, et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie ! La gloire, je ne la reçois pas des hommes ; d’ailleurs je vous connais : vous n’avez pas en vous l’amour de Dieu. Moi, je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; qu’un autre vienne en son propre nom, celui-là, vous le recevrez !
Prière répétitive que Jésus lui-même recommande. C’est un peu comme un mantra mais c’est le Nom de Jésus, c’est sa Miséricorde qui est invoquée. A prier sans modération.
Chapelet quotidien avec NDML
Quelques chants-prière.
ZAZ, quel message as-tu pour nous ?
ch4 ter Osons, avec discernement, l’accueil des pauvres de chez nous et des immigrés.
… oui mais une immigration massive précipitée ne va pas sans effractions et réactions violentes.
Nous nous rappelons les nombreux viols dont ont été victimes les malheureuses Allemandes la nuit du réveillon 2016 après l’arrivée d’un million de réfugiés. Certains étaient de vrais sauvages.Heureusement des associations comme Sant’Egidio favorisent une accueil réfléchi, positif pour tous.
Pour permettre un accueil humain des migrants ET un respect des autochtones par les migrants eux-mêmes, Sant’Egidio et autres associations ont mis au point un modus vivendi.
Les couloirs humanitaires permettent aux migrants (les plus fragiles) de ne pas tomber dans les mains des passeurs (qui parfois les abandonnent en pleine mer), et, sur place en Europe, Sant’Egidio invite les migrants au respect des valeurs de nos pays en les mettant en contact avec des Européens ouverts à l’accueil. Un bon accompagnement est plus que nécessaire pour éviter la radicalisation de certains musulmans.
AMNESTY INTERNATIONAL
« Nulle contrainte en religion. » (Coran)
Chers amis musulmans, rappelez à vos corréligionnaires ce verset capital. Un dialogue entre musulmans artisans de paix et les islamistes est vraiment nécessaire.
Nous accueillons les Musulmans comme tous les autres sans exiger leur conversion au christianisme. Les pays d’origine chrétienne permettent que coexistent les différentes religions chez eux.
Par contre, dans beaucoup de pays musulmans, on fait fi de cette sourate : « Nulle contrainte en religion » D’où beaucoup de souffrances, de guerres.
Ce sont les petits esprits qui créent les problèmes interculturels
A la mosquée Attadamoune de Molenbeek, l’abbé Jean-Pierre Dupont raconte sa mésaventure liée au manque de tolérance d’un non chrétien.
Comment de nos jours une religion peut-elle encore utiliser la force pour s’étendre?
PRIONS.
Prions pour les migrants afin qu’ils se sentent vraiment aimés de Dieu à travers l’accueil que nous leur réservons.
Qu’ils découvrent que Dieu aime les non-Musulmans. Qu’ils refusent un islam politique où l’on tue !! DIEU est GRAND d’AMOUR!
Qu’ils soient convaincus que jamais on ne peut utiliser la force pour contraindre une personne à changer de religion. Même le coran le dit mais … on trouve aussi des sourates qui disent le contraire. Allez savoir! Prions l’Esprit Saint d’éclairer chacun de nous.
Prions aussi pour les pays d’accueil. Que la foi grandisse car « si le sel s’affadit il est bon à être piétiné et jeté dehors. » Que l’amour grandisse dans les coeurs. Que chacun parvienne à se mettre à la place de l’autre: « Si c’était moi le réfugié?«
Qu’ils sachent que Jésus ATTIRE à Lui par son Amour.
Aimez-vous les uns les autres.
Les bons Juifs oeuvrent pour la PAIX
Enrico Macias est Juif et il est chantre de la Paix. Rien à voir avec les extrémistes du Moyen-Orient qui ne sont pas des religieux au bon sens du terme mais des idéologues dangereux.
La reli-gion relie les humains entre eux.
POSITIVONS
Il est des réfugiés très reconnaissants et des bénévoles super accueillants.
Cantiques/prières
TOUT HOMME (Théo Mertens) Tout homme est un frère, Tout homme est né de Dieu, fils de Dieu, Enfant d’un même Père, qui nous aime dans les cieux
1. Ouvre nos yeux aux mal aimés, aux méconnus, aux oubliés, fais-nous rejoindre dans les rues, la grande foule des exclus.
2. Ouvre nos cœurs aux démunis, aux rejetés des fonds de cours, fais-nous témoins dès aujourd’hui de ta tendresse et ton amour.
3.Ouvre nos bouches pour crier : un monde neuf est annoncé rends à chacun sa dignité D’homme debout et libéré.
Voir aussi : ch3 bis Les immigrés, nos frères et sœurs.
Qui n’a pas rêvé une fois dans sa vie de rencontrer des êtres célestes et de communiquer avec eux ? Quel chercheur de vérité n’a pas un jour voulu déchirer le voile qui sépare la terre de l’éternité, pénétrer dans le monde surnaturel, et peut-être – pourquoi pas ? – comme de nombreux enfants, rencontrer la Vierge et parler avec elle ?
À défaut de visions, c’est au prêtre mais aussi au poète écrivain qu’il faut oser demander cette entrée dans l’Infini, capable de fortifier la foi ou tout simplement de la donner.
Dans ce livre féérique où la qualité de l’écriture fait déjà toucher le divin, le rêve est assuré, la Vierge est là, toute proche, et le dialogue s’instaure, et son être se dévoile, et les idées subjuguent, et la lumière descend !
Aux passionnés de Dieu et aux amoureux de Marie, ce livre !
Après une carrière artistique à Paris, Michel-Marie Zanotti Sorkine est ordonné prêtre en 1999 à l’âge de 40 ans. Prédicateur, écrivain, auteur-compositeur et chanteur, ce prêtre aux innombrables talents met sa plume au service de sa mission. Il est l’auteur de plusieurs livres qui ont connu un grand succès, dont Croire aux éditions Artège et L’Amour aux éditions du Rocher. Format 11 x 17.8 cm. 192 pages. 9,50 €
Qui des familles de certains migrants restées au pays?
Sant’Egidio est une communauté chrétienne née en 1968, au lendemain du concile Vatican II, à l’initiative d’Andrea Riccardi, dans un lycée du centre de Rome. Au fil des années, elle est devenue un réseau de communautés qui, dans plus de 70 pays dans le monde, avec une attention particulière aux périphéries et aux personnes périphériques, rassemble des hommes et des femmes de tout âge et de toute condition, unis par un lien de fraternité dans l’écoute de l’évangile et dans l’engagement bénévole et gratuit pour les pauvres et pour la paix.
La prière, fondée sur l’écoute de la Parole de Dieu, est la première œuvre de la Communauté, elle en accompagne et en oriente la vie. A Rome et partout dans le monde, elle est aussi un lieu de rencontre et d’accueil pour qui veut écouter la Parole de Dieu et adresser ses invocations au Seigneur.
Les pauvres sont les frères et amis de la Communauté. L’amitié avec ceux qui sont dans le besoin – personnes âgées, sans domicile, migrants, personnes handicapées, détenus, enfants des rues et des périphéries – est un trait caractéristique de la vie de ceux qui participent à Sant’Egidio sur les différents continents.
La conscience que la guerre est la mère de toutes les pauvretés a conduit la Communauté à travailler pour la paix, en la protégeant là où elle est menacée, en aidant à la reconstruire, en facilitant le dialogue là où il s’est arrêté. Le travail pour la paix est vécu comme une responsabilité des chrétiens, et constitue une partie du service global à la réconciliation et à la fraternité qui se concrétise notamment dans l’engagement œcuménique et le dialogue interreligieux dans « l’esprit d’Assise ».
Les migrants, avec leur demande d’intégration, sont dans le cœur de la Communauté de Sant’Egidio depuis la fin des années soixante-dix, quand ils ont commencé, peu à peu, à être une présence significative dans la société italienne.
Le 22 mai 1979, des inconnus immolèrent un réfugié somalien, Ali Jama, alors qu’il dormait dans des cartons sur le parvis d’une église ancienne, près de place Navone, à Rome. Sa mort tragique nous incita à réfléchir sur la présence des premiers immigrés en Italie. La Communauté fit une veillée de prière et demanda à Jean-Paul II, devenu pontife depuis quelques mois seulement, de faire mémoire de cet homme, que personne ne connaissait. Le pape accueillit l’invitation et le 27 mai, pendant l’angélus, il fit mémoire d’Ali et avec lui de tous les migrants.
Depuis, nous en avons connu beaucoup, de nationalités et origines nombreuses et variées. Aujourd’hui nombre d’entre eux, à la fin d’un parcours d’intégration, sont des « nouveaux Italiens » et « nouveaux Européens ». Beaucoup d’entre eux ont obtenu la nationalité italienne et vivent, travaillent, veulent construire leur avenir dans le pays où ils résident, avec leur famille. Il en est de même dans d’autres pays européens où la Communauté est présente.
Tout commence avec l’accueil de ceux qui, fuyant leur pays, frappent à nos portes. Dans le même temps, il leur est proposé, dès le début, un parcours qui prévoit, comme première étape fondamentale, l’apprentissage de la langue. Ouvertes depuis 1982 – et fréquentées aujourd’hui par des milliers d’étudiants en Italie et dans d’autres pays européens, les écoles de langue et de culture sont la clé pour la compréhension et la participation à la vie sociale et relationnelle du pays dans lequel ils arrivent, et le mouvement Gens de Paix, dont font partie des personnes de toute les nationalités, contribue à créer un réseau qui protège de la tentation de la division et des replis identitaires. Assemblées, rencontres, conférences, dans les écoles notamment, permettent de favoriser l’inclusion sociale car elles rendent familiers, pour les citoyens des pays d’accueil, ceux qui viennent de loin. En ce sens, la Communauté de Sant’Egidio s’engage aussi avec force dans le combat contre toute forme de racisme et d’exclusion, en favorisant la rencontre entre des mondes différents destinés à vivre ensemble.
Après le naufrage de Lampedusa et les tragédies en mer à répétition, faisant des milliers de victimes à la recherche d’une espérance – et dans le sillage de ce qu’a souhaité à plusieurs reprises le pape François (« accueillir, protéger, promouvoir, intégrer ») – ont été lancés par la Communauté de sant’Egidio, en partenariat avec les Eglises protestantes italiennes, les couloirs humanitaires. A la fin de l’année 2007, ceux-ci avaient déjà permis l’arrivée en Italie de plus de mille réfugiés syriens en provenance du Liban, avec un projet entièrement autofinancé. Ainsi est né un modèle d’accueil et d’intégration, repris par la France et la Belgique, et considéré comme un exemple au niveau européen.
De nombreuses autres initiatives ont été prises par la Communauté de Sant’Egidio pour favoriser l’intégration, considérée, avec la construction de la paix, comme l’un des plus grands défis du monde globalisé.