Mère de Carlo Acutis : Carlo est un prophète pour cette génération.
« Madame, votre fils est spécial ». Cette
phrase, Antonia Acutis, la maman de Carlo l’a entendue d’innombrables fois. «
Spécial », mais pourquoi donc ? Carlo aurait-il un truc, une particularité qui
le distingue des autres ? Non, le secret de Carlo porte un nom : il s’appelle
Jésus. A partir du jour où il fait sa première communion, Jésus devient l’Ami
avec un grand A. Et cela définitivement. Carlo, passionné par les nouvelles
technologies sera un des premiers au début des années 2000 à utiliser Internet
pour transmettre le message de l’évangile. Carlo, c’est
le geek de Jésus, le cyber-apôtre, que le pape François veut donner aux
jeunes comme modèle. Mort à 15 ans d’une leucémie foudroyante, Carlo Acutis, ce
garçon très spécial, est béatifié à Assise le 10 octobre 2020.
Carlo utilisait internet pour faire connaitre les miracles eucharistiques.
En voici un, celui de Lanciano. « Miracle eucharistique : un double miracle qui laisse la science bouche bée »
INVITATION :
A partir du 26 septembre jusqu’au 22 novembre 2020, une
exposition se tiendra à l’église Saint-Pierre à Woluwé, sur les miracles
eucharistiques reconnus par l’Eglise. Le Seigneur a voulu au fil des
siècles donner des signes de sa Présence Réelle, afin que le monde croie.
Il est plus que jamais important de faire renaître et partager la foi en la
Présence Réelle, Jésus présent au milieu de nous.
L’exposition a été créée par Carlo Acutis, jeune italien amoureux de l’Eucharistie, décédé à l’âge de 15 ans en 2006, qui sera béatifié le 10 octobre prochain. Sa courte vie interpelle!
L’exposition sera accessible les samedis de 14 à 16h30, le
dimanche de 14h à 18h, et sur rendez-vous en semaine.
Prenez contact avec nous, pour les visites guidées, animations pour enfants, conférences. Venez avec vos enfants et petits enfants, les groupes de catéchisme, cours de religion… http://expoacutis.be/
Depuis qu’il a reçu la Première Communion, à
l’âge de 7 ans, il n’a jamais manqué le rendez-vous quotidien à la messe. Il
cherchait toujours, avant ou après la célébration eucharistique, à prier devant
le Tabernacle pour adorer le Seigneur réellement présent dans le Saint
Sacrement. La Vierge était sa grande confidente et il ne manquait jamais de
l’honorer en récitant chaque jour le chapelet. La modernité et l’actualité de
Carlo se conjuguaient parfaitement avec sa profonde vie eucharistique et avec
sa dévotion mariale, qui ont contribué à faire de lui ce garçon tout à fait
spécial, au point d’être admiré et aimé de tous.
Carlo était très doué pour tout ce qui se rapportait au monde de l’informatique si bien qu’autant ses amis que les adultes diplômés en informatique le considéraient comme un génie.
Tous étaient stupéfaits de sa capacité à comprendre les secrets que recèle l’informatique et qui ne sont normalement accessibles qu’à ceux qui ont fait des études universitaires.
Les intérêts de Carlo allaient de la programmation des ordinateurs au montage des films en passant par la création des sites internet, sans parler de la rédaction et de la mise en page, jusqu’à faire du volontariat pour les plus nécessiteux, avec les enfants et avec les personnes âgées.
En somme, ce jeune fidèle du diocèse de Milan était un mystère.
Avant de mourir, il fut capable d’offrir ses souffrances pour le Pape et pour
l’Église.
« Être toujours uni à Jésus, voilà mon programme de vie ». Par ces quelques mots, Carlo Acutis, ce garçon mort de leucémie, définit le trait distinctif de sa brève existence : vivre avec Jésus, pour Jésus, en Jésus. (…)
« Je suis content de mourir car j’ai vécu ma vie sans négliger une seule minute en choses qui ne plaisent pas à Dieu ».
À nous aussi, Carlo demande la même chose : il nous demande de raconter l’Évangile par notre vie, afin que chacun de nous puisse être un phare qui éclaire le chemin des autres. http://expoacutis.be/?page_id=57
CANTIQUES
Par toute la terre (Criez de joie, Christ est ressuscité) – Chant de l’Emmanuel
Purifie mon cœur.
Gesù, T’Adoriamo – Jesus, we Adore You – Canto di Adorazione – Medjugorje
Tu fais ta demeure en nous Seigneur – Communauté de l’Emmanuel
Fatima, ce nom résonne dans le cœur de beaucoup de chrétiens comme dans le cœur des musulmans.
C’est le nom d’une petite ville du Portugal où Marie est apparue en 1917 et c’est aussi le nom d’une des filles du prophète de l’islam, Mahomet.
Notre-Dame du Rosaire.
A Fatima, la Vierge Marie s’est présentée à trois enfants sous le vocable de « Notre-Dame du Rosaire ».
C’était pendant la guerre 14-18. Marie voulait inviter le peuple à se revenir à Dieu
comme moyen pour mettre fin à la guerre. Elle conseilla de réciter constamment le rosaire puis conclut :
« Tous doivent se convertir, demander pardon pour leurs péchés et ne plus blesser Notre Seigneur ».
Est-ce dans les gènes de vouloir envahir les autres pays ?
Ça n’en finit pas. Les français ont-ils enfin compris ? Ils ont progressivement abandonné leurs colonies, dans le sang et les larmes. Par contre, l’islam veut encore et toujours conquérir le monde entier, installer le califat. Après avoir conquis l’Andalousie, les Musulmans se mirent en route vers la France. A Lépante, en 1571, ils furent vaincus, grâce à la vive foi des chrétiens. Aujourd’hui, la foi est bien tiède.
Mais voici ce que dit le Seigneur Dieu: « Si vous ne tenez pas à moi, vous ne pouvez pas tenir. » (Isaïe 7 : 9)
De Lépante à aujourd’hui, le combat spirituel continue.
(frère Henri Donneaud) Le 7 octobre 1571, les galères chrétiennes défaisaient la flotte turque, à Lépante. Pour la première fois, l’avancée ottomane vers l’Occident était arrêtée. Le Pape Pie V avait placé cette croisade sous le patronage de Notre Dame du Rosaire, et c’est à Elle que fut aussitôt imputée cette victoire inattendue:
« Ce n’est pas notre puissance et nos armes, mais Notre Dame du Rosaire qui nous a valu la victoire ».
D’où son nom de Notre Dame de la Victoire. Deux ans plus tard, le 7 octobre 1573, Grégoire XIII instituait la fête liturgique de Notre Dame du Rosaire, afin de stimuler dans toute l’Église le culte du Rosaire.
Aujourd’hui, plus encore qu’au XVIe siècle, nous percevons combien les enjeux politiques sont complexes, imbriqués, mêlés de bien et de mal, et que les meilleures causes sont souvent gâtées par les égoïsmes les plus douteux et cyniques. Ainsi du mythe si dangereux d’une supériorité de l’Occident menacé par la sauvagerie des autres parties du monde restées primitives.
Si les chrétiens se tournent vers Marie, c’est qu’ils savent, dans la foi, qu’un tel combat et une telle victoire ne peuvent être que spirituels.
Ce vrai combat n’est pas entre des bons et des méchants, entre des pays, des cultures , des religions dont les unes seraient bons et les autres mauvais. Le combat véritable se déroule dans les cœurs, au plus intime de chaque homme.
Le Rosaire, par sa nature répétitive et litanique, est d’abord une prière de pauvreté, la prière des pauvres. Point n’est besoin d’être très avancé sur les chemins de la mystique, de la théologie ou de charismes particuliers pour la pratiquer. Des mots simples et faciles, inlassablement répétés car reçus de la Parole de Dieu elle-même : voilà son secret de pauvreté. Tout comme la victoire de la paix ne dépend pas de nos avions et de nos missiles sophistiqués, mais de la grâce du Christ agissant dans les cœurs, de même, l’efficacité de cette prière pour la paix n’est pas suspendue à des techniques ésotériques ou initiatiques réservées à quelques-uns, mais à l’humilité aussi démunie que confiante d’un cœur qui s’abandonne à la seule force de Dieu.
Medjugorje
Voilà la supplication des enfants de Dieu, incapables de gagner la paix par eux-mêmes, mais certains que Dieu entend la prière de ceux qui crient vers lui du fond de leur détresse : Sainte Marie, Mère de Dieu, prie pour nous pécheurs. http://toulouse.dominicains.com/homelie/notre-dame-de-la-victoire/
Aujourd’hui, il y a un autre type de lutte à mener!
Voir « Covid-19 – Arme de soumission au Nouvel Ordre Mondial de la peur »https://www.youtube.com/watch?v=jEjiru7JBmA&ab_channel=YvesBarraud
« Quand on dit aux gens qu’ils vont mourir, on voit les zones qui s’éteignent dans le cerveau. Ça s’appelle l’effet nocebo*. Et donc quand on dit ça tous les soirs à la télévision, ce qu’on fait : on crée l’effet nocebo qui est visible radiologiquement. » (Dr Raoult) *L’effet nocebo (du latin : « je nuirai »)
A Fatima, Marie attire des fidèles d’autres religions.
Fatima est la fille du prophète Mahomet. Il disait d’elle: « Tu es la plus noble des femmes du Paradis, après Marie ».
Une Musulmane confie :
Pour ma part, j’ai toujours eu de l’admiration pour Maryam(RA). Avant même qu’Allah me fasse l’honneur de guider mes pas, cette femme m’interpellait. Je me demandais comment un être humain pouvait engendrer autant d’admiration dans le monde. https://www.avenuedessoeurs.com/nos-modeles/les-eminentes-femmes-du-paradis/
Attention : Qui connait mieux Jésus et Marie que les chrétiens ?
Et pourtant d’autres religions veulent se l’approprier. Informons-nous donc auprès des priants chrétiens et comparons tout en invoquant l’Esprit Saint, le Saint Esprit de Dieu.
«Si vous fermez lez portes des églises, vous ouvrirez celles des prisons. »
Éphésiens 6 …11Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. 13C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.…
Sans plus tarder, prions avec le cœur.
Prière pour la Paix de Jean-Paul II :
« Entends ma voix, Seigneur, car c’est celle des victimes de toutes les guerres et de toutes les violences entre les individus et les peuples. Entends ma voix, car c’est celle de tous les enfants qui souffrent et qui souffriront tant que les gens mettront leur confiance dans les armes et la guerre. Entends ma voix, quand je te prie d’insuffler dans le coeur de tous les humains la sagesse de la paix, la force de la justice et la joie de l’amitié. Entends ma voix, car je te parle pour les multitudes qui, dans tous les pays et en tous les temps, ne veulent pas la guerre et sont prêtes à parcourir la route de la paix. Entends ma voix et donne-nous la force de savoir répondre toujours à la haine par l’amour, à l’injustice par un total engagement pour la justice, à la misère par le partage. Entends ma voix, ô Dieu, et accorde au monde, spécialement au Moyen-Orient, ta paix éternelle. Amen »
Prions tout simplement, à quelques-uns, dans nos maisons ou dans une église, une chapelle, dans la nature, dans les prisons, les hôpitaux, les cours de récréation à l’école, …
1. « Fratelli tutti »,[1] écrivait
saint François d’Assise, en s’adressant à tous ses frères et sœurs, pour leur proposer
un mode de vie au goût de l’Évangile. Parmi ses conseils, je voudrais en
souligner un par lequel il invite à un amour qui surmonte les barrières de la
géographie et de l’espace. Il déclare heureux celui qui aime l’autre « autant
lorsqu’il serait loin de lui comme quand il serait avec lui ».[2] En
quelques mots simples, il exprime l’essentiel d’une fraternité ouverte qui
permet de reconnaître, de valoriser et d’aimer chaque personne indépendamment
de la proximité physique, peu importe où elle est née ou habite.
2. Ce Saint de l’amour fraternel, de la
simplicité et de la joie, qui m’a inspiré l’écriture de l’encyclique Laudato si´,me
pousse cette fois-ci à consacrer la présente nouvelle encyclique à la
fraternité et à l’amitié sociale. En effet, saint François, qui se sentait
frère du soleil, de la mer et du vent, se savait encore davantage uni à ceux
qui étaient de sa propre chair. Il a semé la paix partout et côtoyé les
pauvres, les abandonnés, les malades, les marginalisés, les derniers.
6. Les pages qui suivent n’entendent pas résumer la doctrine
sur l’amour fraternel, mais se focaliser sur sa dimension universelle, sur son
ouverture à toutes les personnes. Je livre cette encyclique sociale comme une
modeste contribution à la réflexion pour que, face aux manières diverses et
actuelles d’éliminer ou d’ignorer les autres, nous soyons capables de réagir
par un nouveau rêve de fraternité et d’amitié sociale qui ne se cantonne pas
aux mots. Bien que je l’aie écrite à partir de mes convictions chrétiennes qui
me soutiennent et me nourrissent, j’ai essayé de le faire de telle sorte que la
réflexion s’ouvre au dialogue avec toutes les personnes de bonne volonté.
8. (…) Tous ensemble : Voici un très beau secret pour rêver et faire de notre vie une belle aventure. Personne ne peut affronter la vie de manière isolée.
[6]Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des voyageurs partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette même terre qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou de ses convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères.
[…] Nous avons besoin d’une communauté qui nous soutient, qui nous aide et dans laquelle nous nous aidons mutuellement à regarder de l’avant. Comme c’est important de rêver ensemble ! […] Seul, on risque d’avoir des mirages par lesquels tu vois ce qu’il n’y a pas ; les rêves se construisent ensemble ».[6]Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des voyageurs partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette même terre qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou de ses convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères.
59. Dans les traditions juives, le commandement d’aimer et de
prendre soin de l’autre semblait se limiter aux relations entre les membres
d’une même nation. Le précepte ancien « tu aimeras ton prochain comme toi-même
» (Lv 19, 18) était généralement censé se rapporter à des concitoyens.
Cependant, surtout dans le judaïsme qui s’est développé hors de la terre
d’Israël, les frontières se sont élargies. L’invitation à ne pas faire aux
autres ce que tu ne veux pas qu’ils te fassent est apparue (cf. Tb 4,
15). Le sage Hillel (Ier siècle av. J.-C.) disait à ce
sujet : « Voilà la loi et les prophètes ! Tout le reste n’est que commentaire
».[55] Le
désir d’imiter les attitudes divines a conduit à surmonter cette tendance à se
limiter aux plus proches : « La pitié de l’homme est pour son prochain, mais la
pitié du Seigneur est pour toute chair » (Si 18, 13).
60. Dans le Nouveau Testament, le précepte d’Hillel est exprimé positivement : « Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous-mêmes pour eux : voilà la Loi et les Prophètes » (Mt 7, 12).
Cet appel est universel ; il vise à inclure tous les hommes uniquement en raison de la condition humaine de chacun, car le Très-Haut, le Père qui est aux cieux, « fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons » (Mt 5, 45). En conséquence, il est demandé :
« Montrez-vous compatissants, comme votre Père est compatissant » (Lc 6, 36).
61. Il y a une raison pour élargir le cœur de
manière à ne pas exclure l’étranger, raison qu’on peut déjà trouver dans les
textes les plus anciens de la Bible. Cela est dû au souvenir constant
qu’entretient le peuple juif d’avoir vécu comme étranger en Égypte :
« Tu ne molesteras pas l’étranger ni ne l’opprimeras car vous-mêmes avez été étrangers dans le pays d’Egypte » (Ex 22, 20).
« Tu n’opprimeras pas l’étranger. Vous savez ce qu’éprouve l’étranger, car vous-mêmes avez été étrangers au pays d’Egypte » (Ex 23, 9).
« Si un étranger réside avec vous dans votre pays, vous ne le molesterez pas. L’étranger qui réside avec vous sera pour vous comme un compatriote et tu l’aimeras comme toi-même, car vous avez été étrangers au pays d’Egypte » (Lv 19, 33-34).
« Lorsque tu vendangeras ta vigne, tu n’iras rien y grappiller ensuite. Ce qui restera sera pour l’étranger, l’orphelin et la veuve. Et tu te souviendras que tu as été en servitude au pays d’Egypte » (Dt 24, 21-22).
Dans le Nouveau Testament, l’appel à l’amour fraternel retentit
avec force :
« Car une seule formule contient toute la Loi en sa plénitude : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Ga 5, 14).
« Celui qui aime son frère demeure dans la lumière et il n’y a en lui aucune occasion de chute. Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres » (1 Jn 2, 10-11).
« Nous savons, nous, que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort » (1 Jn 3, 14).
« Celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, ne saurait aimer le Dieu qu’il ne voit pas » (1 Jn 4, 20).
62. Même cette proposition d’amour pouvait être
mal comprise. Ce n’est pas pour rien que, face à la tentation des premières
communautés chrétiennes de créer des groupes fermés et isolés, saint Paul
exhortait ses disciples à vivre l’amour entre eux « et envers tous » (1 Th 3,
12), et que, dans la communauté de Jean, il était demandé de bien accueillir
les frères « bien que ce soient des étrangers » (3 Jn 5). Ce contexte
aide à comprendre la valeur de la parabole du bon Samaritain : il importe peu à
l’amour que le frère blessé soit d’ici ou de là-bas. En effet, c’est l’« amour
qui brise les chaînes qui nous isolent et qui nous séparent en jetant des ponts
; un amour qui nous permet de construire une grande famille où nous pouvons
tous nous sentir chez nous. […] Un amour qui a saveur de compassion et de
dignité ».[56]
L’abandonné
63. Jésus raconte qu’il y avait un homme blessé,
gisant sur le chemin, agressé. Plusieurs sont passés près de lui mais ont fui,
ils ne se sont pas arrêtés. C’étaient des personnes occupant des fonctions
importantes dans la société, qui n’avaient pas dans leur cœur l’amour du bien
commun. Elles n’ont pas été capables de perdre quelques minutes pour assister
le blessé ou du moins pour lui chercher de l’aide. Quelqu’un d’autre s’est arrêté,
lui a fait le don de la proximité, a personnellement pris soin de lui, a
également payé de sa poche et s’est occupé de lui. Surtout, il lui a donné
quelque chose que, dans ce monde angoissé, nous thésaurisons tant : il lui a
donné son temps. Il avait sûrement ses plans pour meubler cette journée selon
ses besoins, ses engagements ou ses souhaits. Mais il a pu tout mettre de côté
à la vue du blessé et, sans le connaître, il a trouvé qu’il méritait qu’il lui
consacre son temps.
64. À qui t’identifies-tu ? Cette question est crue, directe et capitale. Parmi ces personnes à qui ressembles-tu ? Nous devons reconnaître la tentation, qui nous guette, de nous désintéresser des autres, surtout des plus faibles. Disons-le, nous avons progressé sur plusieurs plans, mais nous sommes analphabètes en ce qui concerne l’accompagnement, l’assistance et le soutien aux plus fragiles et aux plus faibles de nos sociétés développées. Nous sommes habitués à regarder ailleurs, à passer outre, à ignorer les situations jusqu’à ce qu’elles nous touchent directement.
65. Une personne est agressée dans la rue et
beaucoup s’enfuient comme s’ils n’avaient rien vu. Souvent, des gens au volant
d’une voiture percutent quelqu’un et s’enfuient. L’unique chose qui leur
importe, c’est d’éviter des problèmes ; ils se soucient peu de ce qu’un être
humain meure par leur faute. Mais ce sont des signes d’un mode de vie répandu
qui se manifeste de diverses manières, peut-être plus subtiles. De plus, comme
nous sommes tous fort obnubilés par nos propres besoins, voir quelqu’un
souffrir nous dérange, nous perturbe, parce que nous ne voulons pas perdre
notre temps à régler les problèmes d’autrui. Ce sont les symptômes d’une
société qui est malade, parce qu’elle cherche à se construire en tournant le
dos à la souffrance.
66. Mieux vaut ne pas tomber dans cette misère.
Regardons le modèle du bon Samaritain. C’est un texte qui nous invite à raviver
notre vocation de citoyens de nos pays respectifs et du monde entier,
bâtisseurs d’un nouveau lien social. C’est un appel toujours nouveau, même s’il
se présente comme la loi fondamentale de notre être : que la société poursuive
la promotion du bien commun et, à partir de cet objectif, reconstruise
inlassablement son ordonnancement politique et social, son réseau de relations,
son projet humain. Par ses gestes, le bon Samaritain a montré que « notre
existence à tous est profondément liée à celle des autres : la vie n’est pas un
temps qui s’écoule, mais un temps de rencontre ».[57]
67. Cette parabole est une icône éclairante, capable de mettre en évidence l’option de base que nous devons faire pour reconstruire ce monde qui nous fait mal. Face à tant de douleur, face à tant de blessures, la seule issue, c’est d’être comme le bon Samaritain. Toute autre option conduit soit aux côtés des brigands, soit aux côtés de ceux qui passent outre sans compatir avec la souffrance du blessé gisant sur le chemin.
La parabole nous montre par quelles initiatives une communauté peut être reconstruite grâce à des hommes et des femmes qui s’approprient la fragilité des autres, qui ne permettent pas qu’émerge une société d’exclusion mais qui se font proches et relèvent puis réhabilitent celui qui est à terre, pour que le bien soit commun. En même temps, la parabole nous met en garde contre certaines attitudes de ceux qui ne se soucient que d’eux-mêmes et ne prennent pas en charge les exigences incontournables de la réalité humaine.
68. Le récit, disons-le clairement, n’offre pas un
enseignement sur des idéaux abstraits, ni ne peut être réduit à une leçon de
morale éthico-sociale. Il nous révèle une caractéristique essentielle de l’être
humain, si souvent oubliée : nous avons été créés pour une plénitude qui n’est
atteinte que dans l’amour. Vivre dans l’indifférence face à la douleur n’est
pas une option possible ; nous ne pouvons laisser personne rester ‘‘en marge de
la vie’’. Cela devrait nous indigner au point de nous faire perdre la sérénité,
parce que nous aurions été perturbés par la souffrance humaine. C’est cela la
dignité !
71. L’histoire du bon Samaritain se répète : il devient de plus en plus évident que la paresse sociale et politique transforme de nombreuses parties de notre monde en un chemin désolé, où les conflits internes et internationaux ainsi que le pillage des ressources créent beaucoup de marginalisés abandonnés au bord de la route. Dans sa parabole, Jésus ne propose pas d’alternatives comme : que serait-il arrivé à cet homme gravement blessé, ou à celui qui l’a aidé, si la colère ou la soif de vengeance avaient gagné leur cœur ? Il se fie au meilleur de l’esprit humain et l’encourage, par la parabole, à adhérer à l’amour, à réintégrer l’homme souffrant et à bâtir une société digne de ce nom.
PRIONS.
Que notre cœur s’ouvre à tous les peuples et nations de la terre, pour reconnaître le bien et la beauté que tu as semés en chacun pour forger des liens d’unité, des projets communs, des espérances partagées. Amen !
Prière chrétienne œcuménique
Notre Dieu, Trinité d’amour, par la force communautaire de ton intimité divine fais couler en nous le fleuve de l’amour fraternel. Donne-nous cet amour qui se reflétait dans les gestes de Jésus dans sa famille de Nazareth et dans la première communauté chrétienne. Accorde aux chrétiens que nous sommes de vivre l’Évangile et de pouvoir découvrir le Christ en tout être humain, pour le voir crucifié dans les angoisses des abandonnés et des oubliés de ce monde et ressuscité en tout frère qui se relève. Viens, Esprit Saint, montre-nous ta beauté reflétée en tous les peuples de la terre, pour découvrir qu’ils sont tous importants, que tous sont nécessaires, qu’ils sont des visages différents de la même humanité que tu aimes. Amen !
Cantiques-prières:
Prière de saint François d’Assise (cantique). Seigneur fais de moi https://www.youtube.com/watch?v=-A2-zx0Ms-E&ab_channel=V.AvienSetiawanTriatmojo
Prière chantée de St François d’assise, Seigneur fais de moi un instrument de ta paix https://www.youtube.com/watch?v=B4S-bfLv-kc&ab_channel=Paroleet%C3%89vangilechaquejour-Cathoglad
“Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” https://www.aelf.org/bible/mt/25
Fait de vie : Un jeune homme sans famille quitte l’hôpital. Il ne sait où aller. Il fait une demande pour entrer dans un centre d’accueil où il avoue qu’il a des problèmes avec la drogue et qu’il a besoin d’aide pour s’en sortir. On lui répond : « Dans tous les centres d’accueil, il y a des gens qui consomment, malgré l’interdiction. » Il ne sait que faire. Il est tellement fragile ! Consommer de la drogue, de l’alcool le renverrait très vite à l’hôpital. Vivre dans la rue lui ferait perdre ses droits aux services sociaux. Quelqu’un lui renseigne l’association Lazare …
L’association Lazare
Cette association réunit des personnes qui quittent la rue et des personnes solides. Ensemble elles font face aux grands défis de la société d’aujourd’hui. Lazare permet aux pauvres de prendre un nouveau départ dans la vie, et donne l’occasion à ceux qui ont des biens de ne pas se replier sur eux-mêmes, ce qui a fait dire au pape François : « Les pauvres sont nos passeports pour le ciel. » Ces maisons d’accueil sont à multiplier à l’infini. Le pape François a reçu des membres de cette association à Rome. Il existe d’autres formes d’habitat partagé qui visent le même but : prendre soin des plus fragiles. Ecoutons-les.
Je m’appelle Chabal – La voix est de Michaël Lonsdales.
La colocation entre jeunes
actifs et sans-abri : Lazare au JT France 2
Beaucoup de chrétiens aujourd’hui « ont cantonné leur foi dans la sphère de leur vie privée et dans quelques pratiques sacramentelles. » Et les pauvres là-dedans ? Quelle est leur place ? Le pape remet les pendules à l’heure !
« Il est urgent que chaque communauté chrétienne accepte de quitter les rives du lac pour sortir « au large », en « eaux profondes » auprès des pauvres, auprès des périphéries. »
« Une Église, une paroisse n’est pas un cercle clos de bien-pensants, une forteresse de catholiques impeccables (…) Elle sort à toute heure, elle appelle en quête de tous ceux qui n’ont pas été embauchés, elle manifeste la joie immense des hommes qui ont compris le sens de leur vie. »https://resurgences.be/25eme-dimanche-annee-a-20-septembre-2020-evangile-de-matthieu-20-1-16/
Visioconférence entre le Pape et les colocs Lazare
« Ouvre ton cœur et tu trouveras le soleil. »
Michaël Lonsdales fait l’éloge d’une personne qui a donné sa vie pour les pauvres: sœur Emmanuelle. « C’est nécessaire et c’est beau de faire connaitre la sainteté d’aujourd’hui. » Montrer l’exemple vaut mieux que mille discours.
Se mettre du côté des personnes fragilisées, des pauvres, c’est aller à contre-courant.
Vu le Covid, l’économie s’effondre et ruine des familles ! De courageux scientifiques font leur possible pour démontrer l’absurdité de certaines précautions prises lors de cette épidémie. Et des personnes sans diplôme aussi. Tous nous devrions lutter!
Je suis âgée, mais je continue à recevoir ma famille, car je préfère prendre le risque de mourir du Covid que de ne pas garder mes petits-enfants pendant que leurs parents vont travailler! Je prends soin de moi autrement ( plus que jamais, je veille à une bonne immunité, j’évite les lieux surpeuplés, … (Une grand-mère)
Pr. Toussaint : recadre Coralie Dubosc (la compagne d’Olivier Véran)
Les migrants, les refugiés, les sans-papiers sont aussi nos frères et sœurs, notre « passeport pour le ciel ».
Un accueil tout simple, c’est possible pour tout le monde et tellement précieux! Benja n’est pas un immigré! Il est presque de la famille! https://www.youtube.com/watch?v=BxJS5J8re2o&ab_channel=ballantbernadette
Paroles bibliques
Matthieu 25 : 31-46
34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
35 À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » https://www.aelf.org/bible/Jn/13
« Vous n’êtes plus des émigrés ni des gens de passage, vous êtes de la famille de Dieu. »
Vivre pour avoir sur
Terre ou donner pour gagner le Ciel ? (Pape François)
La vraie question est là. Prendre soin des pauvres est un devoir évangélique qui incombe à chaque chrétien, a rappelé le Pape. Aux yeux de Dieu, « ce qui compte n’est pas ce que l’on a mais ce que l’on donne ». Alors arrêtons de « chercher le superflu, mais le bien pour les autres et rien de précieux ne nous manquera ». Tout ce qui est investi dans l’amour demeure, le reste s’évanouit.
Le chrétien doit se demander : « Qu’est-ce qui compte pour moi dans la vie ? La richesse qui passe, dont le monde n’est jamais rassasié, ou la richesse de Dieu, qui donne la vie éternelle ? ». Après la messe, les 1 500 pauvres ont été invités par François à partager son repas. « Un avant-goût du banquet du Paradis ! », a promis le Pape pendant le bénédicité.
Exhortation du pape
Jean-Paul II à l’attention des jeunes. Source : ch3ter
Chers jeunes,
Vous triomphez du mal par le bien chaque fois
que, par amour pour le Christ et en suivant son exemple, vous vous libérez de
l’esclavage de ceux qui veulent AVOIR plus et non ETRE plus.
Quand vous savez être simples avec dignité, dans
un monde où le pouvoir se paye à n’importe quel prix ;
Quand vous êtes des cœurs purs au milieu de ce
qui se juge seulement en termes de sexe, d’apparence ou d’hypocrisie ;
Quand vous construisez la paix dans un monde de
violence et de guerre ;
Quand vous luttez pour la justice devant
l’exploitation de l’homme par l’homme ou d’une nation par une autre;
Quand avec une généreuse miséricorde, vous ne
recherchez pas la vengeance, mais en venez à aimer l’ennemi ;
Quand au
milieu de la douleur et des difficultés, vous ne perdez pas espoir et la
constance dans le bien, soutenus par le conseil et l’exemple du Christ et
l’amour de l’homme frère.
Alors, vous vous convertissez en transformateurs
efficaces et radicaux du monde et en constructeurs de la nouvelle civilisation
de l’amour, de la vérité, de la justice que le Christ apporte comme
message.
(L’icône de
Marie Bulat 22160 Callac de Bretagne)
source : ch3ter
« Le mystère du christ est la
petitesse. »
Homélie du pape là où vécut Padre Pio (voir à 1heure et 5 minutes) « Tous sont appelés à être des réservoirs d’amour pour les autres. »
Padre PIO lui-même avait ouvert un hôpital pour soigner les malades. Un saint a toujours souci des autres. Vidéo: KTO Visite du pape à San Giovanni Rotondo.
Edmond, cochon philosophe de foire et psy de comptoir, fait réfléchir, sourire ou pisser de rire (couches non fournies) ! Le défi de « La Page d’Edmond » est aussi de pratiquer l’humour « au détriment de personne » et de véhiculer un esprit bienveillant, optimiste et pacificateur. https://www.facebook.com/lapagededmond
EN CES TEMPS DE DISETTE BISOUCALINOPAPOUILLESQUE IMPOSÉE, FAITES DE LA RÉSISTANCE ET ENTRELACEZ-VOUS, ENTRELARDEZ-VOUS, ENTREMÊLEZ-VOUS, ET ENTREVIVEZ-VOUS COMME SI VOUS ÉTIEZ DES ÊTRES HUMAINS !
Comme le dit sans relâche le professeur Jean-François T. (Oups ! La censure me guette ! ) et bien d’autres médecins qui n’ont pas zappé ce qu’ils ont appris, vous exposer à vos frères et soeurs humains en cette phase où l’épidémie n’est plus létale, renforcera votre immunité naturelle !
Les Suédois y sont bien parvenus, pourquoi pas nous !
C’est pas en vivant sous cloche, badigeonné de gel hydroalcoolique et retranché derrière un préservatif bucco-nasal, qu’on construit sa résistance !
Notre immunité s’est précisément construite grâce aux milliards de virus et de bactéries avalés goulûment depuis notre cri primal (mmmmh, trop bon ! ). Depuis Cromagnon et depuis bien avant lui, l’homme (et la femme aussi hein ! ) se sont confrontés aux « intempéries de la vie » (le froid, les canicules, la faim, la soif, le vent, plein de bébêtes, y compris les microscopiques) pour devenir forts et survivre jusqu’à aujourd’hui.
On va quand même pas, après 7 millions d’années (l’âge de notre ancêtre, répondant au doux nom de « Sahelanthropus Tchadensis »), renoncer à notre pouvoir intérieur et croire que notre salut dépend de la potion tragique d’un milliardaire fou !
BISOUS ARÔME BACTERIUMCOVIDUM À TOUTES ET TOUS ! JEAN & EDMOND
Parmi les commentaires:
Point de vue personnel. Recherche du juste milieu.
Dès le début de la crise, l’attitude des « experts » ne m’a pas inspiré confiance. Ils savaient que le virus faisait des dégâts en Chine, et ils fermaient les yeux : chaque jour, à l’aéroport Charles de Gaule, des avions continuaient à apporter des objets bien inutiles en Europe. Par contre, les vivres n’arrivaient plus dans des pays où les gens mouraient de faim déjà avant l’épidémie. Ces mêmes experts voudraient nous faire la leçon ! Non ! Qu’ils commencent par nous montrer un bon exemple !
Pour ma part, j’évite les excès autant que possible : achats dans les petits commerces de proximité, promenades-découvertes de ma belle région plutôt que vacances au bout du monde, etc. Avec ceux qui ont la même optique, je conserve des contacts, en extérieur quand le temps le permet : Dieu merci, pendant les moments forts de l’épidémie, il faisait bon et nous pouvions nous rencontrer dehors sans problèmes, sans masques.
Je tire parti de la crise que nous vivons. Par exemple, quand j’ai le rhume, je renonce à une visite, par précaution. Avant la crise sanitaire, j’y prêtais moins attention. D’autre part, quand je soupçonne que quelqu’un porte le même masque depuis le début de l’épidémie (les masques sont des porteurs de saleté !), je lui demande de le jeter (dans une poubelle !) et d’en acheter de nouveaux.
VIGILANCE. Gare à l’effondrement sociétaire.
Le 23 septembre: « 1600 décès en France, 400 de cancers, 400 de maladies cardio-vasculaires … Sur ces sujets-là, que fait le ministre de la santé actuellement ? »
« 140 millions d’enfants passés sous le seuil de pauvreté »
Aujourd’hui, 6,8 milliards d’êtres humains ont accès à la Bible, partiellement ou intégralement. Il reste néanmoins 246 millions de personnes n’y ayant pas accès du tout. D’ici 2038, l’Alliance biblique universelle souhaite achever 1.200 nouveaux projets de traduction afin de toucher la quasi totalité de la population mondiale.
La Bible, best-seller indémodable, reste à ce jour le livre le plus vendu de tous les temps. Au total, donc 5,6 milliards d’êtres humains y ont accès dans son intégralité. Le texte complet a été traduit dans presque 700 langues (en comptant les 245 langues des signes différentes et le braille) et plus de 1.500 langues disposent d’une traduction du Nouveau Testament — ce qui permet de toucher 805 millions de personnes.
En outre, quelque 1.100 langues disposent d’une traduction d’un élément des Écritures tel qu’un évangile ou un psaume, touchant ainsi 411 millions de personnes. Il reste donc 246 millions de personnes n’ayant pas accès du tout à la Bible.
Près de 4.000 langues avec zéro traduction.
On compte en effet près de 4.000 langues (soit plus de la moitié de celles qui ont été recensées dans le monde) sans le moindre texte biblique traduit. Au total, plus de 600 millions d’êtres humains n’ont pas du tout accès à la Parole de Dieu ou disposent seulement de quelques fragments du texte sacré.
Il faut souligner que de grands progrès sont faits en la matière : de nombreux textes bibliques sont traduits en langue des signes, en braille, ainsi que dans des langues locales telles que le maban (langue nilo-saharienne) ou encore le blin (parlé en Érythrée).
En 2018, l’Alliance biblique universelle (ABU), un réseau mondial de sociétés bibliques actives dans plus de 200 pays, a permis des traductions dans 66 langues, dont 44 « primo-traductions ».
« Nous sommes en train de vivre un moment extraordinaire pour la traduction de la Bible : les associations bibliques et les donateurs s’associent plus efficacement que jamais auparavant et les évolutions technologiques créent des possibilités sans précédent », notait Alexander M. Schweitzer, directeur exécutif du ministère biblique de l’ABU, à l’occasion du rapport 2018 de l’institution.
Mais le compte ne suffit pas et face à cela, l’ABU s’est lancé un défi : d’ici 2038, mener à bien d’ici 1.200 nouveaux projets de traduction. De quoi permettre à quelque 600 millions de personnes, soit la quasi-totalité de l’humanité, d’avoir accès au moins en partie aux Écritures « dans la langue de leur cœur ». Si la tâche est immense, actuellement, 400 chantiers de traduction sont déjà en cours. Un sacré projet. ALETEIA. 21 11 2019
Pionnier de l’informatique, Ferdinand Poswick, Maredsous et la Bible.
Il s’appelle Ferdinand Poswick, et c’est un monsieur bien extraordinaire. Il est né voici quatre-vingts ans, cela fait plus de soixante ans qu’il est moine bénédictin, mais il est aussi un des pionniers de l’informatique dans le monde. Pionnier de l’informatique À Maredsous, son abbaye en Belgique, il a fondé un des premiers centres d’étude de la Bible par informatique. Et aujourd’hui il a fondé un musée de l’informatique, regarde avec passion, mais aussi avec critique l’invasion du numérique dans notre vie. Alors, retrouvons frère Ferdinand pour évoquer la Bible, l’informatique et l’irruption du numérique. https://www.ktotv.com/video/00195035/ferdinand-poswick-maredsous-et-la-bible
Le message biblique trace aussi son chemin à travers des dessins fantaisistes.
Coolus, membre de la Croix Glorieuse fait de superbes dessins qui illustrent la Parole de Dieu.
04 Les dons de la grâce sont variés, mais c’est le même Esprit. https://www.aelf.org/bible/1Co/12
Des films retracent le parcours biblique.
✥ « La Vie de Jésus » Film HQ en français sur le Christ, le Fils de Dieu ✥
Par l’action de l’Esprit Saint, la foi chrétienne se répand par toute la terre.
Est-ce faire du prosélytisme que d’inviter des personnes
à prêter attention au message de Jésus ?
Inviter des personnes à pardonner, est-ce faire du prosélytisme ? Inviter à rendre le bien pour le mal, à aimer son prochain comme soi-même, est-ce du prosélytisme?
« Devant un mal absolu, il faut répondre par un bien absolu » (Saint Jean-Paul II)
38 Vous avez appris qu’il a été dit : Œil pour œil, et dent pour dent.39 Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l’autre. https://www.aelf.org/bible/Mt/5
43 Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.44 Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent,45 afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. https://www.aelf.org/bible/Mt/5
Message de Gislaine Duboc: « Parce que je t’aime! je le/la hais .»
« Qui n’est pas contre vous est pour vous. » http://evangeli.net/evangile/jour/2020-09-28
L’APPEL AU PARDON EST ENSEIGNE A L’EGLISE. (Homélie)
Lectures du jour: https://www.aelf.org/2020-09-13/romain/messe
Le discours
sur la vie éternelle que la liturgie nous a donné d’écouter ces derniers
dimanches s’achève sur l’appel au pardon : pardonner jusqu’au bout,
pardonner jusqu’à une vraie folie du cœur.
Le pardon ne
nie pas le tort subi, mais reconnait que l’homme, créé à l’image et à la
ressemblance de Dieu, est plus grand que le mal dont il est coupable.
L’apôtre Pierre
demande à son maître Jésus : « Seigneur, quand mon frère commettra
des fautes contre moi, combien de fois dois-je pardonner ? Jusqu’à 7
fois ? » Autrement
dit, Pierre aborde le problème du péché et du pardon dans une perspective
purement quantifiable : jusqu’à combien de
fois est-ce concevable ? Au-delà de 7 fois, la personne sera-t-elle
alors considérée comme irréformable, quelqu’un à éviter ?
Il est vrai
que dans toute relation, nous pouvons arriver à un moment critique de véritable
saturation. On est tenté de penser « trop, c’est trop », on n’en
peut plus et on risque bien de jeter l’éponge. Ceci se vit dans la vie
conjugale, amicale ou encore communautaire y compris religieuse. Voilà
comment nous envisageons la question du pardon comme un problème de limites. Or
précisément, à ce sujet, Jésus dit à Pierre : « Je ne te dis
pas jusqu’à 7 fois mais jusqu’à 70 fois 7 fois. »
La réponse de Jésus à Pierre vient en exact contrepoint de celle de Lamech dans l’Ancien Testament qui encourageait la vengeance, donc la violence. Or la violence engendre l’incommunication, le chaos, la mort. A
l’inexorable montée de la violence, Jésus oppose dan s la montée parallèle et
antagoniste du pardon qui rend possible la vie. L’homme ne peut pas vivre sans
pardon. Nous avons tous besoin du pardon.
Que deviendrions-nous sans la miséricorde divine qui ne se lasse pas de pardonner et qui nous donne toujours l’occasion de recommencer à nouveau ? Que
deviendrions-nous sans l’aide de tant de visages silencieux qui, de mille
manières, nous tendent la main et qui, par des gestes très concrets, nous
redonne l’espérance et nous aident à recommencer ?
Quiconque a
fait l’expérience de la joie, de la paix et de la liberté intérieure qui vient
du fait d’être pardonné peut s’ouvrir à la possibilité de pardonner à son tour.
Pécheurs
pardonnés, nous sommes appelés à devenir missionnaires de la miséricorde. Le
pardon est la seule arme que nous possédons, la seule arme contre l’absurde.
Chacun a vécu des choses terribles. Le pardon n’est pas oubli du passé, il est
le risque d’un avenir autre que celui imposé par le
passé ou la mémoire. Mais plus encore, le pardon libère les cœurs et crée une
vie nouvelle. Celui qui pardonne avec sincérité se libère. Il est
épanoui.
Le pape rencontre l’homme qui a tenté l’assassiner.
Nous pouvons évoquer ici le geste posé par le Pape Jean-Paul II,en 1981, à
l’endroit de celui qui voulait l’assassiner. En effet, le Saint Père était
victime d’un attentat le 13 mai 1981 sur la place Saint Pierre de Rome. Un
jeune turc, tireur d’élite, avait tiré sur le Pape. Trois mois après son
hospitalisation, le Chef de l’Église catholique Romaine n’avait pas hésité à
aller rendre visite à Ali Agca dans sa cellule. Le Pape a toujours montré
l’exemple du pardon à la manière du Christ. « Devant un mal absolu, il faut
répondre par un bien absolu » disait Jean-Paul II.
Mes frères, mes sœurs, nous savons qu’il y a des pardons qui ne sont pas
faciles à vivre. Il en a d’autres qui sont humainement impossibles à
donner.
Pardonner, est un Don. Oui, un Don à toujours demander à Dieu. C’est une
participation à la vie divine. Car c’est Dieu qui est la source de
miséricorde.
Ce matin, nous sommes tous appelés à contempler le visage de la miséricorde qu’est Jésus. Ouvrons lui notre cœur afin que nous puissions pardonner sans compter, sans cesse. Amen! (Abbé Apollinaire Bounkazi – Salles (Chimay)
PARLER EN
BIEN DES PERSONNES. (Anselm Grün : Croire ou vivre plus)
Nous savons que chez bien des gens la louange est souvent plus efficace que les critiques incessantes : quand on doit éduquer des enfants, on sait quel peut être l’effet d’un compliment. Si, dans la louange, je dis du bien d’autrui, je l’éveille à la vie, j’attire le bien en lui. Certes la louange n’oublie pas qu’en l’autre existent aussi des aspects négatifs qui en aucun cas ne doivent être loués, mais la louange dit le bien en toute conscience et, en l’exprimant, l’amène à la vie. Car dans ce cas précis, ce qui est prononcé devient efficace. Dire, c’est actualiser quelque chose de l’idée exprimée, qui devient ainsi plus claire pour celui qui écoute et qui, par-là, peut agir sur lui. (…) dans chaque personne il y a toujours quelque chose que je peux louer, en dépit de ses faiblesses et de ses erreurs. En passant par-dessus ses côtés négatifs pour exprimer ce qui est positif en elle, je donne mon interprétation de sa personnalité. Cela ne changera rien à sa nature, mais en essayant de la voir autrement, je me transforme au moins moi-même. …. Je loue l’autre tout empêtré qu’il soit dans ses fautes, … Je n’attends pas de lui qu’il se conforme à cette utopie de l’homme parfait.
(Croire ou vivre plus Mediaspaul Editions 2004 Page 79-80)
« Je peux faire abstraction de ma
personne et regarder Dieu que je loue à cause de sa « justice équitable »
(…) Je ne cours plus après la solution utopique, comme si je devais régler moi-même
tous mes problèmes. En effet, dans la louange, je ne dénoue pas le problème,
mais je me défais de lui : il n’a plus prise sur moi, si bien que quelque
chose a changé. Parce que je ne suis plus obsédé par la disparition de mes difficultés,
quelque chose s’est transformé en moi : je peux à présent vivre
sereinement en leur compagnie. » (Anselm Grün : Croire ou vivre plus. Page 73)
Pardonne puisque tu es pardonné (Homélie) Sur blog RESURGENCES :
21 septembre, on fête saint Matthieu. A cette occasion, je vous invite à l’écouter.
Saint Matthieu sème la bonne parole. Chacun est libre d’écouter ou de ne pas écouter. Tout chrétien est appelé à écouter et puis à semer la bonne parole de l’Évangile.
Matthieu raconte l’appel des apôtres qui le suivront et construiront
l’Eglise.
18 Comme il marchait le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient leurs filets dans la mer ; car c’étaient des pêcheurs. 19 Jésus leur dit : « Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d’hommes. » 20 Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
Suivre Jésus est une réponse libre à un appel personnel de sa part. Suivre Jésus, c’est accepter d’être embauché à sa suite. Beaucoup refusent d’aller jusqu’au bout de l’engagement de leur baptême et de leur confirmation.
Cantiques :
O’nel Mala – Pardonnez
Mannick, Jo Akepsimas – Zachée, descends de ton arbre
Un nouveau commencement « Jésus, de Nazareth à Jérusalem » https://www.youtube.com/watch?
02 Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. https://www.aelf.org/bible/Lc/10 Eglise de Villers-la-Tour
Déclaré mort, Stanley Villavicencio revient à la vie trois jours plus tard avec une mission reçue de Jésus lui-même. Depuis lors il évangélise partout dans le monde en insistant sur la place de cette simple mais puissante prière qu’est le chapelet récité avec le cœur. Il raconte aussi les songes à travers lesquels Jésus lui parle et continue de l’instruire.
Revenu à la vie. L’appel du ciel. https://www.appel-du-ciel.org/?page_id=70
Evangéliser, c’est nourrir l’esprit, le corps spirituel, avec de la nourriture spirituelle non frelatée, c’est donc participer au salut des âmes. C’est une priorité dans la vie du chrétien. Toute personne qui évangélise prie et invite à prier.
Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! 17 Certes, si je le fais de moi-même, je mérite une récompense. Mais je ne le fais pas de moi-même, c’est une mission qui m’est confiée. https://www.aelf.org/bible/1co/9
27 Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. » https://www.aelf.org/bible/Jn/6
Ce qui est folie dans le monde Dieu l’a choisi pour confondre les sages ; ce qui est faible dans le monde, Dieu l’a choisi pour confondre ce qui est fort. ( 1 Co 1 :27)
REVENU A LA VIE: Stanley Villavicencio
Le témoignage de Stanley a été approuvé par l’Eglise. En l’an 2000, lors de la canonisation de sainte Faustine à Rome, il a donné son témoignage devant 36 cardinaux et 38 évêques.
Revenu à la vie L’appel du ciel. https://www.appel-du-ciel.org/?page_id=70
Marie conduit à Jésus, toujours.
Ce n’est pas étonnant que ce soit à Beauraing, en la fête de Notre-Dame des Douleurs, que j’ai découvert ce témoignage à travers le livret Revenu à la vie.
Quelques extraits.
Vous pouvez acheter ce livret à cette adresse: L’appel du ciel. 6 Place de la Grande Croix. 03470 Pierrefitte sur Loire.
« Pitié, Seigneur, pour ton peuple, n’expose pas ceux qui t’appartiennent à l’insulte et aux moqueries des païens ! Faudra- t-il qu’on dise : “Où donc est leur Dieu ?” » Et le Seigneur s’est ému en faveur de son pays, il a eu pitié de son peuple. (Jl 2 : 17-18)
Acte de Consécration du Monde entier à la Miséricorde Divine. (Jean-Paul II)
Dieu, Père miséricordieux, qui as révélé Ton amour dans ton Fils Jésus-Christ, et l’as répandu sur nous dans l’Esprit Saint Consolateur, nous Te confions aujourd’hui le destin du monde et de chaque homme. Penche-Toi sur nos péchés, guéris notre faiblesse, vaincs tout mal, fais que tous les habitants de la terre fassent l’expérience de ta miséricorde ; afin qu’en Toi, Dieu Un et Trine, ils trouvent toujours la source de l’espérance. Père éternel, par la douloureuse Passion et la Résurrection de ton Fils, accorde-nous ta miséricorde, ainsi qu’au monde entier ! Amen.
« Nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous et nous y avons cru. » (1 Jn 4:16)
05 Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.
06 Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
Soumettez-vous à Dieu, résistez au diable et il fuira loin de vous. (Jc 4 : 7)
Chapelet de la Misericorde avec Sr Emmanuel depuis Medjugorje
A l’écoute de la souffrance d’un pneumologue à bout de force. Et avertissement : des prisons covid sont désormais ouvertes !
Le pneumologue Patrick Bellier lance un cri de détresse. Il reçoit en consultation « Des stressés qui ont peur de mourir (comme lors du passage à l’an 2000), qui posent tellement de questions que je n’ai plus le temps d’aborder le sujet pour lequel ils viennent. Cerise sur le gâteau, dit-il, un jeune patient fanatisé et bas du front a porté plainte contre moi à l’ordre des médecins du Rhône. »
Paru sur FranceSoir: Lettre d’un pneumologue (extraits)
Madame, Monsieur
Ayant travaillé en mars, avril et
mai dans un service où l’on entreposait les « malades » covid, j’ai pu
me rendre compte que la majorité d’entre eux n’étaient pas infectés par le
virus ! Je m’explique : tous les patients suspects devaient passer un test PCR
et un scanner de thorax. La quasi-totalité avaient une PCR négative, mais par
contre tous les radiologues concluaient de la même manière : Images
compatibles avec une infection covid. Et zou, le patient était transféré dans
le service des « covid ». Heureusement pour eux qu’ils n’y en avaient
pas tant que ça, parce que je ne vous raconte pas l’hécatombe que cela aurait
pu être. Ces « fameux » radiologues voyaient de l’infection covid
sur des scanners, normaux, prenaient des bulles d’emphysème pour du covid,
prenaient des pneumonies bactériennes à pneumocoques pour du covid etc.
Véridique. Sachant interpréter
moi-même les scanners de thorax, mieux qu’eux apparemment, je peux vous le
certifier. J’ai même vu une Mamie dont la fille était médecin, PCR négative,
scanner normal mais interprété covid compatible mise dans ce
service. La fille médecin n’étant pas si bête, a regardé le scanner est s’est
rendu compte que le scanner était normal. Elle voulait porter plainte. J’ai
insisté pour que cette Mamie soit immédiatement sortie du service. Mais j’ai
fait une erreur ce jour là : j’ai cédé aux pressions, et je n’ai mis aucun mot
dans le dossier. Quelle erreur !!!!!
J’ai moi-même rempli des certificats de décès en 2009, à l’époque du H1N1 « mort du H1N1 » alors que c’étaient des cancéreux en phase terminale. J’ai honte. J’ai eu des preuves que ce phénomène non seulement est toujours présent, mais qu’il s’est amplifié.
Le gouvernement multiplie les « dépistages » et trouve beaucoup de porteurs sains. C’est parfait et c’est tant mieux. Les porteurs sains sont utiles et nécessaires car c’est par eux que la protection de masse va se faire. Il est criminel et assassin d’empêcher cette protection de masse par le port du masque.
Nous sommes tous porteurs sains de milliards de germes pathogènes dans notre bouche surtout, mais aussi dans notre intestin. Nous sommes très nombreux à être porteurs sains du pneumocoque, du méningocoque. Sans nous, les pneumonies mortelles, les méningites seraient légions et on en verrait partout tous les jours ! Je ne parle même pas du staphylocoque doré présent dans toutes les narines (j’exagère à peine) de tous les humains sur cette terre !
Je vois des dizaines de jeunes gens qui ont tous le même profil, les mêmes symptômes : douleurs thoraciques vagues, atypiques, et dyspnée inspiratoire (une dyspnée inspiratoire est toujours psychogène) et la spirométrie et les scanners de thorax sont toujours normaux. Ces patients défilent en permanence depuis 4 mois, alors qu’avant je n’en voyais qu’un tous les 3 ou 6 mois. Des stressés qui ont peur de mourir (comme lors du passage à l’an 2000), qui posent tellement de questions que je n’ai plus le temps d’aborder le sujet pour lequel ils viennent.
Sur ma vie personnelle, c’est l’enfer :la peur du flic en manque de points pour sa prime car je refuse de porter un masque inutile (en plus je suis asthmatique, un vrai de vrai) et en surpoids donc en hypoventilation alvéolaire. Un masque pourrait m’envoyer direct au paradis (ou en enfer). La peur du regard des moutons masqués. La peur de recevoir un patient obtus avec qui je vais me prendre le chou, la PEUR tout le temps.
Ma mère a eu 20 ans en 1940. Je comprends maintenant ce qu’elle a du vivre, tout comme mon père mais lui il était prisonnier. LA PEUR permanente. Cerise sur le gâteau, un jeune patient fanatisé et bas du front a porté plainte contre moi à l’ordre des médecins du Rhône. …
Je suis au bout du rouleau. Je
n’en peux plus de cette hystérie collective créée et entretenue par ce
gouvernement. Les bouquins de psychiatrie disent tous que l’hystérie collective
est toujours créée par des groupes importants ou des gouvernements. Nous sommes
en plein dedans.
J’envisage même de me mettre en
arrêt de travail prolongé si cela continue. Impossible de travailler
sereinement dans de telles conditions.
Daris R : « Vous citez Pierre et le loup. Un jour, la
grande épidémie qui peut mettre à terre
l’espèce humaine, est-ce que vous y croyez ? »
Prof Raoult : Ce que je redoute, c’est qu’à force de terrifier
les gens (…), il est bien possible que le doute s’installe et que plus personne ne croie les messages qui
ont été véhiculés. (…) J’ai vu un tel défilé de fausses alertes. Je crois que
le gouvernement a une bouffée délirante. (…) Il faut essayer de faire preuve d’un
peu de bon sens …
Irrationalité et tests de soumission. Jusqu’où ira-t-on?
En Europe, il fut un temps où les enfants descendaient dans les mines dès l’âge de 6 ans. De nos jours, ce sont d’autres facteurs – dont une peur exagérée du Covid – qui entravent le bien-être de nos chers petits et menacent le futur.
Dans beaucoup de pays, les enfants sont encore exploités dans des mines. Prendre soin des enfants, c’est œuvrer pour un meilleur avenir. Qui s’engage à leurs côtés?
Aujourd’hui, en Belgique, nous sommes tombés dans l’excès inverse.
Fait de vie : dans une ferme où l’on vend des produits du terroir, une dame fait sa commande de fromages. Elle remarque un adolescent occupé à la vaisselle. Elle s’adresse alors au fermier : « Je suis inspectrice du travail. Votre enfant n’a pas le droit de travailler. Je ne vous dénoncerai pas, mais à ma place, certains de mes collègues le feraient. Si vous êtes pris en défaut, vous aurez une forte amende ! »
Un enfant ne peut plus aider ses parents en travaillant en entreprise, ne serait-ce que quelques heures.
Inutile de vouloir expliquer aux magistrats qu’un enfant doit apprendre à travailler dès le plus jeune âge. Inutile de leur dire qu’il vaut mieux que les ados soient à côté de leurs parents sur leur lieu de travail que seuls dans la maison devant un ordinateur… Inutile aussi de leur dire que le travail est source de joie quand il n’est pas excessif. Inutile …
C’est les lois qu’il faut changer ! Engagez-vous en politique si vous avez du bon sens et du courage.
« Papa, tu as besoin d’aide ? J’arrive ! Qu’est-ce que je peux faire ?»
Autre excès : Les précautions pour éviter la propagation du covid. Elles ont des conséquences fâcheuses.
Aujourd’hui, on est sans doute trop bien installés chez nous et certains cherchent à nous compliquer la vie. Alors que l’épidémie est derrière nous, les arts sont menacés, les liens familiaux, les célébrations en Eglise, les fêtes populaires, tout ce qui apporte de l’oxygène à nos vies est saboté ! Et la santé même est menacée par un excès de précautions.
Des médecins contre le port du masque sur CNews: non seulement inutile, mais dangereux!!
La santé mentale gravement menacée. Un enfant n’est pas fait pour vivre en cage!
Si nous ne sommes pas attentifs, ceci nous arrivera!
Une institutrice de première primaire : Avec le masque, mes petits ne savent pas lire sur les lèvres. C’est impossible de leur apprendre le B, le P, le D … s’ils ne voient pas mes lèvres. Même avec les voyelles, ils ont des difficultés! J’ai écrit au ministère! On m’a répondu que du moment où une distance d’1m50 était respectée, ça suffisait! J’ai prévenu les parents : « Je ne mets pas de masque en classe ! »
Une future maman se rend à l’hôpital, pour une première visite du lieu d’accouchement. Elle reçoit ces consignes : « Vous devrez garder le masque et après la naissance, durant les deux premières heures, vous ne pourrez pas embrasser votre bébé, vous devrez attendre que le personnel médical ait quitté la pièce ! » Je me suis demandé si c’était un fake! Je l’espère.
Avec un masque, même faire des discours devient pénible !
Le port du masque ne nous empêchera pas d’être heureux, ensemble!
« Va-t-on sacrifier l’éducation de nos enfants à la santé de leurs grands-parents ? »
Le philosophe Comte-Sponville met en garde. Il tire la sonnette d’alarme. La moyenne d’âge des personnes qui meurent du covid 19 est 81 ans, 84 ans. Gâcher toute une génération scolaire pour sauver la vie de personnes de 81 ans, 84 ans, mais ce n’est pas raisonnable ! Quel grand-père, quelle grand-mère peut penser que c’est raisonnable ? https://www.youtube.com/watch?v=mnjdzmbLDG8&t=868s&ab_channel=bobbyvoyer
Des mesures « liberticides et disproportionnées »
« La voix de la raison et de la liberté ».
À l’heure où de grandes villes imposent le masque pour lutter contre la propagation du Covid-19, Olivier de Soyres, médecin réanimateur dans une clinique près de Toulouse, appelle à entendre « la voix de la raison et de la liberté ».
Olivier de Soyres, médecin réanimateur
« Médecin réanimateur à Toulouse, j’ai eu l’honneur de soigner des patients Covid-19 graves. Ceux qui sont si malades qu’il faut les maintenir endormis, intubés, sous respirateur artificiel, parfois pendant six semaines. A ce titre, je me permets ici d’aborder les questions de maladie, de soins et de liberté que cette crise soulève. A l’heure où les villes françaises instaurent le masque obligatoire dans les rues, où les cinémas referment faute de public, où les restaurateurs constatent la frilosité des clients, où les plans sociaux se préparent, on désespère d’entendre la voix de la raison et de la liberté.
A condition d’avoir des réanimations en état de fonctionner, on ne meurt pour ainsi dire plus du Covid-19. Cette phrase peut choquer mais c’est notre expérience. Quand les services n’étaient pas débordés, seulement très mobilisés, avec des personnels préparés et formés, ce qui a été notre cas à Toulouse, les patients ont survécu.
Certains sont morts avec le Covid, mais pas du Covid. Comme ce patient cancéreux ne pesant plus que 37 kg pour 178 cm qui, en contractant le virus, a vu sa vie raccourcie de quelques jours. Ces patients ne peuvent justifier le chômage des jeunes. Ni les dettes abyssales laissées aux générations suivantes. Ni le renoncement massif à nos modes de vie. Oui, nous autres soignants, avons eu du travail, certains se sont contaminés. Peu en sont morts, et probablement plus aucun n’en mourrait aujourd’hui. C’est notre métier, et nous nous mobilisons tous les jours contre un tas d’autres maladies.
La censure morale que certains soignants veulent exercer est une insulte à notre profession. Tous les jours, des gens meurent au travail ou en y allant. Les sauveteurs en mer nous demandent-ils d’arrêter baignade et plaisance au prétexte des risques ? Le virus est là. La majorité n’en subira pas de dommage significatif. Il est parfois virulent mais on sait maintenant soigner la majorité des cas graves. Alors remettons-le à sa juste place ; n’en faisons pas un terroriste, c’est-à-dire un agent dont l’impact psychologique et sociétal dépasse de loin son impact physique.
Avant l’hiver qui risque de voir la contagiosité augmenter, il faudrait plutôt avoir un plan pour pouvoir mieux soigner les cas sérieux. Armons les hôpitaux pour faire face efficacement, formons du personnel médical supplémentaire à la réanimation spécifique des Covid graves. C’est possible. Et vivons. Libres. » Source : Le Parisien, opinion
« Et les autres? Et les autres? » interrogeait l’abbé Pierre.
Vu qu’il n’y a plus de morts liées au covid, de plus en plus de personnes manifestent contre le port du masque, contre la perte de liberté . Nous avons beaucoup à apprendre des sages comme Sitting Bull par exemple. Il est bon de lutter, pacifiquement. Gandhi est connu car il dénonçait, sans violence, les dérives de la société.
La Bible et les enfants.
« Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux. 04 Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux. 05 Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, il m’accueille, moi. https://www.aelf.org/bible/mt/18