Ce qu’on recherche dans les sectes, les pratiques païennes, la franc-maçonnerie, c’est le merveilleux, c’est l’acquisition de « pouvoirs », c’est chercher un sens à sa vie. Certaines personnes courent au bout du monde pour remplir leur vide intérieur. Sœur Emmanuel Maillard de Medjugorje en a fait l’expérience mais Dieu l’a sauvée in extrémis : elle en était arrivée à vouloir se suicider. Quant à Serge Abad-Gallardi, il a goûté à la franc-maçonnerie, il raconte ce que c’est et il témoigne du bonheur de l’avoir quittée.

Dessins de Floris
Comment combler le vide intérieur ? Sœur Emmanuel de Medjugorje répond:
L’Encyclique « HUMANUM GENUS » sur les francs-maçons a vocation de nous éclairer sur les dangers de ce groupe.
C’est le pape LEON XIII (pas Léon XIV !) qui l’a écrite. Quelques extraits :
A notre époque, les fauteurs du mal paraissent s’être coalisés dans un immense effort, sous l’impulsion et avec l’aide d’une Société répandue en un grand nombre de lieux et fortement organisée, la Société des francs-maçons. Ceux-ci, en effet, ne prennent plus la peine de dissimuler leurs intentions et ils rivalisent d’audace entre eux contre l’auguste majesté de Dieu. C’est publiquement, à ciel ouvert, qu’ils entreprennent de ruiner la sainte Eglise, afin d’arriver, si c’était possible, à dépouiller complètement les nations chrétiennes des bienfaits dont elles sont redevables au Sauveur Jésus Christ.
» Deux amours ont donné naissance à deux cités : la cité terrestre procède de l’amour de soi porté jusqu’au mépris de Dieu; la cité céleste procède de l’amour de Dieu porté jusqu’au mépris de soi. » Dans toute la suite des siècles qui nous ont précédés, ces deux cités n’ont pas cessé de lutter l’une contre l’autre, en employant toutes sortes de tactiques et les armes les plus diverses, quoique non toujours avec la même ardeur, ni avec la même impétuosité.
… L’autre dessein, à la réalisation duquel les francs-maçons emploient tous leurs efforts, consiste à détruire les fondements principaux de la justice et de l’honnêteté. Par là, ils se font les auxiliaires de ceux qui voudraient, qu’à l’instar de l’animal, l’homme n’eût d’autre règle d’action que ses désirs.
Ce dessein ne va rien moins qu’à déshonorer le genre humain et à le précipiter ignominieusement à sa perte. Le mal s’augmente de tous les périls qui menacent la société domestique et la société civile. Ainsi que Nous l’avons exposé ailleurs, tous les peuples, tous les siècles s’accordent à reconnaître dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux et la loi divine a pourvu à ce que les unions conjugales ne puissent pas être dissoutes. Mais si elles deviennent purement profanes, s’il est permis de le rompre au gré des contractants, aussitôt la constitution de la famille sera en proie au trouble et à la confusion; les femmes seront découronnées de leur dignité; toute protection et toute sécurité disparaîtront pour les enfants et pour leurs intérêts.
… Les malfaisantes erreurs que Nous venons de rappeler menacent les Etats des dangers les plus redoutables. En effet, supprimez la crainte de Dieu et le respect dû à ses lois; laissez tomber en discrédit l’autorité des princes; donnez libre carrière et encouragement à la manie des révolutions; lâchez la bride aux passions populaires; brisez tout frein sauf celui du châtiment ; vous aboutissez par la force des choses à un bouleversement universel et à la ruine de toutes les institutions…
…Nous recommandons avec une nouvelle insistance à votre foi et à votre vigilance, la jeunesse qui est l’espoir de la société. Appliquez à sa formation la plus grande partie de vos sollicitudes pastorales. Quels qu’aient déjà pu être à cet égard votre zèle et votre prévoyance, croyez que vous n’en ferez jamais assez pour soustraire la jeunesse aux écoles et aux maîtres prés desquels elle serait exposée à respirer le souffle empoisonné des sectes. Parmi les prescriptions de la doctrine chrétienne, il en est une sur laquelle devront insister les parents, les pieux instituteurs, les curés, sous l’impulsion de leurs évêques. Nous voulons parler de la nécessité de prémunir leurs enfants ou leurs élèves contre ces sociétés criminelles, en leur apprenant de bonne heure à se méfier des artifices perfides et variés à l’aide desquels leurs prosélytes cherchent à enlacer les hommes.
Demandons à la Vierge Marie, Mère de Dieu, de se faire notre auxiliaire et notre interprète. Victorieuse de Satan dès le premier instant de sa conception, qu’Elle déploie sa puissance contre les sectes réprouvées qui font si évidemment revivre parmi nous l’esprit de révolte, l’incorrigible perfidie et la ruse du démon. Appelons à notre aide le prince des milices célestes, saint Michel, qui a précipité dans les enfers les anges révoltés; puis saint Joseph, l’époux de la Très Sainte Vierge, le céleste et tutélaire patron de l’Église catholique et les grands apôtres saint Pierre et saint Paul, ces infatigables semeurs et ces champions invincibles de la foi catholique. Grâce à leur protection et à la persévérance de tous les fidèles dans la prière, Nous avons la confiance que Dieu daignera envoyer un secours opportun et miséricordieux au genre humain en proie à un si grand danger.

Merci à Floris pour l’autorisation d’utiliser les dessins de: « Ton bonheur, c’est Quelqu’un. »‘
Abraham dialogue avec Dieu au sujet de Sodome et Gomorrhe.
Ce matin, à la messe, j’ai entendu le récit dans lequel Dieu annonce à Abraham son désir de mettre de l’ordre dans les villes de Sodome et Gomorrhe. (extraits)
« Comme elle est grande,
https://www.aelf.org/2025-06-30/romain/messe
la clameur au sujet de Sodome et de Gomorrhe !
Et leur faute, comme elle est lourde !… »
Abraham s’approcha et dit :
« Vas-tu vraiment faire périr le juste avec le coupable ?
Peut-être y a-t-il cinquante justes dans la ville.
Vas-tu vraiment les faire périr ?
Ne pardonneras-tu pas à toute la ville
à cause des cinquante justes qui s’y trouvent ? Loin de toi de faire une chose pareille !
Faire mourir le juste avec le coupable,
traiter le juste de la même manière que le coupable,
loin de toi d’agir ainsi !
Celui qui juge toute la terre
n’agirait-il pas selon le droit ? »
Le Seigneur déclara :
« Si je trouve cinquante justes dans Sodome,
à cause d’eux je pardonnerai à toute la ville. »
Abraham répondit :
« J’ose encore parler à mon Seigneur,
moi qui suis poussière et cendre.
Peut-être, sur les cinquante justes, en manquera-t-il cinq :
pour ces cinq-là, vas-tu détruire toute la ville ? »
Il déclara :
« Non, je ne la détruirai pas,
si j’en trouve quarante-cinq. »
Abraham insista …
Commentant les lectures de ce jour, le prêtre disait qu’on se croirait dans une marché arabe où l’on essaie de brader le prix d’une marchandise. Abraham est descendu jusque 10 justes. Il n’a pas osé demander davantage. Or il aurait pu proposer à Dieu de sauver Sodome et Gomorrhe pour un seul juste ou même pour zéro juste car, même parmi nous ici rassemblés, qui est juste ?
Le désir de Dieu est de sauver tout le monde. Il faut oser lui demander de grandes choses !
Pour suivre Jésus, il s’agir de rompre avec l’occultisme, voire tout quitter, marcher à l’aveuglette, sans attaches à des biens matériels ou familiaux, des habitudes ancestrales.

Témoignages
Jean-Paul II : N’ayez pas peur
Le merveilleux est à portée de mains à l’intérieur de l’Eglise, dans la vie des saints. Pourquoi la chercher ailleurs ?
« Dieu sauve les pécheurs qui se repentent. «
Belle histoire vraie de l’abbé Emile Champenois.
Exhortation du pape Leon XIV pour nous remettre sur le bon chemin.
