PÂQUES : la mort est vaincue. La VIE EXPLOSE !

Jésus a vaincu la mort. Invite-le dans ta vie et tu vivras, autrement.

La « résurrection » comprend une « ouverture d’esprit » aux propos de l’autre.

« Nous étouffons parmi des gens qui pensent avoir absolument raison » Albert Camus

 » … et nous sommes nombreux à ressentir la même chose aujourd’hui, tant l’air devient proprement irrespirable. Ce livre a été écrit avec l’espoir de donner des forces à toutes les femmes, tous les hommes qui veulent maintenir vivante la possibilité d’une argumentation élaborée, d’un échange respectueux, d’une confrontation sincère. » (Jean Birnbaum)

« …n’espèrent que ceux qui ont eu le courage de désespérer des illusions et des mensonges où ils trouvaient une sécurité qu’ils prenaient faussement pour  de l’espérance. » (Bernanos)

https://www.seuil.com/ouvrage/le-courage-de-la-nuance-jean-birnbaum/9782021476736

Vivre, c’est bien autre chose que de survivre au covid. C’est AIMER!

Au choix: dictature sanitaire ou AMOUR.

« Je préfère mourir libre que vivre sans le covid dans une dictature. » (Maître Brusa)

Entretien complet : Maître Carlo Alberto Brusa https://www.youtube.com/watch?v=DKlTtWHjneg&t=0s&ab_channel=MagazineNexus .

Survivre quoi qu’il en coûte?

Christian Cherel

Depuis que le virus tue, on nous répète comme une leçon universelle que la vie est le bien le plus précieux et qu’il faut la protéger, quoi qu’il en coûte.

Quoi qu’il en coûte ? Ce discours semble ne souffrir aucune contradiction ni tolérer la moindre nuance. Et pourtant…

Comment ne pas voir que vivre ne consiste pas seulement à rester en vie ? D’où vient ce manque de profondeur, cette perte de perspective, cette cécité qui frappe notre monde ? Comment avons-nous laissé se dégrader nos vies au point de les confondre avec notre seule survie ?

Survivre quoi qu’il en coûte ? Mais quelle est donc cette vie pour laquelle nous serions prêts à consentir à tous les sacrifices ? Quelle est cette mort qui nous terrifie au point de lui livrer en pâture notre vie sociale, nos visages désormais masqués, nos anciens abandonnés dans leur solitude, nos embrassades interdites et jusqu’à nos mains qui ne peuvent plus se serrer ? Sommes-nous donc prêts à tout, y compris à cesser de vivre, pour ne pas mourir ?

Cesser de vivre pour ne pas mourir… L’étrangeté de ces mots et l’absurdité vers laquelle ils nous précipitent !

Survivre quoi qu’il en coûte ? Mais à l’évidence, il ne suffit pas de rester en vie pour être vivant. Et nous savons bien ce qu’est le naufrage d’une existence qui ne sait rien faire d’autre que s’agripper à elle-même.

Survivre quoi qu’il en coûte ? L’erreur grossière consiste à penser que la vie serait un capital que nous aurions reçu au commencement et qu’il s’agirait de défendre contre toutes les attaques extérieures. Un capital voué inexorablement à fondre, au fil des ans, comme banquise au soleil. Car la mort surviendra tôt ou tard. Sommes-nous donc condamnés à vivre comme une armée battant en retraite ? Jusqu’à l’inévitable défaite… Est-ce cela vivre ?

Survivre quoi qu’il en coûte ? Bien sûr, il nous faut lutter contre ce virus et protéger notre santé comme on protège la banquise de son effondrement. Mais protéger la vie, c’est autre chose !

La vie n’est pas un capital à défendre mais un horizon à atteindre. Elle n’est pas une bouée à laquelle on s’agrippe mais un trésor qu’il nous faut trouver.

Vivant, il ne s’agit pas de le rester mais plutôt de le devenir ! Et nous ne sommes encore qu’imparfaitement vivants. Bien souvent, nous vivons dans le seul but de ne pas mourir. Ce n’est pas cela vivre…

Mais vivre ! Et tenir la main du vieillard jusqu’à son dernier souffle ; sentir que ces minutes-là sont plus précieuses que la plus scientifique des immunités. Vivre et ne pas concéder le moindre compromis quand il s’agit de rester humains. Jusqu’au bout. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne pas se plier aux menaces des violents. Savoir que la mort est toujours un risque mais qu’il y a plus grave que mourir : c’est de ne pas oser vivre. Vivre et ne pas avoir peur de risquer sa vie. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne plus savoir compter, calculer, mesurer, comparer, produire ; mais apprendre à s’émerveiller, chanter, offrir, jouer, contempler.

Donner plus d’importance à ce qui ne sert à rien : au jeu de l’enfant, au silence dans le vent du soir et aux fleurs qui ne savent même pas qu’elles sont belles. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et accueillir notre fragilité comme une chance. En avoir fini avec l’angoisse de ne pas être tout, de ne pas pouvoir tout. Ne plus avoir à se prouver que l’on mérite de vivre. Ne plus avoir à mériter. Mais vivre simplement. Quoi qu’il en coûte…

Vivre ! Et ne plus regarder le temps qui passe comme l’horloge implacable qui m’attend ou le sablier qui dévide mes heures. Mais accueillir le temps comme un ami qui joue dans mon camp. Et qui me bonifie comme les années rendent bon le vieux vin. Vivre et ne plus avoir peur de vieillir, de se rider, de se courber et de faiblir. Quoi qu’il en coûte…

C’est cela vivre. C’est cette vie-là qu’il nous faut défendre, quoi qu’il en coûte. Quitte à en mourir…

« Mourir sans doute, mais mourir vivants ! »  Christian Cherel

NB: Le texte est de Christian CHEREL, les images ont été trouvées sur internet.

MERCI!

Merci aux chercheurs, merci à toutes les personnes qui dénoncent les abus de ceux qui détiennent l’autorité, à celles qui manifestent leur mécontentement, à celles qui nourrissent notre ESPERANCE. Merci aux personnes qui participent financièrement au redressement des entreprises et tiennent hors de l’eau les familles appauvries.

Merci à tous ceux qui témoignent de leur espérance tout en AGISSANT concrètement.

Merci à Jean Birnbaum et tant d’autres qui invitent à avoir « Le courage de la nuance ».

-Pour sortir de la dépression, une jeune femme était partie travailler dans une région montagneuse.  A son retour, gonflée à bloc, elle s’exclame : « C’était génial. Les paysages sont magnifiques! Et on dirait qu’il n’y a pas de covid là-bas. On circule en rue sans être dérangé par la police. J’y retournerai avec des copines ! »

-Bravo aux personnalités (tel le professeur Raoult) qui rament courageusement à contre-courant des médias mainstream. Seuls les poissons morts sont emportés par le courant.

Bois de la Cambre. Les jeunes manifestent leur besoin de vivre!

« Ici, ce n’est pas perçu comme un manque de respect pour la police. On a besoin de la police. … Ce qu’on cherche à démontrer c’est de faire changer les mesures … Le vrai savoir se trouve dans les relations sociales, dans ce qui se passe autour de nous, mais ce n’est pas derrière un écran. »

https://www.facebook.com/bam.belgian.alternative.media

Même les animaux aiment se défouler dans la nature après de longs mois à l’étable!

https://www.facebook.com/AmbassadeSuisseParis/videos/510197706318857

-Pierre Larrouturou, un eurodéputé a déjà fait la grève de la faim pour tenter de se faire entendre au Parlement. Les marchés financiers n’ont jamais été aussi élevés, or il n’y a pas d’argent pour la santé, pour le climat, etc.. Il est temps de taxer la spéculation. Il est temps de faire payer un peu ceux qui ne paient jamais, sans taxer la population.

https://www.facebook.com/VewsRTBF/videos/750186375708882

-Maître Brusa: « Nous sommes des objets entre les mains de ceux qui ont le pouvoir »

Pâques, ta rencontre avec la Vie, par sr Emmanuel de Medjugorje

Saint Jean-Paul II, ppn.

Demandons l’intercession de ce grand saint à l’heure où les personnes âgées sont rejetées de notre société de consommation. Vu le Covid, elles sont privées de leur famille, isolées dans leur chambre, elles souffrent beaucoup!

« Merci Jean-Paul II pour ton message de VIE . Malgré l’âge, tu continuas jusqu’au bout à semer la joie, l’espérance, l’amour. »

https://www.facebook.com/jean.benoit.edmond

Cantique! Vous bondirez de joie!